Chapitre 1 :: Jours 0

Publiée: 23-09-08 - Mise à jour: 22-02-09

Commentaires: Coucou,je suis désolé mais j'ai commis une erreur de frappe, il s'avére qu notre couple favori n'ai qu'une seule fille Akiko, Naomi était le prénom que je lui avait donné au départ. Je vous présente toute mes excuses pour cette erreur de correction. Bonne lectures à tous!

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Mardi 14 Novembre, Jours 0  

Sur le toit de son immeuble de Shinjuku Ryo Saeba fumait sa cigarette du matin en cachette avant d’allait prendre son petit déjeuner, il lâchât une bouffée de fumée et se dit que tout aller pour le mieux pour eux, Kaori, lui et…Il n’eut pas le temps d’achever sa pensée qu’il entendit un bruit de pas derrière lui, il se retourna mais là encore c’était trop tard :  

« Ryo !!!!Eteint cette saloperie tout de suite !! »Une massue nommée « Dont smoke » s’écrasa sur le crane de notre pauvre Ryo. « Ghaaaaa »lança Ryo durant l’avalanche. Une fois la tempête passait une voix étouffée s’éleva tant bien que mal de sous l’immense massue anti tabac :  

« - Ghéri gu chai che sue ché ciolenche ? »(Non Ryo ne parle pas le chtimi.traduction: Chérie tu sais que tu es violente ?)  

« - Qui aime bien châtie bien, Ryo.Lança la jeune femme avec un sourire.  

- Tes machins doivent me faire autant de mal que cette clopes.T’es sûre de pas avoir des penchants maso ? »Il fit mine de réprimer un frisson et continua:  

« - Tu as envie de m’accrocher au lit et de me faire des choses cochonnes c’est ça ? dit-il avec un sourire lubrique. Sa compagne se mit à rougir et se détourna.  

- Idiot !  

- Humph.Je plaisante chérie. »  

Il l’a prit dans ses bras et restèrent ainsi quelque instant, Ryo sentait les battements du cœur de sa compagne, chaque pulsations le faisait sentir vivant, humain et lui donnaient une place en ce monde.Kaori rouvrit les yeux, déçue de devoir interrompre ce moment mais et elle avait honte de le dire, elle avait froid.  

« Allez, viens prendre le petit déj, grand morfale.  

- Oui maitresse. Lança Ryo avec un accent créole, la bouche en cœur. »  

Kaori tomba à la renverse. Sérieux, il ne changera jamais.  

« -Ben, qu’est ce qu’il y a ?  

- Rien, rien du tout. »  

Ils descendirent en silence profitant du calme de l’appartement, en passant devant sa chambre, leur chambre, Ryo rompit le silence :  

« - Elle est réveillée ?  

- Non, tu veux t’en occuper ?  

- Ho que oui !  

- Je vous attends dans la cuisine alors.dit elle avec un sourire.  

Ryo tourna à droite après sa chambre et s’arrêta devant la porte de la chambre des invités, il écouté quelque secondes, l’oreille collée contre la porte. Il entendit une respiration profonde, celle d’une personne endormie. Il tourna la poignet de porte et entra doucement dans la petite chambre sombre où le soleil filtrait légèrement par le volet. Une fois arrivait sans faire de bruit devant le petit lit, il s’accroupit et posa sa main sur l’épaule de l’enfant endormie.  

« Akiko ? C’est l’heure de se réveiller chou. Souffla t-il à l’oreille de son enfant.  

- Hum papa, encore un peu steplai !  

- Hé hé j’ai une technique imparable contre la flemmardise au lit, les chatouilles !! »  

Ryo se mit à chatouiller sa petite Akiko et ils rirent pendant la bataille de chatouille qui suivit.  

« Ha ba c’est du jolie ça.  

- Ha Kaori.  

- Maman !  

- C’est pas très loyale ça, qu’est ce que tu en dis Akiko ?  

- Nan, j’étais pas prête !dit la petite bouche en cœur.  

- Alors prépare-toi, les renforts arrivent !! »  

Et la maman se lançât dans la bataille avec Ryo et Akiko.  

Le papa fut vite battu et admis sa défaite. Les filles s’savourèrent leur victoire pendant qu’ils se rendaient à la cuisine.  

(- Dit donc l’auteur tu m’as fait quoi là ? Me faire battre par deux femmes à une bataille de chatouilles !!  

- C’est moi qui décide qui gagne qui perd Ryo, hé hé. Estime-toi heureux, j’aurais pu faire pire.)  

« - Mouai c’est ça. Ronchonna le nettoyeur.  

- Tu parles tout seul maintenant Ryo ?demanda Kaori.  

- Hein ? Non, non c’est rien.  

- Tu te mes à radoter grand père.  

- Meu non, meu non. C’est plutôt toi qui t’imagines des choses, c’est l’âge qui veut ça chérie.  

- Tu insinues que je suis vielle ? (C’est pas une veine qui grossie sur sa tempe ??)  

- Ben pour être sincère…oui. »Conclut-il avait un aire niai.  

Aïe, ce dit Akiko, papa avait le chic pour énerver sa mère, surement un reflexe du bon vieux temps, mais là la taquiner sur son âge c’était suicidaire ! (c’est vrai quoi !on titille pas une femme sur son âge… et encore moins Kaori)  

De son côté, Kaori commençait à fulminer et une massue se matérialisa entre ses mains.  

« Alors comme ça, je suis vieille n’est ce pas Ryo ?  

- Nnn, noonn, ce n’est pas exactement ce que j’ai voulu dire Kaori mais à 41 ans ça commence à être vieux(tu trouves ça vieux toi?).  

- Tu veux dire vieux pour un coureur comme toi oui !!!!  

- NNNaaaahhhh pas encore !!! »  

Ryo détala à toute vitesse dans l’appartement, mais il n’y avait aucune cachette assez sûre lorsque sa partenaire était furax.  

Mince c’est pas mon jour… (Ça t’apprendra va.).  

Pendant que ses parents jouaient à cache-cache, Akiko prenait son petit déjeuner avec un aire détaché, elle avait l’habitude, ça la faisait rire quant elle était petite, genre quatre ans, mais là c’était un spectacle exaspérant. Elle s’était toujours demandée comment son père avait fait pour survivre à ses coups de massue répétitifs sur le crane ou comment sa mère avait fait pour ne pas tuer son mari sous le coup de la colère…9a pourrait faire un bon scenario pour Les Experts, l’inspecteur chargeait de l’enquête serait arrivé et aurait demandé qu’elle était la cause de la mort, réponse : une massue de 100 tonnes. Cela fit rire Akiko. Soudain un grand craquement ce fit entendre dans l’appartement, Ha, maman a trouvé papa.  

Quelque minutes plus tard Kaori revient en trainant son mari par le col de sa chemise, il était visiblement complètement KO,  

Une mâtiné normale chez City Hunter, ce dit Kaori à elle-même.  

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