Chapitre 4 :: La rencontre:

Publiée: 25-08-05 - Mise à jour: 05-09-05

Commentaires: Coucou me revoilà avec un new chapter !! j'espere que ca vous plaira et laisse moi des REVIEWS S.V.P merci à ma beta cherie qui fête son anniversaire aujourd'hui ,bonne anniversaire ma cheire !merci à Fande Ch que j'adore ,à ma Loreley qui me lis et à Madina !! dites moi ce que vous en pensez ,bonne lecture... bisous et bonne lecture..

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Après avoir traversée le parc pour enfin arriver devant la porte d'entrée, Kaori sonna et la porte s’ouvrit comme par magie.  

Ce château lui faisait vraiment peur. Kaori se consola en se disant que peut-être les filles Takeo seraient sympas et qu’elles deviendraient amies.  

Pendant la traversée du couloir, Kaori vit toute sorte de photo avec des personnes bizarres. Ils avaient tous un regard à vous glacer le sang et leurs yeux semblaient vous observer . Puis il y avait aussi toute cette poussière et ces araignées, on aurait cru que ce château est inhabité. Kaori entendit du bruit, elle aurait juré que c'était le cri d'une jeune femme. Pour en avoir le coeur net, Kaori demanda d'une voix tremblante :  

- Y'a quelqu'un ?  

Personne ne répondit. Prenant son courage à deux mains, elle s'avança tout droit pour arriver devant une porte. Kaori mit sa main sur le poignet et...  

- Bonjour, vous devez sûrement être Melle Makimura ?  

Suprise, Kaori poussa un petit cri. Elle se retourna pour faire face à un homme dans la cinquantaine, grand avec quelques cheveux gris. Malgré sa vieillesse, l'homme qui se trouvait devant elle, avait de l'allure. Mais ce qui retint l'attention de Kaori fut les yeux de cet homme. Ils avaient une couleur bleu azur, ils étaient très beau et mais faisaient aussi très peur. Elle remarqua également que ces yeux là, elle les avait déjà vue quelque part. Kaori se rappela et dit tous bas:  

- Les même que sur les photos du couloir !  

- Vous disiez ?  

- Euh,...oui c'est moi. Kaori, Kaori Makimura. Et vous êtes, Monsieur Takeo, je présume?  

- Hiroshi, Hiroshi Takeo. Vous pouvez m'appeler Hiroshi.  

- A condition que vous m'appeliez Kaori.  

- Bien Kaori. Venez, je vais vous faire faire une petite visite.  

- D'accord pour la visite guidée.  

Hiroshi fit la visite du château à Kaori. Toutes les chambres se ressemblaient : lit à baldaquin, une grande armoire et deux petites à côté du lit. Une grande fenêtre, et chaque chambre avait la photo d'une personne au-dessus du lit.  

Kaori demanda qui étaient ces personnes, Hiroshi répondit que chaque photo représentait un ancêtre de la famille Takeo.  

Ils finirent la visite, et Kaori remarqua quelque chose de bizarre. Eric et Anne lui avaient dit que Hiroshi avait trois filles. Mais Kaori n'avait vue aucune des filles et en plus aucune chambre ne ressemblait à une chambre de jeune fille. Elle demanda :  

- Au fait, Monsieur... Hiroshi, je peux savoir où sont vos trois filles ? Je n'en ai vue aucune et leurs chambres où sont elles?  

- Mes filles ? Ah euh, oui bien sûr mes filles ! Eh bien, elles sont en vacances, oui c'est ça en vacances. Pour leurs chambres, c'est normal que vous ne les avez pas vue puisqu'elles sont dans l'aile gauche. Alors que nous, nous sommes dans l'aile droite. Vous comprenez ?  

«Elle m'énerve avec ces question ! pensa Hiroshi.»  

- Oui bien sur ! Et quand seront-elles de retour ?  

(NDA: Pour ceux qui n'on pas compris ,Kaori parle des filles Takeo .)  

- Qui ? A oui, et bien je ne sais pas !  

- Vous ne savez pas quand vos filles seront de retour ?  

- Vous savez, elles sont si… imprévisibles. Mais ne vous inquiétez pas, mon fils Kyo vous tiendra compagnie.  

- Mais je ne m'inquiète pas.  

- Bien, maintenant allons dîner, si vous voulez bien me suivre....  

Hiroshi marcha le premier et Kaori lui emboîta le pas. Ils passèrent devant la porte où Kaori avait cru entendre un cri. Elle ne pu s'empêcher de demander :  

- A quoi sert cette porte et qui y a t-il dedans ?  

Le visage d'Hiroshi se transforma, il eu un petit rictus un peu pervers et ces yeux devinrent aussi dur que la glace, c'était comme s’il était emporté dans son monde. Kaori prit peur devant ce visage et recula. Manque de chance, elle trébucha contre un vase qui se cassa. Le bruit eu pour effet de «réveiller» Hiroshi. Celui-ci répondit comme si de rien n'était :  

- Cette chambre m'est réservée .Personne ne peut y entrer, à part moi. Comme vous venez de le comprendre, cette chambre vous est interdite !  

Kaori comprit le message et bafouilla :  

- Euh... oui bien sûr.  

En passant devant la porte, elle se surprit à penser que cette chambre sentait la mort.  

«Mais à quoi je pense moi ? Même si ce château est bizarre, Eric et Anne ne m'auraient jamais envoyé à la morgue.» (NDB : A ta place, je parierais pas !)  

- Kaori, vous venez ?  

- Euh... oui j'arrive.  

Ils entrèrent dans une grande salle où il y avait une grande table avec seulement deux couverts et deux chaises. Elle trouvait surprenant qu'il ait un grand miroir au fond de la salle, mais n'en fit pas la remarque. Kaori se demanda alors pourquoi il n'y avait que deux couverts, alors que Hiroshi lui avait dit que son fils vivait ici. (NDB : si ça se trouve c’est un vampire, on le voit pas dans le miroir et c’est elle le plat de résistance, désolé, je suis partie dans un délire château hantée lol)  

Kaori demanda :  

- Votre fils ne mange pas ?  

- Pas ce soir. Il avait beaucoup à étudier.  

- Je comprends.  

Un domestique arriva avec plusieurs plateaux. Kaori se dit que si il n'y avait pas eu la poussière et les araignées ; elle aurait cru être une princesse. Après avoir choisi leurs plats, Hiroshi et Kaori commencèrent à manger quand un autre domestique fit son apparition et vint parler à son maître tout bas :  

- Monsieur, votre fils vous demande !  

- Dites lui que j'arrive.  

- Bien Monsieur.  

Hiroshi s'excusa auprès de Kaori en lui disant que c'était une affaire importante. Kaori lui dit que ce n'était rien. Il partit en laissant Kaori seule.  

*************  

Un jeune homme se trouvait là derrière un miroir en regardant son père se lever. Il eu un petit sourire au coin des ses lèvres.  

Quelques minutes plus tard, son père arriva et lui dit:  

- Alors comment tu la trouves ?  

- Vraiment très belle ! Je crois que je vais d'abord m'amuser avec elle, après tu en fais ce que tu veux.  

- Je vois qu'elle te plait. Tant mieux puisque tu auras un rôle très important.  

- Je dois faire la même chose qu'avec les autres ?  

- Oui, mais fait attention, celle-ci à l'air vraiment intelligente. En plus c'est une vraie casse pied, elle n'arrête pas de poser des questions.  

- C'est rien, ça change. Parce que avec les gourdes que tu me ramenais c'était vraiment épuisant !  

- Et bien je crois que tu ne vas pas être déçu.  

- Je crois aussi. Au fait j'ai suivi votre conversation, il m'a semblé que les deux autres lui ont raconté que j'avais des sœurs ?  

- Maintenant que j'y pense, je vais demander au domestique qu'ils préparent trois chambres juste au cas où la «marchandise» aurait des soupçons.  

- Oui, je crois que c'est préférable.  

- Bon, moi je vais prévenir les deux imbéciles que j'ai reçu la « livraison».  

- Et moi, je vais me préparer. En tous cas, elle est vraiment très belle.  

- Kyo, tu dois faire attention, elle est vraiment intelligente.  

- T'inquiètes pas, papa, quand elle tombera amoureuse de moi, elle va la perdre son intelligence. Elle va gober tout ce que je lui dirais ! (NDB : c’est pas la modestie qui l’étouffe celui-là)  

- J'y compte bien mon fils. Je vais les prévenir.  

Hiroshi prit son téléphone et appuya sur des numéros qui semblaient correspondre aux Etats-Unis. Quelqu'un répondit à l'autre bout du fil :  

- Allo ?  

- Oui, Madame Anderson, c'est moi, Takeo !  

- Ta... keo, écoutez, vous avez eu ce que vous vouliez, alors maintenant laissez nous tranquille !  

- Oui, je voulais seulement vous dire que vous avez une très belle fille, je pense qu'elle fera partie de mes préférées.  

- Espèce de salaud !  

- Vous vouliez peut-être que votre mari aille en prison ?  

- .....  

- Bien, je ne vous embêterais plus. Je vous appelais juste pour vous prévenir que la «marchandise» était bien arrivée. Merci à vous pour votre coopération. Au revoir.  

Et il raccrocha.  

- Bien mon fils, vas te préparer.  

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