Chapitre 8 :: Est-ce la fin ?

Publiée: 12-09-08 - Mise à jour: 12-09-08

Commentaires: Bonsoir je remercie nanou,kaori4ever,kaori62,Tokra,Lyly pour leurs reviews. En esperant que ce chapitre vous plaira. bisou.Bye.

Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

De l’eau sortait de conduits et tombait dans la grande salle.  

(Miki et Saeko) : Oh mon dieu !!!  

(Ryo) : C’était prévu au programme ça ?  

(Kaori) : Je n’en sais rien du tout, en tout cas je ne crois pas que c’était l’intention de l’armée de voir souffrir des gens même dangereux.  

(Yoshio) : Oh non Kaori.  

Yoshio frappa de plus en plus fort sur la vitre jusqu’à se faire blanchir les jointures et à force de cogner, ses mains saignèrent. Mick l’arrêta.  

(Mick) : Ca ne sert à rien, ca ne les aidera pas plus.  

(Ryo) : Tout les 5 sortez d’ici. Vous vous pouvez toujours rester en vie et on ne sait pas ce qui peut se passer pour vous si vous attendez, alors si vous avez une chance de sortir faites-le. Face à la non réaction de ses amis il continua : Il vaut mieux 2 morts que 7. Et puis vous serez plus utile à l’extérieur qu’à l’intérieur.  

Tous savaient qu’il avait raison alors c’est résigné qu’ils sortirent par les 2 conduits. Ils se retrouvèrent donc dehors à l’opposé les uns des autres. Umi, Miki et Saeko rejoignirent Mick et Toshio.  

(Miki) : Je m’en veux de les avoir laissé seul à l’intérieur.  

(Umi) : Ne t’en fais pas Miki, on va les faire sortir de là.  

Mick réfléchit et dit : L’officier Kaori, elle a dit que les murs et le sol ne pouvaient pas être détruit mais elle a jamais parlé du toit et vu comme ça on dirait qu’il est tout à fait normal, Umi chou t’as qu’à essayer de le dégommer avec ton bazooka.  

(Umi) : Mais c’est que tu n’es pas si bête que ça l’amerloque. Si on ne te tues pas avant, on pourra essayer de faire quelque chose de toi.  

(Mick) : Ne me critique pas tête de poulpe, je sais réfléchir aussi bien et surement plus souvent que toi.  

(Umi) : Laisse moi rire, toi tu réfléchis le plus souvent avec ton truc qui se trouve en dessous de ta ceinture.  

(Mick) : Moi au moins mon Mokkori, je l’utilise plus souvent que toi et Miki ne s’en plaint pas.  

Umibozu, rouge d’embarras à cause du sujet aborder devint rouge de colère quand Mick parla de sa femme. Et dans ces moments là, il est intransigeant. Umi mit son bazooka sur son épaule et visa Mick. Puis il tira et Mick esquiva facilement le coup.  

(Umi) : La prochaine fois que tu parle de ma femme, j’te jure jt’e loupe pas.  

Il tira une seconde fois mais ce coup ci toucha le toit. On en entendit une explosion et des briques tomber signe que le toit c’était affaisser et Ryo et Kaori aurait surement une chance de se sortir de là.  

Xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx  

Du côté de Ryo et Kaori quelques secondes après le départ des 5 personnes.  

(Ryo) : Bon et bien, on a plus qu’à attendre et voir. Soit on meurt soit ils nous sauvent.  

(Kaori) : Vous êtes perspicace et rassurant comme gars, vous savez ?!  

(Ryo) : Qu’elle est charmante. Moi aussi j’ai le déplaisir de rester avec vous et de vous supporter. J’aurais préféré être avec une belle miss Mokkori plutôt qu’avec vous, rassurez-vous. Comme ça avant ma mort j’aurais connu pour la dernière fois les plaisirs de la chair. Parce qu’avec vous y’a rien à en tirer. Vous êtes moche, une planche à pain, un garçon manqué et je suis sûr que vous seriez un mauvais coup au lit.  

BAM  

Kaori après avoir entendu toutes ces insultes à son encontre donna un coup de massue où il était écrit « et celle là c’est un bon coup ? »  

(Kaori) : J’espère que vous avez eu très mal, obsédé. SATYRE !!!! ABRUTI !!!!  

(Ryo gisant au sol) : cha fa ché rien, merchi de fous infiéter, faufage (ca va j’ai rien, merci de vous inquiéter, sauvage)  

Puis reprenant sa face normale il reprit : Espèce de folle, vous voulez détruire mon bien le plus précieux, mon corps d’Appollon et ma face de rêve.  

(Kaori) : Viens voir ici, c’est qui la folle ? Kaori avait repris  

cette fois ci son arme de service et visa Ryo.  

(Ryo) : Personne, personne. Tous le monde dans cette pièce est saint d’esprit. J’ai rien dit. Alors on se calme, OK ?  

Ryo essayait depuis plusieurs minutes déjà de faire penser autre chose à Kaori, car l’eau montait assez rapidement et était déjà arriver au haut du corps. Et dans ces instants la seule chose qu’il arrivait à faire était le pitre ou l’obsédé voir les deux à la fois. Et à priori ça marchait bien.  

Puis une explosion se fit entendre, des tuiles tombèrent. Une tomba sur la tête de Kaori qui perdit aussitôt connaissance et s’écroula. Ryo qui était plus loin courra jusqu’à elle pour qu’elle n’avale pas de l’eau et qu’elle s’étouffe. Il resta là en soutenant Kaori, (il l’avait pris par la taille et avait son dos accolé à son torse), tout en remerciant Umibozu d’avoir trouvé un moyen de les faire sortir d’ici. Il attenda donc difficilement, en ayant toujours Kaori dans les bras, que l’eau monte jusqu’en haut.  

Le chemisier collait à la peau de Kaori et Ryo qui avait sa tête au creux de son cou remarqua qu’on ne pouvait pas dire qu’elle était une planche à pain, loin de là, elle avait tous ce qu’il faut là où il faut.  

L’eau monta jusqu’à ce qu’ils arrivent au toit. Quelques briques et planches n’avaient heureusement pas céder, alors Ryo se mit avec Kaori rampa dessus puis s’asseyèrent. Il vit la petite bande et fit de grands signes de la main.  

(Ryo) : Salut les amis, je ne suis pas encore mort, il va falloir me supporter encore longtemps.  

Miki et Saeko furent soulagées et laissèrent échappées un « ouf ». Mick et Umi, eux, sourirent.  

Xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx  

Ryo et Kaori descendirent difficilement car Kaori n’avait toujours pas reprit connaissance.  

(Miki) : Il faudrait l’ammener chez Doc.  

(Yoshio) : Oh la, Kaori n’ira nulle part avec vous ; elle ira à l’hôpital.  

(Mick) : Arrête tes conneries, elle ne va pas bien, on va l’amener chez notre ami qui n’habite pas très loin d’ici donc elle ira avec nous.  

(Yoshio) : C’est hors de question, je ne vous fait pas confiance et si c’était pour la tuer ?  

(Mick) : Réfléchi, je t’aurai buté bien avant elle. Franchement on ne va pas la tuer devant tes yeux. Et puis tu va expliquer quoi à tes supérieurs, tu seras dans la merde car tu ne les a pas prévenu et puis tu mettras dans la merde Saeko si ta copine va à l’hôpital. Et puis si tu veux en savoir plus sur nous, c’est l’occasion.  

A l’argument Saeko, Yoshio accepta qu’on l’amène chez ce Doc. Mais il resta avec Kaori, il ne la lâchera pas d’une semelle tant qu’elle n’aurait pas repris connaissance. Alors Ryo, Miki et Umi prirent la jeep et Saeko, Toshio et Kaori prirent la voiture de service pour aller jusqu'à Doc.  

Xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx  

Chez Doc  

Yoshio faisait les cent pas dans le couloir. Tout le monde était là à part Saeko qui était reparti pour faire des recherches mais elle avait promis de revenir voir Kaori pour prendre des ses nouvelles. Yoshio en avait marre cela faisait trop longtemps qu’il attendait et trouvait ça louche, le petit vieux avait dit qu’il s’occuperait de Kaori, il l’avait posé sur un lit, le Doc les avait poussé de la chambre et avait fermé la porte et depuis plus rien. Mais à cet instant le Doc sortit.  

(Yoshio) : Alors elle va bien ? Il essaya de rentrer de la chambre mais le Doc l’en empêcha.  

(Doc) : Doucement jeune homme, votre amie va bien, j’ai fait des examens complet et elle n’a rien de grave. Elle n’a toujours pas repris connaissance mais je pense que demain elle se réveillera, c’est que ça vous assomme un éléphant ces choses là. Donc en somme, elle restera toute là nuit ici. Et ne vous en faites pas, elle a des bandages sur la tête. Ah et aussi temps que j’y pense je vous pris de faire attention à elle, il ne faut pas qu’elle fasse de gestes brusques dans les jours qui suivent.  

(Yoshio) : Je ne veux pas la laisser toute seule ici.Je ne vous fait pas confiance.  

(Doc) : Et bien ça peut s’arranger, je vous mettrai un lit supplémentaire dans la chambre de votre amie comme ça vous resterez jusqu’au jour où elle sortira d’ici, si ça peut vous faire plaisir. Maintenant vous pouvez allez la voir mais ne faites pas de bruit, on ne sait jamais.  

Yoshio se calma après tout son interlocuteur n’y état pour rien dans l’histoire et à ce qu’il pouvait voir il l’a aidé alors il dit : Je vous remercie monsieur.  

Le Doc lui sourit. Ce petit devait apprécier beaucoup la jeune femme, elle devait être quelqu’un de bien et lui aussi ; car pour se faire beaucoup de mouron alors que ce n’était pas si grave que ça en avait l’air. Et surtout dans son métier, il avait dû en voir des vertes et des pas mûres assez souvent.  

Yoshio entra dans la chambre. Depuis que le groupe étaient arrivé aucun d’eux n’avaient osé parler mais se fût Mick qui brisa le silence.  

(Mick) : Doc, elle est ou Kazue ? J’ai trainé dans les couloirs et je ne l’ai vu nulle part dans les chambres ; pourtant elle devrait travailler en ce moment.  

(Doc) : Oui mais elle m’a demandé sa journée, alors je la lui est donnée.  

Voyant que la réponse ne convenait pas à Mick et que celui-ci commençait à s’énerver intérieurement et que cela était palpable, Doc reprit : Tu sais elle ne m’a rien dit de plus, elle travaillait trop ces temps ci alors elle le méritait bien. Je suis désolé mon garçon je n’en sais pas plus.  

Mick allait réellement s’énerver mais Ryo lui mit une main sur son épaule et Mick compris que le vieux n’avait rien fait et il essaya donc de se calmer.  

(Mick) : Ce n’est pas grave Doc, merci quand même.  

(Miki) : Bon et bien comme l’état de Mlle Hisaishi est stable et que Yoshio veille sur elle je pense qu’il est temps de rentré. Mick, Ryo vous voulez que je vous offre un café ?  

(Ryo) : Avec plaisir ma chère Miki.  

(Miki) : Bon alors je vais prévenir Toshio que l’on va partir.  

Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19