Chapter 11 :: Prélude

Published: 24-10-03 - Last update: 24-10-03

Comments: Kikou, c'est le week end allélouia (ça doit pas s'écrire comme ça) Je remercie encore toutes les personnes qui me font part de leurs critiques, ça m'aide bcq. Dans ce chapitre j'ai l'impression d'avoir rendu les persos trop sensibles par rapport à se qu'ils sont réellement, mais tant pis parceque c'est comme ça que je les aime. Bonne lecture...

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A l’appartement  

Lorsqu’elle ouvrit la porte, elle se rendit compte que la table était dressée, la lumière était tamisée et il y avait des chandelles.  

Kaori sentait la colère monter en elle, il avait osé invité une fille ici pour un dîner aux chandelles, il allait le payer.  

Ryô qui avait entendu la porte, c’était approché d’elle.  

R_ Waow, Kaori t’es…  

***DOOOM*** 5000 tonnes (Ouch, ça doit faire mal, surtout si on a pas Synthol J, désolé, j’ai pas pu m’empêcher, aller j’arrête, enfin jusqu’à la prochaine fois.)  

R(Agonisant, enfin, vous voyez où je veux en venir, hein...)_ Kao… arrêtes, pourquoi?  

K_ Elle est déjà là, la pauvre fille que t’as réussi à draguer.  

R(Se remettant debout)_ En fait, elle vient d’arriver. Ouh la, j’ai mal à la tête, t’as frappé vachement fort cette fois.  

Kaori se retourna pour voir le visage de la nouvelle conquête de Ryô, mais il n’y avait personne. D’un seul coup, elle se retourna vers lui, il l’a regardait. C’est alors que Kaori comprit que c’était d’elle qu’il parlait, (et vous connaissez tous Kaori), elle se mit à rougir.  

K_ Je…euh, je suis désolée, je croyais que… enfin pourquoi un dîner.  

R_ Parce que j’ai quelque chose à te dire.  

Il prît sa main et la mena au salon, Kaori semblait un peu perdue et son cœur battait à tout rompre.  

Ryô se tourna vers elle.  

R_ Ecoutes, et surtout ne m’interrompt pas.  

Il prît son inspiration comme s’il allait se lancer dans un grand monologue.  

R_ Kaori, je t’aime ( ça y est, il l’a dit, mon rêve c’est enfin réalisé :’-), vous voyez j’en pleure de bonheur, calmons nous, zen)  

Je sais ça peut choquer, je vis avec toi depuis 7 ans et ça a été la plus belle période de ma vie, parce que tu étais là. Tu as apporté de la joie, de la vie dans cette maison qui abritait un mort, je me considérait comme tel mais toi tu m’as fait revivre. Lorsqu’on t’a tiré dessus, j’ai cru que j’allais de nouveau mourir, cette fois de chagrin parce que si tu partais je n’avais plus aucune raison de vivre.  

Il reprît son souffle.  

R_ Voilà, tu es mon essence vitale, tu es tout pour moi, je t’aime.  

Kaori ne l’avait pas regardé dans les yeux, elle avait baissé la tête et lorsque Ryô la lui fit relever d’un geste de la main, elle pleurait, elle attendait ça depuis tellement longtemps qu’elle se croyait dans un rêve.  

K_ Dis moi que la prochaine fois que je fermerais les yeux tu seras toujours là et que ce n’était pas un rêve.  

Ryô prît ses mains dans les siennes et esquissa un petit sourire, décidément elle ne changerait pas, toujours à douter de ses sentiments (A qui la faute Mr, hein? J)  

R_ J’ai oublié de te dire que tu étais incroyablement belle ce soir et tes vêtements te vont à merveille.  

Kaori sourit, il la regarda dans les yeux et essuya les larmes qui coulaient sur son visage avec son pouce. Ryô passa délicatement sa main dans ses cheveux puis redescendit sur sa joue. Le cœur de Kaori battait à 100 à l’heure, elle était prise d’une irrémédiable envie de l’embrasser, lui attendait un signe de sa part, il savait qu’elle ne le rejetterait pas. Elle avança son visage vers celui de Ryô, c’était ce qu’il attendait. Il posa délicatement ses lèvres sur les siennes, ce fut un baiser tendre, lorsqu’il se retira Kaori lui laissa à peine le temps de reprendre son souffle et prît son visage dans ses mains et l’embrasa passionnément, leurs langues se caressaient voluptueusement, un baiser qui exprimait tout l’amour qu’ils s’étaient interdit jusque là et même plus. Ils se séparèrent enfin, Ryô ne pouvait pas détacher ses yeux de cette femme qu’il désirait de plus en plus chaque secondes. Il s’humecta les lèvres et dit:  

R_ Tu sais que là on est en train d’attaquer le dessert.  

Elle lui sourit et lui répondit sans plus attendre  

K_ Tu sais finalement, je n’ai pas très faim, je pense que le dessert me suffira amplement.  

à suivre (j'ai fais exprès nananananaire, j'aime bien embêter les gens moi!, courage y a juste à appuyer sur chap 12, un petit effort...)  

A l’appartement  

Lorsqu’elle ouvrit la porte, elle se rendit compte que la table était dressée, la lumière était tamisée et il y avait des chandelles.  

Kaori sentait la colère monter en elle, il avait osé invité une fille ici pour un dîner aux chandelles, il allait le payer.  

Ryô qui avait entendu la porte, c’était approché d’elle.  

R_ Waow, Kaori t’es…  

***DOOOM*** 5000 tonnes (Ouch, ça doit faire mal, surtout si on a pas Synthol J, désolé, j’ai pas pu m’empêcher, aller j’arrête, enfin jusqu’à la prochaine fois.)  

R(Agonisant, enfin, vous voyez où je veux en venir, hein...)_ Kao… arrêtes, pourquoi?  

K_ Elle est déjà là, la pauvre fille que t’as réussi à draguer.  

R(Se remettant debout)_ En fait, elle vient d’arriver. Ouh la, j’ai mal à la tête, t’as frappé vachement fort cette fois.  

Kaori se retourna pour voir le visage de la nouvelle conquête de Ryô, mais il n’y avait personne. D’un seul coup, elle se retourna vers lui, il l’a regardait. C’est alors que Kaori comprit que c’était d’elle qu’il parlait, (et vous connaissez tous Kaori), elle se mit à rougir.  

K_ Je…euh, je suis désolée, je croyais que… enfin pourquoi un dîner.  

R_ Parce que j’ai quelque chose à te dire.  

Il prît sa main et la mena au salon, Kaori semblait un peu perdue et son cœur battait à tout rompre.  

Ryô se tourna vers elle.  

R_ Ecoutes, et surtout ne m’interrompt pas.  

Il prît son inspiration comme s’il allait se lancer dans un grand monologue.  

R_ Kaori, je t’aime ( ça y est, il l’a dit, mon rêve c’est enfin réalisé :’-), vous voyez j’en pleure de bonheur, calmons nous, zen)  

Je sais ça peut choquer, je vis avec toi depuis 7 ans et ça a été la plus belle période de ma vie, parce que tu étais là. Tu as apporté de la joie, de la vie dans cette maison qui abritait un mort, je me considérait comme tel mais toi tu m’as fait revivre. Lorsqu’on t’a tiré dessus, j’ai cru que j’allais de nouveau mourir, cette fois de chagrin parce que si tu partais je n’avais plus aucune raison de vivre.  

Il reprît son souffle.  

R_ Voilà, tu es mon essence vitale, tu es tout pour moi, je t’aime.  

Kaori ne l’avait pas regardé dans les yeux, elle avait baissé la tête et lorsque Ryô la lui fit relever d’un geste de la main, elle pleurait, elle attendait ça depuis tellement longtemps qu’elle se croyait dans un rêve.  

K_ Dis moi que la prochaine fois que je fermerais les yeux tu seras toujours là et que ce n’était pas un rêve.  

Ryô prît ses mains dans les siennes et esquissa un petit sourire, décidément elle ne changerait pas, toujours à douter de ses sentiments (A qui la faute Mr, hein? J)  

R_ J’ai oublié de te dire que tu étais incroyablement belle ce soir et tes vêtements te vont à merveille.  

Kaori sourit, il la regarda dans les yeux et essuya les larmes qui coulaient sur son visage avec son pouce. Ryô passa délicatement sa main dans ses cheveux puis redescendit sur sa joue. Le cœur de Kaori battait à 100 à l’heure, elle était prise d’une irrémédiable envie de l’embrasser, lui attendait un signe de sa part, il savait qu’elle ne le rejetterait pas. Elle avança son visage vers celui de Ryô, c’était ce qu’il attendait. Il posa délicatement ses lèvres sur les siennes, ce fut un baiser tendre, lorsqu’il se retira Kaori lui laissa à peine le temps de reprendre son souffle et prît son visage dans ses mains et l’embrasa passionnément, leurs langues se caressaient voluptueusement, un baiser qui exprimait tout l’amour qu’ils s’étaient interdit jusque là et même plus. Ils se séparèrent enfin, Ryô ne pouvait pas détacher ses yeux de cette femme qu’il désirait de plus en plus chaque secondes. Il s’humecta les lèvres et dit:  

R_ Tu sais que là on est en train d’attaquer le dessert.  

Elle lui sourit et lui répondit sans plus attendre  

K_ Tu sais finalement, je n’ai pas très faim, je pense que le dessert me suffira amplement.  

à suivre (j'ai fais exprès nananananaire, j'aime bien embêter les gens moi!, courage y a juste à appuyer sur chap 12, un petit effort...)  

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