Capitolo 1 :: MAMANNNNN

Pubblicato: 14-06-10 - Ultimo aggiornamento: 14-06-10

Commenti: Histoire de faire un clein d'oeil aux Mères pour leur fêtes et surtout a à petit morceau de Bretzel un HAppy Birthday, voici une petite OS ^^ ( OS également publié sur mon blog http://fauve1981.spaces.live.com/default.aspx -accès uniquement sur demande lol) Très Bonne journée à tous !

Capitolo: 1

« Mamannnnn !!!!!!!!! Mamannnnn !!!!!!!! » s'écrit une douce voix dans la nuit.  

« Quoiiiiiiiiii !????? » Répondit une voix fatiguée.  

« Tequila vient de se faire les dents sur mon dernier legging !!!! Foutu clebard ! »  

« Bien et que veux tu que j'y fasse ?! » Demanda la même voix plus appaisée.  

« Va falloir que tu ailles m'en acheter un autre, ou alors j'y vais mais donne moi l'argent... »  

« Et puis quoi encore... Tequila n'a certainement pas attaqué ton legging comme ça tu avais encore du le laisser trainer par terre... Alors c'est hors de question c'est ta responsabilité ! »  

« Mais maman !!!!! »  

« Pas de mais Maman... Ca ne marche pas avec moi Aï ! La première chose que tu as voulu ce fut un chien... Tu as eu Tequila qui est parfaitement dressé et qui est à toi je te rappel donc maintenant si tu fais n'importe quoi avec tes vêtements c'est ton problème ! »  

« Mais... »  

« Non non ça suffit... Vient plutôt m'aider à m'être la table ton père ne vas plus tarder... »  

« Et puis quoi encore... Je veux mon legging moi... Tout ça par la faute de ce sac à »  

« Si tu traites ce chien de sac à puce ca va mal aller et cesse de grommeler ou je te dénonce à ton père et vient donc m'aider... »  

« D'accord j'arrive ... »  

« Kaori n'était pas dute, elle connaissait sa fille et savait parfaitement que celle ci avait abandonnée un peut trop facilement.  

La jeune fille approcha et aida sa mère à mettre la table comme demandé mais s'était définitivement trop facile Aï souriait un peu trop.  

« Aï qu'est ce que tu manigances ?! »  

« Maman... Je... Je pourrais passer le week end chez Monsieur et Madame Shybura. »  

« Ah s'était ça... Dis moi leur fils sera présent ce week end c'est ça. »  

« Oui mais... »  

« C'est hors de question si tu crois que je vais te laisser passer le week end chez des personnes qui ne sont pas du milieu et qui en prime on un fils de 16 ans tu peux rêver. »  

« Mais maman !!! »  

« Pas de mais maman ! Et ne tente pas le coup du tu ne me fais pas confiance. Car tu sais parfaitement que c'est faux c'est au garçon de 16 ans que je ne fais pas confiance. »  

« T'es trop injuste, tu pourrais au moins y réfléchir et surtout au moins en parler avec papa. »  

« Ahhh nous y voilà... Tu me demande de plaider ta cause. »  

« Bah... »  

« Bah voyons tu veux vraiment que je me mette en porte a faux pour un week end, non non on verra ça quand tu auras 15 ans et ne discute pas avec moi car ton père lui se serrait pas avant tes 40 ans. »  

« C'est n'importe quoi... Je peux jamais rien faire à cause de vos choix. Je suis pas d'accord moi. »  

Kaori écoutait sa fille Aï mais d'un coup elle devint livide et eu juste le temps de tirer une chaise pour s'asseoir.  

Et les pleurs d'un enfant de 3 ans surgirent dans l'appartement de City Hunter.  

Aï accoura vers sa mère.  

« Maman ça va ?!!!!! »  

« Oui oui, c'est normal ca m'arrive de plus en plus souvent. Rien d'inquiétant je t'assure. S'il te plait va donc voir ton frêre. »  

Kaori prit une profonde respiration et regarda sa fille courir s'occuper de son frère puis jeta un coup d'oeil vers Tequila qui venait de surgir de l'étage.  

Le chien, un dogue de bordeaux accouru vers sa seconde maîtresse et posa sa gueule sur ses genoux.  

« Je vais bien Tequila. Je vais bien. »  

Elle caressa la gueule du chien qui aboya légérement puis se mit sur ses pattes arrieres et vint léchouiller pleinement le visage de Kaori SAEBA.  

Aï en entendant les aboiements revint vers sa mère rapidement.  

« Tequila !!! Fiche la paix à maman. Va donc dans ton panier. »  

Kaori n'eut pas la force de dire à sa fille de ficher la paix au chien.  

Tequila obtempera et alla dans son panier non sans narguer sa maîtresse.  

En effet il se dirigea vers son panier mais d'abord s'arrêta face à Aï et grogna légèrement.  

Se qui fit rire Kaori.  

« Non mais je crois rêver, c'est mon chien qui me fait la morale maintenant. »  

Kaori prit une seconde pour bien regarder sa fille qui avait beaucoup grandi et se rendit compte qu'elle ressemblait de plus en plus à son père le plus grand nettoyeur du Japon.  

Pour ses 12 ans elle était déjà aussi grande que sa mère, ses longs cheveux noir ébène et sa musculature developpé laissait présager de son aura féline quasi identique à celle de son père.  

« Maman... Maman je te parle ! »  

« Hum quoi ?! »  

« A quoi penses tu ?! »  

« Et bien jour ou ton père m'a dit qu'il m'aimait et ou j'ai sut que tu ferai parti de notre avenir. »  

Kaori avait quelque peu menti, mais elle se doutait que sa fille n'avait pas envie de savoir qu'apres la première nuit d'amour de ses parents, sa mère avait penser à ses futurs enfants.  

« Ah... »  

« Et bien si tu me le racontais en attendant que papa rentre. »  

« Pour quoi pas mais je pense que je vais surtout m'allonger d'abord. Tu m'aides ?! »  

Sa fille l'aida à aller s'installer dans le canapé du salon et alla chercher le babyphone afin de mieux surveiller son petit frère.  

« Il va bien ? » demanda Kaori.  

« Oui. Il est toujours dans son parc. Il chouinait car il a envoyé valdingué son doudou hors de sa cage. »  

« Aï... Franchement... »  

« Bah quoi ça ressemble a une cage ce truc non ?! »  

« Tu es bien la fille de ton père...Enfin bref... Par contre tu pourrais tenté d'être aimable aujourd'hui ! »  

« Bah pour quoi je serais plus aimable aujourd'hui qu'hier ? »  

« Pour faire plaisir à ta mère, tout simplement ! »  

La demoiselle grogna un instant puis répliqua qu'elle allait tenter, à la condition que sa mère se calme.  

« Mais je suis très calme. »  

« Mouais... bah soit un peu plus calme encore l'angoisse c'est pas bon pour ce que tu as. »  

« L'angoisse je vis avec depuis longtemps tu sais. »  

Aï vit comme de la nostalgie passer dans ses yeux.  

« Maman... Raconte moi comment ça s'est passé. »  

Kaori vit de suite de quoi parlais sa fille.  

« Ton père et moi t'avons déjà indiqué le principal. Es tu sure de vouloir connaître le jour ou tout a changé ?! »  

« Oui, je crois qu'il est temps. »  

« Et bien ça remonte donc à presque treize ans maintenant nous venions d'avoir une affaire très particulière de protection. Ryô ton père a l'époque devait un énorme service à l'un des propriétaire de bar du coin. Enfin bar n'est pas le bon terme.  

Flash Back.  

Une jeune femme élancée, habillé de façon un peu aguicheuse faisait claquer ses talons de 12 cm un peu partout dans la pièce qui en fait était un cabaret de 'lapine', mais revenons en a cette jeune femme brune aux cheveux long, vétue d'une mini jupe, et d'un corset noir le tout assorti d'un petit tablier blanc.  

La jeune femme approcha du bar et attrappa le plateau que lui tendait le barman, qui de suite ou presque lui tourna le dos pour essuyer des verres.  

« Ryô Saeba espèce de pervers notoire je sais parfaitement que ça te plais de me voir réduit à cette condition. »  

« Ne dit pas n'importe quoi. Te voir à moitié dévétue rend ma libido inexistante. »  

Sa colère grandissait, mais elle avait appris à se controler depuis qu'elle travaillait dans cet établissement.  

« Si seulement tu n'avais pas consommé ce qu'on gagne dans ce bar pourrit, j'en serais pas réduite à ça ! Crois moi tu vas le payer. Quand se sera fini je vais t'enchainer au radiateur de l'appartement pour quelques millénaires !!! »  

« Kaori cesse de grogner et va bosser un peu, on verra plus tard pour mon enchainement au radiateur. »  

« T'es un peu trop sérieux toi c'est tout sauf normal. » Elle se pencha vers lui fit apparaître une minie massue et constat que son partenaire avait une éréction monumentale qu'elle réduisit en 2 secondes.  

« T'es trop injuste !!! » Marmonna un Ryô pleurnichard.  

Cependant presque aussitôt il reprit une apparence normale et fit un clein d'oeil à sa partenaire pour lui signifier que leur proie venait d'entrer.  

Leur affaire était simple un nouveau gang venait de faire son apparition en ville et chaque semaine l'un de ses membres venait récolter des fonds pour ses 'oeuvres.' Le propriétaire au début n'avait rien dit jusqu'a ce que l'homme en question tente de s'en prendre à ses bunny's, il avait alors lancé un XYZ à son client préféré et à l'ardoise allongée alias Ryö Saeba.  

Kaori avait bataillé pour tenter de trouver un moyen de ne pas s'en meler mais accepta lorsqu'elle comprit dans quel pétrin financier son partenaire l'avait mit et dans quelle situation se trouvait les employés du cabaret en question.  

Kaori était celle qui allait devoir subir les assaults du malautru.  

Tout était organisé, les autres serveuses s'étaient éclipsé dès qu'elle avait reperé leurs harceleur, tandis que le propriétaire lui devait rester dans son bureau sans bouger d'un poil.  

Au bout d'une demi heure Kaori fut la 'victime du gentlemen' en question.  

Malheureusement les choses dégénerent des l'apparition de Ryô. La situation évolua dans l'arrière cours du cabaret. Il ne s'en fallut que de peu pour que Kaori se retrouve égorgée.  

Grâce a son fidel magnum 357 et à sa partenaire, Ryô réussi comme toujours à neutraliser le méchant en lui arrachant le pouce d'une balle.  

Bien qu'il souhaitait plus que tout tuer celui qui s'en était pris à sa Kaori, il devait également faire passer un message à se nouveau gang.  

Il indiqua à sa victime qui il était et qu'il serait mort tout comme ses 'amis' dans 24 heures s'il s'en reprenait à City Hunter et aux commerces de Shinjuku.  

L'homme tenta de récupérer son pouce qui se baladait sur le sol afin de tenter certainement une chirurgie réparatrice mais Ryô en décida autrement et d'une balle anéanti le petit résidu qui subsistait de cet homme.  

Il n'en demanda pas plus et fuya à une vitesse folle.  

Sa partenaire s'approcha de lui le visage figé d'éffroi mais pourtant très sûre d'elle.  

Ryô cru voir quelque chose dans ses yeux qui lui fit un immense plaisir, du désir.  

Elle s'approcha un peu plus posa sa main sur son torse puis la remonta lentement jusqu'a son visage et d'un coup lui administra une gifle magistrale.  

Il ne comprit pas.  

« J'en ai ras le bol de toujours être la proie ! Va falloir que ça change et pas qu'un peu !!!! »  

« Mais t'es completement malade ma pauvre tu viens de me déboiter la machoire. Je préfère encore tes saloperies de massues. »  

« Mes saloperies de massues elles te disent merde ! »  

« Si tu m'avais appris à tirer on en serait pas là. J'en serais pas à être prise pour ta femme par la mafia et en ce qui te concerne pour ta bonne ! »  

« Va falloir que ça change et maintenant ! »  

« Bien très bien et tu veux quoi ?!!! »  

« Que tu choisses je suis ta bonne ou ta femme ! »  

Il en fut estomaqué... Il n'avait pas une seule fois pensé qu'elle oserait parler de couple.  

Mais voilà le temps aidant et la peur de le voir mourrir avant qu'elle ne puisse lui démontrer ses sentiments l'avait emporté sur tout le reste.  

« Non mais ça va pas Kaori !!!!! Toi ma femme !???? Mais t'es complétement taré ma petite !!! Tu sais parfaitement que ça ne se fera jamais ! Je suis l'étalon de Shinjuku et certainement pas un mari !!!!.... »  

Kaori contempla son crétin de partenaire blablater et surtout détourner son regard du sien, elle comprit que décidément elle avait touché un point sensible alors elle enfonça le clou au moins se serait fait.  

Elle se rapprocha de lui posa sa main sur son épaule et lorsqu'il posa son regard sur elle, il eut une surprise de plus.  

Elle le plaqua contre le mur et l'embrassa.  

Au début il ne comprit pas ce qu'il s'était passé, puis bien vite il répondit à son baiser et la serra tout contre lui profitant à chaque instant un peu plus de son corps et d'elle.  

Elle le repoussa un instant pour mit lui susurrer à l'oreille  

« Tu en as mit du temps crétin. »  

Fin du Flash back :  

« Ce qui arriva par la suite tu le sais déjà Aï. »  

« Je ne connaissais pas cette histoire là c'est assez intense. »  

« Oui s'était une vie très compliqué, nous avons changé tout ceci a ta venue. Travailler en équipe tous ensemble c'est ça qui nous a tous sauvé. »  

« Par contre ce qui te sauvera toi qu'est ce que c'est maman ?! »  

« De quoi tu parles ?! »  

« Tu crois franchement que je n'ai pas remarqué que tu avais des contractions. »  

Kaori pouffa de rire.  

« Toi, tu es bien une Saeba. »  

« N'est ce pas ! »  

Leur conversation se trouva d'un coup interrompu.  

« Kaori, je suis là ! »  

« Papa ! Papa ! »  

« Aï tout va bien ? »  

« Oui oui par contre je crois que tu arrives juste a temps. »  

Il ne comprit pas sur le moment puis voyant sa femme apparaître, il oublia la réfléxion de son aînée.  

« Ah ma chérie. » Dit il en la prenant dans ses bras puis en posant ses mains sur le ventre bien arrondi de sa tendre moitié.  

« Toi ça va ok. Mais et les bébés ? »  

« Et bien tout vas bien si ce n'est qu'il est temps. »  

Le nettoyeur comprit de suite que son épouse allait accoucher. Et le fait qu'elle venait de perdre les eaux sur ses chaussures vint confirmer ce fait.  

« Désolé chéri. »  

« C'est bon t'inquiètes. Bon Aï s'il te plait appel le Doc et Kazue. Moi je vais installer ta mère dans la chambre pendant ce temps. »  

Aï jeta un regard d'angoisse vers sa mère qui confirma.  

Tout le petit monde arriva bien vite Miki alla s'occuper de kamimura tandis que Umibozu jouait les chien de garde devant l'immeuble avec Mick et que Ryô resta pres de son ainée dans le salon à entendre hurler sa femme.  

D'un coup il y eu un silence et il comprit que ses enfants venait de naître, et effectivement le cris d'un premier bébé se fit entendre et bien vite un second cris arriva.  

Heureusement l'ouie fini de Miki fit que celle çi accoura s'occuper du premier née, une fille Saoria Mathilde Saeba tandis que Kazue elle en vint à se préoccuper du petit garçon Daijiro aux joues bien jouflue.  

Le restant de la famille entra petit à petit dans la pièce mais l'heureuse maman ne vit pas sa fille Aïnée elle l'appela alors et entendit une petite voix.  

« J'ai tout le temps pour connaître mon autre frère et ma soeur. Par contre toi une Fête des mères comme celle ci tu n'en auras qu'une alors profite. » Déclara Aï Saeba tout en passant sa tête dans le chambranle de la porte pour envoyer son plus beau sourire à toute la maisonnée.  

***************************** FIN *****************************  

Capitolo: 1