Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Lauraw

Beta-reader(s): Cats, Maruku, Grifter

Status: Completa

Serie: Cat's Eye

 

Total: 22 capitoli

Pubblicato: 26-05-06

Ultimo aggiornamento: 29-04-09

 

Commenti: 23 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: J'ai essayer de prendre le concept du défi, en donnant des frères à Toshio (Quentin en vf, j'ai garder les noms japonais) un caractère plus ferme et j'espère que vous me lirez jusqu'au bout... merci à tous de m'avoir suivit jusqu'au bout jusqu'à la fin de cette aventure... On se reverra dans d'autre aventure... bonne lecture en attendant.

 

Disclaimer: Les personnages de "cat's eyes" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Excépter ceux de mon cru bien entendu.

 

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   Fanfiction :: De bien étrange voleurs

 

Capitolo 17 :: Chapitre 17 : Révélations

Pubblicato: 06-01-09 - Ultimo aggiornamento: 06-01-09

Commenti: voilà un nouveau chapitre pour vous servir...

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22


 

Le lendemain lorsque Hitomi passa au café avant d’aller au commissariat, Toshio qui l’attendait lui servit d’office son breuvage habituel.  

 

-J’aimerais qu’on passe un peu de temps tous les deux. Quand es-tu libre ?  

Elle sourit amusée et répondit :  

-Avec plaisir mais pas avant vendredi car j’ai du boulot à ne plus savoir qu’en faire.  

-D’accord. Je passerai te prendre vendredi à 19 heures. Au fait, comment ton père prend-t-il notre liaison ?  

-Pour le moment, il ne sait toujours rien. Nous le lui dirons ensemble lorsque tu seras prêt, répliqua-t-elle avec malice.  

 

Les jours suivants, les trois frères et leur sœur semblaient un peu à cran. Malgré son calme légendaire et habituel, Ruï pouvait déceler le trouble de Naguy, Ken se retrancha lui derrière ses programmes informatiques dont même Aï ne pu l’en tirer, quant à Toshio, il s’était pour ne pas ruiner sa réputation remit à la boxe française. D’ailleurs Hitomi qui passait pour prendre un café le vendredi matin avant leur rendez-vous fut surprise de le voir revenir de son footing et d’apercevoir surtout un bleu sur son bras droit.  

 

-Que t-est-il arrivé Toshio ? S’inquiéta-t-elle.  

-J’ai trouvé que je ne faisais pas assez d’exercice alors je me suis remis à la boxe française. Ca défoule parfois.  

-C’est vrai qu’à la fac tu étais doué mais tout de même, fais attention.  

-Promis ! De toute façon, je serai en forme pour ce soir. Ne t’inquiète pas ! A ce soir chérie !  

 

Hitomi rougit en comprenant à quel type de sport il faisait allusion. La minute suivante, Rui pénétra à son tour dans le café et remarqua sa sœur accoudée au comptoir.  

 

-Tu as prit tes habitudes ici toi aussi à ce que je vois -l’accueillit Hitomi.  

- Il faut dire que le café de Naguy est le seul qui soit buvable dans le coin, répliqua sa sœur avec un clin d’œil.  

 

Son interlocutrice s’apprêtait à lui répondre lorsque son biper vibra. Elle s’excusa vivement et s’éclipsa rapidement, rejoignant son équipier tandis que Ruï prenait place au bar, sous le regard préoccupé qu’affichait Naguy même s’il tentait de donner le change.  

 

-Voici votre café gente dame. Puis-je faire autre chose pour vous voir sourire ?  

-Le tableau « Bonheur » de Sakura Toshibara sera exposé au musé cette semaine, déclara-t-elle sans préambule tout en prenant sa tasse pour la porter à ses lèvres.  

 

Naguy haussa les épaules et rétorqua sans se départir de son calme olympien :  

 

-Et alors ?  

-Naguy je… Je ne sais pas quoi faire ?  

-Ton travail et rien d’autre mon ange, dit-il en plongeant son doux regard dans le sien pour la rassurer, mais elle ne semblait ne pas vouloir se dérider alors il lui prit la main qu’il caressa, la faisant frissonner avant de lui murmurer.  

 

-Tu fais ton travail et moi ce que je dois faire et tout ira bien.  

-Pourquoi tes paroles me paraissent si sincères ? L’interrompit-elle avant qu’il ne prenne la parole, payant son café elle se leva en disant.  

-Il faut que j’y aille, à plus tard.  

 

Et sur ce, elle prit congé. Naguy la regarda s’éloigner le visage vide de toute émotion. Un message parvenait au même moment à l’actuel propriétaire du tableau que celui-ci allait retrouver son véritable propriétaire dès le lendemain soir.  

Les trois frères avaient toujours procédé de la sorte et cette fois-ci ne fit pas exception à la règle. Mais ce qu’ils n’avaient pas escompté c’est que cette fois-ci, l’homme en question prévint la police. Cela ne les empêcha toutefois pas d’effectuer des repérages pour leur action du lendemain soir.  

 

Après avoir récupéré Hitomi à 19 heures chez elle sans y avoir croisé son père, le jeune homme l’emmena au « The Friend’s » où Crash les accueillit avec bonhomie :  

 

-Décidément, vous ne pouvez plus vous passer de mon restaurent on dirait !  

-Que veux-tu ? Il n’y en pas de meilleur en ville mais je crois que tu n’as jamais rencontré Hitomi ?  

-Si lorsque vous étiez à l’université mais, elle est encore plus ravissante qu’alors.  

- Hitomi tu as déjà entendu parler du meilleur ami de Naguy et le notre, Crash ?  

- En effet, bonsoir Monsieur Fenton.  

- Appelez-moi Crash voyons, votre sœur Rui le fait bien.  

- Vous avez déjà rencontré Ruï ?  

- Oui avec Naguy et je peux vous dire que la beauté est de famille Mademoiselle.  

- Merci, murmura Hitomi gênée comme Toshio la prenait par la taille.  

-Et au lieu de faire du charme à ma copine, on pourrait peut-être dîner ? S’écria Toshio avec malice.  

 

Faisant une grimace Crash leur souhaita une bonne soirée après les avoirs conduit dans un salon privé. Fronçant les sourcils, Hitomi s’en étonna auprès de son cavalier après avoir qu’ils aient passé commande et qu’ils se retrouvent seuls.  

 

- Que nous vos l’honneur d’un tel traitement ?  

- Si tu veux parler de ce salon privé, c’est par ce que je l’ai demandé. Tu n’aimes pas ?  

 

Plongeant dans le regard troublant du jeune homme, la jeune femme oublia sa question. Toshio chassa des images coquines de son esprit et se concentra sur la véritable raison de ce diner en tête à tête : Affranchir Hitomi.  

 

-Hitomi, si nous sommes ici c’est parce que je voulais te dire quelque chose... et que cela pourrait ne pas te plaire mais, Ruï m’a conseillé de te parler franchement.  

-Vu ton bégayement, cela risque vraiment de ne pas me plaire j’ai l’impression. Mais que vient faire Ruï la dedans ?  

-Elle a trouvé certaines choses au sujet de ma famille qui l’on conduite à… Comment expliquer ? Faire un rapprochement avec une affaire sur laquelle vous n’êtes pas censées enquêter.  

 

Hitomi leva un sourcil, intriguée. La seule enquête en cours était les Cat’s eyes alors pourquoi Toshio et ses frères y seraient-il mêlés ? Posant sa main sur la sienne, le jeune homme poursuivit :  

 

- Il faut que tu me promettes de m’écouter jusqu’au bout.  

- Pourquoi n’est-ce pas ma sœur qui m’en parle si ca concerne le boulot ? Je ne te suis pas du tout là.  

- Rui a découvert que… Sakura Toshibara était notre mère, lâcha Toshio en la regardant droit dans les yeux, guettant la réaction de sa belle.  

 

Hitomi écarquilla aussitôt les yeux, pas certaine d’avoir bien entendu et pourtant Toshio la fixait du regard, l’air sérieux et grave.  

 

- Je t’écoute, murmura Hitomi, crispée et en plongeant son regard dans le sien.  

Toshio esquissa un pâle sourire avant de lui dire :  

- Mes frères et moi sommes les seuls dans la confidence et nous étions jurés de ne le révéler à personne. Comme tu le sais, lorsque nous donnons notre parole notre honneur est en jeu, donc nous la respectons toujours. Ta sœur a fini par découvrir que notre mère était Sakura. Elle sait également que notre mère et nous sommes la cible d’un homme puissant et que c’est pour cela que nôtre mère a disparu pour nous sauver la vie. Pourtant, lorsque notre père puis notre oncle sont morts, nous avons voulu réunir notre famille quelqu’en soit le prix mais ce n’était pas chose facile, loin de là. C’est ce qui nous a amené à faire ce que nous faisons pour récupérer nos biens sans mettre la vie de quiconque en danger.  

 

La jeune femme hochait la tête car connaissant Toshio et ses frères, elle savait aussi leur sens de l’honneur. Elle lui demanda.  

 

- La police et mon père aurait pu vous aider à récupérer vos biens sans faire ce que vous faites tu sais ?  

- Nous n’avons pas de titre de propriété. Ce que nous récupérons nous appartient mais sans la présence de notre mère nous ne pouvons le prouver, c’est pourquoi nous cherchons ces œuvres pour qu’elle nous retrouve ou que nous la retrouvions. Ah oui ! Sache aussi que Keishira n’est pas uniquement un membre de notre famille mais, aussi la sœur jumelle de Ken.  

-Jumelle ?  

-Oui, ils ont été séparé à la naissance par précaution mais aujourd’hui nous sommes déterminés plus que jamais à réunir notre famille. Grâce à ce que nous avons réuni nous pourrons écarter tout danger lorsque notre mère sera avec nous.  

 

Hitomi le fixa un long moment avant de se pencher vers lui et de lui dire :  

 

- Tu sais que tu peux compter sur moi.  

- Oui mais pas au prix de ta carrière, je ne le veux pas.  

- Je continuerai à être flic et ne mènerai plus mon enquête sur les Cat’s, c’est tout. Après tout, nous n’avons aucune plainte exceptée…  

 

Elle s’interrompit se rappelant soudain du coup de fil de ce matin et il perçut son malaise.  

 

- Que se passe-t-il ?  

- Celui que vous comptez récupérer demain soir sera sous notre protection.  

- Ce sera un peu plus amusant que d’ordinaire dans ce cas, s’écria Toshio en lui souriant.  

- Tu es impossible tu sais ?  

- Nous sommes ce que nous sommes. Je t’aime comme tu es et toi…  

- Je t’aime aussi tel que tu es, bien que si moins de femmes te faisaient du charme ce serait mieux.  

Il éclata de rire avant de l’embrasser passionnément.  

- Dis-moi, si je suis suivie depuis quelque temps par deux hommes, cela vient de toi ?  

-Tu es suivie par quelqu’un ? Demanda-t-il en dissimulant un sourire tout en lui murmurant.  

-Oui, disons que ce sont ceux d’un ami car en cherchant après les Cat’s et Sakura Toshibara, Ruï et toi vous êtes mises en danger. Il fallait donc un petit peu vous protéger.  

-Dis-leur d’arrêter s’il te plait, je suis flic et armée alors je peux me défendre seule.  

 

Puis changeant totalement de sujet, elle ajouta :  

 

-Crois-tu qu’après dîner nous pourrions passer à ton studio ? Lui demanda-t-elle en le fixant droit dans les yeux.  

-Tu lis dans mes pensées ma chère, rétorqua-t-il soudain très motivé en sonnant la petite cloche qui trônait sur leur table pour que les plats arrivent plus vite.  

 

Le lendemain soir la police avait dressé un mur devant le musée depuis l’arrivée du tableau mais, ce soir-là notre trois frères étaient sur place et tandis que Ken se chargeait du système du musée et de balader les gardiens et la police, Toshio et Naguy s’y introduisirent pour récupérer le tableau. Pénétrant à l’aide des fumigènes pour ce faire, ils en ressortirent aussi simplement qu’ils y étaient entrés. Naguy supposa donc que Rui leur avait donné un sérieux coup de pousse incognito.  

Sur le chemin du retour Ken capta un drôle signal et comprit qu’on les écoutait.  

 

-On nous prend pour des amateurs semble-t-il, déclara-t-il tout contre le micro avec un sourire narquois.  

 

Puis, jetant le micro par la fenêtre, il fit demi-tour pour rouler dessus puis ils rentrèrent chez eux laissant leur ennemi fou de rage.  

 

Le lendemain, nos trois frères reprirent leurs habitudes. Hitomi comme tous les matins depuis qu’ils s’étaient rapprochés passait voir Toshio et celui-ci l’accompagnait au commissariat avant de filer travailler. On pouvait ressentir qu’ils étaient plus davantage sur leur garde que d’habitude. Kei ressentait l’inquiétude de ses frères mais aussi leur grand calme alors elle conservait le sien. Ce matin-là, alors que Naguy lisait le journal il y trouva l’annonce qui disait.  

 

« C’est à vous les enfants de Sakura T. que je m’adresse. Trois frères et une sœur. Votre mère vous attend chez moi et meure d’impatience de vous retrouver. Nous attendons d’ailleurs tous deux votre appel au numéro qui suit 061213-006666. A très vite. »  

 

Naguy parvint à garder son calme et la seule marque de contrariété fut la façon dont il serra le journal entre ses mains avant de le ranger sous le comptoir avec l’intention de le montrer plus tard à ses frères et à sa sœur. Il devait s’occuper des clients qui commençaient à arriver.  

 

En fin de matinée alors que le coup de feu du déjeuner allait arriver, Toshio et Hitomi survinrent ensemble. Hitomi paraissait sombre et Naguy leur demanda immédiatement ce qui clochait.  

 

- Toshio je te croyais plus habile avec les femmes surtout avec notre charmante Hitomi.  

- J’ai rien fait moi, répliqua aussitôt l’intéressé avant de rajouter que s’il était là avec Hitomi c’était au sujet de Rui.est par ce que c’est au sujet de Ruï.  

-Rui ? Que se passe-t-il ? S’alarma Naguy.  

-Il y a eu une prise d’otages et elle a reçu une balle, murmura Hitomi en se mordant la lèvre.  

 

Toshio passa gentiment un bras autour des épaules de la jeune femme en disant :  

 

- Elle n’a rien de grave rassure-toi. Naguy j’ai pensé que tu voudrais peut-être aller lui rendre visite aussi je suis venu te remplacer pour tenir la café. Aï est actuellement à son chevet et son père devrait arriver.  

- Et toi Hitomi, pourquoi n’es-tu pas restée là-bas ?  

- J’ai vu qu’elle allait bien et je n’aime pas trop les hôpitaux alors je suis repartie après l’arrivée de Aï. Mon équipier m’attend au commissariat.  

- D’accord, je vais la voir de ce pas dans ce cas. Toshio je te laisse le café et surtout ne jette pas le journal sous le comptoir, je t’expliquerai à mon retour.  

- Ok frangin, prend ton temps. J’ai libéré le reste de ma journée pour toi.  

 

Hitomi sortit avec Naguy qui tenta de la rassurer.  

 

- Tu sais bien que ta sœur est plus forte qu’elle n’y parait. Je suis sûr qu’elle veut déjà quitter l’hôpital.  

- Je sais qu’avec mon métier je ne devrais pas me montrer si émotive mais lorsque je suis arrivée sur place et que je l’ai vue sur la civière si pâle, j’ai eu très peur. Je sais que dans notre métier ca peut arriver et on a déjà été blessée l’une et l’autre mais à chaque fois ca remue. Je compte sur toi pour la persuader de rester couchée, il faut que je retourne au boulot.  

- Compte sur moi, je ferai de mon mieux et je suis certain sûr que ton père m’y aidera. 

 


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