Capitolo 10 :: la révélation

Pubblicato: 23-02-05 - Ultimo aggiornamento: 23-02-05

Commenti: voila un nouveau chapitre j'espère qu'il vous plaira .... merci pour les reviews

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La limousine filait à toute allure vers le manoir. Elle transportait le bambin, Kaori et l’homme qui voulait faire de la jeune femme l’objet de ses désirs. L’homme n’était guère dans le même état que la demoiselle. Il avait été quelques peu déçut par la nouvelle.  

« Je vais devoir renvoyer cet incapable… »  

Kaori sursauta sur son siège, son cœur se mis à battre à tout rompre. Le chérubin sentit la détresse de la jeune et se mis à pleurer. La demoiselle berça tendrement l’enfant, et vit le regard du tueur changer du tout au tout. Ses yeux prirent une teinte plus douce, il regardait avec tendresse le couple d’anges.  

« Mademoiselle vous avez vraiment un don … » Il tourna la tête vers la vitre, cachant la gène qu’avaient produite ses paroles.  

Kaori ne releva aucunement la remarque qu’avait fait l’homme, bien heureuse que le mouflet se soit manifesté. Ces pleures avaient été d’un grand secours, la jeune femme pu se remettre de ses émotions. (Oui, elle est peut être devenu une pro, mais elle reste notre petite Kaori ! nda). L’homme commença à ouvrir la bouche, quand la voiture s’arrêta : ils étaient enfin arrivé devant le manoir.  

Pendant ce temps à la clinique du docteur :  

Après quelques minutes de trajets à pieds, Ryo qui venait de pousser la porte de la clinique, fut surpris de voir le vieil obsédé en pleures.  

« Doc… ? »  

« C’est Kaori… »  

De terribles pensées vinrent envahir les pensées de Ryo. « Elle est … »  

« Oui … Elles est bien vivante… » Un troupeau de libellule envahit la pièce. Ryo martela la tête du pauvre septénaire.  

« Tu m’as fait une peur bleue…Ne me fait pas de frayeurs pareilles… »  

Le doc lui remis le mot que lui avait laissé Kaori. Des larmes perlèrent sur le visage de Ryo.  

« Ah oui … Elle m’a dit de te dire qu’elle attendait un heureux évènement… Je ne savais pas que cela était devenu si sérieux entre vous » dit le vieillard en taquinant le jeune homme du coude.  

« Ah ah ah ah …» le jeune homme qui était gêné au départ, repris un air sérieux et décacheta la lettre de sa compagne.  

Le doc laissa Ryo en paix à cet instant. Il enleva le morceau de papier avec délicatesse de l’enveloppe, ce qui ne manqua pas de faire sourire le septénaire. Ce n’est pas la première fois que sa partenaire lui laissait un mot, mais celui-ci avait une importance toute autre.  

« Ryo chéri, si tu lis ses quelques mots, c’est que cette lettre t’ai parvenu sans encombres, sache que ta Kaori shan est en parfaire santé. Je suis heureuse de t’annoncer que je porte tes enfants… ». Ryo eu un rire nerveux à cet instant…  

« Ah Ah Ah … m’enfin pourquoi pas après tout » se dit Ryo dans son fort intérieur.  

« Oui, je suppose que tu n’as pas écouté le doc jusqu’au bout, alors cette annonce à du te faire un choc. J’aurais aimé te l’annoncer moi-même.  

Ryo chou… après ma libération, j’aurais quelque chose à te demander…  

Je veux que tu me promettes de ne pas trop te faire de soucis pour moi… Mais je te supplie de me retrouver assez rapidement. Je ne sais pas encore ce que cet homme veut de moi. J’ai du le tromper, ce tueur veut s’approprier nos enfants, et ma personne. Je ne lui ai rien révélé, par crainte certainement. Je ne voulait pas perdre ce que l’on avait construit ensemble.  

Ton sugar Boy , je qui t’aime. »  

Ryo replia avec attention le papier. Ses yeux devinrent plus noirs que d’accoutumé. Il se tourna vers le doc, qui lui donna les renseignements qu’avait laissé Kaori. Il les glissa dans la poche de son vieux cache poussière. Le jeune homme remercia d’un signe de la tête le doc, tourna les talons et se dirigea vers son appartement. Certes la jeune femme lui avait demandé de ne pas se faire de bile, mais elle ne lui avait pas interdit de remuer ciel et terre pour l’arracher aux mains de ce psychopatepsychopathe.  

Au même moment … Au manoir :  

Kaori avait encore le bambin dans les bras quand elle descendit de la voiture. Jason ne voulait plus quitter la jeune femme. Le tueur s’approcha du loupio et l’emmena. Les cris de l’enfant déchirèrent le cœur de la demoiselle.  

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