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Capitolo 29 :: Doutes et inquiètudes Pubblicato: 24-02-08 - Ultimo aggiornamento: 24-02-08 Commenti: Vous allez savoir ce que Kaori va répondre à Ryo et je vous ai préparé une surprise.Bisou et bonne lecture!
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-Kaori, depuis que je t’ai rencontré, je ne vois plus la vie de la même manière. Je ne conçois pas une seconde de ma vie sans toi. Je…je t’aime, souffla t-il. Kaori mon coeur, veux-tu m’épouser ?
-Quoi ? Tu es sérieux ?demanda Kaori alors que son cœur battait la chamade.
-Je n’ai jamais été aussi sérieux de toute ma vie. Kaori, dis oui…dis oui, implora t-il.
La réaction de Kaori ne se fit pas attendre.
-Oh oui ! Oui, bien sur que je veux t’épouser.
Ryo lui passa délicatement au doigt un anneau en or sertit de diamants qui brillait de milles feux sous les phares et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Kaori en fut émerveillée.
-Ryo ?
-Oui.
-Je t’aime.
Ryo se détacha de Kaori et la regarda longuement. Elle était tellement rayonnante. Il voyait bien que lui seul pouvait la rendre heureuse.
-On rentre ?proposa gentiment Ryo.
Kaori hocha la tête pour toute réponse et ils repartirent vers l’appartement de Ryo. Enfin leur appartement.
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Kaori monta les escaliers qui la menait à la chambre de Ryo et arrivée à celle-ci, elle se plaça devant le miroir et s’observa. Elle était heureuse. Ca se voyait à son visage. Elle soupira de bonheur et voulut enlever sa robe mais une main sur son poignet l’arrêta.
-La soirée n’est pas terminée princesse, dit Ryo en la retournant vers lui.
-Toi, tu as une idée derrière la tête.
-Suis-moi, répondit-il avant de la tirer jusqu’au salon.
Une douce mélodie très connue tournait.
-M’accordes-tu cette danse ?
-Mais avec plaisir, répondit Kaori en souriant.
Il l’attira à lui et colla son front contre le sien. Serrés l’un contre, ils étaient coupés du monde, dans leur univers à eux. Ryo enfouit sa tête au creux du cou de Kaori et respira son parfum. Un parfum vanillé s’y dégageait.
La musique s’arrêta mais ils restèrent enlacés un bon moment avant de monter à l’étage.
Quelques jours plus tard, Ryo s’inquiéta de la santé de sa douce. En effet, celle-ci commençait à avoir des nausées. Ils se rendirent donc chez le doc.
Celui-ci lui fit une prise de sang à Kaori et leur annonça qu’il aurait les résultats dans deux jours. Ils se rendirent donc au Cat’s.
Kaori entra la première suivit de près par Ryo.
-Bonjour ! Lança joyeusement Kaori.
-Salut ! Dit simplement Ryo.
-Bonjour vous deux ! Salua gaiement la barmaid.
Falcon se contenta d’un simple signe de tête.
-Alors quoi de neuf ? demanda Miki à Kaori.
Kaori allait répondre quand le deuxième plus grand pervers du Japon entra dans le café et s’envola en direction de Miki.
-Miki !! Mon amooouuur dans mes braaaaaas !!!!!
Malheureusement pour lui et heureusement pour Miki, il fut arrêté par le poing d’Umibozu. Il s’écrasa au sol lamentablement alors que Ryo riait.
-Il est pathétique, soupira Kaori en secouant la tête de désespoir.
Mick se releva et s’approcha de Kaori.
-Pas la peine d’être jalouse Kao-chan, fit Mick d’un air charmeur en posant ses mains sur la poitrine de Kaori.
-Eh pas touche !retentit la voix menaçante de Ryo.
-Vous n’êtes pas ensemble à ce que je sache non ?
-Je ne me répèterai pas Mick, ôtes tes sales pattes de là.
Mick observa Ryo. Il n’avait pas l’air de plaisanter. Il en était à ses réflexions quand une massue l’envoya visiter la profondeur des murs. Kaori, rouge de colère, se rassit essoufflée.
Ryo se leva et alla s’asseoir à une table où Mick le rejoint quelques secondes après.
-Dis donc, t’avais l’air sérieux. J’ai failli te croire. Tu ferais un bon comédien.
-J’étais sérieux. Ecoutes, commença Ryo mal à l’aise. Je…J’ai décidé d’épouser Kaori.
-Quoi ?!? Cria Mick.
-Ne crie pas si fort.
-Désolé, dit Mick en se calmant. Je ne savais pas que c’était si sérieux entre vous.
-Je sais. Mais elle est tellement unique.
-T’inquiètes pas je sais ce que tu ressens, compatit Mick. Je suis passé par là moi aussi ne l’oublie pas.
Ryo sourit.
-Une question.
-Vas-y je t’écoute, répondit Ryo en reprenant son visage sérieux.
-As-tu pensé au fait que Kaori travail pour le FBI est qu’elle devra retourner à New York ?
Ryo fronça les sourcils. Bien sur que non qu’il n’y avait pas penser. Il devrait peut-être en parler avec elle.
-On verra plus tard, déclara Ryo en se levant. Tu viens ? demanda t-il ensuite à l’attention de Kaori.
-Euh…Oui, répondit-elle étonné qu’il veuille partir aussi tôt.
Elle fit un signe à ses amis alors que Ryo passait déjà la porte. Ils marchèrent en silence. Ryo était perdu dans ses pensées et Kaori lui jetait des coups d’œil à la dérobée.
Sans s’en rendre compte, ils arrivèrent chez eux. Entrant dans l’appartement, Ryo alla directement dans sa chambre. Kaori qui commençait à trouver son comportement suspect monta et toqua à la porte… Aucune réponse.
Elle entra et trouva Ryo allongé, les bras croisés derrière la tête, l’air pensif. Elle s’approcha du lit et s’assis sur le rebord.
-Ca va ? demanda Kaori en posant une main sur son torse.
Ryo sursauta et se redressa vivement prêt à bondir. Kaori, surprise faillit tomber.
-Du calme Ryo ! Ce n’est que moi.
-Kaori… ?
Il était surpris de ne pas avoir sentit sa présence. Il aurait pu se faire tuer par n’importe qui.
-A quoi tu penses ? demanda t-elle en souriant.
-A rien de spéciale.
-Tu peux me le dire tu sais. Depuis qu’on est sortit du Cat’s, tu n’as pas dit un seul mot et tu es resté pensif.
-Mais puisque je te dis que ce n’est rien.
-Je vois bien que quelque chose te tracasse alors je ne bougerais pas d’ici tant que tu ne me parleras pas.
Kaori croisa ses bras sur sa poitrine et attendit.
Ryo soupira et voyant qu’elle ne lâcherait pas l’affaire aussi facilement se décida à parler.
-Tu as raison. En effet, quelque chose me tracasse.
-Dis moi, je t’écoute.
-Eh bien pour tout te dire, avant de te demander en mariage, j’avais oublié une chose.
-Laquelle ?
-Tu travailles à New York et ta vie est là-bas.
-Non Ryo. Ma vie est ici, avec toi.
-Kaori tu travailles dans la police et tu devras de toute façon retourner à New York.
Kaori sourit.
-Pourquoi tu souries ?
-Penses-tu vraiment que j’aurais accepté de t’épouser sachant que je devrais retourner à New York.
Ryo était totalement perdu.
-Réfléchis un peu. Pourquoi croies-tu que David est repartit au States sans moi ?
Ryo se mit à réfléchir à vitesse grand V ne comprenant toujours pas ce que Kaori voulait dire. Si il était partit seul sans Kaori, soit il l’a viré ce qui est impossible soit elle a…Et soudain, l’illumination se fit.
Il leva la tête et encra ses yeux dans les siens.
-Tu…Tu n’as quand même pas…
-Et si, le coupa t-elle tout sourire. J’ai bel et bien démissionné.
-Mais pourquoi ?
-Je te l’ai dit, ma vie est ici, avec toi.
Ryo la regarda encore surpris. C’était bien la première fois qu’une femme quittait pour lui. Son amour pour elle se renforça encore plus. Cette femme…Non…Sa femme était la plus formidable.
-Je t’aime.
-Moi aussi.
Il lui sourit et l’attira à lui.
-J’ai envie de toi.
Kaori ne répondit pas mais l’embrassa passionnément pour lui montrer qu’elle aussi avait envie de lui.
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Kaori était anxieuse. Et il y avait de quoi. Elle attendait un appel du doc et elle avait peur qu’il lui dise qu’elle était malade ou un truc dans le genre.
Ryo n’était pas là et dans un sens, ça l’arrangeait bien.
11h44.
Driiiiiiiing…Driiiiiiiing.
Kaori sursauta. Elle se leva et décrocha le téléphone tremblant.
-Allô, dit-elle d’une petite voix.
-Kaori bonjour. C’est le doc.
Le soir venu, Ryo rentra et trouva Kaori assise sur le rebord de la fenêtre, le regard perdu dans le lointain. Il s’approcha d’elle et l’embrassa. Elle releva la tête, lui sourit puis alla s’asseoir sur le canapé.
D’un signe de main, elle fit signe à Ryo de venir s’asseoir. Celui-ci s’exécuta et attendit que la jeune femme parle.
-Ryo.
-Oui.
Elle inspira profondément.
-Il faut que je te dise un truc.
-Vas-y, répondit simplement Ryo.
-En faite, je…
-Alors ?s’impatienta Ryo.
-Ne me presse pas ! C’est déjà difficile à dire alors n’en rajoute pas.
-Alors parle.
Elle le fusilla du regard et ferma les yeux.
-Ce que je voulais te dire c’est que…commença t-elle gênée.
-Bon alors, accouche.
Kaori rougit à l’entente du mot accouche.
-Arrêtes de rougir et dis-moi ce qu’il y a.
-Très bien.
Elle inspira et fermant les yeux, elle lâcha ces 3 mots qui allaient peut-être changer sa vie.
-Je suis enceinte.
La suite dans le prochain chap. Bizoux à toutes et à tous.
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