Capitolo 4 :: Résolution du problème

Pubblicato: 08-10-08 - Ultimo aggiornamento: 08-10-08

Commenti: Bonjour tout le monde, D'abord, on vous remercie pour les reviews pour le chapitre précédent, ça nous a fait chaud à notre petit coeur. Alors voici un nouveau chapitre pour cette histoire qui me semble vous passionne. Ce coup ci, c'est ma Kitty qui a été la béta, puisque c'est moi qui est fait ce petit chapitre, qui j'espère vous plaira. Je lui dédie d'ailleurs ce petit chapitre, ze te nem ma puce. Si vous rencontrez des petites fautes, merci de nous le faire savoir afin que je puisse avec ma Kitty, les corriger rapidement. Je vous laisse à votre lecture, Bisou... Yuna

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Je sortis de la salle de bain et me dirigea vers la chambre où devait m’attendre Kaori. Enfin arriver devant la porte, je constatai que cette dernière était ouverte et que ma belle n’était pas là. Soudain, une sourde peur s’insinue dans mes veines, et si elle décida de partir car je l’ai repoussé ou même que je n’ai pas réussi à lui faire l’amour.  

C’est trop pour mon cœur, alors déjà que je vois Mick et Falcon entrain de se tordre de rire, si ils apprenaient que j’ai eu une panne. Surtout que la panne est intervenue alors que je faisais l’amour à la femme de ma vie. Alors si Kaori part, je n’ai plus qu’à me mettre une balle dans la tête. Je chasse ses idées noires de ma pauvre tête qui est en surchauffe à force de réfléchir. Car ce n’est pas vraiment mon fort de réfléchir, j’agi plutôt par les gestes que par mon cerveau.  

J’entends du bruit en provenance du salon, je me dirige vers la source du bruit et je constate que c’est Kaori qui s’est fait un café pour passé le temps. Elle s’est habillée d’une de mes chemises et à cet instant elle m’offre un tableau de rêve vêtue ainsi. Je n’ai qu’une envie à ce moment de la prendre dans mes bras et de l’embrasser d’un baiser langoureux et passionné. Je m’approchai silencieusement et la vit pensive, mais sereine. Ce qui me fit un drôle d’effet, car je pensai la retrouver en pleure du fait de ma panne. Mais, je constatai en la regardant mieux, qu’elle avait un magnifique sourire qui se dessinait sur ses jolies lèvres que j’avais envie de gouter une nouvelle fois.  

A croire qu’elle avait senti ma présence, qu’elle se retourna dans ma direction et m’offrit un sourire dont elle seule avait le secret. Elle se leva et s’approcha de moi, m’enlaça, se mit sur la pointe des pieds et m’embrassa timidement sur les lèvres. Elle se détacha de moi et me demanda si je désirai un café. Je l’acceptai avec plaisir et lui dit que je voulais discuter avec elle pour parler de se qui s’était passé tout à l’heure. Elle accepta et alla me chercher un café dans la cuisine. Quand elle revint, elle me donna mon café que je bu d’une traite et déposa ma tasse sur la table basse.  

Je la pris dans mes bras et la fis s’asseoir sur mes genoux. A ce simple contact, je sentis quelque chose au niveau de mon entre-jambe. (Ce n’est pas possible, serait-il entrain de revenir de sa petite panne !! oh la la, ça serait génial.). Kaori ne me regarda pas dans les yeux quand je vis son geste, alors je lui soulevai délicatement le menton et la dirigea vers moi pour un baiser des plus passionné. Mais, je du stopper ce baiser, car nous devions parler.  

J’allais commencer quand je ressenti encore une fois mon compagnon se réveiller et devenir en forme. Serait-il possible que le fait que j’accepte d’ouvrir mon cœur à ma femme, que tous mes conflits intérieurs se libèrent et que ma panne était du à un problème entre mon cœur et ma conscience sans que je m’en rende compte. C’est possible, car mon compagnon se sent à l’étroit dans sa prison et n’a qu’une envie retrouver l’antre de vénus de mon ange.  

Mais, je me suis promis d’ouvrir mon cœur à l’amour de ma vie et je vais le faire. Foi de SAEBA !! Et les galipettes viendront après, car mon ange, une fois toutes mes barrières levées, je te promets une nuit inoubliable.  

Elle me fixa de son beau regard et me demanda à travers celui-ci, pourquoi j’avais stoppé ce baiser. Et c’est sur cette question muette que je me suis mis à lui répondre.  

- Kaori mon ange, Il faut que nous parlions de ce qu’il s’est passé tout à l’heure dans notre chambre quand je suis parti m’enfermer dans la salle de bain. Lui demandais-je sur un ton rempli de douceur.  

- Mais… Bien sur Ryo !!!  

- Kaori… comment t’expliquer !!!! Je t’aime, tu le sais puisque je te l’ai avoué plutôt… Mais…  

- Ryo, mais que t’arrive-t-il ? tu m’as l’air nerveux !!! me répondit Kaori inquiète de me voir comme ça  

- Kaori !!! Ce que je vais te dire n’est pas évident à admettre. Alors, s’il te plait, laisse-moi parler. Demandai-je avec un air suppliant  

- Bien Ryo !!! je t’écoute me répondit Kaori avec un grand sourire qui me fit fondre littéralement  

- Eh Ben, Voilà !!! tout à l’heure quand je me suis fondu en toi, j’ai ressenti que mon Mokkori avait perdu un peu de sa vigueur. Lui expliquai-je sans la regarder dans les yeux.  

- Je ne comprends pas, Ryo !!! Qu’est-ce que tu essaies de me dire. Me demanda Kaori avec un air penaud  

- Kaori… Kaori… tu ne me facilites pas la tâche, ma chérie. Lui répondis-je avec un petit sourire face à tant de pureté et d’innocence.  

- Bah quoi !!! Moi, j’ai rien remarqué. J’ai juste ressentie un bien être commencer à prendre le contrôle de mon corps. C’est pour ça que je ne comprends pas ta réaction de tout à l’heure et ton explication. Me répondit Kaori en me fixant de son beau regard, où l’on pouvait voir de l’inquiétude et surtout de l’incompréhension.  

- Kaori ma chérie, tu es novice dans ce genre de chose. (NDA : mais quel toupet…novice et il ne se prend pas pour n’importe qui) Donc, quand je te dis qu’une fois en toi, mon mokkori n’avait plus de vigueur, c’est qu’il n’en avait plus. Et que tu ne risquais pas de ressentir quelques choses.  

- Là, Ryo !!! je ne te suis plus.  

- Ma chérie !!! Je suis en train d’essayer de t’expliquer que mon mokkori est devenu raplapla comme une limace une fois en toi (NDA : oh la la un vers de terre dans la pomme). Et toi, tu fais celle qui ne comprend rien (NDA : dis Ryo mets toi à sa place, Kaori c’est sa première et toi…euh…°).  

- Ryo, Calme-toi !! pas la peine de t’énerver. J’ai compris !!!  

- Alors !!! Dis-moi ce que tu as compris. Je veux l’entendre  

- Et ben !!! que quand tu t’es fondu en moi, ton machin est devenu tout raplapla comme rantanplan (NDA : bien joué Kaori, tu l’as cassé), comme si tu ne me désirais plus. Ai-je bien résumé ? me répondit-elle avec un sourire qui en disait long  

- Kaori…  

- Excuses moi mon chéri de te couper, j’avais oublié de rajouter que j’ai bien senti que tu me désirais avant que l’on ne fusionne. Et je peux même te dire que tu me désirais comme un fou !!! me dit-elle avec un regard où brûlait la flamme du désir  

- Kaori !!! Je crois que tu ne piges rien à ce que je te raconte !!! J’ai débandé dés que j’ai pris ta virginité. Et, c’est pour cela que je suis parti m’enfermer dans la salle de bain, car j’ai eu peur de ta réaction à ce moment là. Et j’avais honte !!! Car « L’Etalon de Shinjuku » qui devient un poney dés qu’il fait l’amour à la femme de sa vie, Ça Craint !!!! (NDA : ah tu l’a dis c’est une sacrée douche froide ça…la honte !!)  

- C’est bon Ryo !!! j’ai compris !!! C’est sur que vis-à-vis de ta réputation, ce n’est pas flatteur !!! Haha haha !!!!!!!!! me dit-elle prise d’un fou rire  

Je fus stupéfait par cette réaction. Car je m’attendais à ce qu’elle hurle ou qu’elle m’envoie une de ses massues. Mais là rien, niette, nada !!! Elle était juste écrouler de rire et rien ne semblait pouvoir l’arrêter.  

Il lui fallu bien 10 bonnes minutes pour qu’elle se calme et qu’elle reprenne un peu son sérieux. Elle me dévisagea avec un regard moqueur où y était également mélangé de la tendresse et de l’amour. Et elle reprit calmement, mais en essayant d’éviter le fou rire qui la gagnait de nouveau.  

- Mais le plus drôle mon amour, c’est qu’il a fallu que ça tombe sur moi. Haha Haha !!!! Car, je suis sûr que tes autres conquêtes, elles n’ont pas rencontré ce genre de déboire avec toi. Me répondit-elle sur un ton plein d’ironie, mais toujours avec son début de fou rire  

- Oui, je le conçois !!! Mais mon ange, je ne veux pas que tu crois que je ne te désire pas. Au contraire !!! Je t’aime, je veux me fondre en toi et ressentir que je suis vivant sous tes caresses.  

- Je le sais Ryo !!! Et ce que tu viens de me dire me touche au plus profond de mon cœur. Mais là je crois qu’aujourd’hui ta réputation est surfaite. Haha Haha !!! Et je sens que je vais t’en donner un autre. Comment tu t’es appelé tout à l’heure ? Hum… Ah oui !! Poney !!! Et ben moi, je dirais plutôt Bourricot… (NDA : Ryo va visiter tous les écuries de la campagne du Japon)  

- Kaori, mais qu’est ce que tu racontes…  

- Oui, c’est ça « Bourricot de Shinjuku ». Voilà ton nouveau surnom entre nous en attendant que tu redeviennes « L’étalon de Shinjuku ». En plus ça sonne bien.  

- Kaori !!! Arrête de te moquer de moi !!! Car, j’essaye de t’ouvrir mon cœur et toi tu te fou de moi. en plus ce n’est pas évident pour moi qui ne suis pas très expressif sur mes sentiments. On dirait que ce que je viens de te dire ne te touche pas  

- Ça c’est sûr !!! presque 8 ans pour se déclarer, faut le faire quand même. Et si ça me touche. Car je viens de réaliser que tu ne me désirais pas vraiment. Et c’est pour ça que je le prends à la dérision, malgré ce que je t’ai dit. Et puis tu avoueras que la situation est assez comique.  

- Oui, je te l’accorde Kaori !!! Mais là je vais te demander de ne plus m’interrompre et de m’écouter.  

Là je la vis écarquiller les yeux et ce que j’y ai lu me brisa le cœur. J’y avais vu de la peur et de la tristesse. Mais elle acquiesça de la tête pour me dire qu’elle ne dirait rien.  

- Kaori, je viens de t’avouer que j’ai eu une panne technique. Et je veux quand même te rassurer que ça ne vient pas de toi, mais de moi. Lorsque je me suis réfugié dans la salle de bain, c’était surtout pour faire le point car je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Et là, j’ai commencé à cogiter grave sur la situation. Tu ne peux pas imaginer ce que j’ai enduré pendant ces quelques heures enfermé dans cette pièce. J’ai ressenti de la frustration, mais surtout de la peur. Oui, de la peur, car à cet instant j’ai cru que je ne pourrais pas te satisfaire et j’ai pensé que tu me quitterais (NDA : oh que c’est mignon, OUINN !!!! sortez les Kleenex).  

Je me tus quelques instants afin de reprendre un peu de constance, car devant elle je perdais tous mes moyens. Et je repris mon monologue et ce coup là en la fixant droit dans ses jolies yeux noisettes si envoutant qui me regardaient avec amour.  

- Kaori mon amour, tout le temps que j’ai passé ce soir dans la salle de bain, j’ai pu faire le point sur ma vie, sur notre vie. Et j’en suis venu à la conclusion que ce p’tit problème technique était du au faite que ça fait des années que je me bride de ne pas te sauter dessus et de te faire l’amour passionnément comme un homme qui aime une femme. Mon Ange, je t’aime et je te désire comme un fou depuis tellement d’année, que ça me faisait mal de devoir toujours de rabaisser ou me moquer de toi. Je ne voulais rien admettre de mon affection pour toi. Mais là ce soir, j’avais commencé à me confier à toi et regarde où on en est arrivé. J’ai ressenti pendant quelques instants ce qu’était vraiment aimer et surtout que tu m’étais destiné depuis toujours. Et quand tu es venu cogner à la porte de la salle de bain pour me demander si j’allais bien, ça m’a mis du baume au cœur, car tu t’inquiétais pour moi. Malgré le coup que je venais de te faire.  

Kaori commençait à avoir les larmes aux yeux face à la déclaration de son homme. Elle était si heureuse qu’il se confie ainsi à elle qu’il ouvre son cœur de cette façon. Elle le regarda avec toute la tendresse et l’amour qu’elle avait pour lui. Quand je vis son regard si aimant ça me fis plaisir, et je repris mon explication.  

- Tu sais Kaori, c’est quand j’ai entendu cet inquiétude dans le son de ta voix, que j’ai décidé de sortir et de t’ouvrir mon cœur. Et quand j’ai pris cette décision mon ange, j’ai ressenti que mon Mokkori revenait à la vie. Et c’est là que j’ai compris qu’il fallait que je te parle de mes doutes et de mes peurs. C’est vrai mon amour, j’ai beau être le meilleur nettoyeur du japon, j’ai enfin pris conscience que j’étais un homme avec ses forces et ses faiblesses (NDA : ben oui Ryo tu es un homme comme tout le monde). Kaori c’est vrai que tu es ma faiblesse, mais tu es également ma force. C’est toi qui me donne la force de vivre et de me battre lors de mes combats. Mais s’il t’arrivait quelque chose Kaori à cause d’un de mes ennemis, je serai capable de mettre la ville à feu et à sang pour te venger (NDA : Oh la vaut mieux pas toucher à Kao…), et je serai capable de me laisser mourir pour venir te rejoindre. C’est pour cela mon ange que je te taisais mon amour pour toi Kaori, car j’avais toujours peur qu’il t’arrive quelques choses. Tu es mon ange de vie, Kaori. Alors je te le dis aujourd’hui, ainsi que tous les jours de notre vie : JE T’AIME, JE T’AIME... Et je veux que nous passions notre vie entière à nous aimer et que l’on vieillisse ensemble. Je suis prêt aujourd’hui à assumer notre amour et à te donner tout ce que tu voudras. Et je te fais la promesse Kaori de tout faire pour rester en vie pour toi, pour nous. JE T’AIME TELLEMENT !!!! (NDA : oh le malheureux il s’est dévoilé…ça y’est je sors le champagne)  

La réaction de Kaori fut immédiate à cet instant qu’elle se jeta dans mes bras avec les larmes aux yeux, mais avec un sourire radieux.  

- Je t’aime Idiot !!! Et à cet instant tu viens de faire de moi la femme la plus heureuse de monde. Ta déclaration me va droit au cœur et je peux également te dire Ryo que plus jamais tu ne vivras dans la peur. Car je vais t’aimer comme jamais une femme ne t’a aimé de sa vie. Je t’en fais la promesse. Me répondit Kaori avec tout l’amour qu’elle me portait.  

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