Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: nanou

Beta-reader(s): Cat

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 23 capitoli

Pubblicato: 21-01-05

Ultimo aggiornamento: 14-11-05

 

Commenti: 99 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Et si Kaori retrouvait un autre membre de sa famille, je vous laisse deviner qui! je vais essayer de relever le défi de Naomy. Comme il faut qu'on me pousse pour que j'avance (un peu comme un âne qui n'a pas eu sa carotte!), je ne sais pas si je vais majer régulièrement...

 

Disclaimer: Les personnages de "Ah famille, quand tu nous tiens!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

Some pieces of advices to authors

 

- Check the grammar and spelling of your stories. - Read your story at least once. - Try to write chapters of at least 2 pages and of a maximum of 6-7 pages. - Try to update your story r ...

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   Fanfiction :: Ah famille, quand tu nous tiens!

 

Capitolo 14 :: ch 14 : Rien ne va plus!

Pubblicato: 28-02-05 - Ultimo aggiornamento: 28-02-05

Commenti: Merci à ts et en particulier à ma beta! bonne lecture, biz.

 


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Les doigts s’engourdirent sous l’effet du froid. Il se leva enfin puis se rendit chez Miki et Falcon. De toute façon, il ne voulait affronter ni Kaori, ni sa mère, il n’en avait pas la force pour le moment.  

Falcon fit comme s’il ne l’avait pas vu auparavant. Ryo se détendit et sauta sur Miki qui lui planta une fourchette dans la main avant que Falcon n’intervienne et le tire en arrière.  

 

- Aïe ! Miki, je t’ai connu plus câline !  

- Cause toujours tu m’intéresses ! cria celle-ci  

Il se rassit et but le café que lui tendit Falcon. Le breuvage lui fit du bien et réchauffa son corps, à défaut de son cœur.  

Miki demanda des nouvelles de Kaori et de sa mère. Il lui répondit vaguement, ce qui attisa la colère de cette dernière.  

- Tu pourrais être plus gentil avec elle quand même !  

- C’est elle qui n’est pas gentille avec moi, t’as vu les massues qu’elle me jette ?!  

- Oui mais c’est toujours mérité !  

- Ouais, bon…  

Il ronchonna.  

- Au lieu de faire la tête, mange ça, c’est une nouvelle recette de Miki…  

- Oh merci mon Umi adoré, comme tu es bon avec moi dit-il d’une voix féminine.  

Le géant vira au rouge écarlate.  

- Arrête enfin !!  

Ryo sourit et engloutit toute son assiette.  

- C’était bien bon, pas étonnant que tu t’accroches à Miki, c’est l’appel du ventre !  

- Ryo !! fit Miki, tu veux que j’appelle Kaori ?!  

- Non non, te fâches pas, il faut que je parte…  

- Ah bon, un rendez-vous ?  

- Ouais, salut la compagnie ! merci pour le repas…  

- Il est étrange en ce moment, tu trouves pas chéri ?  

- Peut-être…  

- Il faudrait que je parle à Kaori, il y a quelque chose de pas clair là-dessous !  

- T’as pas fini de jouer les détectives ? Miki, laisse les se débrouiller, ce sont des adultes quand même !  

- Quelque fois je me le demande…  

- Miki !  

 

Ryo traîna encore quelques heures dans les rues quand son regard fut attiré par une enseigne lumineuse…  

Son air sérieux ne fut plus qu’un lointain souvenir. Il sauta sur place : « Oh un nouveau cabaret ! Avec des filles à gogo ! Allons-y ! " Love Birds ", avec un nom pareil…ça va me plaire ! »  

« Ouh ouh les filles, venez faire connaissance avec l’Etalon de Shinjuku, vous n’allez jamais l’oublier ! »  

Aussitôt, des hôtesses aux formes avantageuses se précipitèrent vers lui. Bien entouré, il commanda du whisky.  

« Tout ça m’a bien manqué, je sais pas comment j’ai fait pour tenir une semaine ! »  

Il vida verre sur verre. Une hôtesse s’intéressa particulièrement à lui. Les cheveux blonds mi-longs, des lèvres pulpeuses, un corps magnifiquement sculpté, Ryo la suivit des yeux. Provocante, il vint s’installer sur ses genoux.  

 

- Hum…salut beauté, c’est quoi ton nom ?  

- Sarah, mon joli…  

- Ca me plaît tout ça (il lorgna sur son décolleté vertigineux)…t’es américaine ?  

- Oui mais je vis au Japon depuis 3 ans.  

- Comment ça se fait que je ne t’ai pas vu avant ?  

- Je ne sais pas…c’est quoi ton nom ?  

- Ryo ma jolie, ça te dirait de faire un tour chez moi ?  

- Dis donc, on me fait des propositions indécentes !  

- Je peux t’apprendre plein de choses…  

- Ca devient intéressant, mais je travaille mon chou…  

- T’inquiètes, je reste ici encore un moment…alors ?  

Elle hésita un moment quand Ryo lui glissa un billet dans le décolleté.  

- Alors, tu hésites encore ?  

- Pourquoi pas, où est ce que tu habites ?  

- Tu le verras par toi-même.  

- Embrasse moi chéri…  

Il déposa un léger baiser sur ses lèvres.  

- C’est tout ?  

- Le reste pour tout à l’heure !  

- A tout à l’heure Ryo.  

- A tout à l’heure ma belle….hé, apporte moi une autre bouteille.  

Il avait de plus en plus de mal à garder les yeux ouverts mais même à ce moment il pensait à Kaori. « Oh mon amour, où es-tu ? J’ai besoin de la chaleur de ton corps…reste avec moi ce soir… »  

- Hé, le soi-disant Etalon, tu parles tout seul maintenant ?  

Ryo retrouva un moment de lucidité.  

- Mick ? Qu’est ce que tu fous là !  

- Ravi de te voir moi aussi ! Dis t’aurais pu me téléphoner quand même, je veux m’amuser aussi, égoïste va !  

- Désolé vieux, installe-toi donc, c’est ma tournée !  

- Ca a l’air plutôt chouette ici !  

- Tu l’as dit bouffi, c’est un vrai paradis terrestre !  

- Hé les hôtesses, venez par ici !  

Quelques unes s’approchèrent.  

 

- Ouah, il est mignon !  

- Hé beau gosse, tu nous fais danser ?  

- Pas de problèmes les filles, Ryo, attends moi là, je vais satisfaire les désirs de ces dames !  

Il commença à se trémousser sur la piste de danse. Des filles s’agglutinèrent à lui.  

 

- Hé, où est Kazue ? T’aurais pu l’emmener que je m’amuse un peu !  

- Et puis quoi encore ?! Elle est en congrès médical avec le Doc, j’ai la voie libre !  

- T’es un sacré enfoiré quand même !  

- Kazue va te tuer si elle l’apprend !  

- T’as intérêt à rien lui dire sinon je cafte à Kaori pour toi !  

- Vas-y, j’m’en fous !  

- Ouais, tu dis ça mais quand elle te poursuivra avec sa super massue, tu vas faire dans ton pantalon !  

- Arrête tes conneries !  

Ryo se leva mais il ne tenait pas sur ses jambes. Il se rassit, sa vue se brouillait petit à petit.  

 

- Hé Sarah, dépêche toi, il ne faut pas faire attendre l’Etalon de Shinjuku !  

- J’arrive, j’arrive ! ça y est, j’ai fini mon service !  

- C’est pas trop tôt !  

Il trébucha en se levant et Sarah le retint. Sa tête plongea dans son décolleté.  

- Ouah, c’est mieux que des coussins !  

- Arrête mon chou, y a trop de monde ici, allons-y !  

- Ryo, tu t’en vas déjà ? fit Mick  

- Ouais, t’as qu’à t’amuser, moi je vais faire la nouba avec Sarah !  

- Sarah ? et Kaori ?  

- Qui c’est cette Kaori ?  

- T’occupes !  

Et il sortit en laissant son jumeau américain presque saoul, entouré de belles hôtesses.  

« J’en connais un qui va se faire passer un sacré savon ! » fit-il en rigolant.  

 

 

 

Soutenu par Sarah, Ryo se traîna jusqu’à l’appartement. L’air frais du dehors le dessoula un peu.  

- C’est encore loin ?  

- Non…on est bientôt arrivés…  

- Ouh, il fait froid !  

- Attends un peu et je vais pouvoir te réchauffer ma jolie !  

Sarah l’aida à ouvrir car il ne voyait même pas le trou de la serrure !  

 

Kaori et Sakura s’étaient couchés, car il était presque 3 heures du matin mais Kaori ne dormait pas. Elle pensait qu’il rentrerait plus tôt malgré ce qu’il avait dit mais il ne l’avait pas fait. Elle était morte d’inquiétude.  

 

Son cœur s’arrêta de battre une seconde quand elle entendit les clés dans la serrure.  

« Enfin il rentre ! »  

Soudain, elle entendit des rires de femme. Elle se leva brusquement, en prenant quand même soin de ne pas réveiller sa mère. « Il n’a pas osé faire ça ?! »  

Le spectacle qu’elle vit au salon n’était du tout de son goût. Ryo était carrément affalé sur une fille à moitié nue sur le canapé ! Il la chatouillait.  

 

- Ryo, arrête ! faisait Sarah  

- Allez Sarah, laisse toi aller !  

- Ryo !!!  

- Ka….Kaori, t’es pas couché ?  

- C’est elle Kaori ?  

- Oui Sarah, je te présente ma partenaire de travail Kaori dit-il d’une voix pâteuse.  

Sarah la dévisagea.  

- Ryo, tu peux m’expliquer ce que signifie tout ce cirque ?  

- Ben quoi, je m’amuse !  

- En ramenant cette…cette…  

- Hé, parle moi sur un autre ton toi !j’suis la copine à Ryo !  

- La …la copine de Ryo ?  

- Ouais, on va passer du bon temps tous les deux, viens Sarah, ma chambre est là-haut !  

- Ryo…  

- Sarah, aide-moi, je vois les marches en double !  

- Attends, j’arrive mon chéri !  

- Ryo, reste ici !! cria Kaori  

Elle lui attrapa le bras mais Sarah la repoussa.  

- Bas les pattes, j’m’en occupe !  

- Toi, va-t-en !  

- Kaori, mêles toi de tes affaires ! cria Ryo.  

- Mais Ryo…  

- Va rejoindre ta mère ! Je suis ici chez moi et je fais ce que je veux !  

 

Les larmes aux yeux, Kaori retourna dans sa chambre, elle ne voulait pas pleurer pour ne pas réveiller sa mère.  

« Ryo, pourquoi tu me fais ça ? »  

Elle entendit les petits cris de Sarah quand Ryo l’embrassa dans le cou et elle se boucha les oreilles. Malheureusement pour elle, sa mère se réveilla. Elle vit sa fille debout, adossée à la porte, les larmes aux yeux.  

 

- Kaori, qu’est ce qui se passe ? C’est quoi ce vacarme ?  

- Rendors toi maman, c’est rien.  

- Tu plaisantes, j’entends des rires !  

Sakura se leva et alla dans le couloir malgré les supplications de sa fille. Si elle n’avait pas eu le cœur solide, elle aurait sûrement eu une attaque devant le spectacle navrant qui s’offrait à elle : Ryo et Sarah (qui n’avait pratiquement plus rien sur elle !) enlacés sur le pas de la porte de sa chambre.  

- Mon Dieu, il manquait plus que ça !!  

Elle regarda sa fille puis de nouveau le couple devant elle.  

- C’est déjà arrivé ça ?!  

- Non…  

- Ca vous plaît de vous donner en spectacle comme ça ?  

- Je vous ai rien demandé Sakura ! lança Ryo  

- En plus vous faîtes pleurer ma fille !  

- Elle n’a pas à se mêler de ma vie, si ce que je fais ne lui plaît pas, elle n’a qu’à partir !  

- C’est ce qu’elle va faire ! Kaori, fais tes valises, on s’en va !  

- Mais maman…  

- Kaori, je ne supporterais pas une seconde de plus un individu pareil !  

- Chouette, on va avoir la paix ! fit Sarah  

- Vous la greluche, je vous ai rien demandé !  

- Hé la vieille, comment tu me parles ?!  

- Je vous interdis de parler à ma mère comme ça !!  

Et elle gifla Sarah.  

 

Elles allaient en venir aux mains quand Ryo s’interposa.  

 

- Kaori, vaux mieux que tu partes…  

- A cette heure-ci, où veux-tu que j’aille ?  

- Ok, je vous laisse quelques heures mais à mon réveil, je ne veux plus te voir !  

- Ne vous inquiétez pas, Kaori et moi partirons bien avant Ryo. Merci quand même de m’avoir hébergé ces quelques jours !  

Elle tourna les talons, suivie de sa fille.  

Arrivée dans sa chambre, Kaori se jeta dans les bras de sa mère et pleura.  

 

- Allons ma chérie, tout ça sera fini demain !  

 

Dans la chambre de Ryo…  

 

- Ryo, qu’est ce que tu fais ? fit Sarah.  

Ryo posa un doigt sur sa bouche. Il colla son oreille contre la porte pour s’assurer que Kaori et Sakura dormaient. Puis il se tourna vers Sarah.  

 

- Bon, j’ai sommeil, tu peux dormir ici, je dormirais par terre, mais je veux que tu partes mon réveil…  

- Quoi ? mais Ryo, je croyais que…  

- Non…hors de question, fais ce que je te dis !  

- Mais tu me prends pour qui ?! Je ne suis pas à tes ordres ! Si c’est comme ça, je préfère partir ! J’ai horreur qu’on se moque de moi, salut !  

Et elle partit en claquant la porte.  

 

- C’est ça, bon débarras ! Tu n’aurais pas dû parler à Sakura comme ça !!  

 

 

 

 

 


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