Capitolo 5 :: chapitre 5

Pubblicato: 14-08-06 - Ultimo aggiornamento: 01-09-06

Commenti: désolé d'avoir tardé! gros bisous à tous! n'oubliez pas de donner votre avis afin que je m'améliore!

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Au Cat's, Dix-neut ans plus tôt :  

Miki: Je pense aussi que c'est une bonne solution.  

Elle tenait dans ses bras un enfant de un an tandis que Umibôzu lui, tenait l'aîné âgé alors de six ans.  

Umibôzu (en montrant ses fils de la main) : C'est plus prudent pour nous et surtout, pour eux  

Kaori : Je suis tout à fait d'accord avec vous.  

Ryô : J'ai déjà fait courir le bruit que City Hunter arrêtaient ses activités.  

Saeko : Moi aussi.  

Mick : Moi, je pensais repartir pour les U.S.A avec Kazue.  

Ryô : Pas con. Si on doit se séparer, vaut mieux s'éloigner le plus possible, alors...  

Kaori : C'est ainsi que tout fini alors ? Pfff...  

En effet, ils évoluaient, le petit groupe avait maintenant des responsabilités et des personnes en plus à s'occuper. Finit le temps de l'insouciance et des bonnes fusillades contre les méchants.  

Après leur dernière affaire, ils s'étaient promis de se séparer et d'arrêter de faire leur « métier », si on pouvait le dire comme ça, pour protéger leur (futur) famille.  

Kaori : Alors c'est promis ? Pas un mot sur notre passé aux enfants !  

Sur ce elle rougit intensément, ce qui fit rire tout le monde.  

Tous : Ok !  

Car en effet, deux mois avant de partir, une petite Thoru et un petit Arnaud pointèrent leur bout du nez.  

Ils s'éloignaient donc à contre cœur, puisqu'ils y étaient obligés. Ils se reverraient un jour, c'était promis.  

Ainsi Saeko resta à Shinjiku et continua son boulot de flic. Elle monta en grade quelque temps après.  

Umibôzu et Miki continuèrent à travailler au Cat's.  

Mick, Kazue, Kaori et Ryô, quant à eux, partirent donc pour les Etats-Unis.  

Puis chacun avait fait son chemin …  

Dans l'avion :  

Ryô : Haaaaaaaaaaaa !  

Mick : Mais quoi ?  

Ryô : On va atterrir ! Je ne supporte pas !  

Mick en tomba à la renverse !  

Aéroport de Tokyo : Après un atterrissage difficile, ponctué d'hurlement de Ryô.  

Ryô : On a six heures avant le rendez vous.  

Kaori : On a qu'a aller à l'appart'. Je savais qu'il nous servirait encore !  

Mick : Ok !  

Ils prirent donc un taxi pour aller à l'appartement, sans oublier, durant le trajet, de verser un regard nostalgique à la ville.  

Appartement de C.H :  

Kaori : Installez-vous, je vais faire des courses et ensuite, le ménage car quelle couche de poussière il y a ici !  

Ryô : Mais atte…  

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que Kaori était déjà sortie.  

Ryô : Non, c'est certain, elle ne changera jamais.  

Et tous commencèrent à s'installer et l'on sentait le stress monter au fur et à mesure que les heures passaient.  

Quatre heures plus tard : Aéroport de Tokyo :  

Kyo : Heu chef, pourquoi on est là en fait ?  

Saeko : On accueil des renfort venus des E-U pour l'enquête sur les enlèvements et l'enquête sur l'Union Toepe.  

Kyo : Ha ! « Je ne sais pas si je dois me réjouir qu'elle m'ait à la bonne ou pas, mais je suis crevé, moi !<\I>»  

Saeko : D'ailleurs, ça ne me plaît pas trop qu'il y ait des étrangers qui se mêlent de ça. Je parie qu'ils vont plus nous retarder qu'autre chose.  

Plusieurs hommes en noirs, deux pour être exact, avait l'air d'attendre quelqu'un. Saeko alla à leur rencontre.  

Saeko : Vous devez être les renforts ?  

Renforts : En effet. Nous sommes quatre en tout, les autres vont arriver.  

Kyo : Ok !  

Plus loin :  

Thoru : MAIS CA VA PAS ?  

« SHLAK » (bruit de baffe qui fait mal)  

Thoru : Tu l'as méritée celle-là !  

Arnaud : T'es vraiment méchante avec moi !  

Kyo:chuchotant : Y a des gens bizarres, tout de même !?  

Saeko : Si tu savais ! Bon on se dépêche.  

Deux heures encore plus tard : Hangar désaffecté sur le port de Tokyo.  

Mick : Je suis là ! Rends Emily !!  

On entendit sortir de nulle part une voix forte et ténébreuse.  

Homme : Je ne sais pas. Peut-être bien.  

Sa voix était traînante et désinvolte, comme si le fait de se trouver là, ne le concernait pas.  

Mick : Pas moyen de savoir où il se trouve, il y a trop d'écho. C'est un pro. <\I>Arrête ou je te tue. Montre-toi espèce de lâche.  

Homme : Tu n'oserais pas ! Je détiens ta fille, si jolie d'ailleurs… Et puis tu n'as pas besoin de me voir.  

Mick : Si tu la touches….  

Homme : Ca va, ça va. La voilà ta précieuse fille.  

Sortie d'un coin noir, une petite fille de dix ans, aux cheveux blonds et aux yeux bleus, courut en pleurant jusqu'à son père.  

Mick : Tu as de la chance qu'elle n'ait rien !  

Homme : La tuer ne m'aurai servi à rien, enfin pas maintenant du moins. Mon but est atteint ! Tout le petit groupe est réuni et je m'amuserai à vous tuer un à un. Ceci n'était que l'ouverture des hostilités. HAHAHA ! Tant que j'y pense, les autres doivent aussi recevoir leur invitation. Sur ce au plaisir de vous revoir ! Passe le bonjour à City Hunter de ma part.  

Un peu plus loin, devant le hangar, attendaient patiemment Kazue et Ryô. Jusqu'à ce qu'un grand MAMANNNN interrompt le silence qui s'était installé.  

Kazue courut à la rencontre de sa fille et la prit dans ses bras. Mick suivait.  

Kazue : Ho ! ma chérie ! ça va ?  

Ryô laissa la famille se retrouver et lorsqu'ils furent dans la voiture en direction de l'appartement, il osa enfin prendre la parole.  

Ryô : Que s'est il passé ?  

Mick : C'était un piège afin de nous attirer au Japon pour nous affronter.  

Ryô : Nous affronter ! Toujours la même rengaine.  

Mick, toujours sous le choc : Il a de la chance de ne pas l'avoir touchée, sinon…  

Ryô : Je m'en doute. Tu sais qui c'était ?  

Mick : Non, je ne l'ai pas vu. Le lâche !  

Ryô : Rentrons pour rassurer Kaori et mettre au point un plan.  

Pendant ce temps, à l'appartement : Kaori est au téléphone :  

Kaori : QUOI ! ILS ONT FAIT QUOI ?? MAIS ILS SONT FOUS…  

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