Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Status: In corso

Serie: Angel Heart

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 03-06-06

Ultimo aggiornamento: 03-09-23

 

Commenti: 35 reviews

» Scrivere una review

 

DrameAction

 

Riassunto: Et si ce n'était pas Kaori qui était morte dans l'accident mais Ryô...

 

Disclaimer: Les personnages de "Angel Heart" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How can I correct a misplaced chapter?

 

It can happen that an author has several stories in process and that he adds a chapter of a story to another one. In this case, please don't add the chapter again and contact me (hojofancity@yahoo.fr) for modification. Indicate which chapter is misplaced and which is the correct story.

 

 

   Fanfiction :: Les anges de Kaori

 

Capitolo 12 :: Chapitre 12

Pubblicato: 14-06-21 - Ultimo aggiornamento: 14-06-21

Commenti: Hello, oh punaise une revenante, bon je suis dans le coin depuis toujours, mais ça fait un bail que j'avais pas postée, plus de 10 ans, toutes mes excuses, mais la vie est comme ça, le manque d'inspiration, les aléas de la vie et le temps passe vite. Bref, j'ai repris l'écriture mais j'avais pas prévu de poster tout de suite, c'est en voulant poster une petite song fic que je me suis trouvée bloquée, j'ai deux chapitres d'avance donc voilà le premier, en espérant que je pourrais écrire assez vite la suite. Je vous posterais donc bientôt, une petite song fic, mais en attendant, j'espère que ce nouveau chapitre vous plaira. Ca fait tout drôle de poster de nouveau après tout ce temps, en plus je ne suis plus en contact avec ma beta de l'époque alors milles excuses s'il y a des fautes, j'ai bien relu mais on sait jamais. Sur ce, bonne lecture, see you ;)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

Le lendemain matin, Kaori se leva pour prendre son petit déjeuner. Quand elle vit que ses deux protégés jouaient les marmottes car ils avaient sans doute encore oublié que c’était un jour d’école et n’avaient donc pas mis leur réveil, elle se fit un petit plaisir en mettant un cd de clairon militaire dans la chaîne hifi au niveau sonore le plus fort, juste pour leur rappeler qu’il était l’heure de se lever. Les deux gamins firent un tel bon devant ce réveil en fanfare qu’ils en tombèrent du lit. Mais ils comprirent de suite que Kaori n’avait pas oublié ce qu’ils avaient fait la veille et qu’ils allaient le sentir passer.  

 

Après s’être habillé en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et un rapide passage par la salle de bain, ils rejoignirent la cuisine pour le petit déjeuner. Pendant qu’ils étaient le nez dans leur bol de céréales, Kaori en profita pour leur mettre les points sur les « i » et les barres sur les « t ».  

- Alors, écoutez-moi bien, parce que je ne le répéterais pas deux fois ! attaqua Kaori. Aujourd’hui, vous filez en cours et hors de questions de faire l’école buissonnière. Si j’apprends qu’on vous a aperçu ailleurs, et vous savez très bien que j’ai des yeux partout et que personne n’osera vous couvrir, ça bardera pour votre matricule. Donc vous êtes prévenus, les seuls endroits où l’on pourra vous voir, c’est l’école et le café « Cat’s Eye », nulle part ailleurs, sinon, vous pourrez numéroter vos abattis parce que vous finirez façon puzzle, compris ?  

 

Les deux jeunes gens n’osèrent pas broncher à part pour acquiescer à l’ordre de Kaori, ils savaient que ce n’était pas des menaces en l’air, ils finirent de manger et partirent en direction du lycée sans commentaires.  

 

En chemin, ils réfléchiraient, comment ils pourraient suivre l’affaire tout en respectant les souhaits de Kaori. Pendant deux secondes Xin-Hong eut bien l’idée de s’échapper en mettant cela sur le dos de Ryô, mais il renonça car de toute façon, au final, c’est lui qui se prendrait un coup de massue.  

 

De son côté Saeko émergea d’un sommeil plutôt difficile, entre les cauchemars dû à Toyama qui lui rappelait la mort d’Hideyuki et son appréhension de ce qu’il avait prévu de faire. En plus, elle se demandait bien ce qu’elle allait pouvoir faire de l’énergumène qui avait dormi chez elle. Elle se dirigea vers la cuisine à moitié réveillé mais perçu tout de même l’odeur du café. Elle ouvrit les yeux un peu plus et découvrit Mick affairé à préparer un petit déjeuner.  

 

- Mince, je voulais vous faire une surprise et vous amener le petit-déj au lit, dit-il avec un sourire qui en disait long sur ses intentions.  

- Je vous vois venir et je vous ai déjà dit que vous ne mettriez pas les pieds dans ma chambre !  

- Mais Mi Amore, pourquoi tant de haine dès le réveil. Vous avez une petite mine, vous n’êtes pas malade.  

- Non, j’ai mal dormi, c’est tout, fit Saeko en attrapant une tasse de café.  

- Si j’avais été avec vous, vous auriez dormi comme un bébé.  

- Permettez-moi d’en douter, ça aurait été encore pire.  

- Je n’ai jamais eu de plaintes avant, fit l’américain outré.  

 

Saeko failli s’étouffer en avalant son café. Aussitôt, il accourut pour la prendre dans ses bras mais il finit agrafer au buffet par les couteaux de la commissaire.  

 

- Faudra que vous m’expliquiez d’où vous sortez ces machins, fit Mick.  

- Je les ai toujours sur moi, la preuve c’est toujours utile, fit Saeko avec un clin d’œil.  

- Mais j’aimerai bien savoir où vous les cachez car vu votre tenue plus que légère, je me pose des questions sur leur provenance.  

- Une femme ne dévoile jamais tous ses secrets, fit Saeko en lui mettant un doigt sur la bouche. Maintenant je vais prendre une douche, donc évitez la salle de bain sinon je risque de me fâcher, compris !  

- Pas de soucis, même si cela ne m’aurait pas embêté du tout de vous frottez le dos.  

- Je vous ai déjà dit de ne pas tenter quoi que ce soit !  

- Mais c’était juste pour gagner du temps, on prend notre douche en même temps comme ça on est plus vite prêt.  

- Restez tranquille, sinon vous irez surtout plus vite à l’hôpital, on est d’accord ?  

- No problemo, Mi Amore, c’est vous qui décidez.  

Une fois, ses protégés partis pour l’école, Kaori attaqua sa petite routine quotidienne. Allez au tableau à message avant de passer prendre un café chez Umibozu où elle verrait sûrement débarqué Saeko qui voudrait lui refiler son encombrant invité. Elle verrait après, si elle avait le temps d’aller aider Doc à son cabinet.  

 

Arrivé à la gare, elle découvrit avec surprise un message, cela faisait un petit moment qu’il n’y en avait pas. Mais ce message était bizarre, il était écrit « Répondez ». Elle se demandait si c’était une plaisanterie quand elle entendit une sonnerie de téléphone. Ce n’était pas le sien alors elle regarda autour d’elle, mais ce n’était pas un passant. Elle se demandait d’où cela pouvait venir quand son regard se posa à nouveau sur le tableau et sur le message et là elle comprit, elle regarda sous le tableau et y trouva un téléphone.  

 

Elle regarda l’appareil longuement, se demandant ce qu’elle devait faire. Qui pouvait s’amuser à la contacter de cette façon. Elle n’était pas rassuré mais elle voulait savoir alors elle appuya sur la touche pour décrocher et attendit de voir qui était en ligne.  

 

- Bonjour Kaori, fit une voix d’homme. Je suis heureux que vous ayez accepté de répondre à ma demande.  

- Qui êtes-vous ? fit la jeune femme d’un ton sec.  

- Je pensais que vous auriez deviné, mais ce n’est pas grave. Je suis l’homme que vous devez détester le plus car je vous ai pris quelqu’un que vous aimiez.  

- Toyama, espèce de…  

- Je vous comprends, ma chère, je mérite toutes les insultes que vous voudriez me balancer à la figure car je vous ai fait du mal. Sachez toutefois que j’en suis désolée, je n’avais pas pensé en agissant comme je l’ai fait que d’autres personnes que Saeko pourrait être touché. Je voulais qu’elle m’aime et votre frère semblait être un rempart entre elle et moi. Alors j’ai fait la plus grosse erreur de ma vie, car non seulement, cela ne l’a pas fait m’aimer, bien au contraire, mais en plus je vous ai fait souffrir, vous aussi, alors que ce n’était pas mon intention, vous n’aviez rien avoir dans cette histoire. J’étais jeune, je ne voyais pas plus loin que le bout de mon nez et j’ai commis l’irréparable. Je voudrais revenir en arrière mais je ne le peux pas, pourtant je regrette ce geste malheureux, j’en souffre autant que le fait que Saeko ne m’ait jamais aimé.  

- Dans ce cas, livrez-vous à la police et assumez vos actes.  

- C’est bien mon intention mais pas avec la police.  

- Vous jouez à quoi ? demanda Kaori.  

- Ce n’est pas un jeu, je veux payer pour mon crime mais pas en allant en prison ce serait trop facile de vivre tranquille dans une cellule alors que votre frère lui n’est plus là pour vivre sa vie.  

- Où voulez-vous en venir ? demanda la nettoyeuse qui commençait à s’énerver.  

- Je vous offre ma vie, répondit Toyama.  

- Comment ça ? fit Kaori qui ne comprenait pas.  

- Je dois mourir et c’est à vous que je demande d’exécuter la sentence. C’est ma requête auprès de City Hunter. J’ai tué votre frère, il est normal que je vous offre le droit de le venger.  

- Si c’est une plaisanterie, je vous jure que…  

- Certainement pas, si vous êtes d’accord pour le faire, je vous donnerai rendez-vous dans un lieu connu de nous uniquement, vous pourrez accomplir cette mission sans que personne ne le sache et votre frère sera vengé.  

- Et pourquoi je vous croirais ?  

- Je ne peux plus vivre avec ça sur la conscience et je n’aurai jamais l’amour de Saeko pour m’aider à le surmonter, je n’ai plus de raison de vivre. J’ai tué et je dois mourir, il n’y a pas d’autres solutions.  

- Et pourquoi moi ? dit Kaori.  

- Je vous l’ai dit, je vous ai fait du mal, vous seule avez le droit d’obtenir cette justice. C’est à vous de décider, Kaori.  

- Et si je refuse ?  

- Vous avez vu ce que j’ai fait en revenant, qui sait ce que je pourrais encore faire ? Etes-vous prête à risquer la vie d’autres personnes ? Je vous offre un cadeau, le seul moyen de m’arrêter, et il est entre vos mains. Je vous laisse réfléchir, faites-moi savoir quand vous serez décidé, fit Toyama avant de raccrocher.  

 

Kaori regardait le téléphone en tremblant. Cet homme était fou et nulle autre qu’elle n’avait plus de raison de le haïr mais avait-elle le droit de trahir le serment fait à Ryô de ne jamais avoir du sang sur les mains pour arrêter ce malade.  

 

 

Pendant ce temps-là, Saeko venait d’arriver au café pour y déposer Mick. Ce dernier avait insisté pour l’accompagner à son travail mais elle n’avait pas cédé, de toute façon, elle ne pouvait pas l’emmener au commissariat et quand elle parla de ce fait, il approuva étrangement la décision. Sa mission était de la protéger mais s’il pouvait éviter ses collègues ça l’arrangeait et qui oserait s’en prendre à elle dans une réserve de flics.  

 

- Kaori n’est pas arrivée, demanda Saeko à Umibozu.  

- Pas encore, et ce n’est pas normal, fit le géant. Après la gare, elle passe toujours ici, à la même heure, c’est son habitude sauf aujourd’hui, je n’aime pas ça.  

- Si vous voulez, je peux aller voir à la gare, fit Mick et pendant ce temps-là essayez de joindre vos contacts pour voir s’ils l’ont vu.  

- Je m’en occupe, fit Saeko.  

 

Arrivé à la gare, Mick se dirigea directement vers le tableau à message, il était vide mais il pouvait distinguer qu’il y avait eu un XYZ mais qu’il avait été effacé. Il aurait donné cher pour savoir ce qui avait été écrit mais comment faire. Il regarda autour de lui et vit une caméra de surveillance, avec un peu de chance il trouverait ce qu’il voudrait dans le poste de surveillance et il se dépêcha d’aller voir.  

 

De son côté, Saeko avait appris par ses indics que Kaori était bien allée à la gare mais qu’elle était rentré chez elle, certains l’avaient même trouvé bizarre ce qui inquiéta encore plus Saeko qui s’empressa d’aller chez Kaori. Elle ne la trouva pas dans l’appartement mais dans l’armurerie, en train de nettoyer l’arme de Ryô. Cette vision lui fit froid dans le dos.  

 

Saeko compris que si Kaori avait une arme dans les mains c’était que Toyama s’était manifesté et elle n’aimait pas ça. Elle avait peur que Kaori ne fasse une bêtise que Ryô ne supporterait pas.  

 

- Salut Saeko, ça va, fit Kaori d’un air qui se voulait enjoué. T’as réussi à te défaire de ton pot de colle ?  

- Mon pot de… Ah, l’Américain, oui, je l’ai laissé au café, je croyais t’y trouver d’ailleurs.  

- Pas eu le temps, aujourd’hui, un nouveau travail.  

- Vraiment ? Mais je croyais que tu laissais faire les gamins.  

- Je leur ai interdit de sécher les cours et j’ai une cliente qui a besoin de protection alors je vais la surveiller en attendant qu’ils puissent venir m’aider.  

- Et t’as besoin d’une arme ?  

- C’est juste pour la dissuasion. Tu me connais. Bon c’est sûr que ça me fait drôle d’avoir l’arme de Ryô dans les mains mais je n’aurai sûrement pas à m’en servir, c’est juste au cas où, fit Kaori avant de ranger l’arme dans une poche de son blouson.  

- Tu veux un coup de main, tenta Saeko.  

- Non, ce n’est pas la peine. T’inquiètes pas, c’est la routine. Je planque la cliente et je surveille. Pas besoin que tu perdes ton précieux temps de commissaire pour une telle broutille. Bon, je file, à plus tard, fit Kaori en laissant l’inspectrice.  

 

Saeko avait fait semblant de la croire et à peine parti, elle l’avait suivi. Elle se doutait que la soi-disant cliente n’existait pas et elle voulait savoir où elle allait pour l’empêcher de faire ce qu’elle avait prévu quitte à le faire à sa place.  

 

De son côté, Mick, était revenu au café.  

 

- Alors, demanda Umi, t’as trouvé quelque choses ?  

- Je crois qu’on a un souci, fit Mick. Tu connais ce gars-là, fit-il en montrant un visage sur une capture d’écran. Dis-moi que c’est pas le gars que vous cherchez ?  

- T’es con ou tu le fais exprès, décris-moi plutôt le type ça ira plus vite, fit Umibozu.  

- Oups, désolé, fit Mick réalisant sa bévue vis-à-vis du géant. Jeune, brun, un peu maigrichon, une tête de premier de la classe, ça te parle ?  

- Comment t’as eu sa tête ? fit le géant.  

- Le tableau était vide mais il y avait eu un message. Kaori l’a effacé alors j’ai essayé de voir ce qui s’était passé avec les caméras de surveillance. Sur la vidéo, je l’ai vu arriver, elle a lu le message, moi pas mais après j’ai vu qu’elle avait reçu un appel. Un téléphone planqué sous le tableau. T’aurais vu sa tête en repartant, ça faisait flipper alors j’ai cherché dans les vidéos qui avait mis le téléphone et j’ai trouvé ce type.  

- C’est sûrement Toyama, dit Umi. Bon sang, mais qu’est-ce qu’il veut ?  

- Je vais te dire ce que j’en pense. Ce mec s’en prend au grand amour de mon pote, il lui a parlé et va savoir ce qu’il a pu lui dire, il faut agir rapidement car je crains le pire.  

- Saeko ne répond pas, fit Umibozu en reposant son téléphone.  

- Ca sent pas bon, appelle les mioches ! fit Mick.  

 

Dès qu’il vit le numéro d’Umibozu s’afficher sur son mobile, Xin Hong devina qu’il se passait quelque chose de grave et il s’empressa de répondre. Il n’avait que faire des remarques de son professeur qui le menaçait de quelques heures de colle et d’ailleurs il n’attendit même pas de savoir ce que serait sa punition pour filer suivit de près par Xiang-Ying qui avait un mauvais pressentiment.  

 

Pendant qu’ils fonçaient vers le café, Xin Hong, lui expliqua que l’autre fou s’était manifesté et que Kaori et Saeko étaient injoignables. Umi et Mick pensaient qu’elles étaient ensemble.  

 

Quand ils arrivèrent au Cat’s Eye, Ryô se manifesta immédiatement et ne put s’empêcher de hurler après Mick.  

 

- Dis donc, l’Amerloque, t’étais pas censé surveiller Saeko ?  

- J’ai passé la nuit chez elle, comme convenu, mais faut croire que ton plan de rendre jaloux l’autre taré et de faire de moi sa nouvelle cible n’a pas fonctionné. Il avait probablement d’autres projets vu qu’il a contacté Kaori.  

- Mais pourquoi ? J’aimerai bien savoir ce que nous prépare ce tordu. Une chose est sûre c’est que même si elles sont ensemble, elles vont droit dans un piège, conclut Ryô.  

 

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de