Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur(s): Mojca

Traducteur(s): Engel

Status: En cours

Série: City Hunter

Histoire d'origine:

A pinch of fate

 

Total: 4 chapitres

Publiée: 30-06-05

Mise à jour: 18-02-06

 

Commentaires: 60 reviews

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RomanceDrame

 

Résumé: Mick s'eprend d'une belle et mysterieuse illustratrice... Mais leur histoire d' amour est interrompu lorsqu'il part pour le Japon. Il a ete commissione pour tuer son meilleur ami.

 

Disclaimer: Les personnages de City Hunter appartiennent exclusivement a Tsukasa Hojo. Les autres sont de mon invention (J' espere^^)

 

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   Traduction :: Un pincement du destin

 

Chapitre 2 :: 2

Publiée: 13-07-05 - Mise à jour: 18-02-06

Commentaires: Le chapitre est incroyablement court, je sais, mais c’est juste la manière dont l’histoire évolue pour le moment. Peut-être qu’avec le temps la taille s’améliorera.^^ Enjoy, M.

 


Chapitre: 1 2 3 4


 

Deux mois plus tard.  

 

Les gros trains d’atterissage du jet touchèrent finallement le sol.  

Un homme blond, une unique rose écarlate dans sa main, poussa un soupir de soulagement, en regardant les ombres fugitives au travers des fenêtres ruisselantes de pluie. Elle était à la maison. Saine et sauve.  

Les trois dernières heures avaient étaient un cauchemard. Une belle matinée ensoleillée s’était changée en un sombre et nuageux après-midi, évoluant lentement en une tempête aux proportions apocalyptiques. La pluie se deversait en ruisselant, le vent et les coups de tonnerre faisaient trembler les vitres, et les éclairs continuaient de percer le ciel sombre, dessinant des formes macabres sur un fond nuageux.  

Les premiers passagers apparurent avec leurs chariots à bagages et il tourna sa tête avec un faible sourire. Il était impatient de la revoir. Elle n’était partie que pour trois jours, mais elle lui manquait terriblement. Je pense que je suis en train de devernir sentimental.  

Il se secouca la tête en soupirant, ses yeux s’illuminèrent lorsqu’il vit Cory marcher vers lui, un sac rebondi jeté par dessus son épaule. Elle n’utilisait jamais de chariots et elle detestait lorsqu’il lui proposait de porter les affaires lourdes pour elle. Elle était forte, plus forte que n’importe quelle autre femme qu’il ait jamais connu, et elle n’avait pas peur de le montrer.  

Cory le vit se tenant là, faisant un large sourire. Les yeux pétillant, elle lui fit signe avec enthousiasme, courant vers lui, et se jeta dans ses bras. “Salut, beau mec,” lui sourit-elle.  

Il lui sembla se noyer dans ses yeux pendant instant. “Salut toi.” Il l’embrassa passionnément, refaisant connaissance avec son goût sucré… Avec sa belle et généreuse bouche.  

“Mon dieu, comme tu m’as manqué,” mumura-t-il d’une voix rauque contre ses lèvres, lorsqu’elles s’écartèrent pour réclamer de l’air.  

“Tu m’as manqué, aussi,” chuchota-t-elle, effleurant à nouveau ses douces lèvres contre les siennes.  

Mick recula, sortant une rose de derrière son dos. “Une rose pour une rose, princesse.”  

Elle lui donna une tape sur la poitrine, ses yeux s’humidifiant. “C’est tellement cliché!”  

Il sourit d’un air penaud. “Désolé de ne pas être Byron, ma douce.”  

Cory prit la rose, respirant son parfum. “Tu n’as pas à être poète, Mick. Tu es parfait comme tu es.” Elle battit des cils au-dessus des pétals roses. “Merci,” mumura-t-elle.  

Retirant la rose de ses lèvres, il l’embrassa à nouveau. Tendrement. “De rien.”  

 

***  

 

“Alors, comment était la conférence?”  

Ils étaient en train de manger dans leur restaurant favoris. Le même où ils s’étaient rencontrés. C’était toujours là qu’ils venaient depuis lors. C’était un petit restaurant italien familial avec pour tueur ‘fettucini Alberto’. Cory les adorait et Mick adorait Cory. Pourquoi ne pas se montrer indulgent envers elle.  

“Mouvementée,” soupira-t-elle, machônnant son raddichio. “Mais les enfants étaient fantastiques, donc ça valait le coup.”  

“Tu a vu des sites pittoresques?” Il regarda tristement son assiette. Mince, il detestait que sa nourriture soit trempée dans le ketchup.  

Cory acquiesca avec enthousiasme. “ouaip, j’ai eu l’autographe de Harrisson Ford.”  

Mick roula de yeux. “Des sites, chérie, pas des célébrités.”  

“J’était à Los Angeles, Mick. Quels sites peut-il y avoir?”  

Il réfléchit un moment. Elle marquait un point là. “Aha. Des studios de film.”  

“Je suis allée à La Paramount. J’ai vu les lieux de tournage d’Indiana Jones.”  

“Pourrais-tu s’il-te-plait arrêter avec ton obsession pour Harrison Ford?”  

Elle sourit lentement. Il devenait toujours jaloux comme pas possible lorsqu’Indiana Jones était sur le plateau. Elle adorait le taquiner.  

“Qu’est-ce que j’y peux? C’est un gros morceau.”  

Mick fit carrément la moue. “Et moi alors?”  

“Tu es mon ours en peluche.” Voyant son expression maussade, elle tapota sa main. “Mick, écoute-moi. Toute les femmes sont attirées par les mauvais garçons. Néanmoins, toutes finissent avec le gentil . J’ai eu ma part de mauvais garçon, maintenant il est temps pour le gentil de jouer son rôle.  

Elle ne m’en a jamais dit plus que ça. ‘Elle a eu sa part de mauvais garçon’. Quand? Où? Que s’est-il passé? Qui était ce salaud…?  

Rien. S’il essayait d’apprendre quelquechose de plus, elle se repliait dans sa coquille.  

Par conséquent, il décida d’utiliser ses relations pour en savoir plus, mais elle semblait ne pas avoir existé avant de devenir Cory Mc Guire. Il tombait sur un mur, qu’importe la direction qu’il prenne.  

“Alors, je suis le gentil, hein?” sourit-il.  

Elle lécha les restes sur sa fourchette. “Sans aucun doute le gentil.”  

Oh, bébé, si seulement tu savais. Il n’était pas un type bien, il n’était pas gentil. Il était un balayeur, un tueur à gage et ça lui allait. Jusqu’à ce qu’il la rencontre. Elle était pure, innocente… bien que mystérieuse… pleine de vie, pleine d’amour. Elle était son rayon de soleil.  

“Allooo!” Cory claqua des doigts devant ses yeux. “Est-ce qu’au moins tu es en train de m’écouter?”  

“Non,” dit-il avec un sourire penaud.  

Elle fronça les sourcils. “Quelque chose ne va pas? Tu veux en parler?”  

Mick secoua la tête. “Tout va bien.” A part que je sait que dale sur qui tu es vraiment. “J’étais juste perdu dans mes pensées.”  

“Wow. Tu devais être en train de réfléchir sérieusement. Tu ressemblait à quelqu’un ayant mangé quelque chose bien après sa date d’expiration.” Elle lui fit un clin d’oeil. “Je suppose que ce qui est vrai pour les femmes blondes ne s’applique pas aux hommes.”  

“Hé, c’est offensant ça.” Dit-il en riant.  

Corey poussa secrètement un soupir de soulagement. Au moins elle l’avait fait rire. Il avait été d’humeur sombre depuis son retour. Pourquoi ne te confis-tu pas à moi, Mick? Il gardait toujours tout en lui. Peut-être parce que, toi non plus, tu ne te confis pas à lui. Elle boucha ses oreilles à cette petite voix.  

Sa conscience devenait une nuisance dernièrement. Elle avait le droit d’avoir des secrets, non? Tout le monde avait des secrets, pourquoi ne le pouvait-elle pas? Il avait des secrets aussi. Et voilà.  

“Ma jolie.” Murmura Mick, lorsqu’elle n’avait même pas touché à son Tiramisu. D’habitude elle sautait sur le festin comme un grizzly après hibernation. “Qu’est-ce qu’il y a?”  

Elle secoua sa tête, lui faisant un clin d’oeil. “Je suppose que toute cette réflexion est contagieuse.”  

Ils rirent tout les deux, la soirée reprenant un ton agréablement normal et relaxant.  

 

***  

 

Mick l’appuya contre la porte, l’embrassant d’une manière irraisonnée.  

Les bras de Cory se serrerent autour de son cou, pressant son corps entier contre le sien. Elle gémit, ses doigts se frayant un tunnel dans sa crinière. Elle adorait la texture de ses cheveux. Doux comme la soie et lisse. Elle aurait pu jouer avec ses cheveux pendant des heures.  

Sa main remonta de sa taille, lentement, enveloppant doucement son sein. Il était tellement dur pour elle qu’il pensa qu’il allait exploser.  

Sentir sa main sur le renflement de son sein, fit s’écrouler le monde de Cory autour d’elle. Haletante, elle se retira de son étreinte, les joues en feux.  

Mick grogna de frustration. C’était toujours pareil. Juste alors qu’il pensait qu’ils allaient progresser, elle devenait capricieuse et froussarde. Il devait l’avoir. Bientôt. Ou bien il en mourrait. Est-il possible de mourir de célibat?  

Cory s’éclaircit la gorge, déposant un rapide baiser sur ses lèvres. “ Bon’ nuit.”  

Et elle était partie, lui fermant la porte au nez.  

Marmonnant des jurons dans sa barbe, il marcha lentement jusqu’à sa voiture.  

…  

Cory prit une rapide douche et se peletonna sur le sofa dans son peignoir moelleux vert foncé avec un mug de chocolat chaud entre ses mains.  

Pourquoi ne pouvait-elle pas continuer? Il l’aimait, elle le savait, et ça lui faisait mal de le voir si frustré.  

Elle l’aimait aussi, alors pourquoi ne pas céder à ce désir brûlant en elle. En eux deux.  

“Vierge à vingt-huit ans,” marmonna-t-elle tristement. “Ça donnerai une belle comédie.”  

Comme à son habitude, elle prit son block-note, gribouillant sur le papier blanc. Elle n’allait jamais se coucher avant d’être absolument et complètement fatiguée. Si ne elle le faisait pas, elle savait qu’éventuellement, les rêves viendraient avec son sommeil. Des rêves qui la tourmentaient constamment depuis ces quatre dernières années. Des rêves de noirceur, de sang, de mort, et d’amour. Un amour si puissant qu’il lui consumait son âme même.  

Elle ne pouvait pas supporter ces rêves. Elle ne pouvait pas supporter de se reveiller en larmes, des spasmes faisant trembler tout son corps. Elle ne pouvait simplement pas l’oublier.  

Ses yeux, sa voix… Il marchait toujours dans le royaume de ses rêves, ne changeant jamais, ne vieillissant jamais. Ses derniers mots résonnant toujours dans son esprit.  

“ Toi et moi ensemble ça ne marche pas. Je suis désolé de t’avoir gardé avec moi si longtemps, mais la promesse faite à ton frère me liait à toi. Maintenant tu es assez grande pour vivre de par toi-même, de plus, être avec moi te met toujours en danger, et tu es trop faible pour te défendre toute seule. Je suis fatiguée d’avoir à m’occuper de toi, toujours te protéger, et t’abriter. Pars, fais-toi une nouvelle vie et oublis-moi…”  

“Oublier…”  

Une larme solitaire s’écrasa sur le visage qu’elle avait inconsciement dessiné sur son block, en estompant ainsi les traits durs.  

Ses yeux sombres toujours ancrés dans les siens…  

 

 


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