Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: tité

Beta-reader(s): Milene

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 5 capitoli

Pubblicato: 19-05-06

Ultimo aggiornamento: 14-08-06

 

Commenti: 19 reviews

» Scrivere una review

 

General

 

Riassunto: retouvons toute notre bande préférée 19 ans apres que s'est il passé?

 

Disclaimer: Les personnages de "Halalala la famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I would like to read the NC-17 fanfictions.

 

You have: - to sign in - to log in - to use the link put for this purpose and send me an email certifying you are 18 years old or older, that you have read and accepted the rules of the website. Don't forget to mention your pseudo. - to use the email address you gave in your profile. If your request doesn't fufill all these conditions, it won't be processed. If I learn later t ...

Read more ...

 

 

   Fanfiction :: Halalala la famille

 

Capitolo 4 :: chapitre 4

Pubblicato: 23-06-06 - Ultimo aggiornamento: 23-06-06

Commenti: coucou tout le monde désolé d'avoir mis autant de temps! on dit merci les exams pffff! voila la suite j'espere que vous aimerez! bisous à tous et encore merci à toi Milene ^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5


 

Thoru : Tu ne m’en empêcheras pas ! De toute façon, j’ai déjà les billets pour Tokyo !!  

 

Arnaud : Alors, je viens avec toi !  

 

Thoru, avec un grand sourire : Je le savais ! Tiens, ton billet.  

 

Elle lui tandit en effet son billet et les papiers dont il avait besoin pour voyager jusqu'au Japon.  

 

Arnaud : Mais dans quoi je m’embarque ?  

 

Ils attendirent que Sayuri parte faire les courses pour s’enfuir vers de nouveaux horizons qui, dans ce cas, se nommaient le Japon.  

 

Deux heures plus tard, Sayuri rentra chez elle. La jeune femme déposa ses sacs sur la table de la salle à manger lorsque un bout de papier attira son attention.  

 

Tante Sayuri,  

 

Désolée de te désobéir mais je dois comprendre ce qui se passe.  

Ne t’inquiète pas pour moi, je ferai très attention et puis Arnaud est avec moi ^^  

 

Signé Thoru.  

 

Sayuri relisait pour la dixième fois le papier.  

 

Sayuri : Mais qu’est ce qu’elle a voulu dire ?  

 

Soudain, elle comprit.  

 

Sayuri : Elle est partie au Japon ! Mais c’est pas vrai ?! Elle est aussi imprévisible que ses parents, pfff...  

 

La jeune tante poussa un long soupir, ensuite se redonna contenance et se rassura mentalement : Savoir sa nièce dans la nature n’est pas du plus rassurant.  

 

Sayuri : Bon elle est raisonnable et douée. Elle peut se débrouiller. Puis, moi j’ai toujours dis que c’était pas bon de cacher un tel secret. Mais bon, Sayuri, elle a toujours tord. Je les avais prévenu. « Un jour elle voudra savoir » que je leur ai dit mais qui c’est qu’on n’écoute pas ? C’est bibi ! Enfin elle est pas seule, c’est déjà ça. Bon maintenant, on va me tuer ! Faut annoncer la nouvelle aux parents. Aïe, aïe, aïe !!  

 

Elle regarda sa montre.  

 

Sayuri : Je vais quand même attendre que leur avion ait attérri. Je ne sais de toute façon pas les joindre avant. Ils m’en feront vivre tout ceux-la.  

 

Dans l’avion :< /g>  

 

Kazue et Mick étaient assis l’un à coté de l’autre ; Mick regardait par le hublot quand il sentit que sa femme hoquetait, il se retourna et constata que celle-ci pleurait.  

 

Mick, pensant : Mon dieu, pourquoi cela nous arrive maintenant ?  

 

Il prit la main de sa femme pour la rassurer et en la regardant, ajouta :  

 

Mick : On va la retrouver ! Et ceux qui ont fait ça, vont payer.  

 

Comme réponse, il obtenu un petit sourire tandis que Kazue s’appuyât contre son épaule.  

 

Mick : Repose-toi, un long voyage nous attend.  

 

Devant eux, un couple pour le moins étrange, faisait beaucoup de bruit.  

 

Ryô : MAIS J’AI PEUR !  

 

Kaori : MAIS RESTE TRANQUIL !!!!  

 

Kaori, plus calmement : Arrête ou c’est la massue !  

 

Ryô : Et où l’aurais-tu cachée cette massue ? Les bagages en cabine ne peuvent dépasser 5 Kg. Dit-il tout fier de lui.  

 

Kaori : Heu,...en fait,...ben, heu, c'est-à-dire pfff...  

 

Puis voyant qu’il n’était toujours pas à l’aise, elle se tut. Le sera-t-il un jour ? Elle l’embrassa et se colla à lui, ce qui eut pour effet de le calmer immédiatement. Il l’entoura de ses bras et elle s’endormit. Lui, par contre, n’y arriverait pas.  

Il regarda par le hublot et se dit que c’est sur ce trajet, mais en sens inverse, que va changer définitivement sa vie. Puis une foule de souvenirs lui revint à l'esprit et il s’arrêta sur un en particulier :  

 

Flash black.  

 

Il pleuvait, Kaori était a l’appartement de Shinjiku. Elle attendait comme d’habitude. Face à la fenêtre, elle regardait les gens s’activer dehors. Des gens simples avec des traquas quotidiens on ne peut plus ordinaires. Parfois, elle les enviait ; Ces temps-ci, c’était même plus que « parfois ». Elle en avait marre d’attendre, avec toujours au fond d’elle ce même sentiment : l’angoisse. Va t’il rentrer ? Il ? Ryô, l’homme qu’elle aime de toute son âme.  

Il avait encore accepté un travail difficile, qui se terminait par un duel. Encore ! Pour éloigner le danger, il avait accepté et l’avait éloignée elle. Elle soupira, puis retourna dans sa réflexion.  

C’est sa facon à lui de lui montrer son amour. Mais elle n’en pouvait plus d’être éloignée de lui, de sa vie,…de leur vie. Il fallait que ça change sinon elle ne tiendrait plus.  

 

Puis il rentra, trempé, blessé, fatigué mais heureux d’être toujours la, en vie, pour elle.  

 

Kaori se jeta dans les bras du nettoyeur. Surpris, il ne sut d’abord quoi faire mais ensuite se laissant guider par son cœur, il l’entoura de ses bras, ravi de sentir le corps frêle de la jeune femme contre lui. Mais sa raison reprit vite le dessus et doucement, il la repoussa.  

 

Combien de fois avait-il voulu lui crier son amour ?  

Combien de fois avait-il voulu la prendre dans ses bras sans aucune contrainte ? Sûrement autant de fois qu’il se disait de l’éloigner pour la protéger.  

 

Ryô : Ca va, ça va, tu vois que je vais bien !  

 

Kaori : Oui, pour cette fois. Dit-elle si doucement que même lui dut tendre l’oreille pour l’entendre.  

 

Ryô : Ne t’en fais pas comme ça ! Je suis le meilleur et tu le sais ! Dit-il de façon exagéré pour détendre l’atmosphère.  

 

Kaori : Jusqu’au jour où il y aura meilleur et que tu ne seras pas bien... Alors…  

 

La moitié de City Hunter n’eut pas le courage de finir sa phrase.  

 

Ryô : Ecoute, Kaori, j’ai fais deux promesses et je compte bien les tenir toutes les deux !  

 

Kaori, pas plus persuadée que ça, mais sachant que continuer la conversation ne servait à rien, essuya les quelques larmes qui avaient réussi à percer ses défenses. Elle dit, cependant :  

 

- Saeba Ryô, vous êtes dégoûtant et vous coulez sur la moquette alors allez sous la douche TOUT DE SUITE !  

 

Ryô : Mais j’ai faim, moi ! Ajouta-t-il tout en faisant une moue de gamin contrarié.  

 

Kaori : Tout de suite ou tu reçois une belle massue sur la tête ?! Je te préparerai vite un petit quelque chose.  

 

Ryô était content qu’elle change de sujet mais il avait bien vu la tristesse qui restait marquée dans ses yeux d’habitude si pétillants.  

 

Kaori était dans la cuisine à préparer ce fameux petit quelque chose.  

 

Elle y avait pensé. Partir. Mais où et faire quoi ? Et puis, il y avait lui ? Beaucoup trop de « et ». Elle était restée.  

 

Sorti de sa douche, il ne put s’empêcher de la regarder s’affairer dans la cuisine. Mais cee qui le frappa, c’était cette tristesse. Son ange était triste, par sa faute !? Oui, sans aucun doute. Comme d'habitude. Ca le rendait malade de le savoir et là, il fit une chose que même lui ne s’y attendait pas. Il s’approcha d’elle par derrière et l’entoura de ses bras en lui murmura à l’oreille un « désolé » à peine audible.  

 

Kaori se demandait ce qui lui prenait mais n’osa pas bouger. Elle était tellement bien.  

 

Kaori : Heu Ryô ? Désolé de quoi ?  

 

Ryô : Du mal que je te fais.  

 

Kaori : Mais…  

 

Ryô : Ecoute, je sais que je suis difficile à comprendre ou même à vivre. Je sais aussi que je fais deux pas en avant pour en faire trois en arrière. Ensuite, je sais que tu mérites mieux que cette vie. Pourtant, tu as décidé de rester avec moi. Mais j’ai peur !! peur de ne pas pouvoir te donner ce que tu veux , ce que tu recherches…  

 

Kaori se demandait où il voulait en venir. Pourquoi ouvrir son cœur maintenant ? Il allait encore lui demander de partir ?  

Ha non ! Ça elle ne l’accepterait pas, pas question, pas encore ! Ça lui briserait le cœur !  

 

Elle se retourna et lui fit face :  

 

Kaori : Mais…  

 

Ryô : MAIS, plus fort que Kaori.  

 

S'il s’arrêtait maintenant, il ne pourrait jamais continuer et il allait encore fuir. Le nettoyeur le savait.  

 

Ryô : Te voir triste par ma faute,…  

 

Kaori l’interrompit et se retira de l’étreinte de Ryô.  

 

Kaori : Tu veux à nouveau m’éloigner de toi ? C’est ça ? Je suis un poids trop dur à supporter pour toi ? Tu ne veux pas me voir triste alors tu me dis de partir ?  

 

Les larmes commencèrent à couler le long des joues rougies par la colère de Kaori.  

 

Ryô fut abasourdi. Ce n’est pas du tout à cette réaction qu’il attendait. Oui, c’est vrai, il avait pensé à l’éloigner mais avec elle, c’était peine perdue.  

Par sa réplique, il avait aussi été blessé, blessé qu’elle pense ça !  

 

Ryô : Kaori attend ce n’e…  

 

Kaori : Ho non Ryô ne t’approche pas !  

 

Ryô : Kaori, mais écoute jusqu’au bout. Dit il d’un ton presque implorant. Je ne voulait pas t’éloigner au contraire je v…  

 

Kaori, incrédule : Quoi ?  

 

Il se rapprocha alors d’elle et pour toute réponse, elle reçu un baiser.  

Un baiser d’une douceur et d’une tendresse incroyable.  

Un baiser comme une promesse, comme un pacte.  

Un baiser qui sonnait comme un … futur.  

 

Puis, il y eu plus qu’un baiser…  

 

Fin du flash back.  

 

 

Mick : Ryô ? Ryôôôôôôôôôôôôôô ?  

 

Ryô : Hun quoi ?  

 

Mick : Chut, tu vas les réveiller. Elles se sont endormies.  

 

Ryô : Hum ! Kazue, ça va ? Et toi ?  

 

Mick : On fait avec...En fait, non ça ne va pas, mais j’essaie de ne pas le montrer pour ne pas l’inquiéter.  

 

Tout en disant cela, il caressa le visage de sa femme.  

 

Ryô : Je te comprends.  

 

Mick : Tu te rends compte que ça fait dix-neuf ans qu’on ne les a pas revus ?!  

 

Ryô : Ouaip ! Mais on avait raison de faire ce pacte. Enfin, d’avoir pris cette décision commune.  

 

 

 

 

 

 

 


Capitolo: 1 2 3 4 5


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de