Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Auteur: eli

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 19 chapitres

Publiée: 02-09-08

Mise à jour: 29-12-08

 

Commentaires: 68 reviews

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ActionRomance

 

Résumé: fic alternative , Kaori a un autre job . Ryo est toujours nettoyeur mais ils ne se connaissent pas . voici l'histoire de leur rencontre qui va chambouler leur vie

 

Disclaimer: Les personnages de "toute une vie " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Toute une vie

 

Chapitre 13 :: 1er RDV de couple ?

Publiée: 28-10-08 - Mise à jour: 28-10-08

Commentaires: bonjour bonjour. je remercie kaori62, kaori4ever et nanou pour leurs reviews du chapitre précédent.Dans ce chapitre la relation Saeko/Yoshio sera beaucoup plus accentué que celle de Ryo et Kaori. Mais ne vous inquietez pas ce sera plus vers la fin de l'histoire(vers le chap 15/16)qu'il n'y en aura que pour Ryo et Kaori .j'espère que ma fic vous plait encore. biz.bye

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19


 

1er RDV d’un vrai couple ?  

 

 

 

Samedi soir après le mariage, 20h30  

 

 

Saeko et Yoshio, après avoir dit au revoir à tous le monde, étaient repartis ensemble pour aller diner. Ils rentrèrent dans la voiture de celui-ci, il roula sans un mot sur la destination.  

 

 

(Saeko) : Tu m’emmènes où ?  

 

 

(Yoshio) : C’est une surprise, mais ne t’inquiète pas notre tenue est convenable pour ce genre d’endroit.  

 

 

(Saeko) : Mais de quoi tu parles ? Où on va ? Je n’aime pas ça. Allez dit moi.  

 

 

Saeko avait une tête des plus anxieuse et ressemblant maintenant a une enfant de 5 ans qui voulait qu’on lui dise où était ça sucette.  

 

 

(Yoshio) : hahaha,…, arrêtes de faire cette tête de chien battu, ça ne marche pas avec moi.  

 

 

Alors Saeko n’obtenant toujours pas de réponse commença à dire « Où on va » et cela dura tout le trajet. Yoshio, à chaque fois que Saeko lui demandait où il allait, l’a regardait 5 secondes puis affichait un sourire niais et il détournait le regard pour se concentré sur la route. Elle comprit que cela ne marchait pas alors elle changea de phrase et toutes les 30 secondes elle dit « C’est encore loin » juste pour l’énerver.  

 

 

Mais Yoshio ne se s’énerva pas et en rigolait même intérieurement. Il arrêta la voiture, la gara et dès qu’elle sortit de la voiture, Saeko vit qu’ils étaient devant le restaurant le plus chic de la ville.  

 

 

(Saeko) : Tu sais que c’est le restaurant le plus chic de la ville, ça veut dire aussi que c’est le plus cher. Et je ne crois pas qu’avec le salaire qu’on te donne que tu arriveras à payer le diner et compte pas sur moi pour payer c’est toi qui m’a invité. Et puis on n’a même pas réservé.  

 

 

(Yoshio) : Et bien puisse que je ne pourrais pas payer, tu ferras la vaisselle chez eux pour rembourser, c’est vraiment pas un problème.  

 

 

Il reçut une tape sur la tête de la part de ça belle cavalière.  

Yoshio continua tout de même : T’inquiètes pas je te dis, et si tu veux tout savoir le propriétaire du resto est un ami. Il n’arrête pas de me demander de venir manger une fois ici. Je lui est toujours répondu que je n’avais pas le temps alors aujourd’hui ce sera l’occasion.  

 

 

Ils entrèrent dans l’établissement qui était un gratte ciel, ils montèrent jusqu’au 20ème étage, de là on dominait la ville. On pouvait voir toutes les lumières de la ville, c’était magnifique.  

 

 

Ils s’assirent à une table pour 2, juste à côté d’une fenêtre, l’ambiance à l’intérieur était magique et romantique. Ils commandèrent et quelques minutes plus tard, ils furent servis.  

Après avoir mangé, Yoshio proposa d’aller se promener dans le quartier Nishi-shinjuku, aucuns des deux ne parlaient, mais c’était un silence bienfaiteur. Puis ils firent demi-tour pour rejoindre la voiture.  

Durant le trajet de retour, aucun mot ne fut prononcé. Yoshio se gara en face de l’appartement de Saeko, il resta dehors et il voulut lui dire bonsoir mais Saeko fut plus rapide et dit :  

 

 

« Tu viens prendre un dernier verre chez moi »  

 

 

Yoshio fut surpris, on aurait dit que Saeko ne lui posait pas une question. Mais il répondit quand même :  

 

« Avec plaisir »  

 

 

Ils montèrent jusqu’à son appartement puis Saeko ouvrit la porte d’entrée.  

 

 

(Saeko) : Fais comme chez toi et installes toi. Tu veux boire quelque chose ?  

 

 

(Yoshio) : Je veux bien un petit café pour être réveillé  

quand je reprendrai la route.  

 

 

(Saeko) : Tu veux dire que la soirée était assommante et tu as besoin d’être réveillé ?  

 

 

(Yoshio) : Mais nan, tu prends tout mes propos de travers. La soirée était géniale, j’étais accompagné d’une splendide femme que j’apprécie, mais je me réveille tôt tout les matins à cause du boulot et qu’à force ça m’épuise.  

 

 

Saeko alla à la cuisine pour faire du café tandis que Yoshio, lui, s’était mis devant la fenêtre du salon. Il regardait le quartier. Quand Saeko revint, il ne remarqua pas sa présence et continuait d’admirer le paysage. Saeko posa les verres sur la table basse et l’appela comme il ne répondait pas elle s’avança vers Yoshio. Elle lui mit une main sur l’épaule. Mais il ne réagit pas pour autant. Alors pour être sûr qu’il réagisse, elle lui mit la main aux fesses.  

 

 

Elle a fait ça car au grand jamais, personne ne la remarquai pas. Quand les hommes la croisait, que ça soit les passants dans la rue ou ses collègues de bureau, automatiquement ils la regardaient, même s’ils étaient dans une intense réflexion, elle leurs faisaient perdre le fil de leurs pensées.  

 

 

Dès qu’il sentit quelque chose toucher son postérieur, il se retourna vivement pour se retrouver nez à nez avec Saeko.  

 

 

(Saeko) : Je t’ai appelé et tu ne répondais pas alors j’ai dû employer la manière forte.  

 

 

(Yoshio) : Oh désolé, j’étais carrément parti ailleurs.  

 

 

(Saeko) : Je l’avais remarqué.  

 

 

Yoshio vit les tasses de café, il s’assit donc et prit une tasse et s’assit sur le canapé. Saeko n’en revenait pas, ils étaient à 5 centimètres l’un de l’autre et il n’avait rien tenté. Alors elle en fit de même, et se mit à côté de Yoshio. Quand ils finirent leurs tasses, Yoshio voulut se mettre debout, il commença à ouvrir sa bouche pour dire au revoir à Saeko. Mais celle-ci fut plus rapide que lui. Elle reposa les tasses sur la table et se mit à califourchon sur lui. Ils étaient sur le canapé, Yoshio fut hébété mais Saeko ne s’en démonta pas.  

Elle commença à lui défaire un à un les boutons de la chemise de Yoshio et embrassa chaque parcelle de peau découverte. Yoshio était abasourdi mais se reprit bien vite, il prit de sa main le menton de Saeko pour lui faire relever la tête. Il regarda ses yeux, il voulait être sûr de ce qu’elle faisait, être sûr que le lendemain, entre eux, tout aura changé, qu’il n’aura pas été comme tous les autres gars avec qui elle avait couché et qu’elle laissait tombé au petit matin sans un mot.  

 

 

Ce qu’il vit en premier ne le rassura pas et il dit :  

 

 

"Tu sais je ne suis pas les autres types que tu avais l’habitude de fréquenter, et qui se satisfont d’une partie de jambe en l’air puis d’un adieu."  

 

 

Oh oui, elle réfléchit et compris qu’il n’était pas les autres. Depuis le début, il l’a surprenait, il ne faisait aucun geste déplacé, aucun sous entendu, il ne lui avait jamais forcé la main car il savait qu’elle n’était pas prête. Il n’essayait rien tant qu’elle ne lui faisait pas comprendre que leur relation pouvait aller plus loin et être sérieuse.  

 

 

Car lui, il voulait avoir une vraie place dans son cœur. Il sait qu’il n’aura pas la même place qu’Hideyuki et à vrai dire il ne veut pas être le « remplaçant ».  

 

 

Plus Saeko réfléchissait, plus elle était sûre qu’elle voulait qu’il se passe quelque chose avec Yoshio même si cela lui faisait peur, en faite cela lui a toujours fait peur. Peur d’être déçue, peur de souffrir à nouveau, peur de s’attacher car elle ne s’était jamais attachée à quelqu’un depuis la mort d’Hideyuki et aussi peur de l’oublier, lui.  

 

 

Mais son cœur lui disait que si elle n’essayait pas maintenant, elle le regrettera jusqu’à la fin de sa vie. Car après tout, Yoshio est quelqu’un de prévenant bien qu’impulsif, mais juste durant le travail, quelqu’un de gentil, attentif, attentionné. C’est une personne a qui elle pourrait faire vraiment confiance, a qui elle donnerait sa vie.  

Et là, elle comprit qu’elle ne voulait plus fuir.  

 

 

Alors elle lui sourit, et elle continua ce qu’elle avait commencé, c'est-à-dire l’embrasser sur le torse puis elle migra vers le cou.  

 

 

Yoshio, après avoir parlé, attendait qu’elle lui dise quelque chose. Il l’a vit réfléchir puis sourire quand elle reprit conscience de la réalité. Et à cet instant, il fut confiant.  

Il l’agrippa par les fesses, et il se leva avec elle ; elle enroula ses jambes autour des hanches de celui-ci et elle enroula ses bras autour de son cou. Il voulut l’amener vite fait jusqu’à la chambre mais il ne savait pas où elle se trouvait.  

 

 

(Yoshio) : Elle est où ta chambre ? Parce ce que ce n’est pas pour dire mais je crois que je ne tiendrais pas longtemps.  

 

 

Saeko fit la moue et dit :" Dit tout de suite que je suis lourde."  

 

 

(Yoshio) : D’accord je le dirais pas, on va plutôt dire que je n’ai pas de force.  

 

 

(Saeko) : Oui effectivement, tu n’as pas de force ; et pour information ma chambre c’est la porte qui est juste derrière toi.  

 

 

Yoshio sourit et l’amena jusqu’à la chambre. Ils tombèrent ensemble sur le lit en riant. Il commença à lui enlever son chemisier et déposa une traînée de baisers à chaque fois qu’il lui détachait un bouton. Puis quand il eu fini avec le chemisier, il dégrafa le soutien- gorge de la jeune femme et lui caressa la poitrine puis ses mains furent vite remplacer par ses lèvres. Saeko arracha des gémissements de plaisir. Puis il remonta ses lèvres vers le cou de celle-ci. Saeko décida alors de retirer complètement la chemise de Yoshio puis elle commença à effleurer ses abdominaux. Elle caressa les épaules puis le dos de son futur amant jusqu’à descendre vers sa chute de rein. Ce qui fit que Yoshio laissa échapper un grognement appréciatif. Elle s’occupa ensuite de lui enlever le pantalon puis ce fut au tour de Yoshio d’enlever la jupe de Saeko. Tous les vêtements fusèrent dans les 4 coins de la pièce. Ce petit jeu de caresses et de baisers dura encore un instant jusqu’à ce qu’ils se sentent prêts et d’un puissant coup de rein, Yoshio entra en elle. D’abord il fit de lent mouvement de va et viens. Puis vite fait Saeko enroula ses jambes autour des hanches de Yoshio pour pouvoir accélérer la cadence. A bout de force, il se déversa en elle tandis qu’ils criaient chacun le prénom de l’autre.  

 

 

A 2h du matin, Saeko se réveilla. Elle se redressa légèrement et sentit quelque chose de lourd sur son ventre. Elle vit que c’était un bras d’homme qui était entrain de l’enserrer. Au début, elle se demandait qui cela pouvait bien être mais au souvenir de cette nuit, elle sourit et se rendormit confiante sans peur du lendemain.  

 

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Cela faisait 3 jours que Mick et Kazue étaient partis. Au café, Miki et Umi étaient presque honteux de dire que les pitreries de Mick leurs manquaient. Mais Ryo s’en sortait très bien, et se débrouillait pour deux. Il n’avait donc pas de répit.  

 

Du côté de Saeko, tout allait très bien, depuis 3 jours, elle et Yoshio vivaient intensément leur nouvelle relation. Au boulot, tout les collègues voyaient bien les gestes et les clins d’œil qu’ils s’échangeaient, et cela les faisaient rire car ils n’étaient vraiment pas discrets alors qu’ils essayaient de cacher leur relation. Puis à la fin de leur service, ils se rendaient dans l’appartement d’un des deux pour des soirées qui s’annonçaient à chaque fois dès plus mouvementés.  

 

 

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Mardi soir, 21h  

 

 

 

Ryo était dehors, devant l’immeuble de Kaori. Il appuya sur l’interphone, Kaori répondit et dit qu’elle arrivait tout de suite.  

 

 

Ryo avait sa tenue habituelle, t-shirt rouge et pantalon jean. Quand il vit Kaori en face de lui, il l’a trouva magnifique, alors qu’elle était habillé simplement, un pantalon jean plutôt moulant et un haut dos nu de couleur noir.  

 

 

(Ryo) : Bonsoir Kaori, tu es magnifique.  

 

 

Kaori rougit sous le compliment et répondit un simple « merci ».  

 

 

(Ryo) : Ben voila, je me suis dit que se serait sympa de diner vers le port, je connais un traiteur. On n’a cas y aller à pieds, ce n’est pas loin.  

 

 

(Kaori) : Ok.  

 

 

Ils marchèrent tranquillement jusqu’au port. Ils parlèrent de leurs journées respectives et sans s’en rendre compte, ils étaient déjà arrivés devant le traiteur.  

 

 

(Ryo) : C’est ici, on s’installe dehors ? Ce serait bien.  

 

 

(Kaori) : Oui, en plus il fait bon.  

 

 

Durant le repas, tout se passa bien, ils parlèrent et rirent de bon cœur. A la fin, Ryo paya et ils marchèrent le long du port. Kaori s’arrêta un moment, et s’accouda à une rambarde et regarda l’horizon, la lune reflétait sur l’eau. Ryo se mit à côté d’elle, aucun des deux ne voulaient briser l’atmosphère alors ils ne dirent pas un mot.  

 

 

Le trajet du retour fut tout aussi calme. Devant l’entrée, Ryo allait dire bonsoir à Kaori.  

 

 

(Ryo) : Et bien charmante demoiselle, vous voila chez vous, j’espère que vous avez passé une agréable soirée.  

 

 

(Kaori rentrant dans son jeu) : La soirée a été plaisante très cher monsieur, j’espère que ce ne sera pas la dernière.  

 

 

(Ryo) : Ce serait un honneur d’être votre cavalier pour une prochaine fois.  

 

 

Kaori rigola et Ryo se mit à rire également.  

 

 

(Ryo) : Sincèrement, j’espère que tu as passé une bonne soirée.  

 

 

(Kaori) : Franchement j’ai trouvé ça génial.  

 

 

(Ryo) : Bon bah alors bonne nuit Kaori et j’espère que l’on se refera une sortie comme aujourd’hui.  

 

 

Après avoir dit cela, Ryo prit la main de Kaori et lui fit un baise main puis il l’embrassa à la commissure de ses lèvres.  

 

 

Kaori rougit et dit : Oui bonne nuit Ryo.  

 

 

Elle ouvrit la porte et monta les escaliers pour rejoindre son appartement tandis que Ryo décida après quelques secondes de repartir en direction de son appartement.  

 

 


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