Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autori: yunalescaminnie , kitty80

Beta-reader(s): Yunalescaminnie, Kitty80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 4 capitoli

Pubblicato: 02-08-08

Ultimo aggiornamento: 08-10-08

 

Commenti: 45 reviews

» Scrivere una review

 

RomanceHumour

 

Riassunto: Ryo avoue après une dispute son amour à Kaori. Mais au moment de fusionner, son mokkori se porte aux abonnés absents. Et voilà le début d'un examen de conscience qui commence en cette soirée qui sera riche en rebondissements... [En Hiatus]

 

Disclaimer: Les personnages de "Rire sous l'effet de la 1ère fois" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I would like to read the NC-17 fanfictions.

 

You have: - to sign in - to log in - to use the link put for this purpose and send me an email certifying you are 18 years old or older, that you have read and accepted the rules of the website. Don't forget to menti ...

Read more ...

 

 

   Fanfiction :: Rire sous l'effet de la 1ère fois [En Hiatus]

 

Capitolo 2 :: Le Fiasco

Pubblicato: 23-08-08 - Ultimo aggiornamento: 23-08-08

Commenti: Coucou tout le monde, Nous revoilà avec un nouveau Chapitre pour cette histoire qui j'espère vous plaira autant que le premier. Nous vous remercions nanou, tokra, paty, kaori62, zabelle, didinebis, rkever, lyly, stella et milkaly pour vos gentilles reviews et elles nous encouragent à continuer. Nous vous laissons à la découverte de ce chapitre qui j'espère vous plaira. Gros bisou et bonne lecture. Kitty80 & Yunalescaminnie. PS : Ce chapitre a été écrit par ma kitty, pour ma part, il faudra attendre le chapitre 3 (lol)

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

PARTIE 2 : LE FIASCO  

 

La porte d’entrée à peine refermer, que je me rue sur elle tel un animal n’ayant pas eu à manger depuis des jours (NDB : J’adore la comparaison ma kitty).  

 

Je l’embrasse avec fougue et une passion mal contenu, la plaquant tantôt sur le dos de la porte, tantôt sur les différents murs que tiennent le hall, la coinçant par ci, par là. Au travers des rampes d’escalier, je la fais valser en montant une à une les marches, je ne sais même pas, si je suis en train de la tuer. Mais, mon désir d’elle est si vital, que je me fonds sur elle à chaque recoin des pièces. (NDB : A ce train là, ils vont le faire dans l’entrée !)  

 

Nos pas, nous ont guidés aveuglément dans le salon, lieu où notre dispute aurait pu nous être fatale. Mais, elle est là, et je veux goûter chaque instant près d’elle. Notre querelle m’a ouvert les yeux, tard certes, mais décisifs, car il n’y aura pas de point de non retour.  

 

Elle stoppe instantanément notre échange lingual et me demande ce qu’on allait faire ? Que voulait-elle ? Je suis conscient, qu’elle n’a pas connu le plaisir de la chair, et que cette première fois doit être magique pour elle. Je lui réponds : que je ne veux pas aller plus loin si elle ne le désire pas. Son visage se peint soudain d’un joli rouge écarlate se qui me fit sourire. J’entreprends de lui capturer ses lèvres pulpeuses, mais, elle m’arrête, et se positionna à la hauteur de mon oreille en me murmurant qu’elle veut que je lui apprenne l’art et la manière de faire l’amour avec l’étalon de Shinjuku (NDB : oh ! elle se dévergonde notre petite Kaori). Là, je reste sans voix quelques secondes, et je me dis que ma réputation vaut le coup de passer à la pratique avec elle.  

 

Je la regarde avec un regard fiévreux qui en disait long, car son souffle sur ma peau augmenta encore plus la soif que j’ai d’elle. Je lui réponds que je lui ferai perdre pieds et qu’elle ne se remettra pas de mes pratiques dans cette matière. A peine ai-je fini ma phrase, qu’elle me happe le col de ma chemise et réchauffe ma bouche de sa chaleur. J’ai chaud, j’étouffe, elle me prend au dépourvu, mais j’adore ça. Et, je pense que mes cours ce soir seront à reporter à plus tard, car je ne tiendrai pas plus longtemps.  

 

Je la soulève du sol, ses mains accrochées à mon cou, je décide de me diriger vers ma chambre, poussant au passage des sons sourds étouffés par son baiser incendiaire ! Oh, que c’est bon !  

 

Au seuil de la chambre, je donne un coup sur la porte qui s’ouvrit énergiquement, ne jamais faire dans la demi-mesure (NDB : ça c’est clair !!). Ce qui la fit rire, je la pose telle un objet fragile sur le dessus du lit, en m’allongeant sur elle, l’embrassant tantôt sur la bouche et tantôt sur le cou. Mes mains ne restent pas inertes pour autant, car elles prirent l’initiative de déboutonner son chemisier, qui une fois écarté me laisse une vue impressionnante et je reste sans voix devant ce spectacle, un soutien-gorge au couleur pastel qui font ressortir le hale de sa peau.  

 

Je la fis asseoir un instant, pour qu’elle me donne accès aux agrafes de ce morceau de tissu. Une fois à demi nue, elle croisa ses bras sur sa poitrine, car sa timidité reprenait le dessus sur son audace du moment. Je pense qu’à cet instant Kaori devait avoir peur de me décevoir, sans doute ! Je contemplai son regard où j’y découvris de la peur et de l’appréhension. Je lui fis ressentir, qu’elle n’avait pas lieu d’avoir peur ou d’avoir honte, car elle était magnifique.  

 

Je l’embrasse tendrement et passionnément, et, je la rassure en lui disant que le professeur a besoin que son élève soit attentif et réceptif à chaque étape. Elle me sourit en hochant la tête, me regarda avec amour, se qui me fis fondre encore plus et je l’en aimais que davantage.  

 

Le mal aise peu à peu dissipé, je l’explore de mes mains expertes, frôlant au passage ses tétons durci par le désir, traçant avec ma langue des cercles sur chaque parcelle de sa peau, laissant l’humidité de ma salive imprégner les pores de sa peau.  

 

Hummm !! Je suis au paradis, elle est si belle, si couteuse, si…..DRING…DRING…DRING (putain) qui appelle à cette heure-ci et à un moment pareil, GRRRR…RRR…, je décide de laisser le répondeur faire son travail. C'est-à-dire :  

- « vous êtes bien sur le répondeur de Ryo et Kaori, nous sommes absents, délivrer le contenu de votre message et nous vous rappellerons »  

 

- allo…Ryo ! c’est Miki…allo…répond…tu as retrouvé Kaori ? je m’inquiète…  

 

Ah oui, j’avais oublié de prévenir Miki. Je me mis à regarder Kaori et elle me dit que je devrais aller contacter notre amie, car on ne sait jamais, elle pourrait s’imaginer des choses horribles et encore plus s’inquiéter. Je la délaisse avec une pointe de rancune face à ce téléphone, perturbateur (NDB : je suis totalement d’accord avec toi Ryo : Saleté de téléphone !). Oui le mot lui convient, je pris le combiné et eut Miki après une tonalité, je lui explique que Kaori va bien et qu’elle passera sans doute demain (si elle sort du lit pensai-je (NDB : Il ne perd pas le nord celui-là)), sûr ce, je raccrochai, en débranchant l’importun.  

 

Enfin tranquille, je me dirige d’un pas vainqueur vers le trésor qui illumine ma vie, couverte jusqu’à la tête.  

 

Elle n’est pas croyable !!!  

 

Je soulève la couverture et la fait valsé d’un coup sec, retombant dans un bruit sourd sur la moquette. Ma déesse se dévoila sous un autre aspect que la première fois où je l’ai découverte, il y a seulement quelques minutes. Quelle poitrine généreuse !! Le souffle me manque et mon pouls s’accélère comme si je la voyais pour la première fois.  

 

Je pris sa bouche d’un baiser, cette fois sauvage ; car cet appel m’a coupé certes dans mon élan, mais j’ai l’instinct qui se réveil vite quelque soit la situation qui se présente à moi (NDB : Je confirme quel vantard ! Hihihi !).  

 

Les caresses que je lui prodigue la fait frémir, ma langue vient sucer son téton gauche, tandis que ma main droite vient porter secours au second sein se croyant à l’abandon en lui faisant rouler le téton entre mon pouce et mon index. La main gauche, elle en a profité pour se faufiler vers le bas pour déboucler la ceinture de mon ange, et là, à croire que le ciel a décidé de me punir (NDB : Oui, oui, oui !!!), je m’enfonce la pointe de la sangle au profond de mon index poussant un cri dont je ne suis pas fier. (NDB : YOUPI !! tu es puni pour le fait de ne pas t’être déclaré plutôt !!! Crétin !!)  

 

Kaori se leva d’un bond et s’assit près de moi en me regardant étonné. Que vais-je lui dire que le « tueur professionnel dont je fais preuve vient de se piquer avec ta ceinture », sentant son incompréhension, je la fixai un temps et l’embrassa, tout en l’allongeant à nouveau « honte à moi » sur le lit.  

 

Je me pressai sur son corps à moitié nu, mais je voulais sentir sa peau contre la mienne, donc, je me relevai et ôta mon tee-shirt qui rejoignit la couverture. Le contact de nos chairs me donna des frissons qui hérissèrent les poils de mes avant-bras.  

 

Bouche contre bouche, nos langues qui s’aspirent et se tournent autour, mes caresses manuelles sur le haut de son corps (avec la douleur de mon p’tit doigt « snifff »), mieux qu’un rêve : c’est l’extase. Perdu dans l’arôme sucré de sa langue, mon ouïe pourtant fine, n’entendit pas les coups provenant de la porte. (NDB : Pffffff !! on parle vraiment du même pro, car là j’ai un doute ma Kitty) C’est Kaori qui me tapota légèrement l’épaule pendant notre étreinte pour me dire que quelqu’un risque de fracturer notre porte, si personne ne daigne l’ouvrir.  

« J’en ai marre, je vais buter celui qui vient tambouriner chez moi à l’improviste ».  

 

C’est en déboulant les marches à une vitesse fulgurante et avec des pas digne d’un éléphant (NDB : drôle de comparaison ma belle !! Hihihi), que j’entrepris d’ouvrir cette fichus porte. Et que fut ma surprise de voir, mon ami et jumeau Mick (NDB : Et voilà un autre élément perturbateur ! Pauvre Ryo, je le plains !) « Jumeau ? Je suis nettement plus beau que lui et c’est un copieur », bref, je lui demande gentiment que me vaut sa visite si tardive.  

 

- Kazué est de garde ce soir à la clinique, et, je me suis dit qu’on pouvait aller faire la tourner des cabarets et draguer qu’en penses-tu ? me demanda Mick  

 

Ce que je pense, j’ai plutôt envie de t’expédier en recommandé pour le prochain vol pour les Etats-Unis, je te hais !!  

 

- Pas ce soir, je suis blasé ! lui répondis-je  

 

- QUOI…depuis quand tu refuses même fatiguer d’aller faire mumuse ! constata Mick horrifié de la réponse de son homologue japonais  

 

- Ecoutes Mick, j’ai eu une dure journée et j’aimerai me détendre dans mon lit. Répondis-je un peu excédé  

 

- Ah…répondit étonné Mick  

 

- Quoi ah ? demandais-je  

 

Qu’est ce qu’il a à me fixer comme ça cet obsédé ? Il commence sérieusement à m’énerver celui-là.  

 

- Tu t’es encore chamailler avec ma douce Kaori ? Où est-elle d’ailleurs que je lui montre les prouesses d’un bon étalon. Répondit Mick sur un ton d’obsédé  

 

Là, mon sang ne fit qu’un tour, je le toisai d’un regard qui lui fit baisser ses yeux de fouine. Je lui ouvris la porte et l’invita ou plutôt le poussa vers la sortie, tout ce qu’il eu le temps de dire c’est que j’étais jaloux !  

 

Quel idiot ! Ce type ! Mais il avait raison sur toute la ligne. Kaori coule dans mon sang et fait partie de moi, son absence même courte est comme un venin qui me tuera surement tôt ou tard. Mais lentement !!! Oui, elle est mon antidote.  

 

« Bon arrête de penser, elle t’attend ».  

 

Je monte les escaliers menant à ma gourmandise, dont je me délecte d’avance. En entrant, dans la chambre, je l’aperçu songeuse face à la fenêtre. Je me plaçai derrière elle, l’enlaça et lui demanda à l’oreille ce qui n’allait pas. Elle me répondit que tout allait bien. Je la tournai et l’embrassa passionnément, ce qui lui fit pousser un cri au fond de sa gorge.  

 

Je lui chuchotai à l’oreille, que nos cours ne seront plus interrompus, dorénavant, et que je la colle en heure supplémentaire, car elle avait remis son chemisier, donc la punition sera ferme, définitive et sans appel. Elle éclata de rire ! Après mainte manœuvre pour enlever nos vêtements respectifs, nous voila, presque nus. Kaori avec sa culotte en lycra jaune pastel et moi avec mon boxer blanc, dont mon fidèle compagnon été dressé aux piques de sa gloire, et puis, plus elle se pressait contre moi et plus son volume doublait, faisant battre mon cœur à un rythme effréné, le sang tapait mes tempes vivement.  

 

Je la reculai doucement au bord du lit pour mieux la caresser et en me penchant sur elle pour pouvoir l’embrasser langoureusement et passionnément, je me pris le coin en bois du lit sur le tibia (NDB : Ouille, ça doit faire mal !! Tu lui fais des misères à notre petite Ryo, la miss !), je grimaçai sous la douleur. Kaori s’inquiéta en voyant la mine que je faisais. Je lui répondis, que je n’avais rien et que c’est l’effet de l’avoir près de moi qui me mettais dans cet état.  

 

J’imagine « la tête de con qu’elle a pu voir », « merde à croire que je suis maudis ».  

 

Ma première nuit avec Kaori est une catastrophe, enfin, je chassa ses pensées désastreuses en un rien de temps en plaquant mon corps sur le sien, en soufflant sur son oreille tout en lui murmurant « Je t’aime », je continua ma douce torture en lui mordillant son lobe, passant ma langue sur les nerfs de son cou, où je la senti faiblir à mes moindres caresses. Je descendis lentement et progressivement laissant rien au hasard. Chaque partie d’elle devait être marqué par mes empreintes, elle est mienne et c’est ainsi.  

 

Depuis longtemps même, si je ne lui montrai pas ou rarement, mais après cette nuit, elle sera définitivement mienne et cela pour toujours. Mes mains glissèrent vers ses seins dont les tétons pointaient assidument, je les titillais légèrement de mes doigts, ce qui lui fit lâcher de temps en temps des gémissements plus forts ou des petits cris aigu, arrivée au bas de son ventre, je lui prodiguai un dessin sur son nombril faisant des cercles plus ou moins régulier. Une de mes mains, se dirigea vers l’élastique de sa culotte.  

 

Je passai ma main dessous et arriva au fruit défendu que je rêvai tant de découvrir. Je me mis en quête de ce jardin secret qui n’était qu’à moi et aujourd’hui, il allait m’appartenir à jamais.  

 

C’est dans un geste d’une extrême douceur, que je terminais de la déshabiller en lui retirant son dernier vêtement qui était le seul rempart à notre union. Ce vêtement alla rejoindre ses condisciples sur le sol.  

 

Je me rapprochai d’elle et je lui prodiguai de subtiles caresses, afin de la préparer à notre union. Je ne voulais pas qu’elle souffre, quand je lui prendrai son bien le plus précieux.  

 

Quand je la sentie prête, j’approchai mon visage du sien et cernai son regard pour avoir son accord, elle me fit un mouvement de tête me signifiant qu’elle était d’accord. Il ne m’en fallut pas plus pour seller notre amour. C’est alors lèvres contre lèvres, que je pris possession de son corps et que je vis la douleur se peindre sur son visage et je la rassura en lui tenant la main, entremêlant nos doigts, qu’elle pressa si fort au début puis qu’elle relâcha, une fois le supplice passé.  

 

Et soudain, je sentis que….NON…NON…NON…NON…horreur…la HONTE la seule chose que je pouvais ressasser à cet instant…moi L’ETALON DE SHINJUKU !!!!  

 

Je me détachai à regret de Kaori et courra le plus vite possible dans la salle de bain.  

 

 

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de