Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore/i: Erel

Traduttore/i: Erel

Beta-reader(s): Blue

Status: In corso

Serie: City Hunter

Original story:

Le verità nascoste

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 09-08-05

Ultimo aggiornamento: 11-01-06

 

Commenti: 16 reviews

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General

 

Disclaimer: Les personnages de "Les Vérités cachées" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Traduzione :: Les Vérités cachées

 

Capitolo 1 :: Prologue: un pacte avec le diable

Pubblicato: 09-08-05 - Ultimo aggiornamento: 09-08-05

Commenti: Et me voilà avec ma seconde fic, mais si nous voulons etre précis, c’est ma première fic avec plus de chapitres! ^^” ça fait longtemps que je voulais en écrire une, mais justement, 0 idée ^^” j’espère qu’elle vous plaira, sûrement avec ce chapitre qui à priori n’a rien à voir avec CH, mais j’espère qu’il reussira à aiguiser votre curiosité pour comprendre le fil conducteur qui lie ce chapitre avec le reste de l’histoire! À Bientôt!! ^___^ PS: un grand MERCI à Blue qui, avant de partir, a accepté de corriger mon tradution! Biz Blue et bonnes vacances!! ^__^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8


 

Rome, Italie. Début des années cinquante.  

L’Italie, à peine devenue une république, était en train de renaître après la seconde guerre mondiale. Une nouvelle joie de vivre était en train de se diffuser entre les habitants des grandes villes, sourtout dans la capitale, Rome, où l’on commençait à retrouver les vieilles habitudes des années trente: fêtes, dîners, théâtre, cinéma, musique, divertissement…Tout était en train de renaître partout.…L’epoque de “la belle vie” était seulement à ses débuts…  

Les familles aristocratriques, désormais déchues, lassaient la place aux petits entrepreneurs qui, grâce aux nouvelles modes importées par les americains, étaient devenus de plus en plus riches jusqu’à gagner grande estime parmi les gens les plus puissants de la ville… mais, comme on sait, le genre humain ne réussit jamais à être completement satisfait de ce qu’il a, et il cherche coûte que coûte, même en utilisant des manières illegales, de rejoindre “l’invincibilité”…  

 

Dans les rues de plus en plus pressées de la capitale, un homme distingué s’apprêtait à entrer dans le hall d’un très luxueux Hotel de la rue Veneto : les décors étaient décidément somptueux, de grands draps de velours rouge couvraient presque entièrement les enormes fênetres de la salle d’attente, de nombreux lampadaires de swaroski illuminaient le lieu tout en donnant du relief aux magnifiques tableaux de fin dix huit cent qui tapissaient les murs d’un très élégant jaune canari. Les fauteuils, également de velours rouge, emplissaient le lieu parmi des plantes importées des régions africaines et d’Amerique latine ainsi que des statues de marbre de haute qualité.  

Le sol recouvert de dalles de marbre rose brillait, et refletait le pas rapide et impatient de rejoindre un lieu sûr, d’un homme qui s’apprêtait à aller à l’accueil, situé près des escaliers. Les marches elles-même étaient de marbre et recouvertes par un tapis d’un très precieux velours rouge.  

 

-Puis-je vous aider, monsieur ? – l’homme en face de la jeune femme de la réception était vraiment splendide : grand, brun, avec deux petites fentes azur glaciales qui rendaient encore plus charmants les traits du visage qui, même s’ils étaient très rigides, le rendaient délicieusement séduisant aux yeux de la jeune femme. Son charme était réhaussé par un tailleur de pur lin noir, méticuleusement boutonné sur l’abdomen et qui laissait voir une merveilleuse cravate rouge de pure soie ainsi qu’une chemise d’un blanc pur. La demoiselle, habituée à des hommes aussi élégants mais plus laids ou plus vieux, resta agréablement surprise devant un homme comme lui, car en cette période-là on en voyait vraiment peu.  

 

- je cherche M. Lotario.-  

 

- je suis desolée, mais M. Lotario a expressement demandé de ne faire entrer personne dans sa suite. – l’ employée de l’hotel l’interrompit immédiatement, mais sans laisser montrer aucune attitude brusque.  

 

- Mais...il m’avait donné rendez-vous ici...nous devons discuter d’un chose d’extrême importance...- l’attitude autoritaire qu’il avait montré jusqu’ici commença lentement à laisser la place à une espèce d’inquietude, ce dont la demoiselle ne perçut pas.  

 

- Si vous me donnez votre nom, je pourrais voir si vous êtes sur la liste des personnes autorisées à entrer... -  

 

- Oui, bien sûr...je m’appelle Giorgio Alberghini...-  

- Attendez un petit instant...- et la jeune femme commença à consulter les diverses listes sur son grand livre, mais sans avoir de résultat satisfaisant.  

 

- Mais avez-vous bien vérifié?? C’est pratiquement impossible que je n’y sois pas, s’il vous plaît vérifiez mieux !! – Il commençait vraiment à laisser transparaître sa nervosité.  

- Je regrette, vous n’êtes pas présent sur la liste et je ne peux pas vous laisser passer -. Mais il était certain qu’ on ne pouvait pas être si brusque avec des clients et en outre si charmants, donc la demoiselle chercha à lui être encore d’une aide quelconque, chose qu’elle n’aurait jamais fait avec un autre client:  

 

- Si vous êtes si sûr d’avoir un rendez-vous avec M. Lotario, je pourrais lui téléphoner...Il se peut qu’ il y ait eu un malentendu, et... –  

 

- Oui s’il vous plaît, appelez immédiatement !! C’est d’importance vitale !! – toute la retenue qu’il avait dans son corps avait désormais complètement disparu.  

 

- Si vous pouvez attendre encore quelque minutes...- et il s’accomoda sur un des fauteuils de velours rouge.  

 

Des tas de personnes défilèrent devant ses yeux, mais il ne regardait aucune, mille pensées commençaient à occuper sa tête : « Et s’Il a changé d’idée ?? Oh mon Dieu, comment faire s’Il ne veut plus m’apporter son aide ? Mais il y perdrait lui aussi parce qu’ avec tout l’argent que je gagnerais en implantant mon entreprise à l’étranger, cela pourrait lui être utile, et... »  

 

- M. Alberghini...- ce fut la même demoiselle qui avait réduit sa maîtrise à néant qui interrompit le fil de ses pensées. – Je suis desolée, mais il y avait, comme je craignais, une petite incompréhension avec M. Lotario..Il vous attend comme vous m’aviez dit...chambre 106, cinquième étage -.  

 

 

Intérieurement soulagé par la nouvelle, Il se montra très contrarié pour tout le temps que cette « petite incompréhension » comme elle disait, lui avait fait perdre. La demoiselle désormais arborait sur le visage un couleur rouge qui s’ harmonisait avec le precieux velours rouge dont était tapissé la hall et elle n’arrivait pas à cesser de s’excuser.  

 

 

Il laissa la jeune femme empêtrée dans ses excuses et il s’éloigna élégamment vers les escaliers.  

 

 

Il ne reussissait pas encore à s’éxpliquer pourquoi il avait pris les escaliers au lieu de l’ascenseur : même si les escaliers étaient confortables, cinq étages étaient toujours beaucoup…Peut-être que c’était une manière de relâcher la tension accumulée pendant cette attente…  

 

Arrivé devant la chambre 106, il trouva la porte légèrement ouverte et subitement un atroce doute le paralysa : « Est-ce que je veux vraiment faire des affaires avec un homme si puissant ? » trop puissant à son goût...avec toute l’autorité dont cet homme jouissait, Il n’aurait pas hésité à lui rendre la vie un enfer si quelque chose dans ses plans eût été, pour quelque absurde maladresse, omise. .. Valait-il vraiment la peine de risquer autant ? En effet, avec son entreprise qui agissait sur tout le territoire de l’Italie centrale et méridionale il reussissait à gagner une fortune dont vraiment peu pouvaient se vanter...mais...reussir à agrandir son entreprise dans toute l’Italie, ainsi qu’en Europe, jusqu’à rejoindre l’Amerique était vraiment une offre alléchante...Sans aucun doute il n’y avait que cet homme qu’il allait rencontrer, qui pouvait faire réaliser ses ambitions... Il était sûr qu’il n’y aurait jamais réussi tout seul même s’il avait vécu 200 ans ! Cette idée lui fit prendre tout le courage qu’il avait dans son corps pour demander la permission et entrer finalement dans cette chambre...  

 

 

À peine entré, il ne reussisait pas à fermer la porte derrière lui à cause du choc subit : il n’avait jamais vu tant de luxe dans seulement 100 mètres carré ! A ses yeux, la hall de l’hotel n’était pas aussi luxueux, au contraire, comparée à cette suite, il ressemblait à un de ces motels décrépits presents dans la périphérie de la capitale !...Il n’eut pas le temps d’analyser tous les meubles coûteux et autres bibelots presents dans la chambre que M. Lotario, occupé à regarder à l’extérieur de la grande fenêtre, se mit à faire les présentations d’usage.  

 

- Cher Giorgio, je vous attendais depuis pas mal de temps...je pensais que vous aviez refusé de faire des affaires avec moi ! –  

 

- Oh non M. Lotario, je n’aurai au grand jamais manqué un rendez-vous d’affaire aussi important que celui-ci ! – l’homme qu’il avait devant lui était vraiment inquietant, même si d’ apparence il ne l’était pas vraiment : il n’était grand, au contraire, Il devait arriver aux épaules de M. Alberghini. C’était un homme plus large que haut à cause de son corps enorme ; il était chauve, ou du moins il semblait à cause du peu de cheveux blancs restés sur la nuque, avec des rides qui désormais avaient recouvert entièrement son visage, où était imprimé éternellement un sourire très large qui, pour ceux qui le connaissaient bien, cachait quelque chose de méchant et inhumain... ce sourire déplut à M. Alberghini...  

 

- Je viens de lire le bilan de l’année passée de votre entreprice, Giorgio –dit-il en tournant le dos à l’ homme et en s’adressant à une table peu distante du sofa où était assis M. Alberghini – et je dois dire que son activité m’a réellement sourpris ! Après seulement 3 ans d’ouverture de votre premier bâtiment industriel à peu de kilomètres de Rome, vous avez réussi à agrandir votre entreprise dans toute l’Italie centrale et méridionale et....c’est incroyable ! –dit-il avec une sincère surprise en feuilletant ce fasicule :  

- Il y a eu tout de suite un accroissement d’intérêt de 2,3% en comparaison du bilan 2 ans auparavant... Si vous continuez de cette manière, grâce naturellement à ma precieuse aide que je serai ravi de vous donner, votre entreprise s’agrandira sur toute l’Italie septentrionale, à l’extérieur des frontières nationales jusqu’en France, Espagne, Angleterre et même aux ÉTATS-UNIS – pour le convaincre encore plus, il épella les lettres de cette dernière nation.  

 

- Mais, comme vous le savez sûrement, mon ami, on n’a rien sans rien, donc moi aussi je voudrais gagner quelque chose avec cet accord...- M. Alberghini déjà commençait à trembler en pensant à quelle offre il allait proposer.  

 

- Vous savez combien les producteurs d’armes se sont enrichis pendant la seconde guerre mondiale, pas vrai ?- M. Alberghini ne le savait que trop bien, parce que son entreprise s’était aussi enrichie démesurément avec cette guerre sanglante.  

 

- Je pense aussi que vous savez combien le métal pour la fabrication des armes coûte cher aujourd’hui, également parce que vous vous occupez de l’affinage du métal lourd, non ? – l’homme commença à déglutir en pensant à l’éventuelle offre.  

 

- Bien, si vous acceptez mon aide, vous devrez vendre à moi seul les diverses quantités de métal à ma volonté et à un prix inférieur comparé au prix fixé par le marché...- Et voilà, l’offre a été avancé. M. Alberghini en resta surpris : franchément il s’attendait à quelque chose de plus difficile et de plus illégal à réaliser...Mais son offre était acceptable parce que les futurs gains auraient sûrement compensé, si non DEPASSE, l’ argent qu’il aurait perçu en vendant du métal à un prix très bas à M. Lotario.  

 

Il n’y pensa pas deux fois et signa le contrat qu’on lui avait mis sous le nez...Il ne savait pas qu’il avait signé un pacte avec le diable en personne...  

 

 

 

 


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