Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Beta-reader(s): Grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 3 capitoli

Pubblicato: 22-03-07

Ultimo aggiornamento: 08-07-07

 

Commenti: 21 reviews

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Romance

 

Riassunto: Miki et Kazue ont gangé chacune un voyage pour 4 personnes sur une ile. Voilà donc toute notre petite bande qui part se reposer au soleil ! Mais qui dit ile dit plage, et alors que les corps se dénudent, la jalousie et les sentiments se dévoilent.

 

Disclaimer: Les personnages de "Amour au clair de lune" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Amour au clair de lune

 

Capitolo 3 :: Chapitre III : KOBE, nous voilà !

Pubblicato: 08-07-07 - Ultimo aggiornamento: 08-07-07

Commenti: J'espère que je ne vous ais pas trop fais attendre cette fois là ! ! Je vous remercie toutes pour vos reviews qui sont à chaque fois un vrai régale à lire !! Un énorme merçi à ma merveilleuse béta qui corrige plus vite que son ombre ! ! Read & Enjoy Bises S.x.x

 


Capitolo: 1 2 3


 

Chapitre III : KOBE, nous voilà !  

 

 

 

A peine Reïka avait-elle prononcé ces quelques mots que Kazue et Miki fondirent sur elle telle des fusées. Toutes trois se mirent à danser et à sauter sur place, aussi existées que si on leur avait dit qu’elles venaient de gagner le gros lot du loto.  

 

- Alors là je n’y crois pas ! Non mais ce n’est pas vrai ! C’est génial ! Je n’en reviens pas ! C’est vraiment génial ! Hurla Kazue dans tout le café.  

 

- Tout est réglé ça y est Reïka ? Bon, ben maintenant il ne reste plus qu’a faire nos valises ! Oh mon dieu, je n’arrive toujours pas à y croire ! Quel pot on a eu sur ce coup là ! Renchérit Miki.  

 

 

Ryô, Falcon, Mick et Kaori eux étaient prostrés sur place ne comprenant pas du tout ce qui était en train de se passer. Les regards des trois hommes voyageaient des trois excitées à Kaori afin de trouver un semblant de réponse, mais sur ce coup là, cette dernière était aussi avancée qu’eux. En effet tout comme Ryô, Mick et Falcon, elle regardait avec appréhension et incompréhension ces trois amies.  

 

Ce fut Falcon qui le premier prit la parole :  

 

- Qu’est-ce que c’est que cette histoire de vacances ? Et qu’est-ce que la chance à avoir la dedans? Explique-toi un peu Miki ?  

 

- Calme-toi nounours, je vais tout vous expliquer mais je crois que l’on serait mieux installé à une table autour d’un bon café. Allez vous asseoir, j’arrive de suite.  

 

Elle se dirigea ensuite vers la machine à café pour préparer les boisons. A peine avait-elle fini que la clochette de la porte retentit et que Saeko entra.  

 

Deux chaises tombèrent lourdement sur le sol, des vêtements volèrent de ça et là, et deux choses volantes et baveuses allèrent à l’encontre d’un talon aiguille et de couteaux bien aiguisés.  

 

Ryô se retrouva accroché au mur par son caleçon (Ndebéta : quel motif sur le caleçon ? NdA : Humm pourquoi pas des massues ??? Je crois que cela lui conviendrait pas mal …..). Il faut dire que certains couteaux étaient passés près, très près même, et l’étalon avait presque fini amputé de son mokkori.  

Quand à Mick sa mâchoire abordait un angle assez effrayant.  

 

Sans plus faire attention aux deux loques humaines qui se plaignaient de la brutalité avec laquelle les femmes d’aujourd’hui les traitaient, Saeko se dirigea à la table de notre petit groupe.  

 

- Il y a bien du monde aujourd’hui ici ! Qu’est-ce qu’il se passe ?  

 

- C’était ce à quoi Miki allait répondre avant que tu n’arrives, répondit d’une petite voix Kaori.  

 

- Oui, oui c’est vrai et j’y viens, ajouta cette dernière qui revenait avec les cafés.  

 

 

Ryô et Mick étaient de nouveau assis autour de la table, arborant un air sérieux sur le visage, comme si rien ne s’était passé.  

 

 

- Bon alors voilà : Il y à de cela trois jours j’ai rencontré Kazue au centre commercial en train de faire ses courses, nous avons donc décidé de flâner un petit peu ensemble et alors que nous nous rendions dans un bistrot pour déjeuner, nous sommes passées devant un stand de jeu. Le but de ce stand était de faire redécouvrir la ville de Kobe aux Japonais et différents hôtels de la ville avaient proposés des séjours en guise de cadeaux. Nous avons donc tenté notre chance. Il suffisait de répondre juste à certaines questions, pas évidentes d’ailleurs ! Heureusement Kazue se souvenait avoir fait un dossier sur cette ville au lycée et nous avons donc pu répondre juste aux différentes questions.  

 

- Ce qui ne fut pas mon cas ! Lâcha Reïka dépitée.  

 

- Pourquoi t’étais là toi aussi ? Demanda Ryô surpris.  

 

- Oui j’étais venu m’acheter un nouveau maillot de bain et le magasin où je vais se situe juste à coté de ce fameux stand. Si tu veux, je te montrai la merveille que j’ai dégotée ! On peut dire que j’ai eu du nez pour ce coup là, dit-elle d’une voix sensuelle à l’intention de Ryô.  

 

 

Voulant couper court à ce petit jeu de séduction que Reïka s’évertuait de faire à Ryo, Kazue prit la parole.  

 

- Les questions portaient sur différents thèmes, il suffisait d’en choisir un et de répondre correctement. Miki a opté pour le thème sur l’histoire et moi celui surla géographie. La question de Miki était de dire l’année durant laquelle l’école navale de Kobe avait été fondée. M’en rappelant, je lui ai donc donné la réponse : 1867 (Ndebéta : j’ai visité Kobe mais ca je l’ignorais ma belle merci de l’info ! NdA : Et bien voilà, en plus de te divertir avec mon histoire je t’apprends quelque chose… LOL ) , celle que j’ai eu était un peu plus pointu. Je devais nommer les deux îles artificielles et dire à quelle date elles avaient été achevées. La première île était Port Island est fut achevée en 1980, la deuxième était Rokko Island est fut achevée en 1992 (Ndebéta : eh ben elles sont fortiches dis donc). Nos deux réponses étant exactes, nous avons toutes deux gagné un voyage pour quatre personnes dans l’hôtel de notre choix. Et grâce à Reïka, l’organisateur de ce jeu a gentiment accepté de nous mettre dans le même hôtel durant la même période. Alors dans trois jours, on prend le train direction Kobe pour deux semaines de farniente ! ! Je suppose que vous êtes tous d’accord ? ? ?  

 

- Houlalalalala des jeunes femmes en bikini ! ! Cela va promettre de sacrés soirées mokkori ! ! Quand partons nous, demanda Ryô la bave aux lèvres, déjà tout excité.  

 

Son homologue américain n’était pas bien loin derrière, seulement lui son visage était tourné vers Kaori. Un bon coup de massue de la part de sa tendre et chère lui remit cependant rapidement les idées en place.  

 

 

- Attendez une minute ! Vous avez dit que chacune d’entre vous avez gagné un voyage pour quatre, mais vous ne nous avez pas dit qui vous emmenez avec vous, questionna Kaori.  

 

- Mais voyons ma chérie, c’est pourtant évident non ? ! Tu pars avec nous ainsi que Ryô, Eriko qui est déjà au courrant par ailleurs, Reïka, Mick, Kazue, Falcon et moi. Le compte est bon !  

 

- Puisque tout est réglé et que vous n’avez pas d’affaire aujourd’hui, Ryo, je t’emprunte Kaori, déclara Saeko.  

 

A peine avait-elle prononcé ces quelques mots qu’elle disparaissait, entraînant Kaori par le bras vers sa porche.  

 

 

Ne comprenant pas très bien ce qui venait de se passer, Ryô et les autres les regardèrent partir interdits.  

 

 

Mais déjà des images toutes plus osées les unes que les autres défilaient devant les yeux clos de Ryô.  

 

Il pouvait aisément s’imaginer Kaori en bikini sur la plage.  

 

Kaori et lui prenant un bain de minuit.  

 

Kaori et lui faisant l’amour au claire de lune sur la plage.  

 

Eux deux à nouveau mais cette fois dans sa chambre d’hôtel essayant tout le mobilier qui se trouvait à leur disposition. (Ndebéta : hi hi ca chauffe dans sa petite tête de pervers national)  

 

Il s’imaginait déjà lui faire l’amour toute une journée durant, et recommencer de plus belle le soir.  

 

Il s’imaginait se perdre en elle, recommencer jusqu’à ce que ni lui ni elle ne sache leur nom ou le lieu de leur habitation.  

 

 

Il devait sortir s’aérer l’esprit car à cette vitesse là il ne tiendrait pas longtemps. C’est donc sans un au revoir qu’il sortit précipitamment du café.  

 

 

 

 


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