Chapitre 4 :: Un froid glacial...

Publiée: 19-03-10 - Mise à jour: 19-03-10

Commentaires: Coucou !!! Merci à Macema, Kaori62, Hcity, Fankaori, Tennad, MK, Yael, Angelique, Kithawke, Phoenix2048, Tenshi, Saoria, Kaoridu86, Thalia, 1grisou et Paty d’avoir laissé une review pour le chapitre précédent. J’ai vu qu’il y avait des volontaires pour réchauffer le pauvre Ryo… mais je suis désolée pour elles, je crains que Ryo n’ait plus besoin d’elles ! Je ne vais pas vous embêter plus longtemps et vous laisser lire la suite des aventures de notre cher Mister Freeze… Bonne lecture à tous !

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Ryo se sentit doucement enveloppé par le froid glacial de l’eau. Une idée germa soudain dans son esprit, et s'il se laissait glisser jusqu'au fond du lac ? Kaori à sa mort quitterait enfin le milieu et pourrait goûter à une vie meilleure. Elle pourrait enfin avoir droit à la vie qu'elle méritait, entourée d'un mari et d'enfants. Ne pas remonter à la surface semblait être la meilleure solution ! Alors doucement il cessa de lutter et se laissa couler.  

Mais soudain vint à son esprit le regard triste et empli d'angoisse de sa partenaire… Et si, dans un instinct de survie, elle plongeait pour le sortir de l'eau ! Si elle ne supportait pas sa mort et prenait la relève de City Hunter, et finissait tuée par une balle ? Non ! Il ne voulait pas qu'elle meurt ! Alors puisant dans ses dernières forces il tenta de remonter à la surface. Ses bras et ses jambes étaient de plus en plus ankylosés, et le faisait affreusement souffrir, mais il se devait de rejoindre Kaori. Après une lutte acharnée contre son corps, il réussit enfin à rejoindre la surface, et empli ses poumons d'air. Jetant un coup d'œil circulaire, il se rendit compte que sa partenaire n'était plus sur le rivage.  

Il devait trouver rapidement un moyen de sortir de là car le froid allait en peu de temps l'engourdir de plus en plus et il allait couler à pic. Alors il essaya de se hisser sur la glace qui se trouvait à côté de lui, mais rien à faire, la glace céda une nouvelle fois sous son poids. Il sentait ses forces l'abandonner au fur et à mesure, mais il devait lutter pour s'en sortir. Mais comment pouvait-il faire, il n'en avait aucune idée.  

Quand soudain, une branche fit son apparition devant lui, et Ryo entendit la voix de sa partenaire lui crier :  

- Accroche-toi Ryo !  

Alors avec difficulté, il sortit ses mains de l'eau et s'agrippa au morceau de bois.  

Quand Kaori avait vu Ryo disparaître sous l'eau, elle avait poussé un grand cri, puis s'était mise à hurler le nom de son partenaire, tandis que les larmes coulaient en abondance sur ses joues. Mais bien vite elle s’était reprise, elle n'avait pas le droit de se comporter comme cela. Il fallait qu'elle trouve un moyen de sauver Ryo.  

Elle ne pouvait pas se rapprocher de lui car la glace risquait à tout instant de se rompre sous ses pas. Quand soudain, elle poussa un cri : Une branche ! Il fallait qu'elle trouve une branche suffisamment longue et solide pour pouvoir permettre à Ryo de sortir de l'eau glacée.  

Elle jeta le manteau de son partenaire au sol, et partit en courant à la recherche de l'objet convoité. Elle en trouva plusieurs, mais à chaque fois quelque chose n'allait pas, elle était soit trop courte, ou alors trop fragile, quand ce n'était pas trop lourde.  

Elle poussa un soupir de soulagement, quand enfin elle trouva ce qu'elle cherchait, agrippant la branche, elle courut aussi vite qu'elle le put vers le lac, avec un grand soulagement, elle vit la tête de Ryo à la surface du lac. Alors rapidement, elle poussa le plus loin du bord le bout de bois et cria :  

- Accroche-toi Ryo !  

Kaori poussa un soupir de soulagement quand son partenaire s'agrippa enfin à la branche. Elle essaya de tirer sur la branche, mais son partenaire était vraiment lourd, alors elle banda au maximum ses muscles et tira d'un coup sec sur le branchage qui enfin bougea. Un miracle fit que la glace ne céda pas sous le poids de Ryo, et ce dernier avec difficulté réussit peu à peu à remonter. Il resta à plat ventre glissant sur l'étendue de glace, Kaori essayant au maximum de le tirer vers elle. Quand finalement leurs efforts furent récompensés, et Ryo se retrouva sur la terre ferme.  

Kaori s'empressa de lâcher la branche afin de retourner son partenaire. Doucement elle le secoua, inquiète, elle lui demanda :  

- Ryo tu m'entends ? Ryo, ça va ? Réponds-moi ? Ryo ?  

Le nettoyeur ouvrit avec difficultés ses yeux, mais aucun mot ne sortit de sa bouche. Kaori ne perdit pas son sang froid pour autant, elle se mit à crier :  

- Ryo ! Il faut aller jusqu'à la cabane ! Fais un effort ! Ryo !  

Doucement, elle redressa son partenaire, qui se retrouva assis. Kaori comprit qu'il reprenait réellement conscience. Le saisissant par les aisselles, elle l'aida à se mettre debout. Elle voulut le soutenir pour marcher, mais Ryo dans un accès de fierté mal placée, repoussa sa partenaire, et fit quelques pas mal assurés, quand soudain ses jambes fléchirent. Ryo se serait retrouvé au sol, si sa partenaire ne s'était pas trouvée non loin de lui. Kaori soutint Ryo jusqu'à un arbre et le fit glisser le long du tronc afin qu'il se retrouve assit, adossé contre l'arbre.  

Le nettoyeur claquait des dents et ses lèvres avaient prise une méchante teinte bleutée. Si Kaori n'agissait pas rapidement, son séjour dans l'eau glaciale pouvait lui être fatal.  

Se levant précipitamment, Kaori courut récupérer le manteau de son partenaire qu'elle avait abandonné un peu plus loin. De retour au pied de l'arbre, elle aida Ryo à se pencher afin de poser le manteau de Ryo sur ses épaules, puis le repoussa doucement sur le tronc de l'arbre. Elle comprit très rapidement qu'il ne serait pas capable d'enfiler les manches de la veste, alors elle fit comme une mère, le ferait avec son enfant. Elle passa une de ses mains dans la manche afin de remonter en haut de celle-ci. De son autre main, elle attrapa le poignet de son partenaire, et mena son bras jusqu'en haut de l'emmanchure. Puis elle guida avec ses deux mains, le bras de son partenaire, afin qu'il enfile correctement sa manche. Une fois son bras correctement passé, elle refit les mêmes gestes avec l'autre. Puis elle ôta son bonnet pour le mettre sur la tête de Ryo.  

Ryo réalisa enfin qu'il était sur la terre ferme, mais il avait si froid que chaque geste était pour lui une véritable torture. Il n'avait pas vraiment conscience de ce qui se passait, mais il savait que quelqu'un s'occupait de lui. Il avait du mal à aligner les idées dans son cerveau, un seul mot parvint jusqu'à ses lèvres qu'il avait le plus grand mal à remuer :  

- Ka...o...ri...  

La jeune femme se mit à caresser doucement la joue glacée de son partenaire. Par ce geste, elle voulait l'encourager à bouger, doucement, d'une voix presque suppliante, elle dit :  

- Ryo ! Il faut que tu te lèves ! Il faut que nous allions à la cabane !  

Ryo ne se sentait pas la force de bouger, il se sentait loin de la réalité, et peu à peu, il commençait à sombrer dans le sommeil, d'une voix faible, hachée par ses dents qui claquaient, il murmura :  

- Je... ne peux.... pas... laisse.... moi.... là !  

Mais la jeune femme ne l'entendait pas comme cela, elle secoua brusquement son partenaire, et se mit à hurler pour le faire sortir de son état de semi sommeil :  

- Tu ne dois pas dormir, tu m'entends ! On doit retourner au chalet ! Ryo ! Réponds-moi ! Il faut que tu te lèves !  

- Laisse-moi.... dormir.... Kaori..... Juste.... deux... minutes....juste....deux....minutes, murmura l'homme qui sombrait peu à peu dans le sommeil.  

- Ryo !, hurla t elle.  

Mais le nettoyeur ne répondait plus, alors elle se dit qu'elle devait employer les grands moyens. Même si ça la répugnait de faire cela, elle savait qu'elle n'avait pas d'autre solution. Elle respira alors un grand coup, puis se mit à gifler à grandes volées son partenaire, hurlant sans cesse les mêmes mots :  

- Ryo ! Réveille-toi ! Ryo ! Réagis bon sang ! Penses à toutes ces Miss Mokkori qui t'attendent !  

Mais le nettoyeur ne réagissait toujours pas. Peu à peu les larmes se mirent à couler sur les joues de Kaori. Non ! Elle était en plein cauchemar ! Elle ne pouvait pas perdre Ryo de cette façon ! Pas à cause d'une chute dans l'eau glaciale ! Pourquoi n'avait-elle pas la force de le porter jusqu'à la cabane ?  

A bout de forces physiquement et nerveusement elle se laissa aller se blottissant contre son partenaire, et les mots sortirent tous seuls de sa bouche :  

- Pourquoi ? Pourquoi j'ai accepté l'invitation de Senji ? Pourquoi ? Si je ne l'avais pas fait, tu ne serais pas là ! Ryo, je t'en prie ! Réveille-toi ! Ne me laisse pas ! J'ai besoin de toi ! Ryo !  

Le nettoyeur dans un état second, sentit Kaori qui le giflait mais n'arrivait pas à réagir, puis soudain il sentit un peu de chaleur se coller à son corps gelé. Et une voix, telle une plainte s'élever dans le froid glacial. Kaori.... il devait faire quelque chose, faire un effort pour bouger, il ne voulait plus lui faire de peine.  

Avec une grande difficulté, il ouvrit un œil, puis un deuxième. Il fit un effort surhumain pour lever une de ses mains qu'il posa sur le dos de sa partenaire. Cette dernière à la fois surprise et soulagée, leva un regard larmoyant sur Ryo.  

- Tu... m'é....crases...., réussit-il à prononcer.  

La jeune femme se redressa brusquement et empoigna une de ses massues pour faire ravaler ses mots au nettoyeur, mais elle se reprit à temps, et laissa tomber son arme au sol avant de se précipiter sur son partenaire.  

- Allez Ryo ! Debout !  

Le nettoyeur avec beaucoup de difficultés réussit à se lever, prenant appui à la fois sur l'arbre et sur sa partenaire. Il laissa sa fierté de côté car il se savait incapable de se déplacer par sa seule force. Ses jambes semblaient peser des tonnes, mais il savait qu'il devait marcher car Kaori ne serait jamais assez forte pour le porter.  

Il essayait de faire le maximum pour alléger le fardeau de sa partenaire, mais chaque pas pour lui était une véritable torture. Ils avançaient lentement, s'arrêtant souvent. A chaque fois, Kaori adossait Ryo contre un arbre, se collant à lui pour qu'il ne tombe pas.  

Au fur et à mesure de leur progression, la nuit tombait, et Kaori priait pour qu'ils arrivent à destination avant que la nuit ne soit totalement installée. Mètre par mètre, ils arrivèrent enfin à la cabane. C'est avec un grand soulagement que Kaori constata que le feu brûlait encore dans la cheminée. Elle soutint Ryo et l'aida à s'installer sur le tapis qui se trouvait proche du feu, le nettoyeur à bout de forces s'écroula et se retrouva allongé sur le dos.  

Kaori ne perdit pas un seul instant, et ordonna à son partenaire :  

- Déshabille-toi ! Tu ne dois pas garder ces vêtements mouillés sur toi !  

Sans laisser à son partenaire la possibilité de lui répondre, elle courut en dehors de la cabane afin d'aller chercher des bûches pour alimenter le feu.  

Ryo n'était pas vraiment conscient, il entendait les paroles de Kaori comme si elle lui parlait de très loin. Retirer ses habits, il savait que c'est ce qu'il devait faire, mais il ne se sentait pas la force d'accomplir cette tache. Il avait déjà fait un effort surhumain pour se déplacer jusqu'à la cabane car il savait que s'il était resté dans la froideur de la forêt, Kaori serait restée avec lui.  

Il entendit à peine sa partenaire revenir dans la cabane. Quelques instants plus tard, elle se précipita à son chevet. Elle comprit rapidement que Ryo n'était pas en mesure d'ôter ses vêtements, alors elle sut qu'il n'y avait qu'une seule chose à faire.  

Prenant sur elle, elle aida son partenaire à s'asseoir, et elle lui retira son manteau. Ce dernier voyant le regard paniqué de la jeune femme, tenta de faire une diversion. Grelottant, il prononça avec difficultés quelques mots :  

- N'en....pro... fite...pas... pour...te...rin...cer...l'oeil !  

Kaori se mit en colère, les larmes lui venant au coin des yeux :  

- Me rincer l'œil ! Mais tu ne comprends pas que si tu restes comme cela tu risques de mourir ! Tu....  

Puis soudain le regard de la jeune femme accrocha les lèvres de Ryo. Malgré le fait que son partenaire claquait des dents, elle y vit, un léger sourire se dessiner.  

Elle réalisa alors qu'il était en train de plaisanter pour la détendre un peu. Alors elle entra dans son jeu, et changea radicalement de ton :  

- Pfff pour qu'est-ce qu'il y a à voir !  

Puis elle se mit à rougir en réalisant ce qu'elle venait de dire. Mais elle reprit rapidement contenance quand Ryo se mit à éternuer. Il fallait qu'elle agisse vite. Elle retira son manteau, car elle commençait à avoir chaud, avant de s'occuper de Ryo.  

Elle ôta le bonnet de la tête de son partenaire, avant de s'attaquer au pull qu'elle réussit à lui ôter, et qu'elle jeta au loin.  

Son partenaire était bizarrement aussi mou qu'un pantin, c'est alors qu'elle réalisa qu'il s'était évanoui. Alors délicatement, elle allongea Ryo sur le dos, espérant que la chaleur de la peau de bête le réchaufferait un peu.  

La chair de poule recouvrait le corps de Ryo, et Kaori ne perdit pas un seul instant. Elle réussit à défaire les chaussures et les chaussettes du brun, après plusieurs tentatives infructueuses.  

Elle s'attaqua ensuite au pantalon trempé de l'homme. Avec beaucoup de difficultés, elle parvint à retirer le bouton, et doucement fit glisser la fermeture.  

Kaori était toute rouge de frôler l'intimité de son partenaire, mais n'arrêta pas son geste pour autant : il y en allait de la survie de Ryo ! Puis elle voulut faire glisser le pantalon le long des jambes de son partenaire, mais décidément, ce n'était pas très facile car il collait fermement aux jambes.  

Elle était totalement écarlate, car maintenant ses mains étaient posées sur les fesses musclées du nettoyeur, afin de faire glisser le pantalon. Pour se redonner contenance, elle ferma les yeux afin de se concentrer uniquement sur ses gestes, mais comprenant que ce n'était pas évident de réussir sa mission les yeux fermés, elle les rouvrit et tenta une autre approche pour ôter le jean de son partenaire. Elle se tint aux pieds de Ryo et attrapa chacune des jambes du pantalon et se mit à tirer le plus fort possible.  

Elle poussa un soupir de soulagement quand elle sentit le pantalon enfin bouger, et glisser sur les jambes de son partenaire. Tirant de plus en plus fort, elle ferma les yeux pour avoir l'impression d'avoir plus de force, quand soudain d'un coup, le jean se défit totalement des jambes de Ryo et Kaori se retrouva sur les fesses, le pantalon de son partenaire sur elle. Elle constata rapidement qu'il était accompagné, et pas par n'importe quoi ! Dans ses mains se trouvaient le boxer de son partenaire. Il avait du glisser en même temps que le jean.  

Si se fut possible, elle devint encore plus rouge, mais rapidement reprit ses esprits et toute courante se précipita vers le coin cuisine qui faisait aussi office de salle de bain, et elle se saisit des serviettes de toilettes. Puis elle revint en direction de la cheminée où Ryo bien qu'inconscient grelottait.  

Alors Kaori se comporta comme une véritable infirmière, frictionnant sans relâche le corps et les cheveux de son partenaire. Elle ne ménagea pas ses forces pour réchauffer, frottant son corps rapidement et avec vigueur. Quand elle arriva au bout du stock de serviettes, elle réalisa que le corps de Ryo était parfaitement sec, et ses lèvres avaient repris une teinte rosée.  

Alors elle l'emmitoufla dans toutes les couvertures qu'elle trouva. Puis elle réapprovisionna le feu en carburant, remit son manteau et sortit une nouvelle fois chercher des bûches. C'est à ce moment là qu'elle constata que la nuit était tombée. Heureusement pour elle, la pleine lune brillait et elle n'eut aucune difficulté à rejoindre la réserve de bois.  

Elle se chargea le maximum afin de ne plus laisser Ryo seul pour le restant de la nuit, et retourna auprès de son partenaire. Il faisait une chaleur suffocante dans la pièce, et Kaori se dépêcha d'ôter son manteau.  

Puis elle se dirigea auprès de Ryo, et posa une main délicate sur son front. Malgré la fournaise qui régnait il était froid limite glacial. Relevant doucement les couvertures, elle constata que Ryo tremblait.  

Malgré la chaleur qu'il faisait ajouter aux couvertures, le corps de Ryo ne semblait pas vouloir se réchauffer. Kaori comprit à cet instant qu'il n'y avait qu'une seule façon pour que Ryo puisse sortir de son état d'hypothermie.  

Sans réfléchir, elle ôta son pull et son chemisier, et fit de même avec ses chaussures et son pantalon. Elle retira également ses chaussettes, puis soudain marqua un arrêt.  

Elle réfléchissait sur ce qu'elle devait faire. Devait-elle garder ses sous-vêtements ?  

Kaori regarda son partenaire tremblant et gémissant. Et si à cause du fait qu'elle laisse ces quelques centimètres de tissus sur elle, son partenaire ne se réveille jamais. Si à cause d'un excès de pudibonderie, Ryo devait y resté ! Non, cela elle ne se le pardonnerait jamais. Alors laissant sa timidité de côté, elle ôta ses sous-vêtements et se glissa sous les couvertures.  

Elle respira un grand coup, avant de se coller à son partenaire. Elle s'installa sur lui, et posa sa tête dans le creux du cou de l'homme.  

Elle sentit le corps de Ryo trembler sous le sien alors pour le réchauffer, elle frotta de ses mains le corps de Ryo qui n'était pas recouvert par le sien. Mais peu à peu la fatigue la gagna, et tout en réchauffant le corps de son partenaire du sien, elle s'endormit.  

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