Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: larson

Beta-reader(s): Lexine

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 7 capitoli

Pubblicato: 05-09-04

Ultimo aggiornamento: 25-10-04

 

Commenti: 32 reviews

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General

 

Riassunto: Bon et bien voilà, c'est une première pour moi, en espérant que ça va vous plaire !!!!! Merci à ma beta préferée Lexine de m'avoir soutenue et bonne lecture à vous !!!!!!!!!!!

 

Disclaimer: Les personnages de "Les colocataires" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Les colocataires

 

Capitolo 5 :: Chapitre 5

Pubblicato: 18-09-04 - Ultimo aggiornamento: 18-09-04

Commenti: tous dabord merci a ma beta pour me corriger et pour m'aider quand je bloque encore merci puce et pour vous voilà un nouveau chapitre alors bonne lecture en esperant que vous apprecierez !!!

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7


 

Mick et Kazue étaient partis en courant, et en riant comme des enfants, de l’appartement.  

 

- J’ai bien cru qu’il allait te tuer ! ! !  

- Oui moi aussi ! ! ! Répliqua Mick, faisant semblant d’avaler sa salive.  

 

Sur ce, ils partirent en direction du parc où ils se promenèrent, main dans la main, toute une heure.  

Kazue n’en revenait pas. C’était la première fois qu’ils passaient une journée entière en amoureux.  

Oh ! Bien sur ! Ils avaient déjà passé des matinées et même des après midis en tête-à-tête, mais jamais une journée entière, seuls, tous les deux.  

Elle était ravie de passer une journée entière, seule avec son fiancé. Elle comptait bien en profiter, même si elle se doutait que cette attention de Mick venait du fait qu’il avait tenté d’aller espionner Kaori sous sa douche.  

Elle espérait qu’il était allé l’espionner juste pour rendre Ryo jaloux et non parce qu’il aimait encore la partenaire de celui-ci et qu’il avait voulu se rincer l’œil gratuitement.  

Elle ne voulait pas savoir, juste profiter de cette journée. Elle se poserait des questions plus tard, beaucoup plus tard. Elle ne voulait pas prendre le risque d’être déçue par la réponse de Mick alors que cette journée s’annonçait splendide.  

 

- Que dirais-tu d’aller à la mer ? Il fait super beau et très chaud aujourd’hui. Demanda Mick à sa fiancée.  

- Oui ! Pourquoi pas ? Mais ! Zut ! Je n’ai pas pris mon maillot, il est resté à l’appartement. Tu aurais pu le dire avant je l’aurais pris ! ! !  

- Mais j’ai fais exprès de ne rien te dire avant, dit Mick, son sourire le plus charmeur sur les lèvres.  

- MICK ! ! ! Je refuse de me baigner nue devant tout le monde ! ! ! Dit-elle en rougissant et à moitié en colère.  

- Mais qui te dis qu’il va y avoir du monde ? ? ?  

- Je te rappelle qu’il fait très beau et très chaud. Donc, il y aura du monde forcément. C’est même sûr.  

- Non pas là où je t’emmène princesse.  

- Tu attend quoi, alors, pour m’emmener là-bas ?  

- Ok on y vas ! ! !  

 

Ils prirent leur voiture et partir à la mer.  

Avant d’y arriver, ils durent faire au moins deux heures de route. Mick connaissait une petite crique invisible de la route. Et, en effet, il avait eu raison, il n’y avait personne ici.  

Il avait fallu prendre un petit chemin à pied qui descendait sur une magnifique plage de sable blanc.  

Ils déposèrent leurs serviettes et leur glacière sur le sable : ils avaient fait les courses avant de partir.  

Mick s’approcha derrière sa compagne, pendant que celle-ci se redressait, et l’entoura de ses bras puissants. Il lui murmura à l’oreille :  

 

- Il fait très chaud tu ne trouves pas ? ? ? Lui susurra Mick d’une voix suave.  

- C’est vrai, tu as raison mon amour. D’ailleurs je crois que je vais avoir besoin de ton aide pour me déshabiller ! ! !  

- Pas de problème ! A vos ordres mademoiselle ! Je suis toujours prêt à aider une belle femme, surtout si c’est la mienne.  

 

Mick commença à embrasser le cou velouté de sa Kazue. Il promena ses lèvres sur sa peau, laissant une trace humide et chaude sur celle-ci. Ces lèvres se faisaient de plus en plus caresse.  

Il fit se retourner sa fiancée pour que leurs visages se touchent. Leurs lèvres se rencontrèrent et ce fut un bouleversement des sens pour tous les deux.  

Ils s’embrassèrent et se caressèrent plus intensément.  

Kazue passa ses mains sous la chemise de son amant et les promena sur son torse puissant et velu.  

Tout en continuant de s’embrasser, ils se déshabillèrent à toute vitesse. Les deux avaient besoins de sentir leurs peaux se toucher sans la barrière des vêtements.  

Ils arrêtèrent de s’embrasser pour reprendre leurs souffles.  

Ils se regardèrent et partirent en courant dans l’eau où ils jouèrent, comme des gamins, pendant une bonne demi-heure.  

 

Toujours dans l’eau, n’y tenant plus, ils se jetèrent dans les bras l’un de l’autre. Leurs bouches recommencèrent à se frôler pour finalement s’unir et ne plus se quitter, que pour reprendre leurs respirations respectives.  

 

Pendant qu’ils continuaient de s’embrasser, ils se caressèrent. Mick, ne tenant plus, mit ses mains sur les fesses de Kazue et la souleva. Elle passa ses jambes autour de la taille de son amant. Celui n’attendit pas plus longtemps et la fit sienne.  

Encore une fois, ils firent l’amour passionnément.  

Une fois leurs ébats terminés, ils reprirent la direction de la plage. Une fois arrivés sur la plage, Mick regarda intensément le balancement des hanches de sa partenaire. Il eut, soudain, une violente envie de lui faire l'amour une nouvelle fois. Alors, il lui sauta dessus. Ils tombèrent ensemble sur le sable et refirent l’amour très tendrement.  

 

C’est ainsi que notre petit couple passa la journée, entre très gros câlin, fou rire et moment de tendresse.  

 

Pendant ce temps-là, à l’appartement de city hunter, Ryo fulminait. Il n'avait pas pu s’empêcher de hurler après Mick. En réponse à cela, Kaori l’avait regardait d’un air étonné.  

 

« Si je continue comme ca Kaori va finir par se douter de quelques chose. C’est que je ne supporte pas qu’un autre que moi s’approche de trop près d’elle ou fasse des allusions. Je n’y peux rien. Je l’aime comme un fou et je ne tolère pas qu’un autre l’approche, elle est ma femme à moi, à personne d’autre. Je sais que c’est égoïste de ma part mais elle est toute ma vie, de bonheur du moins. Je sais que je devrais plutôt la pousser à me quitter pour qu’elle laisse tomber mon monde, qu’elle puisse aller dans un monde « normale », mais je n’en aie plus le courage. J’en ai assez de souffrir. »  

 

Kaori, elle aussi, était perdue dans ses pensées.  

 

« Je n’en reviens pas ! Pourquoi a-t-il hurlé sur Mick ? Ce n’est pas dans ses habitudes. Serait-il jaloux ? Vaut mieux ne pas se faire d’idées à ce sujet, je risque encore d’être déçue. »  

 

Finissant ses réflexions, elle se leva et sortit de table laissant Ryo seul, à table.  

 

- Ryo je te laisse débarrasser la table. Je vais essayer de faire de la poterie. On m’a dit que c’était très bien et que ça relaxait.  

- Non mais ça va pas ! ! ! C’est pas aux mecs de débarrasser la table ! ! ! C’est un truc de nana ça ! !  

- Ah ouais ? ? ? Tiens ! ! !  

 

BOOM. Une massue « spéciale macho » vint atterrir sur la tête de notre nettoyeur.  

 

- AIEEEEEEE ! ! ! ! ! ! ! ! !  

- Bien fait, ça t’apprendra ! ! !  

 

Kaori partit dans le salon et mit en place le matériel qu’une amie lui avait prêter.  

Elle repensa à l’attitude étrange qu’avait son partenaire depuis quelques jours.  

 

« c’est vrai qu’il est bizarre depuis que Mick et Kazue vivent avec nous, mais c’est pas une raison pour que je me tracasse pour ça aujourd’hui. j ai autre chose à faire. »  

 

Soudain, elle sentit son partenaire derrière elle. Celui-ci mit ses mains sur l’argile humide et, avant que celle-ci n’est pue se retourner, tartina le visage de sa partenaire.  

 

- RYO ! ! ! Attend tu vas voir ! ! !  

 

Aussitôt dit, aussitôt fait.  

 

Kaori prit une pleine main d’argile et la jeta sur son partenaire, qui du coup se retrouvait plein de boue.  

Cela dégénéra en bataille de boule d’argile.  

Ils se couraient après, dans tout l’appartement.  

Soudain Kaori glissa sur de l’argile se trouvant sur le sol. Aussi rapide que l’éclair, Ryo se précipita pour la rattraper mais glissa à son tour et ils se retrouvèrent tous les deux à terre. Ils se regardèrent et éclatèrent de rire ensemble. Ils savaient qu’ils s’amusaient comme des gamins, mais bon dieu que ça faisait du bien de se comporter comme tel de temps en temps.  

Kaori se releva silencieusement et se plaça derrière son partenaire. Celui-ci n’avait pas entendu sa partenaire se lever. Celle-ci en profita et se jeta sur lui.  

Pour la punir de l’avoir surpris ainsi, il se mit à la punir de la pire manière qui fut en lui faisant…… des chatouilles. Kaori se débattait, autant qu’elle pouvait face à son armoire de partenaire, en se tortillant. Cela donna bien du mal à ce pauvre Ryo. Pour la maintenir, il dut s’asseoir à califourchon sur elle.  

Kaori, ayant prévue le coup, retourna la situation en donnant un superbe coup de hanche. Elle se retrouva, par la même occasion, à califourchon sur son partenaire, surpris de se retrouver dans une telle position. Cela n’était pas pour lui déplaire, il devait bien l’avouer. Cela ne déplut pas non plus à son mokkori qui s’empressa, lui, de l’avouer. En effet, celui-ci pointa le bout de son nez quand Kaori commenca à se trémoussait sur celui-ci.  

Etant assise dessus, Kaori le sentit. Elle se releva à toute vitesse et vira au rouge cramoisi.  

 

« Quand je pense qu’il disait que j’étais la seule femme au monde à ne pas le faire bander ! Il m’aurait donc menti pendant toutes ces années. » Se dit-elle toute contente de l’effet qu’elle avait produit inconsciemment sur Ryo.  

 

Cette nouvelle réchauffa son cœur car maintenant elle était sûre d’une chose : Elle venait de faire un sacré effet à Ryo, et à son mokkori, d’où la réaction de celui-ci.  

 

Ryo, lui aussi, avait rougi. il se maudissait, tout de même, de cette faiblesse. Maintenant sa partenaire savait qu’elle pouvait le faire bander n’importe où, n’importe quand, n’importe comment. cela signifiait aussi qu’elle savait qu’il n’était pas si indifférent que ça à sa partenaire. le sourire de la jeune femme ne fit que confirmer ses soupçons. Ce qui n’était pas pour le rassurer.  

 

Ryo décida, quand même, de faire ce qu’il savait le mieux faire : Fuir. Il se releva et conseilla à sa partenaire d’en faire de même. Il continua sur sa lancée. Il devait parler de tout, sauf de ce qui venait de se passer.  

 

- On ferait bien de nettoyer l’appartement avant que les deux autres ne reviennent sinon on va, encore, avoir droit aux remarques de Mick ! ! !Dit Ryo, une pointe d’agacement dans sa voix.  

- D’accord, c’est parti.  

 

Ils leur avaient bien fallu une heure pour tout nettoyer.  

Ensuite, ils partirent ensemble en direction de la salle de bain pour se nettoyer de l’argile dont ils étaient recouverts.  

Là-bas, Kaori ne put s’empêcher d’arroser Ryo avec le pommeau de douche. C’était reparti pour un tour même si cette fois c’était une bataille d’eau.  

Kaori arrosa Ryo. Celui-ci fut tremper par l’assaut de sa partenaire mais ne se laissa pas faire et pris la douche des mains de sa partenaire et l’arrosa avec.  

Le sol étant maintenant trempé, ils glissèrent tous les deux et se retrouvèrent dans la baignoire. Ryo dans sa chute attrapa Kaori par la taille, pour ne pas qu’elle ne se fasse mal en tombant, et la plaqua contre lui.  

Leurs bouches ne se trouvaient plus qu’à quelques millimètres l’une de l’autre et…  

 

- Vous êtes là ? Fit Mick en ouvrant la porte.  

 

Kaori, entendant la voix de Mick, détourna la tête. Le moment magique venait d’être brisé par ce crétin.  

 

« Je vais le tuer ce type. Je vais le massacrer ! C’est pas vrai ! A croire qu’il le fait exprès cet idiot. » Se dit Ryo, alors qu’il sentait Kaori qui essayait de se relever.  

 

- Oui ! Oui ! On est en haut, on arrive. Essaya d’articuler Kaori en se relavant.  

 

Ils sortirent de la baignoire. ils étaient tous les deux genés. Mais plus que tout, ils étaient frustrés de ne pas s’être embrasser. mais ça, ils ne pouvaient pas en parler, du moins pas encore.  

 

Kaori commença à quitter la salle de bain, en direction du salon, mais se ravisa et revint au près de Ryo.  

 

- J'ai oublié quelque chose ! dit Kaori  

- Ah bon ! Quoi ? Demanda son partenaire, interloqué.  

- Ça !  

 

Kaori attrapa son partenaire par le col et lui vola un baiser.  

 

Mettant volontairement fin à ce baiser, elle partit en courant rejoindre les autres au salon  

 

- Non attend ! ! ! Dit Ryo, dans un murmure.  

 

Mais c’était trop tard, Kaori était déjà partie rejoindre Mick et Kazue.  

 

« Pourquoi l’ai-je embrassé ? Mon dieu ! J’ai osé le faire. Faut dire que j’en avais terriblement envie de ces lèvres si tendres, si douces, si charnelles… et puis, c’est la faute à Mick. Ça fait déjà deux fois qu’il nous dérange. J’ai pas pu résister. Je lui ai volé ce baiser. Je ne regrette rien car même s’il était volé, il était plus que merveilleux. Ryo embrasse vraiment très bien, même surpris. »  

 

Ryo, lui, n’en revenait toujours pas : sa partenaire venait de lui voler un baiser.  

Il se toucha les lèvres là où sa partenaire avait posé les siennes quelques instants plus tôt. Il n avait jamais imaginé que sa partenaire oserait une telle audace. Et ce n’était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Il avait aimé que sa partenaire est eue une telle initiative.  

 

- Vous avez fait quoi tous les 2 ? Vous êtes tout trempés ? Dit Mick, ayant aperçu Ryo qui essayait de monter discrètement dans sa chambre se changer. Me dites pas que vous avez fait des folies de vos corps sous la douche.  

 

Ryo entendit cette remarque de sa chambre et rentra dans une rage folle.  

 

- MICK JE VAIS TE TUER ! ! ! ! ! ! Cria Ryo  

 

 


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