Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: michiko93

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 21-04-09

Ultimo aggiornamento: 21-04-09

 

Commenti: 7 reviews

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General

 

Riassunto: un petite histoire écrite en une journée ^^, partie d'une simple idée, lisez et vous verrez

 

Disclaimer: Les personnages de "un jour, " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: un jour,

 

Capitolo 1 :: un jour, tu comprendras

Pubblicato: 21-04-09 - Ultimo aggiornamento: 21-04-09

Commenti: bonjour ! Merci beaucoup d'avoir choisi mon histoire. Je ne sais pas comment vous la trouverez mais moi je me suis plu à l'écrire en tout les cas. Enjoy !

 


Capitolo: 1


 

« Un jour tu comprendras » La jeune demoiselle était perplexe .Voilà tout ce qu’elle avait eut le droit de savoir. Cette phrase stupide lui avait été jetée au visage. Cette phrase la rendait folle de rage et pourtant elle s’y accrochait comme à une bouée de secours. Elle sentait sa patience s’effriter quasiment à la même vitesse qu’elle sentait sa raison l’abandonner. Après tout, elle avait déjà perdu sa raison de vivre alors pourquoi pas sa raison purement et simplement. Ce crétin, ce coureur de jupons, ce personnage atypique tour à tour fantasque et professionnel, tout à tour doux et blessant. Certes, il n’avait jamais été très loquace mais il l’avait laissée avec en plus une énigme sur les bras. Et pourtant ce n’était son genre de disparaître comme ça sans explications, sans bonnes raisons. Cela était bien la seule chose que Kaori savait. 1 semaine d‘absence, 7 jours sans le voir, 168 heures de calvaire à l’espérer. Et puis cette rumeur qui courait sur l’arrivée en ville d’un petit nouveau près à défier en duel city hunter. Il était évident qu’il ne pouvait s’attaquer à Ryo et Kaori se demandait s’il aurait le culot de la défier elle. Elle angoissait, elle frémissait, elle ne dormait presque plus, toute cette histoire qui sonnait comme une étrange coïncidence l’inquiétait. Elle flairait le piège à plein nez, mais elle ne pouvait se résoudre à croire qu’un petit nouveau avait réussi à avoir city hunter. Dépitée de ne pas avoir élaboré une théorie qui lui paraissait vraisemblable elle prit son sac, son manteau et sortit. Immédiatement, le froid hivernal lui transperça les poumons et elle se sentit mieux, comme si l’air ambiant lui avait éclairci les idées. Elle marchait au hasard, sentant parfois quelques flocons lui rafraîchir les joues. Elle réalisa que ses pas l’avaient menée devant le Cat’s.  

 

Elle allait poursuivre sa route, lorsqu’un panneau «  FERME » attira son attention. Surprise, elle regarda sa montre 9h15, le café devrait pourtant être ouvert. Elle s’approcha de la vitre, à sa gauche elle aperçut le mur abîmé par la dernière incartade de Mick. Puis, elle lança un regard circulaire sur la pièce. De nombreux impacts de balles étaient visibles, les sièges étaient tordus, les tables renversées, la pièce ressemblait à un champ de bataille. Elle décida d‘y pénétrer, au milieu des débris, Miki grommelait un «  pourquoi c’est toujours à moi que ça arrive », elle ne releva même pas la tête à l’entente de la sonnette. Sa colère était plus que palpable, elle était visible. Kaori s’approcha, son attention fut alors attirée par une rose où était accrochée un mot. La jeune japonaise le ramassa, stupéfaite elle réalisa que la carte lui était destinée  

 

Charmante Kaori,  

Puisque ce chien de Saeba a disparu la queue entre les jambes face à moi, je me vois dans l’obligation de vous proposer un deal (lancer un défi à une femme est une honte même pour un crapule) soit vous acceptez que je prenne la place de votre partenaire soit je me verrais dans l’obligation de vous éliminez. Si vous choisissez cette dernière option rendez-vous demain à 00h00 au hangar désaffecté.  

Sincères salutations.  

 

Miki se pencha pour parcourir le papier des yeux, elle parut surprise et fronça les sourcils à la proposition plus que douteuse de l’homme. Elle jeta un coup d’œil à Kaori, elle semblait déjà avoir pris sa décision. C’était d’ailleurs ce que Miki redoutait, car elle ne doutait en aucun cas du choix de son amie. Elle commença alors sa phrase :  

 

- « Kaori, tu ne vas quand même pas… »  

- « Miki, ce choix est cornélien et il est hors de question que ce petit orgueilleux prenne la place de Ryo Saeba ! Le duel est ,je le crains, inévitable… »  

- « Kao-chan il doit bien y avoir une autre solution »  

- « Je serais ravie d’entendre ton idée lumineuse »  

- «  Ne sois pas condescendante s’il te plaît, tu l’auras ton duel, mais au moins laisse-nous t’aider! »  

- « Très bien, tu veux m’aider dis-moi où est le hangar désaffectée. Je veux et je dois faire mes preuves cela fera peut-être revenir mossieu le coureur de jupons. »  

- « Mais… »  

- « Miki, c’est son combat. » La voix tonitruante de Falcon avait tranché. Miki se tut, espérant que son époux ait un plan. Kaori, décida de s’en aller pour se préparer à ce duel qui serait son premier et peut être son dernier.  

 

A l’intérieur de Cat’s, la tenancière, houspillait son époux, ne comprenant pas sa réaction. D’une voix calme et posée, comme à son habitude d’ailleurs, l’Eléphant lui répondit que la jolie partenaire de city hunter avait une tendance « très » légère à l’obstination et qu’il valait donc mieux la surveiller dans l’ombre. La brune acquiesça vivement et se jeta dans les bras de son cher et tendre nounours pour le remercier ( et aussi parce qu‘elle aime bien le faire rougir). Brusquement, elle se remémora sa discussion avec Ka-chan. Elle lui demanda alors ce qu’était le hangar désaffecté, Falcon sourcilla. Ce hangar ne lui était pas inconnu, il savait bien sûr où il était mais quelque chose le turlupinait. Et il ne savait pas mettre de mots sur son malaise.  

 

Falcon passa quelques coups de fils. Il signifia à ces indics que si la partenaire de city hunter leur demandait des informations, ils avaient fort intérêt à les lui donner sous peine des représailles de l’éléphant en personne. Etrangement, aucun n’émit d’objections. Il appela ensuite Mick et Saeko, il leur expliqua tour à tour la situation et ce qu’il attendait d’eux. Il préférait ne rien laisser au hasard. Il savait que si la moindre chose arrivait à la précieuse partenaire de Ryo, rien ni personne ne pourrait l’arrêter. Le blond fut chargé de surveiller la belle à distance pendant ce temps. Falcon partit au hangar en reconnaissance, il posa quelques pièges. Il les posa de telle façon que la japonaise puisse aisément les éviter. Après tout, c’est lui qui lui avait appris l’art des pièges  

 

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Du côté de notre Kaori internationale  

 

- «  Maintenant, TU VAS ME DIRE OU EST CE FICHU HANGAR ? » La femme le menaçait avec une massue estampillée « qui je suis Je suis ton pire cauchemar !!!!! ». Tosho se dit que même sans la menace de Falcon, il n’était pas vraiment tenté de mentir à cette furie. Il se demandait si finalement ce n’était pas Saeba qui tempérait sa « douce » .Bredouillant, il lança :  

- «  c’est le nom du hangar 10 près du port »  

 

Tapotant sur sa tête, la douce moitié le félicita. Malheureusement, la massue glissa « accidentellement » sur la tête du pauvre petit indic’. Et dire qu’il est censé être redoutable, pff pensa-t-elle ne s’en allant.  

 

Il était 19h, le temps de rentrer ? Non. Rien ne lui donnait l’envie de rentrer. Privé de lui, elle admettait que lui faire la cuisine et le ménage lui manquait. Même ses blagues débiles et ses habitudes de coureur lui manquaient. Après tant d’années, c’était si bizarre de vivre sans lui. Ne pas le réveiller le matin, ne pas le regarder s’empiffrer, ne pas le voir avec sa cigarette, ne pas le voir du tout … Enfin, le moment n’était pas à la nostalgie. Ryo était un grand garçon, un homme dangereux. Finalement, savoir la bête lâchée devait angoisser beaucoup les membres du milieu aussi. Ils étaient probablement plus angoissés qu’elle. Dans le milieu, ne pas savoir où le terrible brun se cachait, s’apparentait à nager la nuit dans une eau trouble infestée de crocodiles affamés (ouh la métaphore ^^) Elle sourit en coin à cette pensée. Finalement, elle prit le chemin de l’appartement, elle venait de réaliser qu’il était temps de se ressaisir. Elle ne devait pas se morfondre sinon jamais elle ne sortirait vivante de cette confrontation. Il lui fallait s’entraîner un minimum !  

 

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23 h salle d’entraînement de city hunter  

 

Cela faisait des heures que miss Kaori s’entraînait. Elle décida d’arrêter, réalisant que ses mains tremblaient. Son corps aussi la suppliait de se stopper. Elle se leva, se dirigea vers la salle de bain et se fit couler un bon bain. Elle se glissa dans l’eau, sourit au contact de la chaleur et joua quelques instants avec les bulles. Elle s’installa plus confortablement, elle divagua quelque temps pensant à la journée de demain, à Ryo, à l’état du Cat’s. Tout ceci se mélangea et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle sombra au pays des songes. Elle entendit une respiration, rêve ou réalité ? Elle ouvrit péniblement un œil, elle percevait toujours ce bruit. Elle tourna brusquement la tête vers l’origine du bruit, rien. Elle pensa s’être méprise, elle sortit de son bain, partit enfiler son pyjama et se coucha dans son lit. Elle se sentait fatiguée, si fatiguée.  

 

Quant elle émergea, il était 11 h 00, elle se leva mollement et se traîna jusqu’à la cuisine (oui bon elle fait un peu loque humaine là, mais bon). Alors qu’elle entamait ses chocapics(Ó ) une révélation se fit dans son esprit : pourquoi donc est-ce que personne n’était venu l’en dissuader ? Il était évident que maintenant tout le monde était au courant, cela sentait le coup monté. Et puis le fait, que Falcon ait si vite accepté sa décision. Tout ça ne sentait pas très bon. Une évidence se fit : ses amis voulaient s’incruster à son duel. Elle se doutait qu’il ne serait pas possible de les empêcher, elle allait devoir s’accommoder d’eux. Elle les trouva à cet instant relativement fourbes mais bien attentionnés. La belle décida de passer voir Eriko et de téléphoner à sa sœur Sayuri. Cela lui prit une bonne partie de sa journée.  

 

A 21 h 00, elle commença ses préparatifs, elle se donnait une heure pour tout préparer, elle voulait être là avant « l’autre » et lui préparer quelques surprises made in Kaori. Elle emmena un bazooka, un lance-roquette, une ou deux massues et l’arme de son frère. Elle partit en voiture à l’heure qu’elle s’était fixée. Arrivé au hangar, elle constata que de nombreux pièges étaient déjà posés. Elle les connaissait tous, ils avaient sans conteste été posés par un expert en armes sans aucun doute chauve et taillé comme une armoire à glaces. C’étaient des pièges simples et efficaces. Le petit nouveau allait en découdre. Un rire sadique se peignit sur le visage de la « douce et gentille » Kaori. Elle rit intérieurement, tous ces pièges lui avaient déjà servi autrefois, enfin leur version allégée. Ceux-là ne seraient pas aussi tendres et amusant. Les pics acérés (et sans aucun doute empoissonnés) succédaient aux filets, aux lames de rasoirs et aux cuves de citron (des cuves de citrons ????). . Soudain la porte claqua. Le bruit résonna dans l’ensemble du lieu, s’ensuivit une vie tonitruante :  

 

- «  Alors ma belle, on a pris sa décision ? »  

- « oui, ce sera la guerre ! »  

- « Je n’en doutais pas Sug eum, mlle Makimura, mais comme vous êtes une femme, charmante qui plus est.Je vais donc me munir d’un handicap. Je ne voudrais pas trop vous abîmer. Il faut que vous restiez présentable pour votre rôle de partenaire et de future petit ami »  

 

L’homme lui fit un clin d’œil coquin. Kaori rougit en détaillant l’homme, au demeurant très séduisant, et pourtant intérieurement elle bouillonnait. Il avait apparemment lui aussi le don de la mettre en rogne. Elle en arriva à la conclusion qu’elle peut être un tout petit mini peu caractérielle. Elle détailla son adversaire. Il était grand, roux et avait les yeux verts. Sa silhouette était athlétique mais ce dont la jeune femme n’arrivait pas à se détacher, ce n’était pas son corps d‘athlète, non, ce n’était pas non plus ses cheveux rouge sang, non c’était ces deux émeraudes si profondes. Ces yeux, ils exprimaient de la tristesse, des regrets, du remord et tant d’autres choses qui vrillaient de douleur l’âme et le cœur de Kaori. Oh oui, il avait tant souffert. Cet homme l’émouvait, elle sentit qu’elle se devait de le sauver et de non de le tuer. Elle le fixait depuis quelques minutes, elle réalisa que répondre était indispensable et répliqua :  

 

- « je vous trouve bien gonflée jeune homme et bien présomptueux pour vous croire obligé de vous mettre un handicap. »  

- «  Je reconnais bien là ton caractère. »  

- « Mon caractère ??? »  

- « Oui, enfin l’image que je me suis faite de toi partenaire. »  

- « je ne suis pas votre partenaire !!! »  

- « ça c’est ce que tu crois »marmonna-t-il  

- «  Bon on n’est pas là pour faire la causette, commençons le combat ! »  

 

La tempétueuse brune se lança sur le roux massue en main. Ce dernier l’esquiva facilement mais tomba dans un trou, il réussit à s’arrêter à quelques centimètres des pointes acérées. Une libellule lui tomba sur l’épaule, elle n’y allait pas de mains mortes la donzelle. Satisfaite, la belle se frotta les paumes, elle regardait le vers de terre se trémousser pour remonter. C’était un peu cruel mais elle attendait qu’il tombe dans ce trou. D’ailleurs comment Falcon avait-il creusé un trou dans le béton, mieux valait ne pas savoir, brrr. Brusquement, dans un bond souple, il remonta le long de la paroi et se jeta sur Kaori. Il immobilisa ses bras. Il était à califourchon sur elle et la défiait du regard. Il lui susurra un :  

 

- « Joli piège, mais tu sais que je les connais depuis des années ceux-là »  

 

La jeune fille ne releva même pas la remarque de l’homme. Elle réussit à se libérer d’une main et griffa au visage l’homme. Elle regarda horrifiée la peau qu’elle avait sous les ongles. Elle jeta un coup d’œil au visage de l’agresseur, mais aucune trace de sang aucune marque n‘était visible, juste une entaille. Mais bien sûr, c‘était du silicone, il portait un masque. Qui était-ce donc ? Kaori profita de la surprise de l’homme pour faire basculer son poids vers l’avant, ainsi elle se retrouva à la place qu’occupait avant le roux. Elle enleva le reste du masque. Elle regarda estomaquée, Ryo Saeba qui se tenait devant elle, un sourire en coin.  

 

-  « Alors, on ne me reconnaît toujours pas, sugar » souffla Ryo d’une voix suave  

- «  Mais, t’étais passé où ? Je me suis fait un sang d’encre ! » La belle était partagée entre l’envie de l’étrangler pour cette mauvaise blague et celle de l’enlacer. Elle rajouta un pourquoi du bout des lèvres  

- « Tu connais un autre moyen de te faire venir pour un duel. »  

- «  Ba…. (Elle rougit) non mais c’est tordu`et d’ailleurs pourquoi tu veux qu’on fasse un duel »  

-  « A présent il faut que tu me tues »  

- « QUE JE TE QUOI ??? O__O```` »  

- « Tu as bien entendu, tu doit tuer le Ryo actuel, celui qui te fait souffrir… »  

- «  Et comment je fais ça ? Tu veux une massue ? »  

- « NON’ (libellule) ! Tu as déjà essayé des années et tu as vu le résultat, je pensais à des moyens plus radicaux… » Kaori pointa le bazooka du doigt.  « … et plus doux. »  

 

Elle rougit, comprenant enfin l’allusion de Ryo mais elle avait tellement peur de se tromper, une fois encore. C’est alors, que comme s’il avait lu dans ses pensées, il lança un - « c’est exactement à ça que je pense » Délicatement, la nettoyeuse se pencha, elle n’était qu’à quelques centimètres de ses lèvres, lorsque soudainement, il posa un doigt sur ses lèvres et dit :  

 

- « Ma proposition ne te satisfait toujours pas ? »   

 

Il lui fit un petit clin d’œil. Pour tout réponse, elle s’empara de ses lèvres. Tous leurs amis les observaient heureux (même si Falcon était déçu que ses pièges aient si peu servis), ils étaient à la limite d’applaudir. Mick lança un «  dites- le si on dérange ! » Pour seule réponse, il fut reçu par une massue estampillée «  en effet tu nous déranges ! », Reika grinça un «  trouvez-vous une chambre ! » Les deux tourtereaux réalisant leur position se redressèrent. Tous ensemble, ils sortirent du hangar. Une pluie battante se mit à tomber. La teinture rousse de Ryo commença à couler le long de ses épaules tâchant sa veste bleue d’un rouge-violet. Ryo regarda Kaori et lui dit :  

 

- « Ryo-chou est blessé, regarde, il va peut-être mourir, fais-lui un bisouuuuuuuu »  

- « j’espère que l’étalon pervers, lui, il va mourir ! »  

- «  Qu’est-ce que tu as dit ? »  

- «  non rien, est-ce que l’ancien Ryo est mort ? »  

- «  L’ancien Ryo, il aurait prévu de te faire l’amour jusqu’à ce que tu n’en puisses plus ? »  

- « QUOI ??? Mais j’étais pas au courant de ça, moi (remarque ça ne me déplairait pas totalement)  

- « nan rien, Kao-chéri. C’est juste que ta vie va considérablement changer. Au fait, je t’aime depuis le premier jour où je t’ai vu, même quand tu avais une jolie moustache et un pistolet à eau ! ( oh mon dieu, Ryo est devenu guimauve, oups, dsl pour celle qui aime son côté animal ^^) »  

- «  ça m’inquiète légèrement sur tes tendances cela, remarque ça expliquerait pourquoi toutes ces années, tu m’as dit que j’étais un travelo ou un homme. Hum…intéressant »  

- « Comment tu…. je vais devoir redoubler d’efforts pour te prouver le contraire ! » L’homme bombait le torse comme un gorille.  

- « Au fait, Ryo moi aussi je t’aime, mais garde tes lentilles vertes pour quand on fera l’amour ^^ »  

 

 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

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