Capitolo 18 :: La cause.

Pubblicato: 17-06-04 - Ultimo aggiornamento: 17-06-04

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La nuit était encore présente quand Ryo se réveilla. Sa nuit avait été plutôt courte, Kaori bougeait beaucoup, quelque chose paraissait la contrarier. Ne pouvant pu dormir, il se leva, s’habilla, prit son arme et quitta la pièce quand il eut donner un baiser sur le front de Kaori.  

Manoir de Yakudo.  

« - Oui, Monsieur, je vous promets de régler ce soucis. Mes respects, monsieur. »  

Yakudo raccrocha. Il était vraiment dans un sale pétrin. Il venait d’apprendre que Saeba était toujours en vie et ça c’était une très mauvaises informations. Il devait s’attendre à bientôt le trouver sur son chemin. Mais un autre soucis venait du grand patron qui n’était pas content que, lui, Yakudo est failli à sa mission. Il était pris en tenaille.  

Il soupira, et décida de se prendre un verre de cognac mais au moment où il le portait à sa bouche le verre explosa. Sans meme regarder la silhouette qui se dessinait devant la fenêtre, il sut que c’était Saeba. Un frisson le parcourut tout entier.  

« - Bonjour Yakudo. Je crois que tu sais qui je suis.  

- Saeba.  

- Bien, on commence ?  

- Tu…tu ne sortiras pas vivant d’ici, mes hommes vont arriver.  

- Mince, j’aurais du te dire de ne pas trop compter sur eux. Disons qu’ils font une petite sieste.  

- Tu m’auras pas, dit Yakudo reculant au plus prés de la porte.  

- Je serais vous je ne ferais pas ça car vous savez ça fait un petit moment que je suis là et il fallait bien que je m’occupe.  

- C’est du Bluff.  

- En êtes vous si sur ?  

- …  

- Bon allons droit au but ! Pour qui travaillez-vous ?  

- …  

- Répondez ! dit Ryo tandis que Yakudo entendit le sifflement de la balle qui l’éraflait.  

- Ecoutez, je peux vous donner….  

- Je veux qu’une chose !  

- Je travaille pour Hekido. C’est lui qui a commandité vos deux meurtres.  

- Pourquoi ?  

- Il en veut à Yuka, c’est tout ce que je sais.  

- Tu peux le joindre ?  

- Oui !  

- Dis lui de venir tout de suite ! »  

Plus tard.  

Un home assez grand mais dont la courbure traduisait l’age traversa l’entrée du manoir surprit de ne voir aucun homme de main de Yakudo. Ses yeux étaient sombres, aucune émotion ne paraissait pouvoir le traverser. Il monta les marches qui le séparaient du bureau de Yakudo et entra sans meme frapper.  

« - Yakudo ? Je n’aime pas me déplacer pour rien, où etes-vous ?  

- Désolé, il a eu un empêchement.  

- Qui est là ?  

- …  

- …, son regard se tourna vers la fenêtre, SAEBA !  

- Et oui, surpris ?  

- Où est Yakudo ?  

- Hum….ici, dit-il en désignant l’endroit où était attaché Yakudo.  

- Vous voulez quoi ?  

- Je crois que j’ai déjà ce que je veux, mais avant de vous livrer ; J’oubliais votre cher serviteur m'a fait des aveux qui sont précieusement enregistrés dans ce petit appareil.  

- Quel idiot !  

- Dites-moi pourquoi ?  

- …,d’accord de toute façon ça la blessera autant, de savoir quelle est est la cause.  

J’ai rencontré Yuka j’étais encore à l’école. On était très proche. Seulement, un jour j’ai dut partir pour travailler. Elle n’a pas voulu me suivre prétextant qu’elle avait des affaires à réglées. On s’est dit qu’on se marierait à mon retour. Je suis revenu quelques années plus tard. Elle était mariée. Je lui en voulais mais je pouvais comprendre. Mais elle a fait c qui ne fallait pas : elle avait racheté mon entreprise, celle de ma famille, l’entreprise de ma ville. Quand j’ai demandé aux gens quand elle avait fait ça, ils m’ont tous dit peu de temps après ton départ. Elle m’avait utilisé.  

Un jour j’ai appris qu’elle allait monter sa propre entreprise. J’ai utilisé Yakudo comme intermédiaire et je lui ai prêté de l’argent. Je croyais pouvoir la piéger et récupérez l’entreprise mais elle m’a de nouveau eut. J’ai décidé d’aller plus loin et de m’en prendre à Haruka e vous quand j’ai appris votre existence car avec vous j’aurai été reconnu dans tout le milieu.  

Cette femme est cruelle, méfiez-vous d’elle !  

- C’est vous qui me dites ça !  

Au loin, des sirènes de police se firent entendre. En quelques instants, Hekido fut attaché et la cassette fut déposé sur le bureau.  

Il savait tout.  

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