Capitolo 6 :: Une Kaori au bord de la déprime...

Pubblicato: 31-01-07 - Ultimo aggiornamento: 31-01-07

Commenti: Bonjour tout le monde ! Et pour ceux qui attendent la suite ma fic, stp ne m'écartelez pas !!! J'ai avancé le chapitre suivant (si, si c'est vrai !^^) mais je n'ai vraiment pas eu le temps de le finir et dans les deux ou trois semaines qui viennent ça risque d'être pire encore... Bac Blanc quand tu nous tiens ! ;) ^^ Mais comme j'avais dit il y a deux semaines que j'essayerai d'imiter le rythme de Lifetree et Tamia62 d'une semaine, je me suis dit que je devais au-moins m'excuser pour ce retard... ;) Alors voici un petit cadeau pour faire patienter ! ;) L'envie de réécrire un poème m'a reprise, on ne sait pas pourquoi, un midi, comme ça, dix minutes avant un cours de Grec... ^^ Décidément, je crois qu'ils sont vraiment très...inspirants, ces cours de Grec !!! :-) Alors pendant la prise de notes du commentaire, au passage on comptait les pieds sous la table... ^^ (Nanou, please, pas prévenir mes parents ! Je jure que j'ai quand même pris convenablement mon commentaire ! ^^) Allez, j'arrête de bavarder et en espérant qu'il vous plaira ! (Je dois signaler ici que j'ai fait "parler" Kaori mais au final je me suis vite rendue compte que bien plus qu'elle c'était moi qui parlait... Donc ne vous étonnez pas si vous sentez quelque chose derrière, c'est effectivement inconsciemment très personnel... Mais après tout, cela convient bien à une certaine face de Kaori par moments, alors pourquoi ne pas puiser dans mes propres sentiments du moment ? Je suppose qu'en quelque sorte ça me fait égalment du bien... :/) Allez, bonne "lecture" à tous ! :-)

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Ce que je peux haïr mon blues dans ces moments,  

Qui me pousse à blesser ceux que j’aime et pourtant,  

Je voudrais retenir mes dures réparties.  

Mais je ne contrôle plus ce mauvais génie ;  

Il a pris possession de mes jours, de mes nuits,  

Devant cette invasion ma joie de vivre a fui,  

Ne m’apportant jamais rien de bon en retour,  

Malgré le banquet que lui offre mon cœur lourd.  

Comment m’en dépêtrer ? Comment lui échapper ?  

J’ai cru naïvement qu’il suffit de taper  

Avec rage du pied, pour tout oublier,  

Et remonter à la lumière du soleil...  

Moi dont la gaieté n’aurait jamais du plier,  

Je ressens ta douce présence, dans ma veille.  

Ne m'abandonnes pas, Ryô. Je me sais invivable ces jours-ci, mais tu ne peux imaginer le bien que tu me fais en restant simplement à mes côtés, en me soutenant malgré mes humeurs...  

S'il-te-plaît Ryô, ne te lasses pas.  

Je t'en prie mon amour, ne m'abandonnes pas. 

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