Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Lauraw

Status: Completa

Serie: Cat's Eye

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 28-12-08

Ultimo aggiornamento: 28-12-08

 

Commenti: 1 review

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GeneralRomance

 

Riassunto: Un miracle pour noël... j'aime noël et j'espère qu'un jour je pourrais avoir droit au miracle... bonne fete à tous et merci par avance;

 

Disclaimer: Les personnages de "Enfin réunit" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

Some pieces of advices to authors

 

- Check the grammar and spelling of your stories. - Read your story at least once. - Try to write chapters of at least 2 pages and of a maximum of 6-7 pages. - Try to update your story regularly.

 

 

   Fanfiction :: Enfin réunit

 

Capitolo 1 :: Un véritable miracle

Pubblicato: 28-12-08 - Ultimo aggiornamento: 26-10-09

Commenti: j'espère que vous allez apprécier mon histoire un peu courte mais, pour fêter noel avec nos cat's eyes et les rendre heureuse c'est tout ceux qu'il fallait...

 


Capitolo: 1


 

ENFIN LE BONHEUR  

 

Voilà les trois sœurs avaient pratiquement réussi à réunir toute la collection de leur père. Elles voyaient enfin arriver le bout du tunnel en réussissant par la même à échapper à certaine rivaux, mais surtout à la police composer de Mitsuko Asatani la partenaire du pauvre Toshio, il s’arrachait presque les cheveux chaque jour surtout que le commissaire Kacho ne cessait pas de tempêter.  

 

Plus les jours passait et plus Hitomi commençait à ne plus réussir à détacher son esprit de l’avenir. Aï s’amusait bien trop avec ces gadgets, elle était à présent au lycée et Ruï tenait le cat’s eyes, pourtant lorsqu’on observait bien on pouvait voir que quelque chose ou peut-être quelqu’un lui manquait. Qui sait son peintre lui manquait peut-être car depuis son départ elle ne l’avait pas revu et avait réussit sans que ces sœurs ne s’en aperçoive à obtenir des nouvelles de lui apparemment tout allait bien mais, peut-être l’avait-il oublié alors qu’elle malgré sa beauté et les hommes qui aurait pu lui faire tourner la tête, elle ne faisait attention à aucun.  

 

Cependant sans leur en avoir parlé Monsieur Nagaishi avait reçu des nouvelles d’un ami et trouvé une piste sérieuse qui le conduire à Mickael Heinz et leur ayant dit qu’il s’absentait quelques temps était partit sur les traces de son vieil ami.  

 

Noël était dans quelques jours et les filles après avoir fait leurs derniers achats était au cat’s, Ruï et Hitomi au bar tandis qu’Aï était sortit avec des amis, les deux ainées la voyait grandir trop vite se faisaient néanmoins du souci pour son avenir étant donner qu’elle tenait autant qu’elles à retrouver leur père pourtant, pour une fois aucune mission n’étant en vue elle pourrait peut-être passer Noël sans faire tourner en rond le pauvre Toshio et fêter Noël en paix.  

 

La magie de Noël semblaient cette année avoir décider de frapper à la porte de nos trois sœurs et deux jours avant noël Jérôme le peintre de Ruï fit son apparition, il revenait en ville pour une exposition protéger par sa nouvelle renommer mais, aussi du fait que ces anciens commanditaire était hors d’état de nuire et qu’aucun lien ne serait établit entre eux il pouvait circuler sans problème, mais, nos trois sœurs ne s’attendait pas à cela, alors qu’elles dinaient en regardant la télé il donnait une interview dans laquelle il disait.  

- « Si je suis revenu en ville c’est pour retrouver une femme mais, je ne vous dirais rien de plus car je ne sais pas si elle ne m’a pas oublié, et si elle tient autant à moi que je tiens à elle. »  

Ces deux sœurs jetèrent un regard à Ruï qui était resté figer mais, baissant les yeux elle leur dit d’un ton calme.  

- Eviter de vous faire des films, ce jeune homme est partit depuis longtemps et il ne parlait pas de moi, alors finissez de manger.  

Pourtant ces deux sœurs échangèrent un regard avant que Hitomi ne prit la parole la première.  

- Ne laisse pas passer ta chance, si tu l’aime autant qu’il semble t’aimer alors saisit là cette fois.  

- Ouais grande sœur, nous ne voulons que ton bonheur et puis nous sommes prêt du but alors saisit ta chance s’il est de retour pour toi.  

- Nous serons derrière toi, et qui mieux que lui étant donner son passer pourrait nous comprendre.  

Rajouta Hitomi, Ruï regarda tour à tour ces deux sœurs, c’était elle l’aînée qui avait veillé comme une mère sur elles deux, et, à présent c’était elles qui la poussait et l’encourageait lorsqu’il le fallait.  

Se levant pour emporter son assiette dans l’évier elle leur répondit simplement.  

- Nous verrons bien, personne ne peut présumer de ce qu’il va faire mais, je…  

- Pas de discutions, tu vas le voir et nous voulons ton bonheur comme tu veux le notre.  

- Aï dit vrai, il ne faut pas passer à côté et passer sa vie à le regretter Ruï. Si nous sommes toute les trois d’accord n’hésite pas.  

Encourager pas ces sœurs elle sourit en disant simplement.  

- Nous verrons.  

 

Pourtant le lendemain alors que Aï et Hitomi se chargeait du cat’s eyes tandis qu’elle était sortit faire des courses la jeune femme ne pu s’empêcher d’aller faire un tour au musée où il exposait ces œuvres.  

 

Elle fit pourtant attention tout en marchant dans les allées, il avait autant de talent que son père mais, elle n’en avait jamais douté et c’est alors qu’elle le vit entourer de plusieurs personnes photographe et journaliste ainsi que quelques fans, reculant pour qu’il ne la voit pas elle entendit les questions poser et les réponses calme qu’il donnait, cependant dans sa voix elle perçu qu’il était soit embarrasser soit gêner et surtout un peu son exaspération malgré sa gentillesse. Il n’avait pas changé même s’il avait gagné en maturité, même s’il était plus riche que lorsqu’ils s’étaient rencontrés Jérôme semblait être demeuré le même.  

 

Avant qu’il ne l’aperçoive par inadvertance elle était partit le regard rêveur et durant le trajet elle parvint à se reprendre, ces sœurs et elle avait un devoir avant tout mais… elle se demandait tout de même si l’amour ne pouvait pas se trouver une place ? Leur père serait heureux en les retrouvant si elles étaient heureuses.  

Lorsqu’elle rentra ces sœurs lui sourire mais, ne lui posèrent aucune question sur sa longue absence avec l’espoir qu’elle avait vu son peintre.  

 

Ce soir Toshio passa prendre Hitomi, étant donner qu’il n’avait pratiquement pas d’affaire il en profitait pour voir sa fiancée aussi souvent qu’il pouvait ce qui rendait celle-ci heureuse, même si pendant les fêtes elle redoutait ce qui arriverait si Toshio découvrait tout, elle savait qu’il ne comprendrait peut-être pas et c’est ce qui la minait même si elle parvenait à chasser cela pour lui sourire.  

 

Aï aussi était sortit avec des amis, pourtant Ruï demeurait inquiète ces derniers temps elle semblait mélancolique, serait-elle amoureuse ? Pour l’avoir entendu l’encourager et la ferveur dans sa voix, la réponse pouvait s’avérer positive mais, comment le savoir si elle ne se confiait pas.  

 

Ce soir là Aï était en effet sortit avec des amis mais, par une heureuse coïncidence elle se trouva dans le même club que le peintre de sa sœur, bien qu’elle ne devrait pas s’en mêler elle savait ce qu’aimer un homme qui était loin signifiait, elle l’avait laissé partir sans le lui dire pour ne s’en être rendu que tard lorsqu’il lui avait écrit mais, Aï voulait aider sa sœur et Hitomi étant d’accord avec elle, il ne lui restait plus qu’à agir.  

 

S’échappant de ces amis elle se dirigea droit vers lui assit à une table entourer de deux hommes et trois femmes, lui prenant le bras elle lui sourit en disant.  

- Venez danser avec moi j’adore cette chanson.  

Avant qu’un des autres ait réagit elle l’avait entraîné sous leur regard incrédule et il l’avait suivit, pourtant au lieu de s’arrêter elle l’entraîna vers un endroit discret faisant attention à ce que ces amis et ceux qui accompagnait le peintre ne les voit plus avant de lui dire.  

 

- Désolé de vous avoir entraîné aussi cavalièrement mais, j’aimerais savoir si la femme que vous êtes venu chercher ne serait pas à peu prêt de cette taille et n’aurait pas de long cheveux noir.  

- Tout le monde peut le savoir j’ai fait même floue des portrait d’elle sachant que puisqu’elle avait refusé de me suivre, elle ne voudrait pas trop de publicité si je revenais. J’avais l’impression que c’était plus cela qu’elle fuyait que moi.  

- Vous êtes perspicace mais, avez vous donner son nom à quelqu’un ?  

- Non personne ne le connais, j’avais trop peur d’être assaillit par une meute comme malheureusement c’est le cas.  

- Ma sœur aînée s’appelle Ruï Kisugi.  

- Vous êtes la sœur de Ruï !  

S’écria-t-il aussitôt mais, heureusement seul Aï l’entendit étant donner la musique et elle sourit en hochant la tête avant de lui demander d’un ton sérieux.  

- Je veux d’abord que vous me disiez si vous êtes vraiment revenu pour elle et je vous dirais où la trouver.  

- Je n’ai jamais pu l’oublier et malgré tout ce temps je… je…  

Il semblait embarrasser pour un homme qui était devenu adulé et riche, c’était vraiment comique pensa Aï qui sourit, après tout c’était bien un homme pour sa sœur, sortant une carte elle lui tendit.  

- C’est notre café vous l’y trouverez tout les jours puisqu’on habite derrière. Bonne chance et faites attention si vous la faite souffrir vous aurez à faire à ces deux sœurs, vous rencontrerez Hitomi une prochaine fois.  

Si un signe de la main elle le quitta tandis qu’il serrait sa carte dans la main un sourire heureux aux lèvres le regard brillant, il allait enfin revoir la seule femme au monde qu’il aimerait jamais.  

 

Elle retournait auprès de ces amis le regard sombre, même si elle était heureuse pour sa sœur elle n’en avait pas moins le cœur lourd, ces sœurs était heureuse c’était ce qui la rendait heureuse à défaut d’autre chose.  

 

A la veille de noël le cat’s eyes était ouvert mais, seule Ruï était au bar, ces deux sœurs ayant prétexté des courses à faire était sortit. C’est justement ce matin là alors qu’il n’y avait que deux clients à peine que le jeune peintre se décida à venir, il l’aperçu d’abord à travers la vitre et la trouva encore plus belle que dans son souvenir.  

 

Il ce décida enfin à entrer ce qui la fit relever la tête et se figer en le voyant. Ils restèrent plonger dans le regard l’un de l’autre, tout semblait disparaître autour d’eux, ce fut l’entrer d’Hitomi qui brisa l’atmosphère, elle s’excusa.  

- Oh excusez-moi ! Je ne vous avais pas vue.  

Relevant la tête elle écarquilla les yeux en reconnaissant le peintre et sourit en voyant sa sœur qui semblait avoir un peu rougit chose rare chez elle.  

- Vous devriez vous asseoir si vous désirez quelque chose. Au bar par exemple.  

Suggéra-t-elle, il baissa les yeux vers Hitomi et lui sourit en disant.  

- Bonjour.  

Avant qu’Hitomi ne dise quoi que se soit Ruï lui lança son tablier en disant.  

- Garde le café, je sors un instant.  

- A tes ordres Ruï.  

Lui sourit-elle mais, au lieu de sortir elle fit un geste à Jérôme pour qu’il la suive dans leur salon ce qu’il fit sans cesser de la fixer et aussitôt dans l’autre pièce il prit ces mains intimidé mais, avec le sourire.  

- Je suis si heureux de vous retrouver enfin.  

- Jérôme vous…  

Elle ne savait pas quoi dire, elle d’habitude si sûre d’elle avait tout oublié devant le regard doux et si tendre de Jérôme qui lui embrassa le poignet en disant.  

- Je sais que je me montre peut-être trop présomptueux… que vous êtes peut-être engager ailleurs cela fait… mais, je suis amoureux de vous depuis notre première rencontre et… j’aimerais ne plus vous quitter… enfin peut-être devriez vous d’abord me connaître pour éprouver…  

Elle posa un doigt tremblant sur ces lèvres avant de réussir à lui articuler.  

- Je n’ai nul besoin de temps… moi aussi, je n’ai pas pu vous oublier.  

- Oh Ruï !  

Il la serra aussitôt dans ces bras où elle se blottit. Ruï toujours si sur d’elle avait l’impression pour une fois dans les bras de Jérôme d’être enfin en sécurité et à sa place, son père et sa mère avait-il éprouvez cela ? Toshio et Hitomi l’éprouvait surement aussi.  

Aï qui venait de revenir au cat’s ne voyant pas Ruï demanda.  

- Alors ! Elle s’est décidée ?  

- Apparemment c’est lui, ils sont à côté depuis quelque minutes.  

- Yes ! Je savais qu’il viendrait.  

- J’espère pour toi qu’elle ne saura jamais ce que tu as fait.  

- Un petit coup de pouce ne fait de mal à personne.  

Elles éclatèrent de rire, néanmoins Hitomi remarqua alors comme l’avait fait Ruï que quelque chose semblait préoccuper leur petit génie de sœur, elle lui demanda tandis qu’elle prenait place devant elle.  

- Tu sais que si quelque chose te préoccupe tu peux nous en parlé, quelque soit le problème on a toujours faire face à nous trois tu le sais bien.  

La jeune femme haussa les épaules en disant.  

- Aucune problème qui ne puisse être résolu, juste un peu de mélancolie à Noël où je pense à papa et maman mais, à part ca tout va bien.  

Hitomi serra la main de sa sœur et lui sourit car toute les trois éprouvait toujours l’absence de leur mère avec tristesse mais, était plus que jamais déterminer à retrouver leur père.  

Aï lui dit alors en baissant la voix.  

- Ce qu’il me faudrait c’est une mission pour me changer les idées, monsieur Nagaishi n’est toujours pas revenu ? Et rien en vue ?  

- Et non malheureusement.  

Sourit Hitomi amusé par le fait qu’Aï cherchait elle aussi un dérivatif dans l’action.  

 

Ruï et Jérôme les interrompirent alors, Aï dissimula un sourire amuser alors que Ruï les présenta.  

- Tu as déjà rencontré une de mes sœurs mais, je vais tout de même de les présenter. Hitomi que tu as déjà vu et Aï, les filles voici Jérôme Nagai.  

Les filles le saluèrent et celui-ci sourit en disant.  

- Je suis enchanté de vous rencontrer, j’espère que nous pourrons nous entendre.  

- J’en suis sûr, Jérôme passe noël avec nous ca ne vous dérange pas.  

- Mais non ! Avec plaisir.  

- Plus on est fou plus on rit.  

Répliqua Aï en haussant les épaules avec un sourire.  

 

Ruï semblait heureuse et si elles retrouvaient enfin leur père alors Hitomi pourrait se marier car Cat’s eyes disparaitrait, et Ruï aussi pourrait convoler qui sait ? Que demander de plus pensa Aï.  

 

Pourtant elle savait que ce qu’elle semblait désirer le plus ne pourrait pas lui être donné mais, on dit qu’un chagrin d’amour finit par guérir un jour, pourtant le sien semblait durer plus que prévu. Elle avait été bête de penser que Benjamin pourrait l’atténuer mais, avait finit par s’excuser et ils étaient resté amis, elle aurait préférer qu’il soit plus à un moment avant de rencontrer celui qu’elle n’arrivait pas à oublier.  

 

Le lendemain Ruï et Hitomi portait leur plus belle robe tandis que Aï portait un ensemble pantalons avec gilet rouge et bleu qui lui allait à ravir, même à dix huit ans on ne change pas un garçon manqué. Elles attendaient Toshio et Jérôme pour le déjeuner donc tout devait être prêt.  

Lorsque Jérôme sonna à la porte il rencontra Toshio surpris, ils allaient se présenter lorsqu’Aï ouvrit la porte et sourit en disant.  

- Salut vous deux. Toshio le fiancé de Hitomi voici Jérôme un ami de Ruï mais, entrer on n’attendait que vous.  

 

Les deux jeunes hommes échangèrent une poignet de main avant de suivre Aï qui souriait heureuse pour ces sœurs même si un voile de tristesse recouvrait ces yeux elle tentait de n’en rien laisser paraître. Le déjeuner passa amicalement et pendant toute l’après midi Aï sortir voir quelques amis pour laisser les deux couples faire mieux connaissance heureuse pour ses sœurs mais, pour le dîner elle était de retour et taquinait ces sœurs réussissant même à faire rougir Toshio qu’elle connaissait si bien, Jérôme semblait lui aussi plus à l’aise.  

 

Ce soir là au dîner un miracle devait se produire, alors qu’ils dinaient tout les cinq la sonnette d’entrer retentit et Aï sourit en disant.  

- Ne bouger pas je vais ouvrir, et pendant mon absence tâcher de trouver un sujet de conversation qui ne m’ennuierais pas pour le reste de la soirée, jouer la chandelle n’est pas un rôle pur moi.  

Levant les yeux au ciel devant les deux couples d’amoureux éberlué, elle alla ouvrir et sourit à monsieur Nagaishi.  

- Vous voilà de retour, joyeux noël.  

- Bonsoir Aï et joyeux noël. Justement je vous apporte un cadeau pour toute les trois.  

 

Derrière lui un homme aux cheveux aussi noir que ceux de Ruï mais, aux tempes grisonnante et au regard noisette très doux s’avança et portant la main à sa bouche la jeune femme n’hésita qu’une fraction de seconde avant de se jeter dans ces bras où il ne tarda pas à la serrer en murmurant ému.  

- Ma petite fille.  

S’écartant son père lui prit le visage entre les mains pour mieux la regarder et sourit en disant émue.  

- Ma toute petite fille ce que tu as grandit, ce que tu peux être belle.  

- Oh papa !... je suis si heureuse mais, entrer vite.  

Elle remarqua alors seulement le jeune homme qui les accompagnait, et son cœur manqua un battement avant de battre follement tandis que monsieur Nagaishi lui disait.  

- Je crois que vous connaissez Bernard, et, bien c’est un peu grâce à lui que je vous ramène ce miracle.  

- Merci.  

Murmura-t-elle en détournant néanmoins les yeux de lui avant de les précéder au salon. Ses sœurs se levèrent en voyant les larmes aux yeux de leur benjamine et s’écrièrent.  

- Aï que se passe-t-il ?  

- Tu as l’air bouleversé, qui était-ce ?  

- Monsieur Nagaishi avec…  

- Un cadeau de noël.  

Déclara-t-il celui-ci en entrant suivit par leur père, que Ruï reconnu la première avant que les filles ne s’avancent comme dans un film au ralentit émue aux larmes avant de serrer leur père dans leur bras, une étreinte que celui-ci leur rendit aussi émue qu’elles. Enfin cette nuit là le miracle était arrivé, elles pourraient vivre heureuse et avoir une vie normale.  

 

Après ces effusions les filles tentèrent de reprendre leurs esprits du moins un brin pour présenter leur père et leurs amis aux garçons qui les regardaient.  

- Père laisse nous te présenter le fiancé de Hitomi, l’inspecteur Toshio Utsumi et mon… Elle hésita un seconde en échangeant un sourire avec Jérôme. Mon ami Jérôme Nagai, il est peintre comme toi.  

 

Elle avait présenta chacun avec leur métier car elle espérait que leur ami Nagaishi lui aurait parlé des cat’s et qu’il ne dirait rien encore devant Toshio, même si ce soir là cat’s eyes prenait sa retraire car elles avaient retrouvé celui qu’elles cherchaient. Aï qui souriait s’écria.  

- Vous arrivez juste pour le dessert, donc nous allons le prendre au champagne pour fêter le retour de papa.  

Néanmoins Toshio qui en savait peu sur la disparition de celui-ci demanda.  

- Pourquoi n’être jamais revenu avant aujourd’hui monsieur Kisugi ?  

- Si vous le permettez nous vous en ferons part en temps voulu, mes filles savent pourquoi je n’ai pas pu venir mais, pensez bien que toute ces années loin d’elles ont été les pire de ma vie car après avoir perdu ma femme, elles sont tout pour moi.  

 

La sincérité de sa voix et de son regard firent alors hocher la tête à Toshio et Hitomi lui serra le bras, elle ne lui en voulait pas elle savait qu’il l’aimait, et comme cat’s eyes disparaissait ils pourraient enfin se marier.  

- Bien dans ce cas asseyez vous je vais chercher le champagne.  

Aï rejoignit donc la cuisine et Bernard que les filles avaient salué s’esquiva discrètement à sa suite car lui aussi aurait voulu pouvoir la serrer dans ces bras mais, n’osait pas sans savoir si elle était aussi heureuse que lui de le revoir et surtout ce n’était que pour elle qu’il était revenu.  

 

Sentant sa présence Aï n’avait jamais eu le cœur qui battait si fort, il avait murit mais, était resté le même un peu froid de premier abord. Aï qui n’avait jamais aimer montrer ces faiblesses alignait sur un plateau des verres et lui lança.  

- Merci Bernard tu n’aurais pu nous offrir un meilleur noël, il faut que tu nous raconte tout, tu seras un peu notre héro pendant quelque temps.  

- Je vous le devais bien, tu m’as sauvé la vie la dernière fois cat’s.  

- Ah oui.  

Fit-elle désinvolte en passant prêt de lui pour ouvrir le frigo mais, il l’en empêcha et elle releva enfin les yeux vers lui qui malgré son air sérieux lui dit :  

- Tu sais je n’ai jamais pu m’empêcher de pensés à toi… et je compte revenir dans le coin alors si tu veux on pourrait ce voir.  

Il avait terminé sa phrase d’un traite malgré un début une peu cahoter, elle réussi à lui sourire en disant.  

- Nous voir, comment cela ?  

- Si tu es libre je pensais que peut-être… nous…  

Il s’interrompit et elle lui sourit en disant.  

- Je suis libre et moi non plus, je…  

 

Leur regard rivé l’un à l’autre ne pouvait mentir alors le jeune homme la prit dans ces bras où elle se blottit et ils échangèrent un premier baiser plein d’amour et de tendresse. S’écartant pour reprendre leur souffle ils échangèrent un sourire avant de prendre le champagne pour rejoindre les autres.  

 

En cette soirée de Noël tout allait bien et les explications viendraient en heures, mais le bonheur était de retour dans la famille Heinz.  

 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

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