Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: RKever

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 15 capitoli

Pubblicato: 29-05-08

Ultimo aggiornamento: 08-11-09

 

Commenti: 193 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Je relève le défi de Sekhmet : Ryo a tout le temps le mokkori droit comme un I ! Comment va-t-il régler ce problème qui devient de plus en plus embarassant au fil des heures ?! Situation embarassante qui promet quelques bons moments de rigolade !!! XD

 

Disclaimer: Les personnages de "Mokkori Power" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: Mokkori Power

 

Capitolo 13 :: Dormir à trois...

Pubblicato: 05-02-09 - Ultimo aggiornamento: 05-02-09

Commenti: Coucou les amis !!! Et oui voici la suite de Mokkori Power ! Je profite d'avancer un peu vu que cette semaine je suis en vacances alors profiter car la suite de Sara ne va pas tarder non plus. En tout cas, les aventures du très cher mokkori de Ryo arrive gentiment à leur fin... environ deux chapitres et notre histoire se terminera ! Alors j'espère que vous continuerez à me suivre jusqu'au bout ! Merci en tout cas à tous pour vos reviews et votre fidélité ! Je vous fais de gros becs et à bientôt ! RK

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15


 

Suite aux mésaventures de Ryo dans le fameux restaurant, nos amis n’avaient eu d’autres choix que de quitter les lieux pour rentrer chez eux. Mais n’étant à peine que 22h15, Miki avait proposé à nos nettoyeurs de venir boire un café avant de rejoindre leur appartement.  

 

- Tu vois Umi-chou, si tu n’avais pas écrasé cette forêt noire sur ma tête… on aurait eu UN DESSERT AVEC NOTRE CAFE !!! S’énerva Ryo assis sur un tabouret du bar.  

- Et si tu n’avais pas fait l’idiot… ON AURAIT PEUT-ÊTRE PU FINIR DE MANGER TRANQUILLEMENT ! hurla Falcon qui propulsa, sous la force de sa voix, Ryo contre la vitrine du café.  

- Je suis d’accord avec Umibozu… lâcha Kaori.  

- C’est évident… tu n’es jamais d’accord avec moi de toute façon… ! Se plaignit le nettoyeur en se décollant de la vitre et se remettant les muscles en place.  

- Je serai d’accord avec toi si au moins tu cessais de faire des conneries ! lui rétorqua la jeune femme en s’approchant de lui.  

- Je ne fais pas que des conneries ! Répondit notre héros.  

- Si tu ne t’étais pas fait passer pour Falcon… on n’en serait pas là !  

- Tu sais ce que c’est pour l’étalon de Shinjuku d’aller se faire contrôler la nouille chez un médecin du sex ?! Se défendit Ryo.  

- Bon sang… toi et ta réputation on s’en fout ! Personne ne l’aurait su ! lui expliqua sa partenaire.  

- TOUT LE MONDE L’AURAIT SU ! Et c’est de ta faute, si tu me laissais semer à droite et à gauche aussi !  

- Ma faute ?! Ce n’est pas moi qui a un volcan prêt à exploser ENTRE LES JAMBES !!! cria la nettoyeuse.  

- Ah ouais ? En tout cas ce n’est pas toi qui souffre de rien pouvoir faire à l’autre ! Lâcha s’en réfléchir Ryo.  

- …Quoi… ?! demanda Kaori qui avait mal compris.  

 

Devant cette dispute, Falcon et Miki étaient restés derrière leur comptoir, laissant leurs amis à leur échange verbal. Alors qu’ils gardaient le silence face à ce spectacle, des centaines de libellules virevoltaient dans le Cat’s. Ryo et Kaori se scrutaient du regard alors qu’on pouvait lire dans les yeux de la nettoyeuse de l’incompréhension et voir sur le visage de l’autre, une légère tinte rosée.  

 

- T’as dit quoi là ?! Questionna la jeune femme qui ne comprenait pas le sens de la phrase de Ryo.  

- Moi… rien du tout ! Lâcha le nettoyeur énervé en montrant son dos à Kaori.  

 

Il voulait couper court à cette conversation et sa partenaire avait tout, sauf envie, de le provoquer encore. Elle préférait laisser tomber. Après tout, ce ne serait pas la première fois qu’il ne s’expliquerait pas sur ses paroles. Rejoignant leurs tabourets, ils savourèrent ainsi tranquillement leur café au côté du couple de mercenaires. Une demi-heure plus tard, ils prirent gentiment congé de leurs amis dans la joie et la bonne humeur. Malgré le désastre du restaurant, ils avaient quand même passé une bonne soirée entre action et rigolade. Mais c’est ainsi qu’était fait la vie de City Hunter… et ils ne s’en plaignaient pas… c’était comme ça, un point c’est tout.  

 

- Décidément… Ryo a l’art de nous causer des problèmes ces derniers temps ! déclara Miki à son mari.  

- Tu veux dire… tout le temps ! répondit Umibozu un sourire aux lèvres en sentant son ami partir le long de la ruelle.  

 

Tandis que Kaori attendait tranquillement le long de la rue, elle ne put s’empêcher de lâcher un soupire de lassitude en voyant son partenaire râler en réinstallant le siège de la mini. Vraiment, il ne pouvait pas rester calme deux secondes. Elle n’avait plus la force en cette fin de journée de l’écraser sous une massue. En plus, la fraîcheur ne faisait que de la fatiguer encore plus. Elle ferma juste deux secondes les yeux, mais c’était suffisant pour qu’une veste vienne se poser sur ses épaules. Elle rouvrit donc subitement les yeux et vit que Ryo venait de poser son manteau sur elle.  

 

- Tiens mets ça… il fait frais ! lui dit simplement ce dernier en rentrant dans la mini.  

 

Dès lors, les joues de la jeune femme prirent une magnifique teinte rosée. Finalement, elle ne savait jamais sur quel pied danser avec lui. Un coup, il se foutait d’elle et l’autre coup, il s’inquiétait de savoir si elle avait froid ou pas. Sa remarque se confirma par la réaction suivante de son partenaire.  

 

- Bon ! Tu te grouilles de rentrer ?! Je me les gèle moi ! Se plaignit Ryo.  

- Avec ce que tu as entre les jambes depuis trois jours, ça m’étonnerait qu’elles soient gelées ! Lança Kaori en rigolant et rejoignant sa place dans la voiture.  

- Ah ah ah… on verra le jour ou ça t’arriva ! Cracha notre héros en démarrant.  

- Et comment ça pourrait m’arriver ? interrogea la jeune femme qui connaissait déjà la réponse de son partenaire.  

- On sait jamais… tu peux avoir une légère crise au niveau du vagin… va savoir ! répondit le nettoyeur qui avait préféré changer de registre.  

 

Face à cette réponse, Kaori devint rouge cramoisi. Non mais de quoi ils parlaient ?! C’était dingue ! Jamais elle n’avait autant parlé de sexualité avec son partenaire depuis son érection constante de trois jours. D’un côté, cela lui faisait plaisir car cela voudrait dire qu’ils étaient assez à l’aise les deux pour en parler librement. Mais d’un autre côté, elle était gênée certainement à cause de sa timidité légendaire. De plus, elle était loin de s’imaginer qu’elle allait encore être plus dans l’embarras une fois rentrée.  

 

Ils arrivèrent calmement à l’appartement, parquant la mini dans le garage. Ils prirent ensuite directement la direction des escaliers et grimpèrent jusqu’à leur chez soi. A peine rentré dans le salon, Ryo ôta son pantalon et le jeta sur le canapé.  

 

- Mais enfin qu’est-ce que tu fiches ?! demanda sa partenaire qui rougissait devant lui.  

- Voyons sois pas gênée ! Ce n’est pas la première fois que tu me vois en caleçon !  

- Dans cette situation oui !  

- Ouais ben… ce n’est pas facile de le comprimer davantage avec un pantalon alors qu’il me sert déjà comme ça ! expliqua le nettoyeur. Je devrais peut-être enlever le reste ?! Continua Ryo un sourire en coin.  

- NON NON NON !!! cria Kaori qui gesticula les bras dans tous les sens. C’est bon reste comme ça si tu veux… se résigna-t-elle.  

- Merci ! Déclara victorieux Ryo.  

 

Il prit donc gentiment la direction de sa chambre mais s’arrêta soudainement dans les escaliers.  

 

- Ryo ?! Ca ne va pas ? demanda Kaori en voyant son partenaire immobile.  

- Kaori… je viens de penser à quelque chose…  

- Ah bon… quoi ?!  

- Ton lit est cassé… donc tu n’as plus d’endroit ou dormir… lâcha le nettoyeur.  

- …  

- …  

- … … ET MERDE ! cria la jeune femme, un corbeau se posant sur son épaule.  

 

***  

 

Dans l’immeuble juste en face de celui de nos amis, un blondinet essayait tant bien que mal de faire un câlin à sa chérie.  

 

- S’il te plaît Kazue… juste un coup… supplia Mick en donnant des baisers dans le cou de sa dulcinée.  

- Mick… j’ai eu une dure journée… laisse moi dormir ! demanda l’infirmière en repoussant son homme et se mettant dans son coin du lit.  

- Snif… ce n’est pas juste ! Râla l’américain en se mettant sur le dos.  

- Arrête de te plaindre ! On ne va quand même pas le faire tous les soirs !  

- Et pourquoi pas ?! Au moins on occupe nos nuits ! expliqua le blond.  

- Il y a d’autre façon d’occuper nos nuits… comme DORMIR ! S’énerva la jeune femme.  

- Vraiment… moi je n’ai pas sommeil… tu devrais être contente d’avoir un homme qui te désire. Dit-il fièrement alors que son mokkori se dressait sous les draps.  

- Ouais ouais… lâcha Kazue alors qu’une goutte apparut sur la tempe de Mick.  

 

Cherchant le sommeil à son tour pour ne plus déranger sa femme, le blondinet se positionna sur le ventre, le visage regardant par la fenêtre. Il aperçut de la lumière dans l’appartement de son acolyte et se demandait bien si son ami arrivait à gérer sa situation.  

 

- Mon pauvre vieux… tire un coup et ça ira mieux ! murmura Mick avant de rejoindre le pays des songes.  

 

***  

 

De retour vers nos héros, ces derniers ne savaient plus quoi faire pour enlever cette gêne qui s’était incrusté dans leur appartement depuis la remarque de Ryo. En temps normal, ce dernier aurait lancé une blague, histoire de dramatiser les choses, mais il n’en avait pas du tout envie. Il en avait plus qu’assez de son état et ne voulait qu’une chose que cela cesse au plus vite. Malheureusement pour lui, un seul moyen se présentait à lui…  

 

- Bon ce n’est pas grave… je vais dormir dans ton lit et toi sur le canapé ! déclara finalement la nettoyeuse.  

- Quoi ?! On est peut-être en mai, mais il fait encore frais ! Si je dors ici, je vais attraper la crève ! S’énerva Ryo.  

- Alors tu veux que moi je dors sur le divan et que je tombe malade ?! répliqua Kaori.  

- J’ai jamais dit ça mais vu mon état… tu pourrais te sacrifier !  

- Me sacrifier ?! Et puis quoi d’autre ? Je préfère encore dormir avec toi-même si ton mokkori est en érection ! avoua la jeune femme qui rougissait sous ses propos.  

 

Devant les paroles de sa partenaire, Ryo ne savait plus quoi faire… dormir ensemble ? Vu son problème et le fait que le seul remède qui puisse le guérir… se trouvait là sous ses yeux ! Il était totalement perdu… soit il dormait sur le canapé, soit il prenait le risque de sauter sur Kaori. Dans les deux cas, il allait certainement mal dormir. Il décida malgré lui d’opter pour le canapé mais la jeune femme le devança.  

 

- J’ai une idée !!! s’écria gaiement Kaori.  

 

***  

 

- TADAA ! déclara la jeune femme.  

 

Une libellule tomba sur la tête de Ryo voyant la scène devant ses yeux. Elle l’avait fait monter dans sa chambre lui prétextant une solution à leur problème et voilà que juste devant ses yeux… une massue régnait au milieu du lit…  

 

- Tu m’expliques ? Questionna notre héros.  

- Tu avais raison… si l’un de nous dort sur le divan, il est sur d’attraper froid. Alors on va dormir tous les deux dans ton lit…  

- Ok… mais… la massue c’est pour quoi ?! Continua sceptiquement le garde du corps.  

- Et bien… vu que je me sacrifie malgré tout… car je vais dormir avec un excité ambulant… j’ai mis par précaution cette massue au milieu du lit… comme ça tu ne pourras pas m’atteindre ! conclut fièrement la nettoyeuse.  

- … Ok… de un, même si je suis excité… je ne sauterai jamais sur toi… et de deux, tu crois vraiment qu’une massue de 10'000 tonnes fera l’affaire ?!  

- C’est vrai qu’elle est… un peu… grosse… affirma Kaori en voyant que sa massue prenait presque la quasi-totalité du lit.  

- Alors change-la !  

- Oui je vais le faire ! Avant je vais me mettre en pyjama, j’arrive ! déclara Kaori en quittant la pièce.  

 

Dès lors, Ryo ôta le reste de ses vêtements, mis à part son caleçon, et se faufila dans son lit en poussant la massue par terre.  

 

- Comment fait-elle pour porter ça ? se demanda-t-il en trouvant l’objet infiniment lourd.  

 

Sa partenaire revint cinq minutes plus tard avec son éternel pyjama ample jaune. Mais même dans ce genre de vêtements, le nettoyeur la trouvait absolument sexy. Il n’osait se demander ce que ce serait dans une nuisette. Malgré la rougeur sur ses joues, Kaori vint le rejoindre en faisait disparaître la massue à terre. Elle en sortit une de 100 tonnes de sa poche et la mit entre elle et Ryo.  

 

- Bonne nuit ! lui dit-elle.  

- Bonne nuit…  

 

Alors que la massue les limitait au niveau oreiller et couverture, aucun des deux n’osaient se plaindre. Ils devaient faire avec pour ne pas craquer…  

 

- Pitié… faites que cette nuit passe vite… pensa notre héros en regardant son mokkori toujours dressé…  

 

 


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