Chapter 4 :: Prélude

Published: 17-03-04 - Last update: 17-03-04

Comments: Bon, voilà un chapitre supplémentaire...Le titre c pas la joie en fait pour que ce soit compréhensible j'aurais du écrire: prélude à la discussion mais c'était vrt pas bô! Ca n'avance vraiment pas très vite dsl j'arrive pas à gérer fic et partiels en même temps. Je crois que y'en a qui vont encore m'en vouloir car ce n'est pas non plus dans ce chap que je répondrais à toutes les interrogations...mais ça arrive! Sinon je voulais vous demander: préférez vous que je poste les chapitres au fur et à mesure que je les écrits même s'ils sont courts ou préférez vous que j'en fasse plusieurs sur une période encore plus longue (d'ailleurs j'ai honte que ça traîne autant! :-)) et que j'en poste plusieurs en même temps pour vous éviter de ronger tous les ongles de vos mains? Sur ce bonne lecture!!

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Une fois dans la cuisine, mick fait cuire un petit déjeuner pour kaori et se verse un bol de corn flakes (made in USA, lol).  

En l’attendant il fait les cents pas dans le salon, quand une forme sombre attire son attention. Près de la porte d’entrée (crochetée ! comme le remarque mick), gît un imperméable noir. « Il doit appartenir à kaori, il est encore mouillé, je ne me suis pas rendu compte qu’il avait plut cette nuit…, mon dieu ce qu’elle a du être effrayée pour avoir été jusqu'à crocheter ma porte et sortir en chemise ! »  

Il se dirige vers le balcon pour prendre l’air, il est soucieux, quelle vont être les révélations de kaori ? qu’est-ce qui lui est arrivée, et que fait kazue ? où est-elle ? reviendra-t-elle ?  

« Comme il fait chaud ces jours-ci ! c’est vraiment la canicule…et je ne suis qu’en caleçon ! (une libellule choît sur sa tête… ) », une jeune femme passe dans la rue à ce moment-là et lève malencontreusement les yeux :  

-Ahhhhh, sale exhibitionniste ! quelle honte et quel mauvais goût ! ( eh oui le caleçon de mick est bleu rayé rose.. ), elle lui lance une boîte de conserve à la tête.  

Mick préfère se retrancher dans ses quartiers tout en frottant la bosse qu’il a au front. « C’est dangereux dis-donc comme quartier !, mieux vaut que je commence à petit déjeuner. »  

Pendant ce temps, kaori, dans la chambre venait d’étaler sur le lit les affaires prêtées par mick.  

« Bon, j’ai le choix entre une jupe serrée, arrivant au genoux et un bustier blanc ou un jean et un chemisier, mais il fait bien trop chaud pour porter ça ! peut-être que kazue a quelque chose de plus léger dans son armoire ».  

Elle déniche finalement un short et un débardeur bleu, « étant donné le temps qu’il fait et mon habitude des vêtements « où l’on peut bouger dedans » (ça ne vous rappelle pas une pub ? J) je vais opter pour ça !  

Mick est maintenant entrain de manger ces céréales, kaori entre dans la pièce :  

- Me voilà mick !  

Celui-ci lève alors les yeux puis soudain commence s’étouffer avec ses corn flakes ( ces petites choses là si ça passe pas dans la bonne trachée, ça peut gratter longtemps !).  

- Mick ? que se passe-t-il ? ça va aller ?  

Elle se précipite pour lui taper dans le dos :  

- Arg arg teufh teufh, c’est bon kaori ça va aller, c’est passer.  

- T’es sûr ? tu m’as fait peur !  

- Oui oui, je vais aller boire un verre d’eau dans la salle de bain et en profiter pour m’habiller moi aussi.  

Sitôt dis, sitôt fait, il se lève brusquement de la table sans se retourner et se dirige vers la salle de bain.  

- Mais mick, je peux te donner un verre d’eau moi, on est dans la cuisine…  

Mick est déjà loin…  

« Je comprend pas tout là, quelle mouche l’a piqué ? » (un tout petit corbeau croasse à son oreille…).  

« Oulà làlà, c’est pas possible d’être aussi sexy ! comment je vais faire moi pour pas baver devant elle ? Elle est à croquer dans ce petit short moulant et avec ce petit débardeur à fine bretelles !Elle ne se rend pas du tout compte de l’effet qu’elle peut faire ! Et comme maintenant je suis avec kazue, elle ne pense même plus que je la trouve toujours aussi jolie…Ah la canicule ça a du bon pour mater les filles mais quand il s’agit de votre meilleure amie auquel vous ne pouvez et devez pas toucher…, enfin je peux toujours jouer les imbéciles comme ryo et recevoir un coup de massue ! ça me sauve ! (ndl : à quelles extrémités on en arrive je vous jure…) ».  

Puis il repense à ce début de journée et à kaori pelotonnée contre lui, les yeux rougit…  

« En fait ce n’est pas du tout le moment de faire l’imbécile. »  

Dans la cuisine kaori a fini de déjeuner, elle débarrasse la table. Mick réapparaît l’air calme et sérieux.  

« Oh comme il est élégant ! », kaori rosit légèrement. Notre bel américain porte un pantalon beige et une chemise blanche en lin, avec les premiers boutons ouverts.  

- Kaori on doit parler tu te souviens ? Passons au salon.  

Une ombre glisse dans les yeux de la jeune femme.  

- D’accord mick, j’arrive.  

Installés l’un à côté de l’autre, chacun fixe un point invisible de la pièce, mais se trouvant à l’extrême opposé de celui de l’autre.  

Le silence devient pesant, finalement mick prend la parole :  

- kaori, je t’ai trouvé ce matin dans mon lit, ce n’est pas que cela me déplaise mais cela laisse à penser certaines choses…  

- Oh non mick ! que vas-tu imaginer !  

Mick sourit, voir kaori rougir jusqu’aux oreilles est toujours un vrai plaisir !  

- Je te taquine kaori, c’était juste pour plaisanter…Sérieusement, j’ai remarqué que tu avais pleurée, pourquoi ? que s’est-il passé cette nuit ? Hum, je ne te l’ai pas encore dis mais je me suis endormis complètement saoul.  

- Mais mick…pourquoi ? tu as fait la fête tout seul ? kazue est partie pour un séminaire ? Je ne comprend pas mick, pourquoi as-tu l’air si triste ?  

Mick pousse un soupir :  

- En fait… kazue m’a quitté. Enfin elle est partie et je ne sais pas si je la reverrai un jour…  

Ses yeux s’humidifient, il a mal, l’absence de kazue creuse un grand vide dans son cœur.  

- Je…J’ai encore fait une bêtise…avec une femme et kazue ne m’a pas pardonné, elle a crû que j’avais une aventure et elle s’est enfuie. Kaori…Je suis le roi des imbéciles.  

Il passe sa main sur ses yeux, kaori n’en croit pas ses oreilles ; l’état dans lequel est mick l’attriste profondément, des larmes coulent sur ses joues.  

Elle ne sait pas quoi dire alors elle prend son ami dans ses bras et le serre bien fort.  

Mick se sent bien dans les bras de kaori, apaisé. « Peut-être que tout n’est pas perdu, peut-être que kazue me reviendra… ».  

Il se redresse doucement, essuie les larmes de kaori et lui fais son plus beau sourire :  

- Tu pleures à ma place ? Il ne faut pas voyons, en plus c’est plutôt toi qui me semblait avoir besoin d’aide. Pourquoi tu n’es pas avec ryo hein ?  

Kaori le regarde avec douceur,  

- Ce n’est pas si grave que ça tu sais. Hier je me suis encore disputée avec lui. Il s’est levé tard, a été désagréable comme d’habitude en fait, puis il est sortit toute la journée pour ne revenir que vers 18h. Il ne m’a rien dit de ce qu’il avait fait, et finalement m’a annoncé qu’il rentrerait très tard dans la nuit. Je lui ai donc demandé des explications et tu sais ce qu’il m’a dit ?  

La veille :  

- Comment ça tu rentres tard ? encore ? Tu vas encore dilapider notre peu d’argent dans les bars ? J’en ai marre tu sais ! on est dans le rouge TOUS les mois ! Tu pourrais rester tranquille de temps en temps non ?! ma compagnie t’importune tant que ça ?  

Kaori fulminait.  

- Ben oui quoi ! j’ai bien le droit de me détendre de temps en temps quand même ! (imperceptiblement on entend : au lieu de rester avec un dragon…) j’suis un bourreau de travail moi ! (ndl : mais bienzur, et la marmotte elle met le chocolat dans la papier d’alu ! J)  

- COMMENT ? qui c’est le dragon ? ignoble radar libidineux ambulant !! Arrête de te payer ma tête tu veux ! très bien va-t-en mais je te préviens si tu me réveilles en rentrant ça va barder !  

Un sourire sadique apparaît sur les lèvres de kaori…  

- Tu vois ce que je veux dire hein ?  

Elle brandit un énoorme boulet devant un ryo qui a rétréci de moitié…  

- Oui oui, je…je ferais attention ! promis ! ne me tuuue pas stp ! 20 ans c’est trop jeune !  

- Trèès bien. Ah ryo au fait, tu m’as vraiment mise en colère alors voilà un acompte : et elle sort sa massue 200 tonnes « va mourir abruti ! »  

Ryo, qui justement s’inquiétait de ne pas avoir reçue de massue plus tôt fût vite rassuré…  

Laissant une kaori folle de rage derrière lui, il s’échappe discrètement. Une fois sur le palier, il jette un œil sur ses arrières, juste le temps pour lui d’apercevoir un petit maillet traverser le salon. Il ferme bien la vite la porte et se retire en souriant : « ah quelle femme ! »  

« Excuse-moi ma belle, mais je ne peux pas te dire sur quelle affaire je travaille en ce moment, on m’a demandé de garder la plus grande discrétion même pour mon adorable partenaire. Il ne faut pas que l’on apprenne que j’enquête. »  

- Tu vois mick, ryo n’est qu’un idiot ! il m’a encore laissé toute seule toute la soirée…D’habitude ça n’est pas grave, je téléphone à eriko, miki ou sayuri puis je met un film mais hier je n’étais pas bien. Je me suis levée avec un mauvais pressentiment et j’aurais aimé que pour une fois ryo reste avec moi.  

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