Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 24-05-05

Ultimo aggiornamento: 20-12-05

 

Commenti: 48 reviews

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RomanceGeneral

 

Riassunto: "Juste quelques mots..." que Ryo veut enfin dire à son ange mais...

 

Disclaimer: Les personnages de "Juste quelques mots..." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Juste quelques mots

 

Capitolo 4 :: Du rêve à la réalité

Pubblicato: 04-07-05 - Ultimo aggiornamento: 04-07-05

Commenti: Et voilà un nouveau chapitre ! merci pour vos reviews ! j'espère que vous allez apprécier ce chapitre ! à bientôt et n'oubliez pas les reviews s'il vous plait ^____^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8


 

Vers onze heures, Ryo se réveille mais n’ose pas bouger pour ne pas réveiller sa belle, il la contemple. Elle a un visage si serein. La nuit avait été un peu courte, mais quelle importance ? le fait de l’avoir contre lui est quelque chose d’exquis. Il se voit bien se réveiller à ses côtés chaque jours qu’il y aura  

 

Soudain, il sent que sa belle se réveille et ouvre grand les yeux, elle devient écarlate.  

 

« Mon ange notre douce proximité te perturbe ? va falloir t’y faire »  

« Mais que… » se demande-t-elle  

 

Mal à l’aise, elle bredouille :  

 

- Ryo….  

- Oui ? mon ange bien dormis ?  

- Euh oui mais j’ai un souci…  

- Quoi donc mon cœur ?  

 

Le rouge s’intensifie sur les joues de Kaori… « décidément Kaori, je pense que tu vas faire compétition avec Falcon »  

 

- Y’a… qué…que cho…se  

- Quelque chose ?  

- Oui… de dur… à toi entre… mes jambes… - elle devient encore plus écarlate.  

 

Ryo ouvre de grands yeux…  

 

- Ne me dis pas que…  

- Je crains…  

 

Ryo s’écarte un peu trop brusquement et se retrouve en équilibre précaire sur le côté, en effet il ne s’était pas rendu compte que son ami s’était réveillé pour son érection matinale, et qu’il avait du trouver l’endroit bien agréable.  

Perte d’équilibre et voilà un Ryo qui tombe sur le sol heureusement il y ‘avait de la moquette. Il fait une drôle de grimace. Il voit apparaître la tête de sa partenaire qui cligne des yeux, les joues toujours en feu qui demande d’une petite voix inquiète :  

 

- ça va ? tu t’es pas fait mal ?  

- non ça va… je suis désolé pour… pas de massue hein ? dit-il d’une voix anxieuse.  

- C’est parce que tu ‘avais peur de ma massue que tu es partie comme ça ? dit-elle en souriant.  

- Je te rappelle qu’a peine hier matin, le jour de mon anniversaire en plus, une certaine personne que je nommerais pas m’a octroyée deux massue en deux minutes… alors désolé si j’ai peur.  

 

Le regard de Kaori pétille d’amusement, elle est sur le point d’éclater de rire…  

 

- Mademoiselle je vous interdit de rire ! surtout que je suis sure que vous auriez pas manqué de m’en donner une nouvelle ce matin si je vous avez laissez faire !  

- De quoi tu parles ? demande-t-elle perplexe. Tu comptes rester par terre encore longtemps ?  

- Bah, tant qu’une partie de mon anatomie sera pas couchée je préfère pas… surtout que c’est pas prêt de se calmer vu, la vue plongeante que j’ai… même si je te regarde dans les yeux… « pas de massue s’il vous plait »  

 

Kaori baisse son regard et constate que la chemise de son homme baille au niveau de sa poitrine lui donnant ainsi libre vue à sa poitrine. Ses joues reflètent sa gène et dans un sursaut se relève et s’assoit à genoux sur le lit et rajuste les pans de la chemise.  

 

« Tient la chemise ? je me souviens pas quand je l’ai mise… »  

 

- Dis Ryo…  

- Oui ?  

- Je me souviens pas quand j’ai mis ta chemise.  

- Ah ça… c’était juste un peu après que tu m’aies déclaré que comme tu n’avais pas de pyjama tu allais dormir en sous-vêtement…  

- Hein ? quoi ! tu me fais marcher là ?  

 

Ryo se relève et s’asseoir sur le bord du lit. Il lui sourit, un sourire tendre et rassurant.  

 

- En fait non, je ne te fais pas marcher ! tu m’as presque fait un strip-tease…  

- Quoi !  

- Je te rassure je n’ai pas profité de la situation …  

- Tu es sure ? réplique-t-elle le regard mauvais.  

- Je te respecte trop pour ça dit-il avec tout le sérieux du monde.  

 

Tout à coup il lui vole un baiser et lui caresse la joue.  

 

- Je risque de casser l’ambiance une fois de plus, mais j’ai faim…  

- Moi aussi avoue-t-elle.  

 

Elle glisse du hors du lit enfin c’est sans compter sur Ryo qui la retient en passant ses bras autour de sa taille.  

 

- Ou tu vas ?  

- Prendre un bain…  

- Je t’accompagne.  

- Certainement pas dit-elle rougissante et en se dégageant doucement des bras fort de son homme.  

- Mais pourquoi… répond-il avec une moue boudeuse. On est ensemble maintenant… tu n’as plus rien à me cacher.  

 

Elle se lève du lit met ses mains sur les hanches et le regarde avec autant de colère qu’elle le peu mais qui fond très rapidement devant la tête de petit garçon, cependant elle reste campée sur ses positions et déclare.  

 

- Non monsieur, nous avons beau être ensemble depuis hier. Il est HORS de question que tu t’incrustes sous ma douche, et si tu viens tu te prendras une massue est-ce claire ?  

 

N’attendant pas la réponse elle va dans la salle de bain, dont elle ferme la porte par pur précaution parce qu’avec l’autre hurluberlu il faut qu’elle se méfie…  

Elle étant une femme, et lui le premier pervers du Japon.  

 

Alors qu’elle se prélasse le bain, une peur lui étreigne le ventre et si son homme n’était pas capable d’attendre qu’elle soit prête ? qu’il aille voir ailleurs…  

Les larmes coulent alors à cette perspective sur ses joues déjà rosie mais par la chaleur de l’eau. Elle sert ses jambes vers elle posant sa tête sur ses genoux, laissant libre recourt à ses sanglots essayant de les étouffer un peu.  

 

* * * * *  

 

Le nettoyeur s’est allongé sur le dos sur le lit toujours en caleçon, les bras placé derrière la tête. Et tout à coup un bruit attire son attention, il se redresse.  

Ryo avance vers la porte de la salle de bain et colle l’oreille dessus.  

 

« Des pleurs, Kaori mon ange ? tu pleures ? pourquoi ? »  

 

Le nettoyeur frappe doucement à la porte de la salle de bain  

 

- Kaori ?  

 

* * * * *  

 

Entendant Ryo à la porte de la salle de bain, elle s’empresse de répondre, pour qu’il ne se rende pas compte de son trouble.  

 

- Oui Ryo ?  

- Ça va ?  

- Oui, oui ne t’inquiète pas dit-elle d’une petite voix.  

 

Ryo essaie d’ouvrir la porte mais elle est fermée de l’intérieur.  

 

- ça va Ryo ne t’inquiète pas…  

 

Au même moment la jeune femme se lève mais glisse en sortant de la baignoire, tombe et se cogne la tête.  

 

Ryo ayant entendu le choc, par un tour de passe-passe ouvre la porte de la salle de bain, et il voit sur le sol étendue, la jeune femme avec juste une minuscule serviette entourée autour de son corps.  

Puis le regard du nettoyeur s’attarde sur le sang qu’il voit, il soulève délicatement la jeune femme et l’amène vers le lit, il retourne rapidement vers la salle de bain et prend une petite serviette qu’il mouille pour venir s’en servir de compresse sur l’arrière de la tête de la jeune femme.  

Puis prenant soin de la couvrir, il prend le téléphone et fiévreusement appelle une ambulance.  

 

(NDA : j’avoue que la fic là prend une tournure que je n’avais pas du tout prévu mais c’est pas grave, je suis sur que vous allez aimer mdr ^^’)  

 

Une trentaine de minutes plus tard, l’ambulance arrive à l’hôpital de Yokohama. Un homme blême attend dans le couloir les poings serrés se demandant ce qu’il a fait pour que le rêve vire au cauchemar. D’après ce que les médecins avaient bien voulu lui bredouiller, il fallait qu’ils fassent un scanner et ou IRM. Il ne sait plus il faut dire que pour le moment ce qui l’inquiète de plus est de savoir sa femme dans le coma.  

A cet instant même, le nettoyeur se rend compte de la fragilité d’une vie et surtout qu’il n’est pas nécessaire d’avoir des ennemis dans le milieu pour mourir dans un accident de la route ou comme là d’une commotion cérébrale suite à une chute dans une salle de bain.  

 

La tête posée sur ses poings il se demande s’il doit l’éloigner…  

« non, cela ne changera rien, elle peut toujours mourir de toute autre chose et ne jamais arriver à un bonheur. Je l’aime, je ne veux et ne peux pas l’imaginer dans des bras autre que les miens. Alors soit, je vais lui dire… »  

 

Juste quelques mots à lui dire…  

 

Mais pour le moment cela ne change rien à la réalité des choses…  

Son âme sœur, oui son âme sœur il en est certain. Elle est la seule à pouvoir l’emprisonner dans les bras de l’amour, la seule pour qui il serait capable de tout. Capable de mourir pour la sauver, capable de briser ses convictions, de tout remettre en question juste pour elle, par amour pour elle.  

C’est dommage qu’elle soit la seule personne à ne pas savoir combien il l’aime, c’est vrai qu’il ne lui a pas donné ces petits mots précieux. « A la première occasion il faut que je lui dise »  

 

- Monsieur ?  

 

Ryo relève la tête et ne réagit même pas alors que c’est une doctoresse tout ce qu’il y a de plus joli.  

 

- Oui… Vous avez des nouvelles de ma… femme ?  

- Oui, elle est sorti du coma. Nous l’avons mise dans la chambre 112.  

- Très bien.  

 

Un peu rassuré mais n’ayant pas oublié sa résolution de lui dire dès qu’il en a l’occasion, il hésite une minute avant de pénétrer dans cette chambre blanche à l’odeur d’eau javel. « Décidément les hôpitaux ne sont pas fait pour moi »songe-t-il.  

Il la voit allongée un bandage autour de la tête.  

 

« Mon ange, j’espère que tu as pas perdu la mémoire… comme à ton habitude » Il sourit légèrement alors qu’il prend place sur le fauteuil à côté du lit. « Aujourd’hui je ne reculerais pas même si tu as perdu la mémoire ».  

 

D’un geste tendre il caresse le front de Kaori. Son regard trahi son inquiétude.  

La jeune femme ouvre les yeux.  

 

- Kaori mon ange…  

- Ryo ?  

- Oh tu es réveillée mon ange. J’ai eu peur…  

- Que s’est-il passé ? demande t-elle un peu troublée par les mots tendre et l’inquiétude qui transparaît dans chacun des geste du nettoyeur.  

 

Sa main gauche soulève la main droite de la jeune femme et d’un geste d’une infini délicatesse amène sa main à sa bouche et dépose un baiser dans la paume de la main tout en regardant dans les yeux sa partenaire, dont les joues de rosissent.  

 

- Sugar boy…  

- Oui ?  

- …pourquoi tu pleurais dans la salle de bain ?  

- Je…  

- Dis-moi ça a un rapport avec ton cauchemar ?  

- Non...aucun.  

- Alors pourquoi ? c’est moi qui ai fait quelque chose qu’il ne fallait pas ? si je vais trop vite dans l’évolution de notre relation… et que c’est à cause de moi…  

- Non, c’est pas ça… j’ai peur que tu…  

- … Kao… tu peux tout me dire !  

 

 

Kaori baisse les yeux puis dans un murmure, consciente qu’elle doit lui dire ce dont elle a peur…. D’ailleurs si elle n’était pas si perturbée dans la salle de bain elle n’aurait pas glissée comme une imbécile sur le savon… :  

 

- peur que tu ailles voir ailleurs avant… - elle se mord la lèvre inférieur et retire sa main gauche des mains de Ryo pour se triturer les doigts.  

 

La jeune femme n’ose même pas relever la tête et le regarder en face, dans les yeux.  

 

Ryo lui, est encore sous le choc de la vérité…  

« Tu doutes de moi Kaori ? de ma capacité à m’engager… ! c’est ma faute ! je ne peux m’en prendre qu’a moi-même… »  

 

Quand Kaori se décide à affronter le regard de l’homme de sa vie, elle plante son regard dans le sien et quelle n’est pas sa surprise d’y découvrir de la tristesse…  

 

- Ryo…  

 

Il décèle dans sa voix de l’inquiétude.  

- C’est rien Kaori, je suppose que je suis le seul responsable de tes doutes à propos de ma fidélité…  

- En fait ce qui m’inquiète c’est de savoir si tu pourras attendre que je sois prête… ajoute-t-elle dans un murmure. Je ne doute pas de ta fidélité dans le sens ou tu le dis… mais je sais pas si tu pourras attendre, m’attendre.  

- Tu ne doutes pas de ma fidélité alors… dit-il dans un murmure.  

- J’ai toute confiance en toi, je suis sure que quand tu es engagé tu es un homme non seulement fidèle mais aussi aimant, malgré l’image que tu veux donner…  

 

Ryo lui sourit et lui dit :  

- Je suis un grand maladroit mon ange, je ne te forcerais jamais, j’attendrais que tu sois prête… mais par contre je veux des petits câlins…  

 

Taquine Kaori lui demande :  

 

- Mais tu n’as pas peur que les petits câlins te mette en appétit plutôt que te sevrer ?  

 

Ryo fait une petite moue boudeuse.  

- Je prends le risque ! dit-il en souriant.  

 

Joignant le geste à la parole, il l’embrasse et commence à lui caresser le bras gauche. Quelques minutes plus tard il est couché sur elle et continue ses douces tortures en lui mordillant le lobe de l’oreille, avant de l’embrasser dans le cou. Sa main gauche un tantinet baladeuse a glissée sous le drap et est en train découvrir la taille de la jeune femme.  

Mais il se contient, il ne veut pas la brusquer parce qu’il la respecte en tant que femme et surtout elle est blessée.  

Kaori répond à ses tendresses tant recherchée depuis tant d’années, les larmes coulent doucement sur ses joues. Elle glisse sa main droite, dans les cheveux de l’homme qui lui embrasse le cou amoureusement.  

 

Fin du chapitre  

 

 


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