Chapitre 17 :: Matin câlin 1ère partie

Publiée: 13-02-06 - Mise à jour: 13-02-06

Commentaires: Hello tout le monde, alors je reprends les bonnes habitudes avec la maj du lundi. Bon je n’ai pas besoin de vous dire ce qu’il y a dans le chapitre, le titre est assez évocateur. Je vous laisse découvrir, et encore une fois, pas de massue à la fin svp lol. La suite est prête et corrigée, donc si vous êtes vraiment trop impatient je ferais mon possible pour vous la donner dans le milieu de la semaine. Ça va être difficile mais pas impossible, mais bon je ferai mon max, enfin il faut être très persuasifs lol. On va bientôt passer dans la partie action de la fic, c’est pour très très bientôt. Je voudrais remercier mes fidèles reviewers et fidèles lecteurs, je vous fais un gros bisou à tous. Je fais un énorme bisou à ma super bêta. Merci pour ton aide et surtout pour ton soutient. T’es toujours là pour me remonter le moral. T’es vraiment trop gentille. Je t’adore ma puce. Merci aussi à L&M, bisou à vous deux les friends. Bon et bien voilà, je vous laisse, n’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ça fait tjrs plaisir. Big kiss à tous (^-^)

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Il était plus de 10h et le soleil était déjà bien haut dans le ciel. Dans la chambre de Kaori, le couple de nettoyeurs dormait paisiblement enlacés dans les bras l’un de l’autre.  

C’est vers 10h30 que le soleil pénétra dans la pièce pour informer les dormeurs qu’il était l’heure de se lever. Ryo ouvrit les yeux le premier et fut émerveillé devant le spectacle de sa partenaire endormie. Elle était blottie contre lui, la tête sur son torse. Son sommeil était paisible, elle avait vraiment l’air d’un ange tombé du ciel, et cet ange était dans ses bras. Encore cette nuit il avait failli la perdre mais comme toujours il n’avait pas pu se résoudre à la faire sortir de sa vie pour de bon. Alors qu’il songeait à la journée qui s’annonçait et son duel qui se déroulerait ce soir, il sentit sa partenaire se réveiller. Elle essaya de s’étirer mais sentant que quelque chose l’en empêchait elle ouvrit les yeux.  

- Bonjour, bien dormi ? Lui demanda t-il.  

- Bonjour, lui répondit-elle en l’embrassant délicatement. – Oui, j’ai dormi comme un bébé dans tes bras. Tu es un polochon de premier choix, rajouta t-elle en se blottissant encore plus contre lui.  

- Merci pour la comparaison, dit tout de suite que je suis gros, bougonna t-il faussement vexé.  

Kaori éclata de rire devant la mine boudeuse de son partenaire et l’embrassa pour se faire pardonner.  

- Alors ça fait quoi d’embrasser un polochon ?  

- Je dois dire que ce n’est pas désagréable, lui répondit-elle tout sourire.- Tu as bien dormi mon polochon chéri ? (NA : moi aussi j’en veux un comme ça de polochon. Où est ce qu’on peut en avoir un, je veux savoir. Lol)  

- Oui, c’est bien l’une des rares fois où je dors aussi bien. J’avais l’impression d’être sur un nuage. C’était presque ça parce que j’avais un ange dans mes bras.  

Kaori lui répondit en l’embrassant très tendrement. Décidemment il savait trouver les mots justes pour toucher la jeune femme.  

- Holà, je crois que je pourrai m’habituer à des réveils en douceur comme celui là tous les jours moi.  

- Moi ça me va aussi. Tout dépend de toi. Mais tu es sûr que tu ne regretteras pas les massues, demanda t-elle en lui faisant un petit clin d’œil.  

- Non. Je crois que je préfère quand même tes doux baisers à tes massues.  

Sur ce, il lui releva le menton et l’embrassa très délicatement en la prenant dans ses bras. Kaori était entièrement allongée sur lui et passait sa main droite avec tendresse dans l’épaisse chevelure noire de son partenaire, tandis que sa main gauche se faufilait sous le T-shirt de son partenaire. Elle commença à lui caresser doucement les abdominaux puis, remonta lentement vers son torse. Elle pouvait sentir sous ses doigts la musculature parfaite de son partenaire. Ce simple contacte électrisa Ryo et leur baiser prit une tournure des plus fiévreuse. Ryo lui se consumait de l’intérieur. Si elle continuait à jouer comme ça avec ses nerfs il ne répondrait plus de rien. Lorsqu’il se détacha de ses lèvres si douces, il descendit le long de son cou qu’il dévora littéralement en y déposant de brûlants baisers. Il lui murmura à l’oreille.  

- Tu me rends dingue Kaori. Tu ne peux pas imaginer à quel point.  

- Toi aussi tu me rends dingue. Je t’aime tellement Ryo.  

Ils étaient tous les deux grisés par l’ambiance et le petit câlin du matin commençait à prendre une tournure des plus torrides. Ryo avait fini par glisser ses mains sous le T-shirt de sa partenaire et il lui caressait le dos langoureusement. Il devait bien avouer qu’il n’avait jamais senti une peau aussi soyeuse. Mais alors que ses mains commençaient à échapper à son contrôle, il sentit Kaori se contracter légèrement sous ses câlineries. Il avait tellement de respect pour elle qu’il ne voulait pas la brusquer. Il se devait d’attendre qu’elle soit prête. Il savait qu’elle lui ferait comprendre le moment venu. Pour l’instant il préférait en rester à des petits câlins assez torrides pour lui donner un avant goût de ce monde dans lequel il rêvait de l’emmener. Il retira donc ses mains et la regarda dans les yeux.  

- Tu n’es pas obligée si tu n’es pas prête. On peut attendre tu sais.  

- Tu es sûr que ça ne te gêne pas ?  

- Tu m’as bien attendu pendant plusieurs années, je peux bien t’attendre à mon tour.  

Kaori était soulagée de voir que son partenaire la comprenait. Elle savait qu’il l’attendrait, elle en était sûre. Tout dépendait d’elle maintenant. Elle savait que Ryo saurait la mettre en confiance le moment venu avant de l’emmener sur le chemin de l’amour passionnel.  

- Tout ce que je te demande, lui dit Ryo, c’est de ne pas être aussi long que moi pour te décider, car je ne pense pas que je pourrai résister longtemps, surtout si tu me réveilles tous les matins comme ça.  

- Je peux reprendre mes massues si tu veux, mais moi je trouve plus agréable de le faire comme ça.  

Sur ce, elle l’embrassa tout d’abord très tendrement puis plus passionnément. Lorsqu’elle se sépara de ses lèvres elle lui demanda.  

- Alors, tu choisis quoi ?  

- humm et bien, j’ai tellement de fois goûté aux massues que je n’arrive pas à comparer les deux. Je n’ai eu qu’une très légère idée de la deuxième proposition. Tu pourrais me redonner un aperçu du réveil en douceur, lui dit-il tout sourire. (NA : comme si il avait besoin d’un deuxième exemple pour choisir entre les deux. Lol)  

- Toi alors, tu ne changeras jamais.  

- C’est pour ça que tu m’aimes non ?  

Kaori lui sourit et accepta de répondre favorablement à sa requête. Elle l’embrassa cette fois avec encore plus de passion que la première fois pour lui donner vraiment l’envie de choisir le réveil en douceur, car elle aussi adorait les matins câlins.  

- Alors tu t’es décidé ?  

- humm, oui. La deuxième façon me convient mieux, lui répondit-il en s’emparant de ses lèvres avant qu’elle ne puisse rajouter un seul mot.  

Ses lèvres, tout comme ça peau étaient d’une douceur qu’il n’aurait jamais pu imaginer même dans ses rêves les plus fou. Il ne pouvait s’empêcher de l’embrasser. Lorsqu’il arrêtait, il n’avait qu’une seule envie, c’était de recommencer. Lorsqu’il mit fin à ce doux supplice, Kaori le regarda tout sourire.  

- Je crois qu’après tout ça tu es bien réveillé là, non ?  

- Non regarde.  

Il avait fermé les yeux et faisait semblant de dormir.  

- Tu devrais ronfler pour faire plus vrai tu sais, lui murmura t-elle à l’oreille.  

- zrrr zrrr zrrr zrrr  

Il était en train de ronfler bruyamment. Kaori ne put s’empêcher d’éclater de rire devant le spectacle que son partenaire lui offrait.  

- Bon, tu te décides à me réveiller.  

- Tiens donc, je ne savais pas que tu parlais en dormant.  

- Oui c’est nouveau, ça vient de sortir. Alors tu me réveilles ?  

- C’est incroyable, on peut même faire la conversation avec toi quand tu dors. C’est bon à savoir ça, dit-elle en rigolant.  

- Tu vas te décider oui, j’attends moi !  

- Par contre, tu ralles même quand tu dors. Je me demande ce qu’il te faut pour que tu sois content ? (NA : erreur tactique là, mdr, il va réagir au quart de tour)  

En entendant la phrase de sa partenaire, Ryo vit là une opportunité pour se sortir du pétrin dans lequel il s’était mis tout seul. (NA : qu’est ce que j’avais dit lol) Il ouvrit les yeux attrapa Kaori par la taille, la serra contre lui et roula sur le côté. Maintenant c’était elle qui se trouvait en dessous de lui totalement prisonnière et à la merci de son partenaire.  

- Tu veux savoir ce qu’il me faut pour que je sois content. Tu vas voir, je vais te montrer.  

Il l’embrassa alors avec une telle passion que Kaori ne put s’empêcher d’émettre de petits gémissements. Puis, il se mit à jouer avec ses lèvres et même à les mordiller. Après quoi, il entreprit de redécouvrir le cou de sa partenaire. Il l’avait abandonné trop vite à son goût tout à l’heure.  

Kaori ne pouvait pas bouger. Ses mains étaient coincées sous son corps. Elle ne pouvait pas réagir. Elle subissait cette douce torture. Plus le temps passait, plus elle commençait à se sentir brûlante comme fiévreuse. A chaque baiser que Ryo déposait sur sa peau elle se sentait succomber un peu plus au désir qui envahissait tout son corps. Ryo savait qu’elle ne tiendrait pas longtemps. Il tenait sa revanche.  

- Ryo, arrête, j’en peux plus !!!  

- Non. Ça t’apprendra à me laisser dormir, dit-il sans arrêter sa « torture ».  

Kaori, qui était sur le point d’exploser, tenta de se libérer de ce délicieux supplice. Mais Ryo la sentant gigoter resserra son étreinte.  

- Où tu comptes aller comme ça ? C’est pas la peine de te débattre, je te tiens, tu ne m’échapperas pas.  

- Arrête Ryo, j’en peux plus.  

- Ah, maintenant on regrette ?  

- Oui, oui. Arrête maintenant.  

- Alors, qui c’est le meilleur, dit-il en la fixant droit dans les yeux.  

- Hein ? Comment ça le meilleur ?  

- Ben oui, je veux t’entendre dire que je suis le meilleur à ce petit jeu là.  

- Alors là, tu rêves mon vieux.  

- Alors je continue, dit-il en reprenant son doux supplice.  

- Oh tu vas voir Ryo !  

Après un effort surhumain, Kaori réussit à libérer ses mains et le repoussa. Mais ce qu’elle avait oublié c’est qu’il la tenait fermement dans ses bras. Ils partirent donc tous les deux en pirouette pour finir leur course sur le sol. Heureusement pour elle, elle était retombée sur Ryo et pas l’inverse. Lorsqu’elle rouvrit les yeux après cette jolie figure artistique, elle vit Ryo inconscient.  

- Ryo ? Ryo répond moi.  

- …..  

- Oh mon dieu, non.  

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