Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Poesia

 

Autore: Sayaka1537

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 07-05-06

Ultimo aggiornamento: 22-05-08

 

Commenti: 20 reviews

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Romance

 

Disclaimer: Les personnages de "Petit délire poétique en cours de Français..." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Petit délire poétique en cours de Français...

 

Capitolo 7 :: Un amour compliqué...

Pubblicato: 12-03-07 - Ultimo aggiornamento: 12-03-07

Commenti: Coucou tout le monde ! Bon, eh bien voilà ce que j'aurais du envoyer à Shan In ! Arrivée un peu tard malheureusement, j'en profite donc sur une gentille demande de Nanou pour vous le mettre ici ! ;) Alors ce n'est pas un sonnet comme les autres du coup, et j'avais repris un ou deux de mes vers préférés, pour ne pas les "perdre"... Je l'ai un peu retravaillé mais c'est presque l'original de mon premier jet, je devais être dans un jour particulier pour écrire un truc pareil directement ! J'ai empilé les feuilles de brouillon et puis en remettant dans l'ordre... Bin disons que j'étais un peu étonnée ! ^^ ça m'a pris d'un coup d'écrire ce poème, mais jamais je n'aurais pensé pouvoir écrire ça... Enfin, pour une fois j'en suis contente et je le revendique, ça doit être la seule fois que cela m'est arrivé de toute ma vie !!! :-) Alors j'espère qu'il vous plaira et dans tous les cas laissez-moi une petite review, j'adore ça ! ;) ^^(Mais je tiens à dire que je suis consciente que ce n'est pas des plus évident en ce moment... :-/)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

Si tu savais combien je désire t’aimer,  

Combien je souhaiterais pouvoir t’aider,  

Je te vois sombrer en une lente agonie,  

Boire cette coupe de mort jusqu’à la lie,  

Sans pouvoir te sauver si ce n’est qu’un court temps.  

Dans l’ombre isolée, je crie pour toi et pourtant,  

Il me semble toujours que tu ne m’entends pas,  

Et seul le silence me répond, tel un glas.  

Acceptes enfin de m’ouvrir ton cœur si dur,  

Que tous les deux on puisse parler au futur.  

Tu penses à l’Avenir effrayé du Passé,  

Désirant l’oubli pourtant à jamais marqué,  

Mais je t’en supplie oublies donc tous ces « et si » !  

Je vais t’apprendre à simplement vivre ta vie,  

Laisses donc ton enfance derrière toi,  

Même toi il te faudra bien sortir du bois.  

Comme je voudrais m’oublier dans ta chaleur !  

Je sais que tu te moques bien de mon malheur,  

Que ne puis-je donc cesser d’encore espérer !  

Que ne puis-je donc cesser d’encore t’aimer !  

Mon esprit désire l’oubli, au fil de l’onde,  

Et pourtant je ne les perdrais pour rien au monde,  

Tous ces souvenirs si chers à mon cœur meurtri,  

Qui me rendent forte, pour chercher ma patrie.  

Ame blessée, esprit brisé, cœur délaissé,  

Je crois me perdre pour toute l’Eternité,  

Vas-tu attendre que mes lèvres soient blêmies,  

Pour sur les froides cendres d’un amour flétri,  

Me parler d’un bien révolu ? Tu ne peux croire  

Que je puisse te sauver de ton désespoir,  

Maudit, tu erres, et soudain tu te retrouves  

Au fond du gouffre. Et tel une jeune louve  

Qui montre les crocs pour protéger ses petits,  

Tu te bats, enragé, pour défendre ta vie.  

Refusant tout sentiment et me repoussant,  

Tu tiens à garder tes distances, tout louvoyant,  

En m’opposant une frileuse prévoyance,  

Ayant élevé un tel mur d’indifférence,  

Que je ne parviens à seulement l’entamer.  

Cruel ballet sans fin et sans raison d’exister,  

Aussi surement que les galets sont polis  

Par la mer azur sans être du tout réduits…  

J’évoque un petit bateau dans la brise,  

De même je finirai bien par lâcher prise,  

Et alors je coulerai à pic, sans secours.  

Triste et inutile, l’air me semble si lourd !  

O vous squelettes décharnés qui tendez vos bras,  

Suppliants de l’Enfer des vivants bien ingrats,  

Mon âme défaite aspire à vous retrouver,  

Mais la force en moi ne parvient à renoncer.  

Tout au fond je sais qu’à jamais je t’aimerai,  

De tout mon cœur à jamais je te soutiendrai.  

J’attendrai que tu réalises, inconscient,  

Que je ne me lasserai pas le temps passant,  

Pour toi ; à tes côtés toujours tu me verras,  

Donnes le change, tu ne m’y prendras pas,  

Je sais que tu es loin de ce tu prétends,  

Alors je te jures de te laisser le temps,  

Je saurai prendre patience, tu sentiras  

Ma présence près de toi guidant tous tes pas.  

Et pour cet amour je vivrai à l’avenir  

Pour que tu murmures « Je t’aime » dans un sourire…  

 

 


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