Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: nanou

Status: In corso

Serie: Style Hojo

 

Total: 43 capitoli

Pubblicato: 29-04-05

Ultimo aggiornamento: 30-10-09

 

Commenti: 181 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: il n'y a rien à résumer, il faut lire pour le croire!

 

Disclaimer: Les personnages de "Petit délire du matin!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Petit délire du matin!

 

Capitolo 39 :: Réflexions

Pubblicato: 15-07-09 - Ultimo aggiornamento: 15-07-09

Commenti: Bonjour à tous. En cette belle matinée ensoleillée, je vous poste un nouveau chapitre de cette fic. Merci à mes fidèles revieweuses : Shan, Didinebis et Cat. Biz et bonne lecture. Votre star intergalactique.

 


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Cat s’était levée plutôt que les autres. Elle se disait que les membres de HFC avaient suffisamment abusé de l’hospitalité de leurs hôtes. Il était temps de regagner la France. Elle réveilla Nanou.  

 

- Nanou, réveille-toi…  

- Cat ? mais que se passe-t-il ? Tu as vu l’heure ?  

- Désolée mais il faut que je te parle.  

- J’arrive, laisse-moi une minute pour me réveiller complètement !  

- Je t’attends au salon, je vais faire un thé, ça nous réveillera vraiment !  

 

Quelques minutes après…  

 

- Alors qu’avais-tu de si important à me dire ?  

- Tu te souviens que nous avions décidé de repartir après avoir réconcilié Ryô et Kaori ?  

- En effet….  

- Et nous avons réussi notre mission, bien au-delà de nos espérances !  

- Tu penses que nous devrions rentrer ?  

- Oui, je crois qu’on a suffisamment abusé de la gentillesse de Ryô et Kaori.  

- Je suis d’accord et je ne crois pas qu’ils garderont un bon souvenir de notre passage, suite aux agissements d’Angel.  

- Oui, mais nous les avons quand même réconciliés, ça compte, non ?  

- Bien sûr, mais n’oublie que Méga a aussi fait des siennes.  

- Là, je ne peux pas te contredire…j’espère quand même qu’ils ne vont retenir que les bons souvenirs…  

- Je l’espère aussi mon chat…ah, j’entends que les autres se réveillent…  

- Par contre nos tourtereaux ne sont pas encore réveillés .  

- Ben, ils n’ont pas dû dormir de la nuit alors ils ne se réveilleront pas de sitôt !  

 

 

Hôtel près de l’aéroport…  

 

- Alors Moon, comment te sens-tu aujourd’hui ?  

- Légère !  

- T’es prête à exécuter mon plan ?  

- Oui chef !  

- Mica, il est grand temps que tu fasses tes preuves…  

- Je suis prête patron…  

- De toi dépend la suite des évènements, de l’accomplissement de mes projets : faire trembler les polices du monde entier ! Ah ah ah !  

- (Il me fait peur le chef parfois…) pensa Moon.  

 

Quelques minutes plus tard, Mica fut fin prête, vêtue de l’uniforme des agents au sol des aéroports. René vint la chercher pour l’emmener sur son lieu de mission. Il était étrangement calme ce matin-là et ne taquina pas Moon comme à son habitude.  

 

Elle avait pris les précautions d’usage, en dire le moins possible sur soi pour ne pas attirer les suspicions. Munie de faux papiers, elle fut assaillie de questions à la direction des ressources humaines. Mais faisant preuve d’un sang-froid à toute épreuve, la jeune femme répondit à l’interrogatoire sans ciller.  

 

Satisfaite, la direction l’embaucha immédiatement car des agents avec un cv comme le sien, ça ne courait pas les rues ! Bien évidemment, Mica n’avait aucune expérience dans ce domaine, mais tel le caméléon, elle avait une capacité hors norme à s’adapter à toutes les situations.  

 

La matinée se passa dans le calme. Ses collègues lui firent bon accueil et personne n’émit de soupçons ou de doutes la concernant. Pendant les pauses, elle se mit à visiter les yeux, se remémorant les différents endroits indiqués sur le plan confié par Moon ; elle sortit sa sarbacane discrètement. Hop, elle atteignit un agent de contrôle. Les petites aiguilles se désintégraient au contact de la peau donc il n’y avait aucun risque de remonter à la source.  

 

Petit à petit, tout le personnel fut sous l’effet du PCP2. Le plus dur fut d’atteindre les bagagistes. Les agents de la tour de contrôle ne furent pas hypnotisés, car ils devaient faire atterrir les avions, ce n’était pas le moment de provoquer des catastrophes aériennes !  

 

A chaque agent infecté par le PCP2, elle murmurait un message à l’oreille : ils ne devaient obéir qu’aux ordres de Maruku, Moon et Mica. Les chiens des agents de sécurité eurent le même sort que leurs maîtres.  

 

Les agents ne se rappelaient de rien et continuèrent leur travail. Puis ce fut le tour de Moon d’intervenir. Avec l’aide de René, elle réussit à poser les carrés d’explosifs dans tous les recoins de l’aéroport, ce qui ne fut pas une mince affaire. Le maximum fut posé dans les souterrains pour qu’au moment de l’explosion, tout le haut s’écroule et que les personnes se trouvant là, soient ensevelies sous les décombres.  

 

Les explosifs pouvaient être réglés à distance, grâce à une télécommande. C’est Maruku qui déciderait de l’heure et du jour de l’enclenchement du dispositif.  

 

Chez Ryô et Kaori, les membres avaient presque terminé de déjeuner quand le couple City Hunter arriva au salon. Ryô tenait Kaori par la taille sous le regard amusé de leurs invités. Les cernes que nos deux amoureux avaient sous les yeux prouvèrent le peu de sommeil qu’ils s étaient octroyé la veille.  

 

- Bonjour à tous !  

- Bonjour Ryô et Kaori ! Bien dormi ?  

- Heu…oui !  

- Vous nous avez laissé quelque chose ? leur demanda Ryô.  

- Les premiers arrivés, les premiers servis !  

- Méga !  

- Ne l’écoutez pas, on a préparé à manger pour un régiment ! les rassura Sabi.  

- Parfait, merci les filles !  

- Ryô, Kaori, on aimerait vous parler, vous voulez bien nous rejoindre au salon après le petit-déjeuner ?  

- Heu, oui Cat, qu’est-ce qui se passe ?  

- Mangez tranquillement, on vous le dira quand vous aurez fini.  

- D’accord mais tu me sembles bien mystérieuse Cat….  

- Ne faites pas cette tête, ce n’est rien de grave !  

- Je l’espère…murmura Kaori.  

 

Trois quarts d’heure plus tard…  

 

- Alors qu’aviez-vous de si important à nous dire ?  

- Ryô, Kaori, nous allons partir…  

- Quoi ?  

- Hé, je n’étais pas au courant !  

- La ferme Méga !  

- Hé ho, on se calme tous les deux ! Cat, tu nous fais une blague là, hein ?  

- Non Ryô, nous en avions parlé entre nous avant qu’Angel parte et je crois que nous avons suffisamment abusé de votre hospitalité.  

- Mais je ne comprends pas, pourquoi ? leur demanda Kaori.  

- Je crois comprendre, c’est par rapport à ce que je vous ai dit la dernière fois, n’est-ce pas ?  

- Tu n’y es pas du tout Ryô, simplement, nous pensons qu’il est grand temps pour nous de rentrer…  

- Votre décision est un peu rapide, non ?  

- En fait, j’en ai discuté avec les autres membres et…  

- Pas avec moi en tout cas !  

- Méga…  

- Et je crois que le plus tôt possible serait le mieux.  

- Cat a raison, ne dit-on pas que « les séjours les plus courts sont les meilleurs » ?  

- Nanou, c’est quoi ce proverbe ?  

- Heu…  

- Laisse tomber Sabi, c’est encore un truc qu’elle a inventé !  

- Ryô, Kaori…on a passé un séjour formidable ici, et nous remercions de votre accueil.  

- Mais vous voulez-vous partir quand ?  

- Hé bien, demain, ce serait bien…  

- Déjà ?  

- Je ne sais pas s’il y a un vol pour la France demain…  

- Tu pourrais te renseigner Ryô s’il te plait ?  

- Bien sûr.  

- Kaori, ne fais pas cette tête, tu as nos numéros et puis nous reviendrons vous voir.  

- Et puis rien ne vous empêche de venir nous voir en France, non ? proposa Lex.  

- C’est vrai…  

- Ça vous ferait des vacances loin de tout, et surtout des ennemis de City Hunter !  

- Tu n’as pas tort Lex.  

- Tiens, pourquoi vous ne viendrez pas au prochain concert de Nanou ?  

- C’est une bonne idée ça Cat, je n’y avais pas pensé !  

- Oui, c’est décidé, nous vous invitons au concert de Nanou, avec des places de choix pour nos invités d’honneur !  

- Ouais, ensuite on fera un barbecue géant ! enchaina Nanou.  

- Tiens, ça m’aurait étonné…soupira Méga.  

- C’est plutôt alléchant….fit Ryô.  

- Alors c’est oui ? demanda Lex.  

- On verra…je n’aime pas faire de projet mais si on n’a pas de mission en cours, ça devrait pouvoir se faire, répondit le nettoyeur.  

- Chouette ! s’enthousiasma Nanou.  

- Je vais appeler l’aéroport pour voir s’il y a un départ pour demain.  

 

Quelques minutes plus tard…  

 

- Désolé les filles, mais il n’y a pas de vol pour demain, par contre il y en a un pour la fin de semaine, je vous inscris ?  

- Oui Ryô, vas-y.  

- Voilà, c’est fait.  

 

Il y eut quelques secondes de silence.  

 

- Mais Kaori, arrête de faire une tête pareille !  

- Désolée les filles…mais j’ai l’impression d’avoir fait quelque chose de mal en vous laissant partir comme ça.  

- Mais non, ne pense pas ça, on vous a causé assez de soucis comme ça, avec Angel surtout…  

- Vous n’y pouviez rien, elle était amoureuse de Ryô, on ne pouvait pas la blâmer.  

- Peut-être mais elle n’avait pas à se comporter comme elle l’a fait, c’est impardonnable !  

- C’est de l’histoire ancienne, et puis vous avez largement contribué à notre réconciliation alors n’en parlons plus, ajouta Ryô.  

- J’accepte de vous laisser partir mais à une condition…  

- Laquelle Kaori ?  

- J’aimerais organiser une petite fête en votre honneur.  

- Oh Kaori, ce n’est pas la peine…  

- Si, j’y tiens…  

- Dans ce cas…  

- Moi je suis partante pour faire la fête !  

- Je reconnais bien là le chat ! remarqua Nanou.  

- Ça vous embête si j’invite Falcon, Miki, Kazue et Mick ?  

- Pas du tout, au contraire !  

- Moi je suis d’accord pour Miki et Kazue !  

- Ça ne m’étonne pas de toi Méga…  

- On la fait quand la fête ? s’enquit Cat.  

- Pourquoi pas après-demain ?  

- Ça marche !  

 

A plusieurs kilomètres de là, Tigrou n’arrêtait pas de tourner et de se retourner dans son lit.  

 

« Bon sang, ça m’énerve de savoir que Maruku est déjà au Japon ! Morel a vraiment été un incapable ,d’ailleurs je me demande encore comment il a fait pour le coincer la première fois…Shan ne veut pas m’aider, je n’ai plus qu’une solution : aller voir François ! Mais comment faire pour aller le voir, avec ces policiers en faction devant ma porte ? Ah, j’ai une idée… »  

 

Tigrou sonna pour appeler un des policiers devant sa chambre.  

 

- Que voulez-vous ?  

- Parler à votre responsable.  

- A quatre heures du matin ??  

- Ah, désolé, j’avais pas vu l’heure !  

- On verra demain matin…  

- (Mince !)  

 

Finalement, le lendemain, Tigrou réussit à obtenir un rendez-vous avec l’inspecteur Briand.  

 

- Bonjour inspecteur, merci d’être venu…  

- Qu’est-ce qui est si important que ça ne pouvait attendre monsieur Tigrou ?  

- Eh bien, j’aimerais pouvoir m’entretenir avec monsieur Faucher.  

- Monsieur Faucher ? Vous savez bien que c’est impossible, vous êtes responsable de son état et s’il porte plainte contre vous, il y aura un nouveau procès et ça rallongera votre incarcération.  

- Je vous en prie, je serais très bref, j’ai besoin de lui parler…  

- Dites-moi à quel sujet.  

- C’est personnel…  

- Dans ce cas je ne peux rien pour vous.  

- Attendez !  

- Alors, je vous écoute.  

- J’aimerais…j’aimerais lui présenter mes excuses !  

- Ah bon ?  

- Oui, je me suis mal comporté envers lui alors qu’il a toujours voulu mon bien…  

- Surtout qu’il est tombé dans le coma à cause de vous, il en gardera sûrement des séquelles…  

- Je sais…si je pouvais changer tout ça, je le ferais…alors, vous acceptez ?  

- Hum…bon, je vous accorde cinq minutes.  

- C’est tout ?  

- C’est largement assez ! Alors vous les voulez ou pas ?  

- Oui, j’accepte…vous êtes vraiment pas généreux !  

- Estimez-vous heureux, je pourrais vous faire accompagner par un policier qui resterait près de vous jusqu’à la fin de votre entretien avec monsieur Faucher !  

- C’est bon j’ai compris, cinq minutes, ça va aller…(radin, va !)  

 

Tigrou fut conduit jusqu’à la chambre de François Faucher en fauteuil roulant. Il ne pouvait pas beaucoup marcher à cause de ses ongles arrachés et ses bras étaient couverts de pansements. Un bandage entourait son visage, sa bouche où il manquait quelques dents, était enflée.  

 

Le policier le laissa et referma la porte.  

 

- Bonjour François !  

- Mon Dieu Tigrou, tu es passé sous un camion ?  

- Très drôle ! Disons que ma route a croisé celle de mon ennemi juré…  

- Je vois, Maruku…Que viens-tu donc faire ici ?  

- Je voulais m’excuser mon vieux, je suis vraiment désolé, c’est à cause de moi que tu es ici…  

- C’est pas grave, c’est moi qui t’ai demandé de m’assommer, même si je ne pensais que tu m’enverrais dans le coma ! Mais bon, le médecin m’a dit que je pourrais sortir dans deux jours.  

- C’est super ça !  

- Oui je n’aurais jamais cru que je récupérerais si vite.  

- François, j’aimerais te demander un service…  

- Du moment que c’est pas une évasion !  

- En fait, j’aimerais que tu m’achète un billet d’avion, je te rembourserais à mon retour…  

- Quoi ?  

- Chuuut !  

- Mais t’es fou, tu veux encore t’échapper ?  

- Là c’est vraiment important, il faut que j’arrête absolument Maruku.  

- Mais c’est une obsession ma parole !  

- Je t’en prie, il faut que j’aille au Japon !  

- Mais enfin Tigrou, tu te rends compte des risques ?! Tu as pensé à ta sœur, ta mère ?  

- Je sais que tu en prendras soin, je ne me fais pas de souci, alors tu acceptes ?  

- Tu prends un gros risque Tigrou, Shan va m’en vouloir si je t’aide…  

- Elle ne le saura pas, je ne dirais à personne que tu m’as aidé…  

- J’hésite…  

- François, tu es le seul qui peut m’aider, j’ai entièrement confiance en toi !  

 

Le policier en faction devant la chambre de François toqua à la porte, signe que les cinq minutes étaient passées.  

 

- Alors c’est oui ?  

- D’accord, fit François en soupirant.  

- Merci mon vieux, je te le revaudrais !  

- Reviens surtout en un morceau !  

- C’est bon, j’ai fini !  

 

Tigrou fut reconduit à sa chambre. En la regagnant, il avait un sourire de satisfaction aux lèvres…  

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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