Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: kitty80

Beta-reader(s): Yunalescaminnie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 5 capitoli

Pubblicato: 01-03-09

Ultimo aggiornamento: 18-05-09

 

Commenti: 67 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Ryo fait une demande toute particulière...

 

Disclaimer: Les personnages de "Contrat à vie" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Contrat à vie

 

Capitolo 5 :: Embauché ou pas?

Pubblicato: 18-05-09 - Ultimo aggiornamento: 18-05-09

Commenti: coucou tout le monde !!! Voici l'avant dernier chapitre de cette histoire, j'espère que ce chapitre vous plaira... ^ ^. Je vous remercie pour vos reviews précédentes... :-). Un énormes Bisous @ Ma Bêta qui se donne beaucoup de mal à me corriger (lol) et gros bisous à vous toutes! Bonne lecture!! Ps: J'ai oublié de dédicacer ce chapitre à miss Catzen qui va bientôt fêter ses euh ..... 20 ans comme l'éternel Ryô (mdr!!) donc ma belle un cadeau d'avance pour toi (même si c'est mercredi le grand jour) sans doute que tu auras une autre surprise (si tu majes ... hein?? c'est donnant-donnant là ... je plaisantes .... bisous )

 


Capitolo: 1 2 3 4 5


 

Chapitre 5 : Embauché ou pas ?  

 

 

Sa douce partenaire était assise bien calée dans son fauteuil, lunettes bien vissées sur son nez.  

 

Sur sa table, des piles de documents étaient rangées, tout le décor qu’elle avait soigneusement mis en place faisait penser réellement à un vrai bureau de directeur.  

 

Ryô observa sa tendre moitié amoureusement tout en avançant vers son bureau où il se posta sans un mot.  

 

Kaori se leva et alla à la rencontre de son candidat.  

 

Le nettoyeur ne pût détacher son regard de sa belle, et il fût encore plus en état second, quant il vit que sa partenaire avait changé de coiffure.  

 

C’est sur un ton de désir mal contenu qu’il lui dit :  

 

- Je suis très heureux que vous ayez pris la peine de considérer ma demande et de me répondre… (ndb : oh c’est qu’il est poli quand il veut *siffle*)  

 

- Oui… Euh… veuillez vous asseoir, s’il vous plaît !  

 

- Bien sûr…  

 

- Donc, nous avons ici… Monsieur Saeba Ryô… c’est bien ça….  

 

- Tout a fait, Madame…  

 

- Mademoiselle…  

 

- Oh excusez mon indélicatesse… Mademoiselle… (ndb : il est charmant !!! ze fond)  

 

- Donc… je disais, Monsieur Saeba…  

 

- Appelez-moi Ryô, charmante demoiselle… (Ndb : Et voilà le charmeur est en route *siffle*)  

 

- Cessez de m’interrompre je vous prie… d’après votre dossier que j’ai là en ma possession, vous voulez postuler pour un emploi à temps plein… (ndb : Voilà une kaori autoritaire (lol))  

 

- C’est exact…  

 

- Pensez-vous réellement être qualifié pour ce poste ?  

 

- Écoutez Mademoiselle Makimura !!! J’ai bien pris conscience de ce que votre poste exige et je me sens bien à la hauteur de ce que vous recherchez… Bien sûr, dans ma vie passée, je vous ai montré une mauvaise image de moi… Mais… Depuis que je partage votre vie, je suis un autre homme. Je vous ai aimé dès le premier regard... Certes à l’époque, vous n’étiez qu’une enfant d’à peine seize ans… mais quelque chose au fond de mon cœur me disait que cette fille est quelqu’un de bien… Puis… Les années ont passées et on s’est de nouveau rencontré, pour ne jamais se quitter… Et sachez ma chère amie, qu’il n’y avait pas un jour, pas une seconde où je ne pensais pas à vous… Tellement de fois, je vous ai menti et amenez à vos derniers retranchements… Mais ces fois là, je les regrette amèrement car je vous ai fait souffrir plus que de raisons… Mon amour pour vous ne cesse de s’accroître et j’ai si peur qu’un jour, vous… que vous iriez voir ailleurs… qu’un autre homme ne détourne votre regard du mien… Peur, que vous m’abandonniez alors que je meurs à petit feu quand je ne sens plus votre présence… j’ai tant besoin de vous… Je vous aime !!! (ndb : oh ze veux une déclaration comme ça moi (sniff))  

 

- Êtes-vous vraiment sur de ce que vous avancez ?... Êtes-vous réellement prêt à ne voir que moi ?... À m’apporter ce dont j’ai vraiment envie ?... De devenir le père de mes enfants ? De me considérer toujours comme l’unique amour de votre vie ?... Je suis comme vous Ryô… J’ai moi aussi peur… Peur, qu’un jour ou l’autre… Une femme… une cliente ne fasse irruption dans nos vies et vous arrache à moi… Bien longtemps, j’ai su attendre dans l’ombre que votre regard croise le mien… Trop longtemps, mes larmes se sont versées en silence, sans que vous sachiez combien vous m’aviez tellement fait mal… Par moment, je doute même de vos sentiments à mon égard… Je suis tellement amoureuse de vous que la réalité de vous perdre m’effraie… L’homme mokkori que vous êtes et le professionnel qui vous habite me font douter de tout… D’un côté, il y a les femmes rôdent autour de vous et de l’autre, il y a la mort qui vous attend… Ces deux choses font, qu’on n’en revient toujours à la même réponse, c’est qu’un jour vous ne m’appartiendrez plus et ça me fait mal rien que d’y penser… (ndb : au mon dieu, ils éprouvent vraiment la même chose, tous les deux… ils ont vraiment les même peurs… c’est trop beau *sniff*)  

 

- Kaori…  

 

- Non… Laissez-moi finir, je vous prie !!! Est ce que vous m’aimez à un point où si je vous le demande un jour, vous quitterez le milieu ? M’aimerez vous toujours dans dix ans et cela jusqu’à ce que la mort nous sépare ? Serez-vous prêt à faire des concessions ? Comme à ne plus boire, fumer, et même ne plus draguer… si j’en viens à ne plus supporter vos déboires ? (ndb : oh Kaori est dure avec le pauvre Ryô chouchou *lol*)  

 

- Je me sens prêt…  

 

- En êtes-vous bien sûr ?  

 

- J’en suis CERTAIN !!!!! D’ailleurs, je vais vous faire une confidence… L’homme au passé Mokkori c’est longtemps repenti… et cela depuis le jour où j’ai réellement pris conscience de combien vous étiez importante à mes yeux… Le soir où nous nous sommes donné l’un à l’autre, fût le plus beau moment de ma vie… J’étais vraiment heureux et c’était bien la première fois… Et ce fût aussi la première fois, que je me suis senti aussi nerveux face à une femme… Jamais… Oui… Jamais aucune jusqu’à présent ne m’avait fait autant d’effet avant VOUS… Je regrette amèrement les larmes que vous avez versées à cause de mon manque de tact à votre égard… Je regrette toutes les fois où je vous ai menti pour ne pas que soyez attachée à moi… Je suis aussi désolé pour toutes les fois où vous pensiez que je n’avais aucune considération pour vous… Tout ceci était un leurre pour ne pas montrer mes réels sentiments à votre encontre. La promesse faite à votre frère était certes un moyen de vous garder près de moi, mais au fur et à mesure de notre collaboration… Cette promesse n’était plus d’actualité et valide dans mon cœur depuis longtemps déjà… Car, j’ai dû me rendre à l’évidence, qu’il y avait bien plus que ça… J’étais déjà tombé fou amoureux jusqu’à m’aveugler de vous… Et aujourd’hui en tant que candidat, amant ou ce que vous voulez… je suis prêt… prêt à vous aimer au-delà de la mort et au-delà de tout… acceptez ma demande… Je vous en supplie sur ma vie… JE T’AIME KAORI !!! (ndb : oh que c’est beau, quand un crétin ouvre son cœur !)  

 

- … Ry….  

 

Le nettoyeur ne laissa pas le temps à sa promise de terminer sa phrase qu’il enveloppa sa bouche avec la sienne. En l’espace d’une minute, il avait ouvert son cœur à Kaori comme jamais… il avait eu un besoin vital de sentir son contact contre sa peau et surtout à cet instant précis. Car se confier à elle, l’avait rendu vulnérable et il voulait que sa partenaire le console car son cœur saignait d’amour pour elle.  

 

Le souffle coupé les deux amants se regardèrent… Les paroles de l’un et de l’autre les avaient littéralement ébranlés à tel point qu’ils ne savaient plus comment se comporter… (Ndb : c’est pas étonnant, car là ils ont vraiment ouvert leur cœur…)  

 

Ryô attira sa partenaire sur ses genoux, essuya ses larmes avec ses lèvres et lui dit dans un murmure empli d’émotions :  

 

- Épousez-moi !!!  

 

La jeune femme ne répondit rien. Car, elle savait exactement à quoi cet entretien aller découler… Mais à cet instant, elle se sentait incapable de lui donner une réponse.  

 

Kaori était troublée, voir émue… surtout qu’elle n’était pas habituée à voir l’homme qu’elle aimait s’ouvrir comme ça à elle.  

 

Pourtant sa bouche remuait, mais aucun son n’en sortait, car la déclaration de son homme l’avait laissé complètement sans voix.  

 

Alors le nettoyeur la releva et se mit lui aussi debout face à elle. Il poussa les deux chaises qui étaient en face de la table pour les reculer un peu plus loin de la pièce.  

 

Puis il revint vers sa promise.  

 

Le regard qu’il eut envers sa belle qui ne cessait de l’observer était déterminé et surtout on pouvait y voir une certaine lueur qu’elle seule pouvait comprendre.  

 

Cette lueur qu’elle ne connaissait que lorsqu’il agissait en professionnel et qui lui était destinée.  

 

De son côté, Ryô en avait profité pour s’approcher de Kaori, et d’ailleurs il prit la main gauche de sa belle dans la sienne.  

 

Le garde du corps mit un genou au sol et avec sa main valide, se mit à chercher quelque chose dans la poche interne de son veston.  

 

La vision de Kaori se brouillait au fur à et à mesure des gestes de son homme et que son cœur cognait dans sa poitrine.  

 

 

Ryô, après quelques secondes de farfouilles intensives dans sa poche, sortit devant le regard larmoyant de sa belle, un petit paquet.  

 

L’écrin était en velours d’une couleur bleu marine orné d’un ruban rose pâle.  

 

Avec l’aide de son pouce, le nettoyeur réussit à ouvrir l’écrin et en montra son contenu.  

 

A cet instant, il leva les yeux vers Kaori.  

 

Et d’un geste emplit de nervosité et de maladresse, il prit la bague et la passa à l’annulaire de la jeune femme en lui disant d’un ton solennel :  

 

- Par cet anneau Kaori, je te promets amour et fidélité… Je te fais la promesse de t’aimer dans les pires et les bons moments, de te chérir dans la richesse et la pauvreté… d’être ton mari jusqu’à ce que la mort nous sépare… (ndb : alors là ze dis OUI !!!! oups ce n’est pas pour moi !!!)  

 

Le nettoyeur se leva et posta sa bouche au niveau de l’oreille de sa partenaire qui était restée jusque là interdite face à cette demande et lui chuchota :  

 

- Suis-je embauché ? (ndb : si il n’y avait que moi, il le serait sur le champ *siffle*)  

 

 

 


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