Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 13-02-23

Ultimo aggiornamento: 13-02-23

 

Commenti: 1 review

» Ecrire une review

 

Songfic

 

Riassunto: Petite démonstration d'affection

 

Disclaimer: Les personnages de "Di doua di di doua di dam di di dou" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I sent an email, but I still can't get in the NC-17 section.

 

You have to send me an email using the link I put in the account management section. Also, the validation is done manually, so it takes time. If after a week, there's still no change, please check you gave me all the required data (pseudo, age) and that you are connected when you try to read the NC-17 fanfictions. You can also check the log of request validations. If I validated requests after you send me your email, send me a ...

Read more ...

 

 

   Fanfiction :: Di doua di di doua di dam di di dou

 

Capitolo 1 :: Di doua di di doua di dam di di dou

Pubblicato: 13-02-23 - Ultimo aggiornamento: 13-02-23

Commenti: Coucou, Un petit écart au programme pour vous proposer ce petit OS sans prétention né d'une chanson entendue à la radio ce soir. Juste pour le plaisir de sourire. La chanson ne m'appartient pas. Bonne lecture

 


Capitolo: 1


 

« Vous les copains, je n'vous oublierai jamais  

(Di doua di di doua di dam di di dou)  

Toute la vie, nous serons toujours des amis  

(Di doua di di doua di dam di di dou)  

Tous ensemble (tous ensemble)  

On est bien (on est bien)  

Tous ensemble, on est bien  

Car on suit le même chemin »  

 

A peine rentré d’une folle soirée de débauche avec Mick, Ryô se retrouva scotché sur le seuil de l’appartement. Kaori était là, bien réveillée, ce qui n’avait rien de vraiment anormal mais, devant ses yeux, sa Kaori chantait et se trémoussait, habillée d’une robe de couleur vert printemps dont seul le col et une légère bande comme une cravate de couleur blanche se démarquaient. Si cela était déjà étonnant, il bloqua encore plus sur l’eye-liner qui surlignait son regard et surtout les deux couettes qui pointaient de chaque côté de sa tête et dansaient gaiement à chacun de ses bonds. Spécial revival années soixante, se dit-il, levant un sourcil.  

 

Le voyant, elle esquissa un sourire radieux et approcha de lui, ne chantant que pour lui. Il l’avait bien imaginée faire des choses uniquement pour lui mais chanter, il n’en avait aucun souvenir… En plus quelle chanson… On ne pouvait faire plus mièvre. Quelle idée lui était passée par la tête ? Après tout, en y réfléchissant, il l’aurait plutôt vue lui chanter une chanson d’amour… ou une chanson girl power mais alors là… alors là… là… stupéfiant… inattendu… choquant… risible… quel était le bon terme ?  

 

Toujours était-il que Kaori était là, habillée comme dans les années soixante avec des couettes, à moins de cinquante centimètres de lui et qu’elle lui chantait une chanson sur l’amitié au lieu de lui envoyer une massue pour être rentré complètement ivre. Et elle chantait de bon cœur en plus, exhalant la joie et la légèreté…  

 

« Quand on se voit, on se tutoie gentiment  

(Di doua di di doua di dam di di dou)  

On est sincères, on chante et on danse tout le temps  

(Di doua di di doua di dam di di dou)  

Aujourd'hui (aujourd'hui)  

Et demain (et demain)  

Aujourd'hui et demain, on se tiendra par la main »  

 

En même temps qu’elle prononçait les paroles, elle lui prit la main et tenta de le faire danser mais il était tellement stupéfait qu’il ne bougea pas d’un pouce, même pas pour retirer sa main. Ce n’était pas si désagréable en fait ce contact humain. C’était même agréable s’il voulait dire la vérité. Peut-être que ça pouvait arriver plus souvent. En tant qu’amis, ça se faisait, non ? C’était ce que disait la chanson en tous cas.  

 

Pour ce qui était de danser, il n’avait rien contre. Il aimait cela. Ils avaient même déjà dansé ensemble d’ailleurs et ça n’avait pas été désagréable… Ca avait même été agréable, se corrigea-t-il, souriant. Oh la la, il avait dû boire plus que de raison. En tous cas, pas assez pour oser franchir le pas et envisager un autre type de danse avec elle.  

 

« Woh-oh-oh-oh, si un jour nous sommes séparés »  

 

Séparés ? Quelle idée ! Pourquoi disait-elle cela ? Il était hors de question de se séparer ! Il n’allait certainement pas laisser partir la meilleure partenaire qu’il avait jamais eue ! Euh… enfin… il ne retrouverait certainement pas quelqu’un qui tolérerait ses railleries et accepterait de faire le ménage et les courses et la cuisine et… tant d’autres choses encore, se défendit-il contre lui-même. Alors se séparer, c’était non ! Il s’entendit rire bêtement. Bah non, ce n’était pas elle, c’était la chanson. Elle parvint à récupérer son attention en frôlant son menton du bout des doigts. Amitié… C’était une chanson sur l’amitié, se rappela-t-il.  

 

« Nous, on sait que notre cœur ne changera jamais  

Si l'un de nous, quelquefois a des ennuis  

(Di doua di di doua di dam di di dou)  

On est tous là, on se met tous avec lui  

(Di doua di di doua di dam di di dou) »  

 

Finalement, elle n’était pas si bête cette chanson. Leur petite bande était aussi soudée qu’on pouvait l’être, prête à se soutenir par monts et par vaux, dans les bons comme les mauvais moments, même si souvent ils communiquaient plus par chamailleries et taquineries que lors d’une conversation sérieuse et posée d’adultes… Adultes… Il était trop tôt pour être adulte. Vingt ans, c’était encore l’âge des blagues de potaches, de l’irresponsabilité et des soirées arrosées !  

 

« Et nos peines (et nos peines)  

Et nos joies (et nos joies)  

Et nos peines et nos joies  

Sont partagées chaque fois   

 

Pas de problèmes, car si quelqu'un nous plaît bien  

(Di doua di di doua di dam di di dou)  

Tout simplement on l'adopte, on lui dit "viens"  

(Di doua di di doua di dam di di dou) »  

 

Oh oui… si quelqu’un lui plaisait bien, surtout quelqu’une, il disait « viens », pensa-t-il avec un sourire lubrique… Bon, la plupart du temps, Kaori n’avait pas les mêmes goûts que lui mais, parfois, ils s’accordaient et laissaient approcher une doctoresse vengeresse, un ancien rival presque aveugle, une ex-mercenaire devenue commerçante ou un américain poil-à-gratter… Oui, leur drôle de vie était devenue bien agréable depuis ces dernières années… même s’ils avaient dû déplorer la perte d’êtres chers entre temps.  

 

Il la regarda continuer à chanter, le regard pétillant, les joues rosies, par le plaisir, la gêne ou l’effort, il n’aurait su dire, et leva la main pour caresser sa joue. Ils étaient amis, ce n’était qu’un geste amical, juste amical.  

 

« Car il faut (car il faut)  

Des amis (des amis)  

Car il faut des amis  

Pour être heureux dans la vie  

Vous les copains, je n'vous oublierai jamais  

(Di doua di di doua di dam di di dou)  

Vous les copains, je n'vous oublierai jamais  

(Di doua di di doua di dam di di dou)  

Vous les copains, je n'vous oublierai jamais  

(Di doua di di doua di dam di di dou) »  

 

Oui, des amis dans la vie, c’était un bonheur mais avoir quelqu’un près de soi, c’était encore mieux. Rien que pour des moments comme celui-ci, une petite aparté légère et décalée dans un monde sombre et tumultueux, pour se rappeler que l’on n’était pas seul, entouré d’amis et plus encore et, si sa mie lui offrait cela en cadeau, il pouvait bien lui en offrir un en retour, se laissa-t-il aller à penser. Oh non !, pensa-t-il, se voyant soudain en train de lui chanter une chanson à son tour. Il était hors de question de pousser la chansonnette attifé dans de drôles de fringues.  

 

Son cadeau était plus personnel et plus discret et il serait bien meilleur encore parce qu’il était attendu depuis si longtemps, se dit-il, esquissant un sourire tout en attirant sa partenaire contre lui. Il la regarda écarquiller les yeux et prendre deux teintes de rose supplémentaires. Ca lui allait tellement bien et il attendait presque avec impatience la couleur qu’elle atteindrait après… Enfin, l’impatience était mesurée car il comptait bien profiter de ce moment un long moment justement. Aussi prit-il tout le temps de caresser sa joue tendrement avant de frôler les deux pétales rouges qui s’écartèrent sur un soupir tremblant. Son cœur battait la chamade comme jamais il ne l’avait fait alors qu’il penchait le visage vers elle.  

 

- Mais t’as pas fini de gueuler comme un putois !, entendit-il soudain.  

- Je vais t’en coller moi du « Di doua di di doua di dam di di dou » ! Je t’ai entendu arriver depuis le Kabuki Cho. On va encore une fois avoir des remarques toute la semaine avec tes conneries !, hurla Kaori, l’attendant dans son pyjama jaune.  

 

Ben, elle était où la Kaori à couettes ?, se demanda Ryô, la dévisageant des pieds à la tête.  

 

- Avant, t’avais plus l’air d’une femme., lâcha-t-il.  

 

Il n’eut pas le temps de réaliser la portée de ses propos qu’une énorme massue s’abattit sur sa tête. Une nuée de corbeaux et un petit groupe de chanteurs qui avaient tous la tête de ses amis se mirent en chanter en chœur en tournant autour de sa tête. Il n’aurait vraiment pas dû boire autant ce soir… Tout ça au nom de l’amitié…  

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de