Capitolo 4 :: chapitre 4

Pubblicato: 05-04-06 - Ultimo aggiornamento: 05-04-06

Commenti: bonjour à tous. Je vous remercie pour vos reviews du chapitre précédant, cela m'a fait plaisir que vous l'avez aimer. je vous laisse lire. Bonne lecture.

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Chapitre 4  

La nuit était calme en ce mois de Mai, du moins en apparence. Dans une maison de style traditionnel, les habitants se réveillèrent en sursauts, ils avaient entendu le bruit d’une porte qui explose.  

Deux hommes en costumes noirs entrèrent avec une arme en main, et comme ils connaissaient la maison, ils allèrent directement à l’étage bousculant au passage un vieil homme qui se trouvait là. Arrivés à l’étage, l’un des deux hommes ouvrit une porte avec la force de son pied et entra dans une pièce qui se trouvait être une chambre.  

- Elle n’est pas là.  

L’autre homme qui était resté en-dehors de la chambre, vit une femme qui essayait de s’échapper, il la rattraper en deux enjambées et la colla contre le mur, ses mains sur le col de sa chemise de nuit.  

- Où est Sara Misako ?  

- Je n’en sais rein, je croyais qu’elle était ici.  

- Vous mentez !  

- Lâchez-la ! dit un homme qui venait d’arriver. Il avança.  

L’autre homme qui était resté dans la chambre pour la fouiller, sortit et lui mit un coup de poing en plein visage. Il le releva et il posa la même question que son collègue.  

- Je n’en sais rien et même si je le savais je ne vous dirais pas où elle se trouve. Dit il avec un sourire.  

Ce sourire ne plut pas à l’homme en face de lui, qui lui envoya un autre coup de poing, mais cette fois-ci sur le nez. L’homme s’écroula à terre dans un cri en se tenant le nez avec ses mains.  

Les deux hommes fouillèrent la maison en faisant du désordre ou en cassant des objets précieux. Ils ne repartirent qu’une heure trente plus tard sous les yeux apeurés de l’homme et la femme. Ils n’avaient pas bougé quand les deux hommes étaient repartis trente minutes après.  

**  

Une Mercedes noire arriva devant une grille qui s’ouvrit automatiquement, les deux hommes de tout à l’heure en sortirent et rentrèrent dans la maison. Un homme les conduisit dans un bureau où attendait un vieil homme en kimono traditionnel. Il était assit à son bureau. Sur le côté gauche de son bureau il y avait un téléphone de couleur noire. En face de lui, il y avait un agenda, des rendez-vous écris dessus avec des numéros de téléphone. Sur le côté droit il y avait un pc portable (nda : ça prend moins de place)  

La pièce était bien décorée. Sur les murs il y avait des tableaux, certains avec des paysages, d’autres avec des personnages.  

La pièce avait des couleurs sobres pas trop voyantes, ce qui reflétait la personnalité de l’homme de la maison.  

Il y avait aussi des plantes vertes dans la pièce.  

Derrière le bureau, il y avait une porte vitrée avec un beau jardin à la japonaise où parfois, il aimait le regarder pour ce détendre. Un coup fut frappé à la porte.  

Il se leva quand les deux hommes entrèrent.  

- L’avez-vous eu ?  

- Désolés, mais elle n’était pas là.  

- Comment ça elle n’était pas là ! l’homme commença à s’énerver. C’est une adolescente de 16 ans et elle ne peut être que chez elle, surtout la nuit.  

- Nous avons fouillé toute la maison.  

Le vieil homme se retourna vers la grande fenêtre pour réfléchir. Il avait envoyé ces deux meilleurs hommes et ne l’avaient pas trouvé. S’était-il trompé ? Oui il aurait dû faire appel à une autre personne même s’il faisait encore confiance à ses deux hommes. Il se retourna vers eux.  

- Vous avez encore une chance. Je vous laisse 24H pour la retrouver.  

- Bien patron. Ils partirent et commencèrent leur recherche de cette fameuse jeune fille.  

Le vieil homme se rassit à son bureau. Il ouvrit un premier tiroir et sortit une carte de visite. Il y avait un nom écrit et à côté de ce nom, le métier de cet homme : tueur à gage. Il l’appellerait si ces deux incapables ne la retrouvent pas.  

**  

Une jeune fille brune affolée, regardait derrière elle, à droite et à gauche. Elle se demanda pourquoi elle était partie de chez elle, alors qu’elle aurait été en sécurité. Dehors beaucoup de monde voulait la tuer. Elle s’arrêta et alla dans une ruelle. Espérant que personne ne l’avait suivi.  

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