Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Deathscythe

Status: In corso

Serie: Family Compo

 

Total: 10 capitoli

Pubblicato: 09-09-09

Ultimo aggiornamento: 15-07-10

 

Commenti: 7 reviews

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General

 

Riassunto: Un stagiaire Canadien a l'insigne honneur de partager une année dans la vie de la famille Wakanaé et de leur eutourage...

 

Disclaimer: Les personnages de "FAMILY COMPO" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: FAMILY COMPO: LE STAGIAIRE

 

Capitolo 1 :: L'Homme que je suis

Pubblicato: 09-09-09 - Ultimo aggiornamento: 16-09-09

Commenti: Une simple introduction du personnage principal, qui est le seul à date qui est sorti de mon imagination et qui n'appartient pas à Maître Hôjô.

 


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You’re just too good to be true.... Can’t take my eyes off you...  

 

Ces deux phrases tirées de la chanson “Can’t Take My Eyes Of You”, de Frankie Vallie, résument très bien comment je me suis senti la première fois que je l’ai vue chez Maître Sora...  

 

Mais tout d’abord, je crois que je devrais commencer par me présenter à vous, n’est-ce pas? Je m’appelle Patrick Decker et je suis Canadien. Je viens d’une petite ville nommée Charny, dans la Province de Québec... Il y a quelques années, j’étais friand de sports et je m’entraînais à tous les jours pour garder la forme et une belle musculature. J’avais des chances d’être repêché par les Canadiens de Montréal, la fameuse équipe qui a gagné plus de Coupe Stanley que toute autres équipes dans la Ligue Nationnale de Hockey...  

 

J’étais soigneux de ma personne, je gardais une chevelure courte, un visage glabre et ma vue était perçante. Je marchais d’un pas assuré, le dos bien droit, sans honte ni gêne de ma personne... J’avais un caractère jovial, j’étais ouvert d’esprit et j’étais toujours prêt à aider mon prochain, qui que fut mon prochain.  

 

Et puis un jour de Novembre, ma vie fut transformée à jamais...  

Si Montréal est une ville ou le Hockey est roi, le phénomène des gangs de rues est malheureusement le prince... Deux bandes rivales s’étaient déclaré la guerre et s’attaquaient à tous moment du jour ou de la nuit, sans prendre compte des conséquences que leur petite guéguerre causait... Vous aurez donc deviné que je fus victime de l’une de leurs attaque. En fait, c’était une tentative de meurtre, mais si elle a échoué (parce que le chef de la bande qui était visé a survécu par je ne sais quel miracle), je n’y échappai pas. Je me trouvais à proximité lorsque la voiture piègée explosa, envoyant dans tous les sens débris fumants de verre et de métal tordu.  

 

Deux personnes qui n’étaient que des passants trouvèrent la mort, mais moi, même si je survécus, j’aurais préféré être mort à ce moment-là. Je passai deux semaines dans le coma et lorsque j’en sortis, j’appris que ma jambe gauche, qui avait reçu un énorme éclat du pare-brise, avait été atrocement mutilée au point que je devrais marcher avec une canne pour le restant de ma vie. Les médecins ont quand même pu la sauver, mais j’avais compris à ce moment-là que tout espoir de faire une carrière sportive m’avait été volé et ce, à perpétuité. Non seulement ma jambe fut-elle abîmée, mon visage également avait été atteint par un éclat de métal. J’en garde une longue cicatrice qui trace une diagonale, partant du haut de mon arcade sourcillière droite et descend sous mon oeil gauche pour se terminer au milieu de ma joue...  

 

Longtemps me suis-je dégoûté à toutes les fois ou je me regardais dans un miroir. Pour cacher ma balâfre, je me suis laissé poussé les cheveux en m’éfforçant de cacher mon visage avec. Avant cette tragédie, je m’habillais de vêtements colorés et brillants... Suite à ces événements, comme pour porter le deuil de ma carrière sportive, je me suis mis à ne porter que du noir et du blanc... Je n’ai pas complètement délaissé le Gym, mais j’y suis moins assidu...  

 

Durant ma convalescence, je me suis découvert un talent pour le dessin, plus particulièrement pour le style manga japonnais. Ma blessure m’ayant rendu invalide à tous travaux physique, mon assurance me versant une pension annuelle non négligeable, j’ai décidé d’entreprendre un stage avec un mangaka. C’est à l’hôpital que je découvris “Notre Emblême”, par Sora Wakanaé.  

 

J’en suis alors tombé amoureux. Comme un drogué qui attend avec impatience sa prochaine dose, j’attendais la prochaine publication, comme si j’étais en manque. Dès que j’ai u accès à un ordinateur, j’ai fais quelques recherches rapides sur Internet ou j’ai trouvé le site web de Maître Sora grâce auquel j’ai pu entrer en contact avec lui. Après un échange via E-mail assez bref, mais explicite, Maître Sora accepta de me prendre sous son aile en tant que stagiaire, pour un an. Il accepta de m’héberger dans sa maison pour la durée de mon stage, mais il insista pour me téléphoner afin de parler de quelques “détails importants” qui devaient à tout prix rester confidentiels. Je lui certifiai que j’étais un homme de parole et que j’étais même prêt à signer un contrat avec lui.  

 

Quand le coup de téléphone tant attendu eut lieu, Maître Sora prit le temps de m’expliquer qu’il formait un “couple inversé”... Devant mon incompréhension, il m’expliqua qu’en fait, il était une femme de naissance, mais qu’il avait l’âme d’un homme, et que son épouse, Yukari-san, était un homme de naissance avec le coeur et l’âme d’une femme. J’avoue avoir été surpris, mais je lui certifiai que cette situation ne me gênait absolument pas. Il me parla alors de sa fille, Shion, puis de son neveu Masahiko Yanagiba qu’il hébergeait suite au décès de son père trois ans auparavant. Il termina en me parlant de ses assistantes, trois travestis et une transsexuelle. J’assurai Maître Sora que je n’avais aucun problême à travailler avec ces personnes-là et lui expliquai qu’en fait, cela m’arrangeait, parce que le genre de femmes qui m’attirent sont un peu comme sa femme... Il voulut savoir de quoi j’avais l’air pour qu’il puisse me reconnaître quand il viendrait me chercher à l’aéroport.... C’est avec beaucoup de gêne et de honte que je me décrivis... D’un ton appaisant, presque paternel, il m’assura qu’il ne prêtait pas attention à l’apparence des gens, qu’il préférait regarder la beauté de leurs âmes...  

 

Quand nous nous quittâmes, j’avoue que j’étais surpris parce que je venais d’apprendre... Jamais je n’aurais cru, en voyant sa photo sur le site, ou en l’entendant parler au téléphone, que Maître Sora puisse être en fait une femme... J’étais curieux de voir et d’entendre sa femme... De même que leur fille...  

 

Voilà, vous savez qui je suis, ce qui m’est arrivé pour que j’en vienne à m’intéresser au dessin et comment toute cette histoire a commencé. Et surtout, comment j’ai finalement connu la beauté de l’amour, en dépit de mon horrible apparence...  

 


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