Chapitre 14 :: Bébé vous avez dit bébé ????!!!!!!

Publiée: 31-10-08 - Mise à jour: 02-11-08

Commentaires: salut ce chapitre est un petit interlude avant que l'action ne revienne. Meci à TOKRA, nanou et kaori62 pour leurs reviews du chapitre précédent.biz.bye.

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Chapitre 14  

Cela faisait 6 semaines que Mick et Kazue étaient revenus de leur croisière. Kazue avait appelé toute la bande pour annoncer une grande nouvelle.  

Alors à 14h ; Miki, Umi, Kaori, Ryo, Saeko, Yoshio, Mick et Kazue étaient donc tous présents.  

(Mick) : Alors voilà, Kazue et moi, on a une grande nouvelle à vous annoncer.  

(Kazue) : Mick et moi ……………..on va avoir un bébé.  

Toutes les femmes poussèrent Mick, qui durant tous ce temps enlaçait Kazue, pour pouvoir se mettre autour de la future maman.  

Mick qui a été projeté s’assis au bar à côté de Ryo et de Yoshio et bien sûr en face de Umi, qui essuyait ses verres fétiches.  

(Miki) : Tu es enceinte de combien ?  

(Kazue) : De 2 mois.  

Effectivement durant leur voyage de noce, bébé Angel a été conçu. Et oui car Mick voulait absolument accomplir son devoir conjugal aussi souvent qu’il le pouvait. Il faut dire aussi qu’ils étaient souvent dans le bateau pour faire l’amour, plutôt que dehors à visiter les villes où ils faisaient escales.  

(Kazue) : Au faite Miki, je voudrais te demander d’être la marraine.  

(Miki) : C’est vrai ? wahou. Je suis vraiment heureuse que tu me demandes ça. Et tu sais que j’accepte avec plaisir.  

Toutes les filles étaient vraiment contentes pour Kazue. Elles étaient ravies de voir le bonheur émané de Kazue, d’abord elle se marie puis elle va bientôt être maman.  

Du côté des garçons  

(Ryo) : Alors comme ça on va être papa ?  

(Umi) : J’espère que tu sauras te tenir, et que Kazue n’ai pas à élever deux gamins.  

Mick se mit à 4 pattes sur le bar et dit : « Je ne suis pas un enfant, Môssieur, et j’ai su le prouver à de nombreuses reprises si tu vois ce que je veux dire. »  

(Umi) : Bouges tes fesses de mon bar, assieds toi correctement, BEBE. Qu’est ce que t’as à sourire bêtement toi.  

(Ryo) : Comment tu sais que je souris ?  

(Umi) : Je le sens, c’est tout. Et je sens aussi que ce que tu as dans la caboche sont des idées malsaines, je me trompe ?  

(Ryo) : Pour dire vrai, je suis content ; maintenant je suis le seul à pouvoir me proclamer l’étalon de shinjuku. J’pourrais draguer et plus si affinité sans que Mick ne gâche tout comme les autres fois.  

(Mick) : Je gâche rien du tout moi, ce n’est pas ma faute si celle que tu draguais avait flashé sur moi.  

(Ryo) : N’importe quoi ; c’est toi qui faisaient des avances trop lourdes alors que je commençais à les draguer. Et résultat elles s’enfuyaient toutes car TU GACHAIS L’AMBIANCE.  

(Mick) : Prend pas tes rêves pour des réalités, c’est toi qui était lourd.  

Et là, une bagarre fut déclarée entre les 2 plus grands idiots du Japon.  

Umi les regardait, il souriait de leurs stupidités, mais en plus, il aimait bien les voir se faire du mal l’un contre l’autre. A croire qu’il était un peu sadique sur les bords car à chaque fois c’est lui qui payait les réparations. Mais quand il vit Mick prendre une chaise et Ryo, une bouteille d’alcool pour pouvoir se les lancer, il les calma tout de suite.  

Il prit chacun dans une main les 2 nettoyeurs par la peau du cou et les souleva. Ils gesticulaient pour pouvoir se débattre de l’emprise d’Umi et en même temps pour continuer à se taper dessus.  

Les filles, en voyant cela, firent une mine désespérées.  

Tandis que Yoshio qui était toujours au comptoir rigolait de la situation.  

(Mick et Ryo à Yoshio) : Arrêtes de rigoler et aide nous, tu connais la solidarité masculine ?  

(Yoshio) : Désolé les gars mais c’est bien fait pour vous. Ha, ha, ha. Vous êtes vraiment des enfants je suis tout à fait d’accord avec Umibozu.  

(Mick et Ryo) : T’es qu’une femmelette. T’as peur qu’Umi chou s’en prenne à toi. FAYOT !!!!!!!!  

Miki regardait son mari, celui-ci sentit le regard de sa femme sur lui. Bien qu’il ne puisse pas voir, il le savait et il savait aussi que sa femme voulait dire quelque chose à toute la bande. Umi lui sourit, face à ce sourire, plein de personnes qui ne le connaissaient pas auraient fuis, mais sa femme comprit que c’était un sourire pour la rassurer et pour lui dire « vas-y ».  

(Miki) : Tenez vous tranquille les garçons, j’ai moi aussi quelque chose à vous dire.  

Les 2 nettoyeurs s’arrêtèrent pour écouter Miki.  

(Miki) : Moi aussi, je suis enceinte.  

(Ryo) : NOOOOOOOOOOOOOON, pas ma Miki d’amour. Encore une miss Mokkori de perdu. Au faite c’est qui le père vu que ce n’est pas moi, dis moi avec qui tu m’as trompé.  

(Mick en rajoutant une couche et en pleurant) : Ne me dis pas que c’est Umi chou le père, ne me dis pas que c’est Umi chou le père.  

Personne ne voulait s’énerver en ce jour particulier alors ils firent comme si ils n’avaient pas entendu et dirent : « Félicitations Miki ».  

(Saeko) : Mais tu le sais depuis quand ? Pourquoi tu ne l’as pas dit avant ? Tu es enceinte de combien ?  

(Miki) : Houlà une question à la fois. Je le sais depuis 3 mois et je suis enceinte de 4 mois. Si je ne l’ai pas dit avant c’est à cause de toutes ces histoires, et puis avec notre métier, on ne voulait pas le dire tout de suite.  

(Mick) : Et ben, on ne croirait pas que tu es enceinte, on dirait que t’as pas pris un kilo.  

(Miki) : Sache qu’à 4 mois ça commence à se voir légèrement, mais il est vrai que pour moi ça ne se remarque pas.  

Toutes les filles se mirent à une table et s’assirent pour discuter plus tranquillement.  

Tandis que les garçons reprenaient de plus belle. Mais ils s’arrêtèrent bien vite à la vue d’un joli petit bazooka qui était dans les mains d’un gros nounours.  

(Mick reprenant son sérieux) : Je n’ai pas encore eu le temps de te le dire Ryo à cause de TES gamineries mais tu voudrais bien être le parrain de mon enfant.  

(Ryo) : Oui avec plaisir, et puis comme ça je lui apprendrais plein de trucs sympa enfin même si je n’étais pas son parrain je te l’aurais éduqué ton gamin. Et toi Umi chou se sera qui le parrain de ton môme.  

(Umi) : Surement pas l’un de vous deux. Je n’ai pas envie que mon enfant reste avec deux inconscients dans votre genre.  

(Yoshio entrain de rigoler dit) : je le comprends, je laisserai jamais mon enfant avec vous.  

(Mick et Ryo) : Oh toi.  

(Ryo tout seul cette fois) : Et attends ça veut dire que Saeko est enceinte ? Non ce n’est pas vrai c’est une épidémie ma parole. Ou alors t'a un enfant et tu nous l'a caché j'espère au moins que Saeko le sait.  

(Yoshio) : Non Saeko n’est pas enceinte, si cela peux te rassures, tu peux arrêter de pleurer maintenant. Et non je n'ai pas encore d'enfant.  

(Ryo) : Oui d’accord j’arretes de pleurer. Et puis d’abord pour en revenir à toi Umi, moi inconscient jamais. Si jamais tu mourrais et si jamais ton enfant est une fille alors rassure toi je la suivrais comme mon ombre et je resterais avec elle même la nuit dans son lit comme ça tu seras rassuré de là haut.  

Umi sortit son bazooka signe qu’il n’avait pas apprécié la remarque.  

(Umi) : Même pas en rêve que tu toucheras ma fille, si s’en est une. Compris ?!  

(Ryo) : Oui. Hé,hé. C’était pour rire, tu sais.  

(Umi) : Je n’aime pas ce genre d’humour.  

(Ryo) : Ca je l’avais remarqué.  

(Umi) : Yoshio, je sais que ça va te paraitre bizarre mais tu voudrais bien être le parrain de notre enfant.  

(Yoshio surpris) : Oui avec joie.  

Il est vrai que Miki y était pour beaucoup dans la demande faite par Umi. Depuis que Kaori était allée à l’hopital, Yoshio c’était rapproché de Miki. Ils se parlaient beaucoup, ils étaient même partis plusieurs fois ensemble faire les boutiques, ce qui est quand même inhabituel pour un homme.  

Yoshio remercia Umi, paya sa consommation et se mit debout. Saeko en fit de même. Pendant qu’ils embrassaient tout le monde pour leurs dires au revoir. Kaori voulut faire la même chose que les 2 autres. Mais Miki lui prit le poignet et dit :  

« Attends Kaori, je voudrais que tu sois la marraine de mon enfant »  

Kaori fut surprise de la demande de Miki mais fut très touché et dit :  

« Avec plaisir »  

Puis les 3 flics partirent du café Cat’s eye.  

Il ne restait donc que Miki, Kazue, Mick, Ryo et Umi. Les 2 femmes restèrent encore pour discuter de leurs grossesses respectives.  

Tandis que les garçons étaient toujours à la même place, car ils ne voulaient pas parler de l’affaire dont Saeko leur avait parlé devant les 2 femmes. Alors Ryo préféra jouer les idiot et fanfaronna en disant que lui il n’avait pas de devoir envers une femme et qu’il ne sera jamais obligé de s’occuper dans un futur proche d’un « sale morpion » selon ses propos.  

(Ryo) : Pendant que vous vous essuierez les fesses de vos marmots, moi j’enverrais des filles au 7ème ciel.  

Mick et Umi sourirent narquoisement.  

(Mick) : Tu peux parler, avec toute les filles avec qui tu couches y’en a jamais une que tu as mis en cloque. T’aurai pas des problèmes d’éjaculation.  

(Umi) : Il est peut être impuissant qui sait, après tout on n’est jamais partis vérifié ses dires, il ne fait que de se vanter devant nous. Hé, hé, hé.  

Et là Mick et Umi rirent de plus belle.  

(Ryo) : N’importe quoi les gars, je vous ramène toutes les filles que vous voulez et elles vérifieront mes dires.  

(Mick) : Arrête toutes les bunny’s, je l’ai connaît toutes et elles n’ont jamais rien dit sur toi à part que tu es un mauvais payeur.  

(Umi) : Et les autres femmes que tu pourrais nous ramener, je suis sûr que tu l’ai payerai pour qu’elle dise ce que tu veux entendre.  

Mick et Umi continuèrent à rire.  

Ryo marmonna dans sa barbe « Crétins ».  

Il se dirigea vers Kazue et Miki et dit : « Au revoir les filles, si vous voulez quittées vos demeurés de maris, vous savez qui appeler ».  

Puis il partit, il marcha vers les quartiers chauds de la ville. Il repensa à l’affaire dont il avait parlé avec Saeko, à propos de ce tueur, nommer Seta Amori. Cet homme avait une fâcheuse manie à inviter des femmes pour les tuer juste après. Et de laisser les corps dans un hôtel miteux pas très loin du lieu de son forfait. Dès que Ryo avait demandé des infos sur ce type, celui-ci sut que City Hunter était à ses trousses et depuis il s’était mis en retrait et n’avait plus tué de jeunes femmes. Alors Ryo se devait de savoir, seul, où se trouvait cette pourriture. Seul car en ce moment Mick et Umi avait d’autres obligations auprès de leurs femmes respectives  

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Tandis que Ryo était parti seul. Mick et Kazue décidèrent d’en faire autant pour rentrer chez eux. Durant le trajet aucun ne parla. Mick savait que Kazue voulait dire quelque chose alors c’est lui qui commença :  

« Dis-moi ce que tu veux me dire »  

(Kazue) : Tu sais très bien ce que je veux te dire.  

(Mick) : Oui je le sais. Mais je veux que tu me le dises clairement.  

(Kazue) : Mick s’il te plaît.  

Mick fit une moue enfantine et dit : « Kazue s’il te plait »  

(Kazue) : T’es chiant tu sais ?!  

(Mick) : Oui mais c’est comme ça que tu m’aimes !  

(Kazue) : C’est vrai. Alors si tu veux l’entendre je voudrais  

que l’on parle d’avenir. Tu sais je me pose beaucoup de  

questions.  

(Mick) : Et bien vas y pose moi tes questions.  

(Kazue) : Tu sais très bien que tu ne pourras pas me  

répondre et encore moins me faire de promesse.  

(Mick) : Dis quand même.  

(Kazue) : Très bien alors 1ère question : Tu va faire quoi  

pour City Hunter.  

(Mick) : Je reste avec Ryo en tant que City Hunter et je  

ferais toujours équipe avec lui.  

(Kazue) : Tu vois c’est exactement ce que je voulais dire comment on va faire alors que la situation est compliquée et que rien ne changera.  

(Mick) : Ecoute Kazue. Même si je quitte l’équipe, il y aura toujours quelqu’un qui voudra me tuer. Donc je serai plus vigilant face à ça et je ferai des choses qui ne seront pas plaisantes mais que je devrai faire pour protéger notre famille. D’accord ?! Et en ce qui concerne les missions pour City Hunter, je te promets de faire attention à moi. Et puis je ne suis pas le n°2 du Japon pour rien, alors pas de soucis. J’ai deux raisons de vivre maintenant : toi et le bébé. Alors je vous reviendrais toujours.  

Kazue sourit et dit : « On dirait que tu n’as pas peur ».  

(Mick) : Bien sûr que j’ai un peu peur mais je ne le montre pas parce que si on était tout les 2 à paniqué personne ne pourrai te réconforter. Et puis ne pense pas à tous ces problèmes pour l’instant il ne s’est rien passé.  

Pour Miki et Umi, le problème était moins grave. Ils étaient tout les 2 d’anciens mercenaires maintenant et travaillait à plein temps au café. Même si des personnes qui ne sont parfois pas trop fréquentable demandaient de l’aide à Umi, celui-ci refusait désormais. Il voulait se consacrer entièrement à sa famille. Ils avaient leur café, cela rapportait assez pour pouvoir vivre décemment. Donc leur futur leur faisait moins peur, ils seraient à deux pour élever leur enfant, tranquillement et pleinement.  

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