Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 77 capitoli

Pubblicato: 14-04-21

Ultimo aggiornamento: 17-04-24

 

Commenti: 31 reviews

» Ecrire une review

 

GeneralHumour

 

Riassunto: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How can I post my fanfiction?

 

After signing up for your member account, you have to connect and in the section "Fanfictions/Challenges" of your account, there are 3 possibilities: - Add a new story - Add a new chapter - Modify a story or a chapter Fill in the corresponding form and you're done. Post your chapters in order. The numerotation of the chapters is automatic ...

Read more ...

 

 

   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Capitolo 75 :: Chapitre 75

Pubblicato: 17-04-24 - Ultimo aggiornamento: 17-04-24

Commenti: Bonsoir, Voici un nouvel épisode et quel épisode : Ryô est poursuivi par quelqu'un qui veut le tuer. Il s'agit d'une ancienne commando qui veut épouser Umibozu, Miki. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75


 

Chapitre 75 : Episodes 90 et 91 : Miki, la jolie nettoyeuse, tente une approche musclée.  

 

Autour d’un lac, deux personnes courent l’une après l’autre, la poursuivante brandissant une massue au tonnage indécent. Soudain, les deux s’arrêtent sans avoir seulement échangé un mot et se rejoignent.  

 

- Tu comptes l’utiliser ?, demande Ryô, désignant l’engin de torture qui généralement lui atterrit sur la tête.  

- Hmm… Ca dépend… La femme que tu aimes et protèges, c’est moi, n’est-ce pas ?, l’interroge-t-elle, une légère incertitude perçant dans sa voix.  

 

Il plonge dans son regard et comprend son incrédulité. Lui-même a du mal à croire qu’il a fait ce pas vers elle, vers un avenir ensemble. Le fait qu’il ne l’ait pas touchée, pas embrassée, même pas essayé de coucher avec elle ne doit pas contribuer à rendre les choses réelles mais il ne veut pas précipiter les choses parce qu’elle est importante, que leur relation est particulière et demande ce temps-là. Il pourrait s’en sortir par une pirouette pour échapper à ce tournant, se rétracter mais, plus il la regarde, plus il voit ce que pourrait être leur vie et moins il a envie de retrouver ce qu’ils avaient avant.  

 

- Oui, c’est toi., admet-il.  

 

Elle l’observe un moment comme paralysée avant d’esquisser un sourire tremblant. Elle a terriblement envie de lui sauter au cou mais se retient de peur de précipiter les choses, ce qui lui fait penser à ce qui s’est passé plus tôt au cours de cette affaire, une semaine auparavant, et elle se sent horrifiée, posant une main sur ses lèvres.  

 

- Je… Je suis désolée… J’ai vendu la mèche., murmure-t-elle, culpabilisant.  

- De quoi tu parles ?, s’étonne-t-il.  

- Lorsque Umibozu nous a emmenés au Cat’s Eye, au moment où il s’est excusé, je… je t’ai sauté au cou. Je m’en veux terriblement., lui confie-t-elle.  

- Tout va bien, Kaori. Il n’a certainement rien capté., lui oppose-t-il pour l’apaiser.  

 

Il ne veut pas la voir culpabiliser alors qu’il a lui-même des doutes sur le fait qu’Umibozu se doute de quelque chose. Après tout, il a quand même admis que c’était dangereux pour des hommes comme eux de garder une personne qu’ils aimaient auprès d’eux…  

 

- Miki a fait plusieurs allusions au fait que tu m’aimais et que je t’aime. J’ai… j’ai biaisé., lui dit-elle.  

- Un jour, tu n’auras plus à le faire… j’espère., soupire-t-il, se demandant s’il aurait le courage d’aller jusqu’au bout.  

- J’espère aussi mais on a le temps, non ? A moins qu’il y ait une autre femme dont tu es tombé amoureux et qui pourrait réapparaître…, le taquine-t-elle… à moitié.  

 

C’est une possibilité après tout. Elle n’est certainement pas la première à avoir fait battre son cœur. Il y a déjà eu Saeko… a minima. Son moral baisse, se disant que ses chances seraient bien faibles dans ce cas-là. Surprise, elle entend Ryô ricaner et relève les yeux avant de les rebaisser alors qu’elle sent une main entourer ses doigts. Sidérée, elle regarde leurs appendices entrelacés.  

 

- Je… Je dois te pincer ?, pipe-t-il, un peu nerveux.  

- Si c’est un rêve, surtout pas., murmure-t-elle.  

 

Ressentant une vive douleur au bras, elle relève les yeux et croise son regard amusé.  

 

- Tu vois, ils sont toujours là., lui dit-il, taquin, levant leurs mains enlacées pour qu’elle constate que c’est bien réel.  

 

D’un léger coup, il l’entraîne, serein puisque personne ne peut les voir là où ils sont, alors autant en profiter un peu.  

 

- Au fait, comment as-tu biaisé avec Miki ?, lui demande-t-il.  

 

Il sait qu’il n’a pas répondu à sa question implicite mais il ne sait pas s’il est prêt à le faire, à se découvrir autant, alors il gagne un peu de temps.  

 

- En fait… je… je ne me rappelle plus très bien., ment-elle.  

- Tu réponds à ma question et je réponds à la tienne., lui propose-t-il, se disant que c’est un bon compromis et qu’il ne doit pas laisser leur tendance à la discrétion empiéter sur leur relation naissante.  

 

Kaori lui jette un coup d’oeil rapide puis prend une profonde inspiration.  

 

- Il y a deux jours, Umibozu m’a dit qu’il n’avait pas la capacité à protéger celle qu’il aimait… contrairement à toi. Je… J’ai… J’ai supposé qu’il parlait d’une autre femme… avant de comprendre que c’était… moi. Je me suis servie de ce quiproquo avec Miki. Je suis désolée d’avoir douté., s’excuse-t-elle.  

- Tout cela, c’est récent., l’absout-il sans arrière-pensée.  

- J’ai déjà été amoureux…, lui avoue-t-il, observant un point dans le vague, peinant sa partenaire.  

- De nombreuses fois… enfin… c’est ce que j’ai cru avant., nuance-t-il.  

- Avant quoi ?, ne peut-elle s’empêcher de lui demander.  

- Quoi ? Qui, tu veux dire. Avant toi, tête de linotte., la taquine-t-il avec tendresse.  

- En fait, je ne sais pas ce que c’est qu’être… amoureux. J’ai été attiré par de nombreuses femmes mais notre relation est… différente, plus importante., lui avoue-t-il.  

 

Elle sent son cœur faire un bond dans sa poitrine avant de s’emballer. Les larmes lui montent aux yeux mais elle essaie de prendre sur elle, une traîtresse s’échappant.  

 

- Et… Saeko ?, lui demande-t-elle.  

- Ca me rappelle quelque chose…, muse-t-il, voyant une figure géométrique se dessiner entre leurs trois portraits.  

 

Il a connu un autre triangle, comportant lui deux hommes et Saeko. La situation l’amuse et il ne peut s’empêcher de ricaner, tirant un regard surpris de sa partenaire.  

 

- Saeko… Il ne s’est jamais rien passé entre elle et il ne se passera jamais rien. Ce n’est que de la gueule entre nous, de l’apparat. On jouera certainement encore longtemps mais, si c’est également différent des autres, ce n’est pas la même chose que nous deux., lui expliqua-t-il.  

- Nous deux… C’est tellement étrange d’entendre cela nous concernant… mais tellement beau aussi., murmure Kaori.  

- Oui, c’est beau., admet-il, repensant à tout ce qu’il s’est passé depuis qu’ils travaillent et vivent ensemble.  

 

Ce n’était pas que les expériences réelles qui les avaient rapprochés petit à petit. C’était aussi tout ce qu’il avait vécu seul, de manière intangible, les émotions, les pensées, les rêves, des rêves sages, des rêves irréels, des rêves passionnés… Il l’avait même rêvée maman et enceinte de leur deuxième enfant… Elle avait pénétré profondément en lui avant même qu’il ait eu le temps d’être intime avec elle.  

 

- Je voudrais que tout le monde ressente ce que je ressens., lâche-t-elle rêveusement.  

 

Sa confession fait sourire son partenaire, reconnaissant bien là la gentillesse de sa rouquine, ce trait de caractère qui l’a touché et remué au plus profond.  

 

- Tu crois que Umibozu et Miki connaîtront la même chose ?, l’interroge-t-elle.  

- Ce gros nigaud ? Je ne sais même pas s’il saura comment s’y prendre avec elle., ricane-t-il, se souvenant de la maladresse de son ami pendant toute cette affaire et surtout lors de la scène finale.  

- Tout le monde n’a pas des années de pratique…, grogne-t-elle, la jalousie remontant.  

 

Là, il se dit qu’il préfère ne pas répondre et envenimer la situation. Après tout, il a peut-être déjà parlé trop vite en se moquant de son ancien rival parce qu’il ne sait pas très bien comment s’y prendre correctement avec Kaori non plus. Il doute que lui voler ses sous-vêtements ou lui proposer un restaurant végétarien serait du meilleur effet…  

 

- Je suis curieuse, j’aimerais bien savoir comment ça se passe là-bas., admet-elle, songeuse.  

- Dis Falcon, tu viendras travailler avec moi au café ?, demande Miki, profitant de la tendresse du moment pour essayer d’avoir plus avec lui.  

- Non, j’ai d’autres choses à faire., lui oppose-t-il.  

- Oh allez, s’il te plaît. Tu verras que tu ne m’as pas rendue malheureuse, bien au contraire., plaide-t-elle, jouant sur les informations qu’elle avait glanées grâce à Ryô.  

- Non, je serai intraitable., assure-t-il.  

- Ecoute, je ne te demande pas d’y passer tout ton temps mais…, commença-t-elle, prenant une inspiration avant de se lancer, le contournant pour lui faire face.  

- C’est mon rêve de jeune fille de tenir un commerce et pouvoir y travailler avec l’homme que j’aime… toi., lui avoue-t-elle, lui lançant un regard de biche.  

- Je ne te demande pas d’y travailler tout le temps mais juste de temps en temps… un jour par semaine par exemple… ou moins… ou plus selon ce que tu voudras., lui vend-elle.  

 

Umibozu détourne le regard, luttant pour ne pas se laisser attendrir. Les arguments ne l’ont pas laissé insensible et il a bien envie de voir Miki évoluer plus longuement dans son café. Etre client, c’était bien mais il ne pourrait pas rester des heures durant à la regarder. Travailler avec elle, être là lui permettraient de l’observer et aussi de la protéger. C’était son devoir.  

 

- Allez, Falcon, tu me dois bien ça puisque tu refuses de m’épouser alors que j’ai gagné ton pari., argumente-t-elle.  

 

Elle sait pertinemment, et peut-être lui aussi, se dit-il, qu’elle n’est pour rien dans le stratagème utilisé par Ryô pour toucher Umibozu et qu’il le touche également avec les balles de peinture, lui permettant de gagner son pari. Elle ne comprend d’ailleurs toujours pas pourquoi il a agi ainsi alors qu’il n’a cessé de la poursuivre de ses assiduités. Pourtant, elle aurait juré qu’il y avait quelque chose entre Kaori et son partenaire.  

 

- Bon d’accord., soupire-t-il d’un ton bourru.  

- Tu n’as pas… Quoi ? Tu acceptes ?, lui retourne-t-elle, incrédule.  

- Oui, un jour par semaine, pas plus., lui assure-t-il.  

- Oh ! Je suis si contente, Falcon ! Tu verras, ce sera super ! Et puis les appartements liés au café sont confortables et j’ai un lit solide extra-large., lui vend-elle.  

 

A ces mots, elle le voit devenir rouge vif et fumer par tous les pores de son crâne chauve.  

 

- Ca va, Falcon ? Tu as attrapé un coup de soleil ? On devrait peut-être rentrer se mettre à l’abri., s’inquiète-t-elle.  

- Non, non, ça va., répond-il d’un ton bourru avant de tourner les talons et rentrer dans son chalet, poursuivi par Miki s’inquiétant pour lui.  

 

Quelle idée l’a pris de transformer les balles réelles par des balles de peinture ? Sans cela, Ryô n’aurait pas perdu ce pari et il serait tranquille, libre de toute attache… Il grogne intérieurement : le nettoyeur n’a pas fini de se moquer de lui…  

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de