Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: Tiffany

Beta-reader(s): Sabi

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 2 capitoli

Pubblicato: 24-09-06

Ultimo aggiornamento: 28-03-09

 

Commenti: 20 reviews

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RomanceRomance

 

Riassunto: Une fic inspirée de la chanson de Laurent Voulzy et alternative.

 

Disclaimer: Les personnages de "Derniers Baisers" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Derniers Baisers

 

Capitolo 2 :: Comment tout commença

Pubblicato: 28-03-09 - Ultimo aggiornamento: 28-03-09

Commenti: Salut tout le monde !!! Ca fait très longtemps, je sais. Pour me faire pardonner, je vous offre un nouveau chapitre et même une nouvelle fic. J'espère que c'est assez pour me faire pardonner. N'oubliez pas de me dire ce que vous en pensez. Kiss. Tiffany.

 


Capitolo: 1 2


 

Cinq mois plus tôt  

 

Kaori, allongée sur le canapé, entendit son frère approcher.  

- Salut Hide. Comment s’est passée ta journée ?  

- Fatigante. J’ai reçu une nouvelle mission.  

Elle se redressa brusquement. Elle semblait assez intriguée.  

- Elle sera dangereuse ?  

- Non pas plus qu’une autre répondit Hideyuki, un peu surpris de cette question.  

- Alors pourquoi tu m’en parles ? D’habitude, tu fais tout ce que tu peux pour m’éloigner de tes missions.  

Déjà à l’époque, quand il était policier, il ne la mettait au courant de ces affaires que quand c’était nécessaire. Mais depuis qu’il avait quitté son métier pour devenir le partenaire de City Hunter, il la tenait encore plus dans l’ignorance. Kaori ignorait jusqu’au nom de ce fameux partenaire.  

- En fait, si je t’en parle c’est parce que, pour cette mission, je dois me rendre à Hawaï.  

- Hawaï ! Pourquoi faire ?  

- Le client tient un hôtel là-bas et d’après lui, il est en danger de mort. Ca serait l’un de ses ennemis qui le menace.  

- Ca serait ? Tu ne le crois pas ?  

- Non, je crois que tout ça, c’est dans sa tête. Mais il nous paie une fortune alors je ne refuse pas. Notre rôle consiste à le protéger et découvrir qui veut attenter à sa vie.  

- Pendant combien de temps dois-tu t’absenter ?  

- Justement, je ne sais pas combien de temps me prendras cette affaire et je ne veux pas te laisser seule ici.  

Kaori soupira, exaspérée.  

- Hide, combien de fois devrais-je te répéter que je ne suis plus une petite fille. Je n’ai pas besoin d’être surveillée.  

- Je sais mais…  

Elle ne lui laissa pas le temps de se justifier.  

- Et qu’est-ce que tu avais prévu pour moi ?  

- Je me disais que puisque tu as finis tes examens et que tu es en vacances… Tu pourrais m’accompagner ? Il y aura aussi Saeko et tu pourrais proposer à Eriko de venir avec toi ?  

Elle le regarda amusée.  

- Je suppose que si tu emmènes Saeko, ce n’est pas que pour des raisons professionnelles ?  

Le jeune homme rougit sous le regard malicieux de sa jeune sœur.  

- Bien sûr que si ! Elle doit nous fournir les informations qu’on demande. Elle peut consulter les fichiers de la police et ça nous sera utile.  

Hideyuki avait bafouillé ces paroles de façon rapide et presque incompréhensible.  

- C’est ça, à d’autres. Au fait, ton coéquipier sera là ?  

Aussitôt le visage de son frère se ferma.  

- Oui, mais ne compte pas le voir. Il n’habitera pas à l’hôtel.  

- Pourquoi ? Il serait plus efficace s’il est prêt du client.  

- Kaori, on en a déjà parlé. Tu sais que je ne veux absolument pas que tu le rencontres.  

- Hideyuki ! Tu es tout le temps en train de t’inquiéter pour moi pour un rien et moi je n’aurais pas le droit de l’être pour toi ? S’il était vraiment aussi admirable que tu le dis, tu n’auras pas aussi peur que je le rencontre.  

Ce n’était pas la première fois qu’ils avaient cette discussion. En fait, ces derniers temps, ils se disputaient de plus en plus à ce sujet.  

Depuis que son frère était revenu à moitié mort d’une mission, Kaori ne pouvait s’empêcher d’avoir peur. Peur de ne pas le voir revenir.  

- Changeons de sujet tu veux. Je n’ai pas envie qu’on se dispute. Alors tu viens ou pas ?  

- A une seule condition : que tu me laisses amener Jeff en plus de Eriko.  

Jeffrey était l’un des amis de Kaori. Ils fréquentaient la même université depuis quatre ans. Il venait souvent chez eux. Lui, Eriko et Kaori étaient en fait devenus inséparables.  

- Ok. Mais j’ai besoin d’une réponse rapide car l’avion s’envole demain, à midi.  

- Si vite ? Bon, je les appelle.  

 

Kaori monta dans sa chambre. Elle téléphona immédiatement à sa meilleure amie.  

- Eriko Kitara à l’appareil j’écoute.  

- Eri c’est moi.  

- Oh ma petite Kao, ça fait longtemps. Pourquoi tu m’as laissé sans nouvelle pendant tout ce temps.  

- Eriko, tu crois pas que t’exagère un peu ? Ca fait seulement une semaine et demie. Et je te signale que j’avais des examens.  

- Au fait, t’as reçu les résultats ?  

- Oui, je passe !  

- Plus qu’un an et tu seras profiler. Comme tu as toujours voulu être.  

- Et toi, est-ce que tu as reçu une réponse du magazine ?  

- Oui. Ils ont adorés mes créations ! Ils veulent les présenter au défilé qui aura lieu en octobre prochain. Il y aura toutes les pointures du milieu.  

- C’est génial !  

- Oui mais j’ai mis une condition. Que je puisse choisir le mannequin qui portera mes créations. Toi. Et tu n’as pas le droit de refuser.  

- Eri ! Il y a des femmes dont c’est le métier. Elles sont bien plus jolies et qualifiées que…  

- Kao, j’ai dessiné ces vêtements en pensant à toi. Il n’y a que toi qui puisses les mettre en valeur.  

- J’y réfléchirai promit Kaori tout en sachant qu’elle refuserait.  

Soudain, elle se souvint de la raison de son coup de fil.  

- Au fait Eri, ça te dirait des vacances à Hawaï ? Si tu n’as rien d’autres de prévu.  

- A Hawaï ?  

- Oui, c’est Hideyuki qui invite. On résidera dans un grand hôtel, très luxueux.  

En fait, elle n’en savait rien. Elle ignorait quel genre d’hôtel c’était mais son amie aimait le confort alors elle n’hésita pas une seconde à mentir. Ou plutôt à enjoliver les choses.  

- Il a cambriolé une banque ou quoi ?  

Kaori éclata de rire.  

- Non. Un de ses clients tient un hôtel là-bas. En échange des services de mon frère, on peut loger gratuitement.  

- Un hôtel luxueux sur une île paradisiaque. Des plages de sable fin. Et qui dit plage dit beaux gosses torses nus. Avec plaisir déclara Eriko.  

- Ok. Je pensais que tu accepterais pour être avec moi la taquina Kaori.  

- Mais c’est aussi pour toi que je me sacrifie. Moi qui comptait passer les vacances devant ma télé à stresser pour le défilé. Tous mes projets tombent à l’eau.  

- Mais bien sûr. Bon prépare tes bagages, on décolle demain. A midi.  

- Si tôt ?  

- Et oui, si tôt. Bon je te laisse. A demain.  

- A demain ma puce.  

 

Ensuite elle composa le numéro de son camarade d’université.  

- Allo ?  

- Salut Jeff ! Comment tu vas ?  

- Kao ! Tu n’as pas honte ! C’est seulement maintenant que tu penses à m’appeler s’écria son interlocuteur.  

- Désolée. J’avais besoin de repos après les exams. Au fait, comment sont tes résultats ?  

- Ca aurait put être pire. En tout cas je passe. Je ne te pose même pas la question. Je suppose que tu as eu les meilleurs résultats de toutes les classes confondues.  

- Tu exagères. Mais je t’appelais pour savoir si tu avais des projets pour les vacances ? demanda la jeune fille.  

- Pas vraiment. Pourquoi, tu veux les passer à faire des folies de ton corps avec moi ? interrogea Jeff en prenant une voix coquine.  

- Jeff ! Il est hors de question que je fasse quoique ce soit avec toi. En fait, je me demandais si ça te dirait de les passer avec moi et Eriko à Hawaï ? Gratuitement, c’est mon frère qui invite.  

Il sembla hésiter une seconde.  

- Je ne sais pas si c’est une bonne idée déclara-t-il.  

- Pourquoi ?  

- Ben… Toi et Eriko en maillot sur la plage… Je ne sais pas si je pourrais résister.  

Elle éclata de rire.  

- Idiot ! Je prends ça pour un oui. Soit à l’aéroport demain à midi. Et soit à l’heure pour une fois, on ne t’attendra pas.  

- D’accord, à demain ma belle. Je t’aime.  

- Moi aussi je t’aime. Salut.  

 

 

Kaori redescendit au salon. Son frère était en pleine conversation téléphonique. Sans le vouloir, elle surprit la discussion.  

- Oui je pars demain.  

- Ca fait bientôt une semaine que je t’attends s’écria Ryo.  

- Je sais bien que je devrais y être mais je ne pouvais pas laisser ma sœur toute seule ici.  

- Tu as peur qu’elle fasse des folies de son corps pendant ton absence ?  

- Surveilles tes paroles sinon, je vais faire le plaisir de tout les gens du milieu en te descendant de mes propres mains s’énerva Makimura.  

- Mais je plaisante. En tout cas, j’ai passé une semaine magnifique ! La plage, les femmes en bikini,…  

- J’espère que tu l’as mis à profit pour repérer les lieux.  

- Bien sûr. Dès que j’ai atterri, je me suis mis au travail. Un vrai pro ne se laisse pas distraire par un joli décor.  

- C’est ça. A qui tu veux le faire croire. Je parie que tu as passé ton temps à importuner toutes les femmes que tu croisais.  

- Ce n’est pas ma faute si dès qu’elles aperçoivent mon corps d’étalon, elles craquent toutes.  

Il éclata de rire en entendant cette réponse, tout à fait le genre de Ryo.  

- Bon, je te laisse y retourner, étalon de mes deux.  

- Qu’est-ce que tu viens de dire ? Répète si t’es un homme ! cria le nettoyer, outré qu’on puisse douter de ses « compétences ».  

Le rire d’Hideyuki résonna de nouveau.  

- A demain.  

Sur ce il raccrocha. Il sursauta lorsqu’il se retourna et vit sa sœur sur le seuil, un sourire attendrie aux lèvres.  

- C’est dingue ! Dès que tu parles avec lui ou un de tes amis du « milieu », c’est comme si tu étais transformé. On sent que tu es dans le monde qui te convient. J’aimerais te voir comme ça avec moi.  

- C’est vrai que ce sont des gens formidables. Mais tu es la personne qui compte le plus à mes yeux. C’est vrai qu’on passe notre temps à se prendre la tête, mais c’est ce que font tous les frères et sœurs entre eux. Tu me rends très heureux et fier n’en doute pas.  

Kaori, émue, s’approcha et prit son frère dans ses bras.  

 

 


Capitolo: 1 2


 

 

 

 

 

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