Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: 1grisou

Beta-reader(s): TOKRA

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 2 capitoli

Pubblicato: 04-03-10

Ultimo aggiornamento: 31-03-10

 

Commenti: 26 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Tout est dans le titre.

 

Disclaimer: Les personnages de "Soirée détente" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Soirée détente

 

Capitolo 2 :: .

Pubblicato: 31-03-10 - Ultimo aggiornamento: 31-03-10

Commenti: Bonjour à toutes et à tous. Voici la suite. J’espère qu’elle vous plaira autant que m’ont plut vos reviews. Pour ce chapitre j’ai voulu jouer un peu avec les personnages alors j’espère que vous ne serez pas trop gênés sinon dite-le moi. De même pour l’humour car pour une fois je TUE personne. Merci à toto pour sa correction rapide. Bonne lecture kiss. Grisou.

 


Capitolo: 1 2


 

-Oui et cela a l’air amusant en plus. Concéda Saeko. Et si on pimentait le jeu… Dit-elle d’un ton sûr.  

 

Un seul mot suffit pour ravir deux personnes. « Pimenter » Un mot si doux à leurs oreilles qu’il raisonnait encore comme si tout était joué d’avance. Se voyant déjà les heureux gagnants, les deux hommes s’écrièrent en même temps :  

 

-Oui, oui, oui. Pimentons le jeu, pimentons le jeu !  

 

Et c’est à l’annonce de gages réservés aux perdants que l’imagination de tous, sans exception, se mit à vagabonder vers de lointaines envies inassouvies.  

 

Ryo et Mick qui se sentaient pousser des ailes. Regard complice, petit sourire en coin, ils étaient heureux de constater que leur piège se refermait aussi facilement sur leurs proies. Mais leur réflexion fut stoppée nette par deux massues qui les aplatirent comme des crêpes au sol.  

 

-Du calme, vous deux ! Prévint Kaori en rengainant son arme.  

 

Les deux crêpes au sol se relevèrent et reprirent formes humaines pour afficher une petite mine. Ils rejoignirent Umibozu qui commençait à noter les différentes actions et gages qu’il avait en tête. Les filles en firent autant de leur côté. Le géant les regarda avec un sourire dont lui seul avait le secret, fier de ses trouvailles mais passa vite à une teinte rouge sous le regard exorbité de ses acolytes.  

 

-Toi qui nous traites de pervers, tu fais fort là. dit Mick en jetant un nouveau coup d’œil sur la feuille que le mercenaire tentait de cacher.  

 

Comment pouvait-il avoir eu ces idées là ? Lui, l’homme intègre, venait lui même de se mettre au niveau des deux andouilles qu’il avait dans son équipe.  

 

En entendant cela, Umibozu rougit encore plus et se leva pour s’éclipser.  

 

-Ne pars pas. réussit à articuler Ryo, tout en s’accrochant comme une sangsue à la jambe droite du barman afin de le retenir.  

 

-Mais lâche-moi ! ! Dit-il tout en s’approchant de la porte d’entrée.  

 

-On aime bien tes trouvailles, c’est vrai ! C’est juste que…Venant de toi c’est….Comment dire ?... dit Mick.  

 

-Inattendu. rajouta Ryo en venant en aide à son ami.  

 

-Humm… marmonna Umibozu.  

 

-Bon, on s’y remet ! suggéra le nettoyeur qui avait prit place dans un coin de la pièce.  

 

Du côté des filles, la discussion allait bon train entre fous rires et mines consternées.  

 

-Vous êtes vaches de faire cela à mon Umi-chou les filles. se plaignit doucement Miki.  

 

-A la guerre comme à la guerre !  

 

-Bien dit Reika ! Moi je veux gagner et j’ai trouvé un gage magnifique que je veux voir s’accomplir, dit notre inspectrice de choc. Je ne lésinerai donc pas sur les moyens pour y parvenir.  

 

-Ne t’en fais pas Miki, tu sais qu’il t’aime, non ? tenta de la rassurer Kaori.  

 

-Je le sais très bien mais je trouve que vous y allez fort tout de même. Malgré ses grands airs il est sensible vous savez. Vous allez me le tuer avec tout ça.  

 

-C’est pour la bonne cause !  

 

-On a fini ! s’écria tout à coup Ryo. Et vous les perdantes ?  

 

-Ne vend pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué Ryo. le prévint sa partenaire.  

 

-Alors action ! dit une grosse voix qui fit sursauter tout le monde.  

 

-Il s’est pris au jeu. fit remarquer à voix basse une Saeko amusée, en donnant un coup de coude à sa voisine.  

 

-Mais où est passé Ryo ? demanda Kaori.  

 

-Ne t’en fais pas Kaori, il va revenir. Mais tu peux compter sur moi pour te tenir compagnie en l’attendant si tu veux …  

 

Et ni une ni deux, Mick s’élança dans les airs uniquement vêtu de son caleçon pour faciliter sa nage aérienne. A cette vision Kazue ulcérée fut plus rapide que Kaori restée figée devant cette apparition et lui lança une énorme massue où l’on pouvait lire « C’est à moi ça ? ».  

 

-Profites-en bien. articula difficilement Mick, même une fois sa mâchoire remis en place. C’est la dernière de la soirée ma belle.  

 

-Pardon ? Tu disais ?  

 

-Moi ? Rien ma belle ! lui fit l’Américain avec un magnifique sourire suivi d’un clin d’œil avant de l’embrasser furtivement et de rejoindre son partenaire.  

 

-Bon, on commence ? s’impatienta Reika.  

 

-On n’attend pas Ryo ?  

 

-Non, mais il va bientôt arriver. déclara Umibozu.  

 

C’est sur ces dernières paroles que tout le monde se positionna au milieu de la pièce en faisant deux lignes bien distinctes. Kaori armée d’un bloc note et d’un stylo attendait gaiement le tirage au sort. Les filles, à cause de leur supériorité numérique, avaient décidé d’un accord commun de laisser le trio commencer. C’est donc Umibozu qui fut le premier à plonger sa grosse main dans le vase réservé aux noms des femmes. Reika l’imita et tendit le papier à Kaori qui annonça Mick contre Kazue.  

 

Les deux protagonistes s’avancèrent alors que les autres s’adossèrent contre leur mur respectif.  

 

-Ma puce, je suis désolé mais…Tu va devoir de déshabiller, dit Mick d’un air sérieux.  

 

Sous cette annonce, tous tombèrent à la reverse alors que des corbeaux remplissaient la pièce.  

 

-Non mais ça va pas la tête ! S’exclama Kazue tout en dégainant sa massue.  

 

-Je plaisante ma chérie. Je plaisante voyons ! C’est drôle tu ne trouves pas ? Fit Mick apeuré mais content d’avoir réussi à éviter un mal de tête carabiné. Car le mélange alcool plus massue c’était migraine assurée au moment du réveil.  

 

-Pas trop, non. répondit sèchement sa compagne.  

 

Désireux de se faire pardonner, Mick redevint sérieux et s’approcha de sa belle en faisant mine de l’embrasser. Mais, au lieu de cela, il lui dit dans le creux de l’oreille :  

 

-Plus de massues jusqu’à demain ma chère.  

 

Et la seconde suivante, il se jeta sur Miki. Kazue fut prise de cours et ne réalisa que trop tard la portée de ses paroles. Elle avait déjà dégainé et s’apprêtait à l’écraser avec son énorme massue mais, alors que cette dernière avait presque atteint sa cible, elle stoppa net son geste sous le regard interrogateur de ses camarades de jeu.  

 

Mick qui voulait profiter au maximum de l’occasion qui lui était offerte, ronronnait comme un bienheureux la tête enfouie dans le généreux décolleté de Miki. Mais ce ne fut pas au goût d’Umibozu qui le saisit par la jambe et l’envoya valser contre le mur.  

 

-Aie ! Pourquoi t’as fait ca ? T’es dans mon équipe je te signale. Grogna-t-il.  

 

-Ne pose pas tes pattes d’Amerloque pourri sur ma femme sinon tu vas voir !  

 

-Je n’ai pas des pattes, mauvais joueur, mais bien des mains et elles sont propres ! Je les ai lavées après être allé aux toilettes moi, pas comme d’autres que je connais…  

 

-Quoi ? Répète un peu pour voir ! Beugla Umibozu aussi rouge de colère que de honte d’entendre de telles inepties.  

 

Il l’empoigna par le col tout lui en disant :  

 

-Moi Monsieur, je suis propre contrairement à toi la Chose, mes mains ne se baladent pas n’importe où, au risque d’attraper je ne sais quoi.  

 

-Ok, ok, tu peux me poser vieux, du calme. Je testais juste Kazue c’est tout. Ce n’est pas toi qui devais réagir... Mais elle !  

 

Umibozu finit par se calmer et lâcher prise en faisant valser l’Américain à travers la pièce, qui se retrouva vite les quatre fers en l’air.  

 

Kazue se mit à chercher une solution pour contrer son homme. Les massues lui étant désormais interdites, elle devait trouver une parade. Son esprit fonctionnait à toute allure mais sa réflexion fut de courte durée en voyant Umibozu foncer sur lui. Et c’est avec un faible sourire en voyant Mick tenter de reprendre son souffle qu’elle expliqua son manque de réaction à son équipe.  

 

-C’est perdu d’avance les filles.  

 

-Pourquoi ? Demanda innocemment Kaori.  

 

-Je ne vais pas tenir longtemps avec les deux pervers et leurs idioties.  

 

-Ils veulent jouer comme cela, alors jouons ! S’exclama Miki remontée à bloc en se dirigeant vers les urnes.  

 

Le second tirage au sort opposa Saeko et Umibozu  

 

-A moi de jouer ! Souhaitez-moi bonne chances les filles !  

 

Tous deux s’avancèrent au centre de la pièce. D’un côté Saeko avec une grâce de félin, roulant des hanches. Et de l’autre Umibozu avec la grâce de l’éléphant. D’un pas lourd et assuré. Tous deux se défiaient du regard.  

 

-Assieds-toi sur cette chaise. lui ordonna l’inspectrice d’un ton sec tout en la désignant.  

 

-Pourquoi faire ? l’interrogea Umibozu qui s’assit tout de même.  

 

-Tu verras mon lapin, répondit-elle en lui faisant un clin d’œil aguicheur et en lui effleurant le crane du bout des doigts tout en se positionnant derrière lui.  

 

Avec ces simples mots, Umibozu devient rose pour commencer et lorsqu’il sentit ces doigts aussi fins que ceux de sa femme caresser sa tête, il passa par toutes les couleurs, tel un arc en ciel chauve.  

 

Mick était mort de rire sous le spectacle lamentable que lui offrait son ami tout en maudissant le tirage. Il faut dire qu’il s’imaginait bien être à sa place avec Saeko sur les genoux lui susurrant des mots doux à l’oreille.  

 

« Des mots doux…. »Pensa-t-il la bave aux lèvres. « En plus je peux en profiter. Kazue est trop fière pour perdre son action aussi rapidement. Ah ce corps de déesse…. Huuumm !»  

 

Son visage de pervers disparut aussi vite qu’il était apparu lorsqu’il croisa le regard de Kazue posé sur lui. Celui-ci lui glaça le sang car il pouvait y lire comme dans un livre ouvert et ce qu’il y lut le dégrisa en une seconde.  

 

Miki de son côté commençait à bouillir. Reika avait beaucoup de mal à la retenir afin de l’empêcher de sauter à la gorge de l’inspectrice. Mais l’infirmière se calma d’un coup lorsque la détective lui dit doucement que la vengeance était un plat qui se mangeait froid. Là, le regard qu’elle posa sur son homme changea du tout au tout. Elle tenait sa « punition ».  

 

Pendant ce temps, le jeu continuait entre le barman et l’inspectrice. Saeko était toujours penchée vers l’oreille du géant et commençait à la lui mordiller. Puis elle lui susurra des choses coquines et Umibozu se raidit d’un coup ce qui fit naître un sourire de satisfaction au coin des lèvres de l’inspectrice. Elle fit le tour de l’homme pour se retrouver face à lui et remonta doucement et sensuellement sa jupe. Bien que cela n’était pas nécessaire, vu que celle-ci fendue sur un côté lui permettait de s’asseoir sans problème sur les cuisses d’Umibozu, avec un tel geste elle espérait le faire chavirer dans ses filets.  

 

Dans cette position, elle offrait à son adversaire une vue directe sur sa poitrine. Afin de juger de l’effet qu’elle produisait sur Umibozu, elle lui retira ses lunettes noires. Umibozu avait fermé les yeux de manière instinctive. Mais même aveugle, sentir les formes de l’inspectrice si proches de lui, le rendait mal à l’aise et il ne voulait pas que son regard le trahisse.  

 

-Allons, allons mon beau et fort nounours, murmura-t-elle d’une voix si chaude et si sensuelle que Falcon en eut des frissons.  

 

Puis sur un ton de dominatrice elle ajouta :  

 

-Touche.  

 

-Non, Non, parvint à articuler Umibozu.  

 

-Mais si ! Regarde, comme cela, fit-elle en lui saisissant les mains et les posant sur ses cuisses. Miki ne t’en voudra pas, profite un peu du spectacle.  

 

-Moi je veux bien ! S’écria Mick qui s’était déjà levé près à bondir…  

 

Mais Kaori veillait au grain et l’assomma de nouveau avec sa massue, espérant lui remettre les idées en place.  

 

-Aie ! C’est de la triche. T’as pas le droit de l’aider ! Se plaignit Mick.  

 

-Si ! L’action ne me concerne pas.  

 

Saeko n’avait pas prêté attention à la scène de Mick et continuait son numéro de charme pour faire craquer Umibozu. La fin semblait proche car il transpirait beaucoup et devenait de plus en plus écrevisse. Miki et les autres qui observaient la scène se demandaient quelle serait la couleur finale du mercenaire.  

 

L’inspectrice commença à déboutonner la chemise de son adversaire pour faire parcourir ses mains sur son torse volumineux et musclé.  

 

-Miki a de la chance, lâcha-t-elle sans s’en rendre compte.  

 

Cette pensée dévoilée fit ouvrir à l’homme de grand yeux de stupéfaction mais il regretta vite son geste car, même avec sa cécité, il pouvait distinguer les formes généreuses dont la nature avait doté la policière. Et il avait maintenant une superbe vue sur la poitrine de cette dernière. Malgré lui, il comprit pourquoi Ryo se faisait avoir à chaque fois. Il voulu détourner le regard mais elle lui prit la tête entre ses mains et le força à lui faire face. Il cherchait un moyen de se dégager sans la repousser violemment. Il lui fallait trouver une autre solution. Oui, mais laquelle ?  

 

Par réflexe et pour ne pas affronter le regard de la jeune femme, il recula sur la chaise qui bascula légèrement en arrière. Saeko toujours sur ses genoux fut déséquilibrée et tomba en avant. Le poids des deux personnes mais surtout celui d’Umibozu fit céder la chaise et dans un geste désespéré pour garder son équilibre, il attrapa sa tortionnaire par les épaules. Surprise par ce geste, Saeko poussa un petit cri de surprise et ferma les yeux. Et c’est dans un bruit sourd qu’ils se retrouvèrent par terre.  

 

La scène passa au ralenti dans la tête de Miki qui ferma les yeux. Ce qu’elle vit quand elle les rouvrit ne lui plut pas du tout. En effet, Saeko qui caressait le torse du barman au moment de sa chute n’avait pas eu le temps d’enlever ses mains pour parer sa chute. Elle s’était juste sentie happée en avant et était tombée la poitrine en premier sur la tête de Falcon.  

 

 


Capitolo: 1 2


 

 

 

 

 

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