Chapitre 13 :: Etranges disparitions

Publiée: 12-01-06 - Mise à jour: 12-01-06

Commentaires: Coucou tout le monde. Me revoilà avec la première maj de l’année 2006, j’espère qu’elle vous plaira. J'ai été longue à la faire, mais je vais me rattraper, c promis. Je vous réserve des chap dont vous me direz des nouvelles. lol. Ce chap est un peu le tournant de l’histoire, on y apprend pas mal de chose. A la fin je suis sûre que vous aurez des envies de meurtre, si c t pas déjà le cas mdr. Sur qui ? Je vous en dis pas plus, je vous laisse découvrir. Tout ce que je peux vous dire, c que Black a trouvé pourquoi Saeko a crié. Je vous souhaite à tous une bonne année 2006 avec beaucoup de bonheurs et surtout la santé. Je vous remercie tous pour vos reviews, ça me fais extrêmement plaisir. Merci à ma super bêta de choc pour son aide, merci ma puce et je croise les mimines pour toi pdt toute la semaine. Merci aussi à L&M, gros bisous à vous deux. Voilà, comme d’hab dites moi ce que vous en avez pensé. Je vous fais un gros bisou à tous et à très bientôt.

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Saeko venait d’arriver en face des vestiaires. Elle eut la désagréable surprise de constater que les 3 hommes n’étaient plus là. Il ne restait que les cordes qui avaient permis à Falcon de les ligoter.  

- Ils ont disparu. S’écria Saeko. (NA : bravo Black !!!)  

Alertés par les reproches que la belle inspectrice faisait à ses hommes sur leur manque de vigilance, Ryo, Falcon et Mick s’approchèrent de l’endroit d’où le bruit provenait. Ils constatèrent à leur tour la disparition très suspecte des 3 hommes. Saeko s’approcha alors d’eux.  

- Ils ont filé. Je ne sais pas comment, mais ils ont réussi à filer.  

- Euh excusez-moi inspecteur, mais si vous n’avez plus besoin de moi, je retourne à mon hôtel.  

- Non M. Ross Répondit Saeko. Vous pouvez partir. Je vous demande seulement de rester à la disposition de la police le temps de l’enquête. Je vous contacterai si j’ai du nouveau. Vous êtes à l’hôtel Sunrise dans le centre ville, chambre 225, c’est cela ? Demanda t-elle en regardant la carte qu’il lui avait précédemment donnée.  

- Oui c’est bien ça. Répondit-il. Bon je vous quitte. Au revoir.  

Après quoi, il sortit du club et monta dans sa voiture de sport (NA : Comme on m’a demandé d’être plus précise, n’est ce pas L&M, je vous laisse choisir entre Porsche, Ferrari, Mercedes SL500-AMG.) Dix minutes plus tard, il arriva à son hôtel et monta dans sa chambre. Lorsqu’il entra, il aperçut le chef de la bande assis dans un des fauteuils, les jambes croisées, un verre de whisky à la main. (NA : ben oui, ils sont entrés tout les deux dans la même chambre la 225, dans un hôtel du centre ville. On se demande pourquoi il est là. Je vous laisse le découvrir ; )  

- Qu’est ce que vous faites là ?  

- Et bien je suis venu pour vous informer de quelque chose.  

Steven entra un peu plus dans la pièce et donna sa veste au majordome qui venait à sa rencontre.  

- Je croyais que l’on devait se voir demain. Pourquoi êtes-vous là ? Dit-il en se servant un verre à son tour.  

- J’ai pensé que vous aimeriez savoir à qui vous aviez affaire.  

- Et cela ne pouvait pas attendre demain ?  

- Non. Dit-il en se levant pour rejoindre Steven. Connaissez-vous un nettoyeur qui se fait appeler City Hunter ?  

- Oui, il parait que c’est le meilleur dans le milieu, et alors en quoi cela me concerne.  

- Et bien ce nettoyeur, vous l’avez vu en action ce soir.  

- Hein !!! Comment ?  

- Oui, l’homme qui m’a frappé, Ryo Saeba, est City Hunter. La jeune femme est sa partenaire.  

- Vous en êtes sûr ?  

- Certain. Je crains que votre projet ne soit tombé à l’eau. Vous ne pourrez pas approcher la fille. C’est peine perdue.  

- Taisez-vous. Si je vous paye c’est pour agir et non pour penser. Dit Steven énervé. - Je trouve même que je vous paye trop car c’est moi qui ai dû libérer vos hommes ce soir. Je vous conseille d’en choisir de plus compétents la prochaine fois.  

- Comment ça la prochaine fois ? Vous n’abandonnez pas ? Mais enfin, c’est City Hunter, le numéro 1 du pays.  

- Vous l’avez dit vous-même, votre patron obtient toujours ce qu’il veut. Et ce que je veux c’est elle, et je l’aurai même si pour cela je dois employer tous les moyens. Steven venait de jeter son verre par terre de colère.  

- Maintenant vous allez me dire tout ce que vous avez appris sur ce type, c’est compris M. Sato. Steven le tenait par le col de sa veste et commençait légèrement à resserrer son étreinte.  

- D’accord, d’accord calmez vous. Je vais tout vous dire.  

Steven relâcha son emprise et s’assit dans son fauteuil pour écouter les informations de son homme de main. Ce dernier remit sa veste en place et se frotta la gorge.  

- Je sais que pour le contacter il faut inscrire XYZ sur le tableau à la gare de Shinjuku. Mais il ne travaille que pour des femmes rarement pour des hommes.  

- Intéressant. Continuez.  

- Dans le milieu il se dit qu’il est le meilleur, qu’il est imbattable. Cependant, il a un point faible : sa partenaire.  

- Ah oui. Et que savez-vous des deux hommes qui étaient avec lui ?  

- Le blond s’appelle Mick Angel, c’est l’ancien partenaire de Saeba lorsqu’il était encore aux USA. Il l’aide parfois pour certaines affaires mais il est diminué à cause d’un accident qu’il a eu. Ses mains ont été fortement abîmées. (NDB : bien informé le coco…)  

- Et l’autre, le géant au crâne chauve (NA : hé comment tu parles de Umi toi, fais attention)  

- Lui, c’est un ancien mercenaire, tout comme sa femme. Il s’est retiré du milieu car il est aveugle, mais ça ne l’empêche pas de filer un coup de main à Saeba par moments.  

- Très bien. Je crois que l’on va devoir d’abord s’occuper de tout ce joli petit monde avant de pouvoir passer aux choses sérieuses.  

Il s’amusait à faire tourner son whisky dans son verre. Puis il jeta un regard noir à Sato et lui dit.  

- Je vous contacterai dès que j’aurai besoin de vos services. Pour le moment on attend. Il va sûrement être sur ses gardes pendant quelques jours après cette soirée. Il est inutile de tenter quoique ce soit maintenant. Vous avez une semaine pour engager de nouveaux hommes, plus expérimentés cette fois. Je vous laisse carte blanche. L’argent n’est pas un problème. Engagez même les meilleurs s’il le faut, je m’en fiche mais je veux cette fille vous m’entendez. Après quoi, on passera à l’action.  

- Mais enfin Monsieur Ross, vous ne vous attaquez pas à n’importe qui. C’est City Hunter. Même les hommes les mieux entraînés ne sont pas sûrs de l’avoir. Il n’est pas facile à piéger. Il a comme qui dirait un sixième sens. Personne n’a encore réussi à l’avoir jusqu’à présent.  

- Et bien il faut un début à tout, comme on dit. Et celui qui aura sa peau c’est moi. J’aurais même un joli lot en récompense. Maintenant laissez moi.  

- Très bien, comme vous voulez.  

Sato se dirigea alors vers la porte. Mais au moment où il allait prendre la poignée, Steven le rappela. Il s’approcha alors de lui. L’américain qui s’était levé, se trouvait à présent face à la fenêtre. Lorsqu’il aperçut le reflet de son homme de main il se retourna et lui envoya une droite monumentale en plein visage. Ce dernier, qui ne s’attendait pas du tout à ça tomba violemment sur le sol. (NA : et hop, et de deux)  

- Mais enfin qu’est ce qu’il vous prend Ross ?  

- Ça s’est pour avoir levé la main sur Kaori. Je vous interdis de la toucher, vous m’entendez. Et la prochaine fois, contentez vous de faire ce que je vous demande. Je n’aime pas trop que l’on modifie mes plans, est ce clair ?  

- C’est très clair. Dit-il en se frottant la joue.  

Sato se releva et quitta la pièce sans demander son reste. Il ne valait mieux pas contrarier son patron car il connaissait ses capacités physiques et il avait déjà reçu deux coups de poing, et pas des moindre, dans la soirée, ce qui lui suffisait amplement. Après le départ de Sato, Steven se mit en quête d’un plan pour approcher City Hunter de plus près.  

- Ça y est j’ai trouvé. Et bien mon cher Saeba à nous deux. On va voir qui de nous deux est le meilleur. Dit-il en levant son verre.  

Pendant ce temps dans le club, les trois nettoyeurs et Saeko cherchaient à comprendre comment les 3 hommes avaient pu faire pour se libérer.  

- C’est impossible qu’ils se soient libérés tout seuls. Je les avais trop bien ligotés. Dit Falcon.  

- Oui, tu as raison. Dit Mick.  

- Ils avaient peut être un couteau sur eux. Demanda Saeko.  

- Non. Je les avais fouillés pour leur retirer toutes leurs armes.  

- Il n’y a pas trente six solutions. Ils avaient un complice dans la salle. Quelqu’un qui les a libérés.  

- Oui, je suis d’accord avec toi Ryo. Dit Falcon. – Mais qui ?  

- Ça je ne sais pas. Lui répondit-il.  

- Ils ont du profiter du départ des clients du club pour s’enfuir. Conclu l’inspectrice.  

- Oui, mais tout ceci ne nous regarde pas. Ce ne sont pas nos affaires. Dit Ryo. – Alors vous m’excuserez mais je rentre chez moi.  

- Oui, tu as raison Ryo. Merci pour ton aide. Je pense que je vais pouvoir m’en sortir toute seule.  

- Tant mieux. Allez à plus. Dit-il en lui faisant un petit signe de la main en retournant auprès de sa partenaire.  

- On rentre chez nous Kaori ?  

- Oui, allons-nous-en.  

Il la prit par la taille et se dirigea vers la sortie, suivis de leurs amis. Arrivés dehors ils se dirent tous au revoir et se promirent de tous se retrouver au café demain dans l’après midi. Après quoi ils se dirigèrent chacun vers leurs voitures.  

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