Capitolo 6 :: Chapitre VI

Pubblicato: 29-07-08 - Ultimo aggiornamento: 29-07-08

Commenti: Et voilà la suite...

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Chapitre VI  

Le moniteur les accueillit et leur proposa dans un premier temps de passer dans leur local, pour récupérer des casques. Il leur demanda également s’ils avaient prévu des cirés.  

- (Ryo) Mais ma parole, il faut se greffer des imperméables dans ce pays !!!!  

La pluie commençait à tomber, et nos amis durent s’armer de courage pour encore une fois rebraver les intempéries.  

Le moniteur les réunis sur la plage pour faire le débriefing (sous la pluie !!!), et quand il eut fini, tout le monde chercha un char à voile à sa taille.  

Une fois qu’ils furent tous munit d’un véhicule, la folle course commença.  

Bien évidement Ryo et Mick s’en donnaient à cœur joie, en faisant des figures dignes de grands cascadeurs.  

Toute la bande s’amusait extraordinairement malgré la pluie qui ne cessait de tomber.  

Le vent était bien évidemment au rendez vous ce qui permettait de faire avancer les carlingues.  

Kaori qui n’était pas très rassuré, c’était quand même lancé dans cette grande ascension, et plutôt fière d’elle, elle constatait qu’elle ne se débrouillait pas si mal.  

Le moniteur lui avait expliqué qu’il fallait avancer en perpendiculaire par rapport au vent, afin que celui ci puisse faire avancer le char sans difficulté.  

Elle se remémora donc tous les judicieux conseils du professeur, quand elle arriva au moment ou elle devait tourner sa voile pour faire un demi tour et revenir sur le circuit.  

Au moment ou elle s’engagea dans le virage, le vent s’engouffra dans la voile, donnant plus de force à celle ci.  

Kaori paniqua, que lui avait dit le moniteur, il fallait lâcher la voile, ou au contraire tirer sur la corde afin de la garder serré ? !!!  

Elle était perdu… elle ne se rappelait plus… que fallait il faire ????  

Le temps de se poser toutes ses questions, elle choisit de tirer sur la voile, mais à sa grande surprise, ce n’était malheureusement pas la bonne décision.  

Elle chavira dans un fracas assourdissant en criant.  

Elle se retrouva sous le char à voile, bloqué par la force de l’engin.  

Tout le monde stoppa et Ryo descendit de son char et se précipita vers elle.  

- (Ryo) Kaori ? Ca va ?  

- (Kaori) Oui ! Oui ! J’ai eu un peu peur, je dois l’avouer, mais je n’ai rien de cassé…  

- (Ryo) Ecoute, si tu veux on peut arrêter et rentrer ? Tu n’es pas obligé de…  

- (Kaori) Non. C’est bon, j’ai envi de continuer. Ca va aller !!!!  

- (Ryo) C’est d’accord. Je vais t’aider à remettre ton char sur pied.  

- (Kaori) Merci.  

Une fois installé sur son char, Ryo l’observa et lui demanda si tout allait bien. Kaori le regarda et lui fit timidement un signe de la main pour lui signifier que oui.  

Un de ces « Oui » qui signifiait « Bof ».  

Elle ne paraissait pas très sure d’elle, mais elle allait quand même retenter l’aventure…  

Et tout le monde reprit la course pendant une bonne demi-heure encore… Jusqu’au moment ou le vent décida d’arrêté de les pousser.  

La pluie continuait toujours de tomber et ils se retrouvèrent bloqués en attendant que les bourrasques reprennent.  

Après dix minutes d’attente Miki proposa de laisser tomber et finalement au bonheur de Kaori, ils acceptèrent.  

Quand ils retournèrent dans le local pour rendre les casques, ils constatèrent qu’ils étaient dans un piteux état.  

Ils étaient trempé jusqu’aux os et leur vêtements étaient immergé de sables.  

Ils rirent de bon cœur devant se constat affligeant.  

Puis…  

- (Mick) Alors Miki, prête à aller à la Mère Poulard ?  

- (Ryo) C’est vrai ça !!! On est juste dans le timing. Je suis sure que Madame Poulard va être très contente de nous voir arriver dans cet état !!!!  

- (Miki) C’est bon, ça va tous les deux. On rentre à l’auberge… Je vous préviens. Une fois arrivée, vous avez 10 minutes, pas une seconde de plus.  

- (Ryo) Ca y est c’est repartit !!! Elle va me rendre folle.  

- (Mick) Et dire que c’était censé être des vacances !!!!  

- (Miki) En route tout le monde. Dans les voitures et vite, on rentre à l’hôtel. 14 minutes de trajet, 10 minutes pour vous préparer, et on repart, car on a 30 minutes de route jusqu’au restaurant, alors ACTION !!!!!!!!  

Et de peur de subir la foudre de Miki, tout le monde s’exécuta.  

Se fut un véritable parcours du combattant de devoir se préparer en 10 minutes comme l’avait exigé Miki.  

Mais toute la petite troupe fut dans les temps, malgré le dur travail pour enlever la tonne de sable collé qui s’était insinué un peu partout sur leurs corps.  

Une fois sur la route, Miki annonça a Kaori ou ils se dirigeaient.  

Elle lui expliqua que c’était un très bon restaurant de la région, très réputé pour ses omelettes, mais qu’il y avait également une carte délicieusement divine, et qu’ils allaient se régaler.  

Miki leur avait demandé de passer une tenue de soirée pour l’occasion ce soir là, car c’était aujourd’hui l’anniversaire de Kaori, et qu’ils allaient donc le fêter dans cet établissement de renom.  

Les hommes étaient très élégants en costume. Mick qui avait l’habitude d’en porter était très à l’aise et avait une classe folle.  

Quand à Umibôzu, tout le monde avait rit en le voyant arriver à l’accueil de l’hôtel, mais pour Miki, il était le plus beau de la soirée.  

En y regardant bien, le costume était impeccablement coupé, et il le portait plutôt bien.  

Quand à Ryo…  

Il était somptueux dans son habit noir, lui faisant ressortir ses traits.  

Nonchalant et un je ne sais quoi qui faisait qu’il était très séduisant.  

Quand aux femmes…  

Kazue portait une robe de couleur noir qui lui moulait tout le corps, elle était également très belle dans cette tenue qui mettait en valeur ses longues jambes fuselées.  

Miki, elle, portait une tunique noir et dorée.  

On avait dit quelle avait été faite pour elle tant le vêtement épousait parfaitement sa silhouette.  

Et en ce qui concernait Kaori, tous ses amis avaient été époustouflés en la voyant arrivé.  

Elle s’était vêtu d’une robe noir également, le genre de robe au style des années 50, fine bretelle, bustier épousant ses formes, et sa toilette qui continuait jusqu’à ses mollets, lui donnait un air de diva.  

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