Capitolo 9 :: inversement de situation...

Pubblicato: 25-12-06 - Ultimo aggiornamento: 25-12-06

Commenti: salut^^ joyeux noel a tous et a toute !!! ca fait un bail que je n'ai pas posté de nouveau chapitre a croire que vous avez oublié mon histoire ( au fond j'éspère que non!! lol) mais bon j'espere que mes fidéle lecteurs cseront au rendez-vous lol ( je n'en doute point !!) j'ai eu quelque problémes ces derniers temps car j'avais eu beaucoups d'etude mais mnt que g un peu stabilisé ma situation je vais pouvoir reprendre ma vie hojofanienne et majer de plus en plus souvent au grand plaisir de mes tres cher amis hojofanniens que je salut tres fort et à qui je donne un tres gros bisou ( ~_~!) bonne lecture !!! et n'oublier pas de laisser une tite REVIEW !!!!!

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Le port de Tokyo était très mouvementé cette nuit là, beaucoup de bateaux transportant de très importantes marchandises venaient d’arriver, l’affolement se lisait sur le visage de toutes les personnes présentes qui couraient à tort et à travers. Les marins, heureux de se retrouver sur la terre ferme, sautaient par ci et par là, tout en pensant à ce qu’ils vont faire durant leur journée de repos en ville.  

Un homme regardait la scène de loin, il la regardait sans vraiment la voir, car son esprit était ailleurs, toutes les personnes qui défilaient sous ses yeux ne changeaient en rien l’image qui dominait son esprit.  

Ses idées étaient toutes brouillées, son cerveau ne fonctionnait plus normalement, les circuits de son corps émettaient des ondes de dépression très énormes.  

Tout allait de travers chez lui cette nuit là, elle avait pourtant bien débutée : une soirée de luxe, un verre de whisky à la main, la compagnie des plus grandes têtes du business international…jusqu’à ce qu’il la vit, elle , celle pour qui il avait tout abandonnait, son passé, son métier, ses habitudes, ses tendances, ses caprices…celle qui a tout ignoré en se jetant dans les bras de cet inconnu…il était prêt à tout lui raconter concernant les sentiments qu’il portait pour elle, mais hélas et à tout lui raconter concernant les sentiments qu’il portait pour elle, mais hélas, tout a pris une autre tournure…  

« Pourquoi le destin s’acharne-t-il toujours sur moi ? »  

Il ne voulait pas assister à cette soirée où il devait encore une fois bien se tenir, mais elle avait insistée…il ne voulait pas la contredire, surtout pas aujourd’hui…  

Il enfila son smoking, se regarda une dernière fois au miroir, sortit une petite boite de sa poche, celle-ci contenait une petite bague en diamant, il la contempla un moment puis referma la boite et la mit dans le tiroir…  

Il descendit les escaliers et la vit, Kaori Makimura, la femme qui lui apprit à aimer avec son cœur, d’oublier la notion de rancune, son indifférence face à la mort, son attachement douloureux à son passé, son complexe de solitude, celle pour qui il cessa de n’être que l’ombre de lui-même.  

Elle était splendide dans sa robe moulante, sa coiffure, son maquillage, tout lui allait à merveille…comme toujours.  

« Elle veut ma perte, ma parole !!! Comment veut-elle qu’un malheureux amoureux que je suis puisse résister toute une soirée. »  

Heureusement qu’il n’y avait que des hommes dépassant la quarantaine, un peu vieux à son goût ce qui le calma momentanément. Soudain, il vit deux hommes entrer dans la sale, la trentaine, assez charmant pour le mettre en état d’alerte rouge.  

Il allait leur parler quand il vit Kaori se planter devant eux. Il fit alors marche arrière, et alla se verser un vers de whisky qu’il but en une gorgée.  

Kaori parla un peu avec le bronzé et se dirigèrent tout les deux vers le jardin, il les avait suivit mais les perdu aussitôt de vue : ils avaient disparu !  

Il retourna à la salle pour voir s’ils étaient revenus, mais toujours rien ! Il attendit encore une bonne demi heure, puis décida d’aller rejeter un coup d’œil dans le jardin.  

C’est alors qu’il vit la lumière était allumé dans la chambre de Kaori, une scène affreuse défila sous ses yeux et monta en courant au premier étage.  

En entrant il vit Kaori, endormit sur le lit, en peignoir.  

Il entendit du bruit dans la salle de bain, la porte s’ouvrit et le brun en sorti, une serviette enroulée autour du corps…  

Une larme coula, un cœur se brisa, une lumière venait de s’éteindre dans la ville de Tokyo…  

Pedro, comprenant que le jeune homme avait peut-être mal interprété la scène s’adressa à lui en essayant de lui expliquer mais trop tard, il avait déjà quitté la pièce…  

« Soit maudite Kaori Makimiura, tu n’es qu’une femme comme toute les autres… »  

‘Slash !!!’  

Le son d’une gifle venait de retentir dans les quatre coins du port… plusieurs marins se sont arrêté pour voir ce qui se passait…  

La femme qu’il avait vue auparavant sortir de la Mercedes grise s’était dirigé vers le pauvre homme assis sur le rocher et lui donna une gifle magistrale…  

Ryo, encore sous le choc, leva les yeux et vit Kaori devant lui. Elle était là, comment l’avait-elle trouvé ?  

« Ryo Saeba, tu n’es qu’un lâche, je suis bien supérieur à toutes tes remarques… je t’avait surestimé…pour un si peu tu t’emballe, quel idiot !!! Je te déteste… »  

« Mais Kaori !!! Attend !!! Tu as… »  

« Même si je suis convaincue que je ne te dois pas d’excuse, mais il ne s’est rien passé de ce que tu as imaginé… »  

« Kaori,…je… »  

« Ryo Saeba, tu n’es rien que mon tuteur, alors abstient toi à ne pas dépasser les limites du respect le temps que je ne sois plus sous ta tutelle… »  

« Je… »  

« Tu pourrais toujours rester chez moi, mais chasse que je te maudit !!! »  

« Je suis désolé… »  

Elle retourna à la voiture, et fonça en direction de sa maison.  

« Tu l’as trouvé ? »  

« OUI ! »  

« Kaori je suis désolé de t’avoir crée autant de problèmes !!! »  

« Mais non !!! En plus c’est ma vie à moi, il n’a pas à s’en mêler…il n’est que mon tuteur !!!! Et rien de plus tu comprends !!! Je suis venu le voir, juste pour, pour…pour…ne pas qu’il y ait d’ambiguïté c’est tout !!! Oui voilà c’est juste pour ça mais moi je fais ce qui me chante !!! »  

« Oui…bien évidemment !!! Tu fais ce qui te plait …juste une petite remarque et ne le prend pas mal, je te jure que ce n’est pas pour te contredire mais… »  

« OUI VAS-Y CRACHE LE MORCEAU !!!!!!!!!!! »  

« Euh…on est en plein centre ville et tu roule 110km/h …tu ne vois pas qu’on pourrait se retrouver au fond d’un mur ??? »  

« Euh…oui tu as raison ^ _ ^ ‘’ »  

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