Capitolo 5 :: Complications?

Pubblicato: 11-03-04 - Ultimo aggiornamento: 11-03-04

Commenti: Chapitre un peu plus court faisant objt d'une légère transition entre les deux journées du fic.

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Kaori avait fini ses emplettes et était sur le chemin du retour. Soudain une voiture s’arrêta devant elle. D’un geste rapide, le chauffeur tira une aiguille anesthésiante dans son cou… elle eut à peine de porter sa main à celui-ci qu’elle s’effondra sur le bitume. Le chauffeur sortit alors du véhicule et se pencha sur elle. Un passant s’arrêta alors.  

« J’appelle une ambulance ? » Demanda-t-il.  

« Non ce n’est pas nécessaire. Je la conduis à l’hôpital. »  

Le passant se gratta la tête dépité tandis que le chauffeur allongée Kaori sur la banquette arrière avant de démarrer son automobile en toute hâte. Le passant resta là bêtement un instant avant de remarquer les divers paquets sur le sol. Il remarqua aussi le porte feuille de la jeune femme. Curieux, il alla l’ouvrir et décida, hop comme ça, d’aller porter les paquets à l’adresse indiqué.  

18h sonnèrent. Hideyuki, ne voyant toujours pas sa sœur revenir, descendit alors faire un tour. La vue des paquets et du portefeuille au rez-de-chaussée le stoppa net. Pourquoi étaient-ils là sans elle ? Comment étaient-ils arrivés ? Où était sa sœur ? Il sortit alors dans la rue appelant sa sœur un long moment… En vain… Elle n’était pas dans les environs. Soucieux, il retourna auprès des paquets et remarqua un mot.  

« Mademoiselle. Je me suis permis de ramener vos paquets chez-vous. J’espère que votre malaise n’était pas important.  

Amicalement votre.  

Tom. »  

Hideyuki resta perplexe. Sa sœur avoir un malaise ??? Rageusement, il froissa le papier et récupérant les paquets pris le chemin de l’étage. En haut, il chercha à joindre Ryô. Ca ne répondait pas. Puis il décida d’appeler tous les hôpitaux de la ville pour s’informer sur sa sœur. En vain aussi. La réponse était la même. Aucune jeune fille n’avait été conduite à l’hôpital. Que diable s’était il passé ? Patiemment il attendit près du téléphone, osant espérer un coup de fil quelconque.  

20h. Ryô en était à son dixième bar et à son énième tournée, mais ses recherches avancées pas à pas. Aoki avait 24 ans. Il avait le teint basané et ses cheveux étaient noirs comme le jais. D’après les hôtesses de différents bar, il doit faire du body building car son corps est bien sculpté. Et d’après le patron des bars c’est un gars qui sait aussi bien donner des coups que les encaisser sans broncher.  

Finalement Ryô continua sa tournée, mais à sa façon. Profitant de la vie et de ses bienfaits….  

Vers 1h30 du matin…  

« Alors Ryô cette soirée te plaît ? » Demanda une hôtesse bien sur de ses charmes.  

« Alors ça…Hic… Ouais qu’elle me plaît. Je m’amuse comme un fou. »Fit Ryô à moitié ivre.  

« Ryô.. Et si on s’amusait un peu plus tous les deux ? »Fit l’hôtesse en glissant une main sous la veste de Ryô faisant voler une photo sur le sol. Autant Ryô que l’hôtesse n’y prêtèrent guère attention. Un homme, titubant, passa près d’eux. Il revenait des toilettes.  

« Qu’est ze que zait que za ? » Dit-il à haute voix ramassant la dite photo alors à l’envers.  

« ??? » S’exclama-t-il en voyant le visage de la personne.  

« Dite jeune hobbe ! C’est votre cop…hips…ine zur la photo ? Hips. »  

« Le vieux tu vois pas que je suis occupé ! »Maugréa Ryô dont la tête reposait sur la poitrine de l’hôtesse avec nonchalance.  

« Hic ! Et d’abord je n’ai pas de copine. » Lança-t-il soudainement en se levant et en récupérant la dite photographie par la même occasion.  

« Je voulais pas te fâsser le zeunot ! Excusez-moi !Hips ! »Dit-il alors en partant tandis que Ryô le fusillait du regard.  

L’hôtesse regarda le photo par-dessus l’épaule de Ryô.  

« Tu les prends au berceau toi ? » Fit-elle ironique avant de continuer : « Plutôt mignonne. »  

Ryô resta silencieux et sans même regarder la photo la rangea dans une poche avant de se rasseoir.  

« Ryôôô T’es fâché ??? » Susurra l’hôtesse à l’oreille de Ryô qui venait de fermer les yeux.  

« Ronn zzzz… Ron zzz… » Fit-il en écho pour répondre.  

L’hôtesse ne pus s’empêcher de rire et l’embrassa sur la joue pour le réveiller. Mais il fallut le secouer bigrement pour le réveiller et le faire sortir. C’était l’heure de fermeture. Il allait être 2h du matin. Ryô bailla en s’étirant et rentra chez lui, titubant. Il s’allongea sur son lit ( enfin se laissa tomber dessus serait plus juste) et s’endormit comme une masse.  

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