Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prose

 

Auteurs: kaori62 , M2N

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 21 chapitres

Publiée: 08-07-12

Mise à jour: 22-12-12

 

Commentaires: 20 reviews

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General

 

Résumé: voilà c'est ma toute première fic. lisez et appréciez . Voilà, Tokyo connaît un niveau de criminalité très élevé et la police à du mal à gérer la situation. Deux jeunes personnes font leur possible dans la police pour faire face à cette situation, mais leur efforts sont anéantis par la corruption, le népotisme,.... Dans cette situation critique un homme froid, sans âme et pitié vient d'arriver au japon. c'est un tueur inégalable dans le maniements de toute sortes d'arme. Qui est-il? que veut-il? Ps: les fic débutant par un numéro auront une suite avec le même numéro. LE CHAPITRE 4 A ÉTÉ MODIFIE.

 

Disclaimer: Les personnages de "Un tueur à Tokyo" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Que veut dire HFC?

 

C'est le nom du site. HFC = Hojo Fan City.

 

 

   Fanfiction :: 01:Un Tueur à Tokyo

 

Chapitre 2 :: Enquête

Publiée: 11-07-12 - Mise à jour: 13-07-12

Commentaires: voilà le deuxième chapitre de ma fic. Qui est le jeune homme qui vient de débarquer au japon??? la réponse à votre interrogation! Une fois de plus je remercie Kaori62 pour son excellent travail et pour m'aider dans ma fic.

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21


 

26 mars, 7h00 du Matin, dans un appartement situé dans le centre de la ville.  

 

 

Une jeune fille se réveilla dans un lit bien moelleux. Ouvrant lentement ses yeux elle remarqua qu’elle se trouvait dans sa chambre. Pourtant, elle se souvenait de s’être endormie sur le canapé en attendant le retour de son frère. Cela signifiait donc qu’il était rentré sain et sauf et qu’il avait pris la délicatesse de la mettre dans son lit.  

 

 

A cette pensée, un petit sourire illumina son visage. Même si aujourd’hui il était dimanche, elle décida de se lever, trop heureuse pour se rendormir. Après avoir pris une bonne douche, la jeune fille s’installa sur le canapé et regarda la télévision en attendant que son frère daigne se réveiller.  

 

 

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9h00 : Dans une ruelle bien sombre, un homme est réveillé par le bruit assourdissant des sirènes de police qui apparemment enquête non loin de là.  

 

 

Même si il aurait aimé se reposer un peu plus longtemps, il était préférable pour lui, de quitter cet endroit pour continuer sa quête. Il décida de se diriger vers l’Est de ce grand quartier.  

 

 

A quelque rue de là, plusieurs voitures de police étaient garées près d’une ruelle vraiment sombre malgré la présence du soleil. Celles ci furent rejointes très rapidement par une ambulance et quelques docteurs qui commencèrent à inspecter les 6 corps retrouvés par une jeune femme qui par mégarde avait décidé de passer par là.  

 

 

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10 h dans l’appartement au centre de la ville.  

 

 

Le téléphone résonna bruyamment au salon obligeant une personne encore endormie dans sa chambre de venir le décrocher.  

 

Se réveillant difficilement, le jeune homme se mit à chercher ses lunettes puis se dirigea vers le salon où le téléphone sonnait toujours.  

 

Encore à moitie endormi il décrocha.  

 

- Allô ? Dit-il d’une voix encore ensommeillée.  

 

La jeune fille assise sur le canapé se retourna et fut surprise de voir son frère répondre au téléphone. Absorbée par ce qu’elle regardait, elle n’avait pas entendu celui-ci sonner.  

 

A l’autre bout du fil, une voix féminine répondit avec un ton moqueur qui cachait mal son impatience.  

 

- Ne me dis pas que je viens de te réveiller ! Ça fait environ 5 bonnes minutes que je cherche à te joindre !  

- Bon ça va. Je te signale qu’aujourd’hui je me repose et que tu avais dit que tu te chargerais de remettre les rapports à ton père.  

- Oui je sais, mais ce n’est pour les rapports… Je t’appelle mais pour autre chose !  

- Ah oui ? Et quoi ? Parce que je te signale qu’aujourd’hui j’avais prévu de passer mon temps libre avec ma petite sœur.  

- Ecoute c’est très sérieux… Je te promets que tu seras libre d’ici 2 à 3 heures. Mais la situation peut empirer si l’on n’agit pas vite.  

- Explique-toi !  

- Ca serait trop long à t’expliquer par téléphone. Rejoins-moi, au plus vite… Je te donnerais les détails une fois sur place.  

- D’accord j’arrive ! Donne-moi l’adresse de l’endroit où tu te trouves !  

 

 

Après avoir soigneusement noté l’adresse, Hide leva un regard sur sa sœur et remarqua que le joli sourire qui illuminait ses lèvres il y a quelques minutes, avait disparut.  

 

 

Soupirant de peine, il tenta de convaincre sa sœur en lui expliquant que cette affaire était très urgente et lui promis de revenir rapidement afin de profiter de cette magnifique journée rien que tous les deux.  

 

 

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Pénétrant dans la gare, un homme vêtu d’un t-shirt violet, un jean bleu et une veste bleue, portant sur la tête un très beau képi de couleur magenta et des lunettes de soleil noires, examinait chaque recoin de cet endroit.  

 

 

Après avoir visité une bonne partie de la gare, il décida de s’installer dans un café juste à coté, afin d’obtenir des informations et aussi se restaurer vu l’heure avancée de la journée.  

 

 

Pénétrant à l’intérieur il vit que celui-ci était plein à craquer de voyageurs. Il se dirigea d’un pas calme vers le comptoir où il prit place.  

Il observa un bout de temps le restaurant d’un regard discret et se retourna vers le tenancier.  

 

- Quel monde ! C’est toujours pareil ?  

- Ouais l’étranger ! Répondit-il ayant remarqué les sacs que le jeune homme transportait.  

- Je vois. Qu’avez-vous de bon pour le déjeuner ?  

- Ben plein de truc. Tiens choisis le plat qui te fera plaisir. Lui répondit le tenancier en lui donnant le menu.  

 

Une fois sa commande passée, il se retourna vers la télé où passaient les infos. Quelques minutes plus tard son attention fut de nouveau attirée par le tenancier qui apporta la commande.  

 

- Tiens voilà ton plat…  

 

Le remerciant d’un signe de tête, il commença à manger tout en discutant de tout et de rien avec le tenancier. Loin de connaitre les intentions de son interlocuteur, l’homme parla ouvertement pendant que l’autre récoltait des informations importantes.  

 

 

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Hide venait d’arriver sur les lieux. La ruelle était fermée avec des bandes sur lesquelles étaient mentionnées « scène de crime». Le jeune homme passa les barrières pour rejoindre sa collègue.  

 

 

- Tiens regarde ! Nous avons trouvé cinq corps par là et le sixième à quelques mètres de là.  

- Des yakuza à première vue… Un règlement de compte ?  

- Oui… De plus, ils appartenaient au clan du « Dragon Rouge ».  

- Combien de personne ont attaqué ?  

- Apparemment une seule personne car les cinq ont été tué par la même arme.  

- Et le sixième ?  

- Je pense qu’il a tenté de s’enfuir… Il a reçu une balle qui a traversé sa poitrine. Elle l’a touché en plein cœur.  

- Un fin tireur à ce que je vois. Et ?  

- Les corps sont envoyés à l’hôpital de police pour une autopsie. Aucun indice n’a été trouvé ! Rien ! Même pas un tout petit...  

- Mais la balle a due se loger quelque part ?  

- Regarde… Fit-elle, en s’avançant vers le mur. Elle a été extraite.  

- Un vrai pro à ce que je vois… Bien, je vais à l’hôpital voir s’il y a du nouveau…  

- Je viens avec toi !  

 

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Au café près de la gare le jeune homme avait fini de déjeuner depuis un bon bout de temps et discutait toujours. Une heure plus tard il demanda congé au tenancier et sortie du restaurant pour se diriger dans le sens opposé qu’il avait pris le matin.  

 

Sur la route il s’arrêta à une cabine téléphonique et passa un coup de fil.  

 

- Allô ? Répondit une voix froide à l’autre bout du fil.  

- Salut c’est moi. C’est quoi cette manie de répondre au téléphone hein ? Tu veux ma peau ou quoi ? Dit-il d’un brin moqueur.  

- Ah salut ! Excuse-moi Ryô… Je suis sur une affaire et j’ai cru que c’était mes nouveaux amis qui m’appelaient.  

- Je vois. Je t’appelais juste pour t’informer que j’étais arrivé à bon port et que bientôt je serais installé… Alors si tu pouvais m’envoyer le reste de mes effets.  

- Ouais, d’accord je te l’expédie par bateau, il y a un qui part dans deux jours.  

- Je savais que je pouvais compter sur toi !  

- Bon faut que je te laisse j’attends un coup de fil et ne te fais pas remarquer dès ton arrivé…  

- Trop tard… C’est déjà fait. Bon je te laisse.  

- Quoi ? Qu’est que tu veux dire par c’est déjà fait, hein ? Ryô ?? Le fumier il a raccroché…  

 

 

Après cet appel, le nettoyeur se mit à marcher vers un endroit peu fréquenté. Stoppant ses pas, il remarqua un vieil immeuble en brique rouge qui était hors de porté de toute cible. Il se mit alors à étudier les alentours de cet immeuble et les ruelles proches.  

 

 

Il avait trouvé l’endroit idéal pour s’installer. L’immeuble avait une structure et une position qu’aucun sniper digne de se nom ne pouvait atteindre. Contournant celui-ci, il examina minutieusement chaque recoin, un sourire sur les lèvres. Satisfait des lieux, il alla frapper à la porte.  

 

 

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Cela faisait déjà une heure que Hide et Saeko était à l’hôpital de police. Apparemment les docteurs n’avaient rien trouvé de concret.  

 

 

L’un des médecins, après une énième étude sur l’arme utilisée, avait enfin une réponse et demanda aux jeunes inspecteurs de le rejoindre afin de leur expliquer sa trouvaille.  

 

 

- J’ai enfin une réponse à notre énigme.  

- On vous écoute, dit Hide.  

- Approchez ! Leur dit-il en s’avançant vers un corps étalé sur une table. En analysant de plus près les dégâts, j’ai puis trouvé une réponse à la cause de la mort de cet homme.  

- Vous plaisantez j’espère ! S’écria Saeko. Tout le monde sait que c’est une balle qui l’a tué.  

- Oui mais pas n’importe laquelle, c’est un 357 magnum et voyant les dégâts la personne qui a fait ça est un vrai pro. Car l’impact et la distance du tir était tout calculé ce qui compliquait les recherches. Mais en ce qui concerne l’arme utilisé pour les autres, c’est la même mais laquelle, impossible de le dire pour le moment.  

- Comment ça ? Demanda Hide.  

- Disons que c’est la première fois que je vois une arme blanche ayant apparemment la taille d’un poignard faire de tel dégât, la personne était si rapide que les cinq ont été touchés en l’espace de quelques secondes.  

- Hein ?  

- Encore une chose… Il a agit seul… Hélas, je ne possède aucun indice pouvant vous conduire jusqu’à lui…  

- Je vois. Répondit Hide. Prévenez nous si vous trouvez autre chose… Puisque je ne suis plus indispensable, je rentre chez moi. J’ai promis à Kaori de l’amener au parc ce soir donc à plus.  

Sur ce il quitta les lieux pour se diriger vers son appartement.  

 

 

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Une vielle personne ouvrit la porte pour voir qui se tenait à celle-ci. Voyant qu’il s’agissait d’un voyageur il tenta de lui faire comprendre qu’il n’avait rien à faire ici mais l’homme ne bougea pas d’un pouce. Soupirant, il le laissa finalement pénétrer dans sa demeure afin de connaitre les raisons de sa venue.  

 

 

S’étant installé confortablement dans une pièce, le vieil homme demanda :  

 

- Dites- moi ce qui se passe, petit, pourquoi tout ce vacarme ?  

- J’aimerais louer un appart’ dans cet établissement. Répondit celui-ci, sans prêter attention aux paroles du vieil homme.  

- Quoi ??? S’étonna le vieux. Ici ? A Shinjuku ? Voyons jeune homme, ce n’est pas un lieu approprié pour des étrangers…  

- J’ai besoin d’une piaule, claqua-t-il durement. Vous en avez une de libre ?  

- Bien sûr. Répliqua-t-il, en voyant la détermination du jeune homme. Pour tout vous avouer, cet immeuble est entièrement libre… Je m’apprêtais à le céder à une entreprise… Le gouvernement voudrait le détruire pour en construire un autre. Jusqu’à présent, je parvenais à payer la caution pour éviter sa démolition mais hélas, depuis deux mois, je n’ai pas pu tenir parole. Du coup, ils vont le démolir dans une semaine. C’est pour cette raison que je ne voulais pas vous recevoir… Vous comprenez, jeune homme ? Expliqua-t-il, des larmes de tristesse perlant sur ses joues.  

- Je vois… A combien est le loyer ? Demanda-t-il, en sortant de son sac, une enveloppe contenant quelques billets, qu’il tendit au vieil homme. Ceci est une avance…  

- Mais c’est trop ! Lâcha-t-il, un magnifique sourire sur les lèvres. Avec ça, je vais pouvoir régler la dette que j’ai pour sauvegarder mon immeuble.  

- Bien… Mais j’y mets une condition… Je n’aime pas les voisins curieux, encombrants… J’aime vivre seul…  

- Je vois. En gros tu ne veux personne dans cet immeuble.  

- Exact !  

- Moi ça me va.  

- Je prendrais l’appart’ situé au dernier étage…  

- Celui du cinquième étage bon d’accord comme tu veux, voilà les clés et bienvenu chez toi.  

 

 

Alors qu’il commença à grimper les marches pour rejoindre son nouveau domicile, l’homme stoppa ses pas, en entendant le vieil homme l’interpeller.  

 

 

- Eh! Au faite… Comment tu t’appelles jeune homme ?  

- Saeba,… Ryô Saeba…  

 

 


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