Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prose

 

Auteurs: Lexine , Chouchery

Beta-reader(s): Sarah

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 6 chapitres

Publiée: 31-08-04

Mise à jour: 30-10-04

 

Commentaires: 47 reviews

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HumourRomance

 

Résumé: Ryo et Kaori vont se découvrir mutuellement...

 

Disclaimer: Les personnages de "Entre potes" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Entre potes.

 

Chapitre 5 :: chaud chaud le haricot (1/2)

Publiée: 24-10-04 - Mise à jour: 24-10-04

Commentaires: voila un new chap tt bo tt neuf (lol) gspère kil vous plaira merci a ma clo pr m'avoir donné son avis sur ce chap et un bout de l'autre vu ke g coupé le chap5 pr vous faire languir davantage (en fait il était trop long dc c plus pr ca lol) alé je vous laisse bone lecture et plein de review siouplé merci

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6


 

- KAORI ! ! !  

 

A ce cri, Kaori se réveilla en sursaut. Cette voix appartenait à son partenaire. Elle croyait avoir rêver mais un nouveau hurlement de son prénom la sortit totalement de sa léthargie.  

 

- KAORI ! ! !  

 

Elle se leva précipitamment et sortit de sa chambre en trombe, sans se laisser le temps de mettre quelque chose de plus «cachant» sur elle.  

 

Kaori fit le tour de la maison mais ne trouva son partenaire nulle part. Elle n’avait tout de même pas rêvé, elle l’avait bien entendu hurler donc il était bien à l’appartement. Mais, où pouvait-il bien être ?  

 

- KAORI ! ! !  

 

La jeune femme perçut ce troisième cri comme provenant d’une salle de sous-sol. Elle pensa immédiatement à la salle de tir. Sans attendre, elle s’y précipita. Quelle fut sa surprise de n’y voir personne ! Ni Ryo ni son arme ne s’y trouvaient. Kaori ne voyait pas où son partenaire pouvait bien se trouver, elle ne connaissait que cette salle, avec le garage, au sous-sol.  

 

Un nouveau cri retentit. Il venait d’une salle annexe. Elle sortit dans le couloir et vit une porte. Le cri ne pouvait venir que de là, puisqu’il ne venait pas du garage. C’était la seule salle qu’elle n’avait pas fouiller et qu’elle ne connaissait pas. Son partenaire ne lui avait jamais parlé de cette salle.  

Soudain, elle se souvint que son partenaire lui avait déjà parlé d’une salle de musculation. Cette pièce était ne pouvait être que cela. Pour vérifier, elle ouvrit la porte et put ainsi constater qu’il s’agissait bien de la pièce à laquelle elle pensait.  

 

« Qu’est-ce qu’il fait là ? A cette heure-ci ? »  

 

Il était précisément 6h45 au réveil de Kaori quand elle avait entendu son nom hurlé par son partenaire.  

 

La porte enfin ouverte, Kaori pénétra dans la salle et fut prise d’un fou rire mémorable, devant le spectacle qui s’offrait à elle.  

 

- Viens m’aider au lieu de rigoler ! ! ! S’énerva Ryo.  

- Oui… oui… tenta de rétorquer Kaori.  

 

Elle n’en pouvait plus de rire. Elle avait mal aux cotes et mit quelques secondes avant de pouvoir reprendre sa respiration correctement. Même si c’était difficile de ne pas rigoler, vu la situation, elle essaya tout de même de se contrôler, pour son partenaire. A coup sûr, il allait la tuer pour cette trahison si elle était de nouveau en proie à ce fou rire.  

Ryo, ne voyant pas sa partenaire bouger d’un centimètre, s’énerva de plus belle.  

 

- T’ATTENDS QUOI ? ? ? DEPECHES ! ! ! C’EST LOURD ! ! !  

- J’arrive ! ! ! T’excites pas.  

- C’EST PAS TROP TÔT !  

- Oh ! Ça va ! Si t’es pas content, je te laisse te débrouiller tout seul ! Fit Kaori en faisant mine de sortir.  

- KAORIIIIIIIIIIII ! ! ! S’IL TE PLAÎTTTTTTTTT ! ! !  

- Ok ! T’as gagné ! Je vais te sortir de là !  

- MAGNES ! ! ! Parce que je voudrais pas dire mais ça fait mal.  

- Faut souffrir pour être beau ! Maintenant, tais-toi et laisse-moi faire !  

 

Ryo ne dit rien. Sa partenaire venait de lui clouer le bec. C’était bien la première fois en un peu plus de sept ans. Il devait déteindre sur elle.  

 

Kaori alla aider son partenaire. Il était en bien mauvaise posture. Celui-ci se trouvait sur le Développer-coucher, la barre de poids au niveau de la poitrine. La barre indiquait trente-cinq kilos. En effet, il devait avoir, sûrement, très mal.  

La jeune femme souleva la barre, aidée de son partenaire.  

 

Une fois la barre remise en place, Kaori lui posa toutes sortes de questions.  

 

- Comment tu t’es fait ça ?  

- J’en sais rien !  

- Ça m’aide beaucoup.  

- Mais je sais pas comment c’est arrivé moi. J’étais en train de soulever quand y’a quelque chose qu’à lâcher ! J’en sais pas plus !  

- C’est peut-être un muscle de ton bras qui t’as lâché ? ? ?  

- Ça me fait pas mal donc c’est impossible.  

- Ou alors… tu devais encore penser à une belle fille de tes magazines que tu étais en train de te taper, dans tes rêves. C’est pour ça que ça a lâché.  

- La seule fille que je vais taper, c’est toi si tu continues avec tes insinuations douteuses ! Je ne pense jamais aux filles quand je m’entraîne ! Est-ce que c’est clair ? Répliqua-t-il sèchement.  

- Alors pourquoi tu m’as appelée ?  

- J’ai dit que je ne pensais jamais aux filles…  

- C’est bon ! J’ai compris ! Pas besoin de répondre, ni de te justifier ! Rétorqua froidement Kaori.  

 

Ryo se releva doucement et se mit à tousser violemment. Un rictus de douleur vint se peindre sur son visage. Il croisa ses bras là où la douleur allait crescendo. Son bras aussi lui faisait mal. Sa partenaire avait eu raison, une fois de plus. Un muscle l’avait lâché mais c’était rien. Il s’en remettrait même si la douleur était, tout de même, bien présente.  

Kaori, voyant cela, s’approcha de son partenaire pour regarder ce qu’il avait.  

 

- Enlèves tes bras que je regarde ce que tu as, dit-elle posant ses doigts sur les bras de son partenaire pour essayer de les dénouer.  

- Hors de question ! ! ! Fit Ryo en tournant le dos à sa partenaire.  

 

Ce fut le geste de trop. Kaori empoigna l’épaule de son partenaire et le força à lui faire face. Celui-ci poussa un petit cri de douleur, sa partenaire venait de l’empoigner par la mauvaise épaule.  

La jeune femme y prêta attention mais ne lui en fit pas la remarque. Elle était trop excédée par le comportement gamin de son équipier.  

 

- RYO SAEBA ! ! ! J’EN AI ASSEZ ! ! ! SI TU NE VEUX PAS QUE JE REGARDES, CELA SIGNIFIE QUE TU N’AS PAS MAL ! ! !  

- SI J’AI MAL.  

- ALORS ARRETES DE TE COMPORTER COMME UN GAMIN ET LAISSE MOI JETER UN COUP D’ŒIL.  

- D’accord  

- ENLEVES TES BRAS DE LA SI TU VEUX QUE JE VOIE QUELQUE CHOSE.  

 

Ryo écarta ses bras. Sa partenaire put, ainsi, voir l’étendue des dégâts qu’avait causé la chute de cette barre de trente-cinq kilos.  

 

- Eh be ! ! ! T’es bien amoché. Les filles ne voudront plus de toi…  

- Pourquoi tu dis ça ? ? ? C’est pas parce que je suis blessé que je ne suis pas attirant !  

- Oh ! Arrêtes ! T’es pas blessé, exagères pas ! T’as juste un très gros bleu sur l’ensemble du torse.  

- Tu rigoles ? ? ? L’ensemble de mon sublime torse ?  

- Oui, si tu le dis ! ! ! Enfin ! ! ! Regardes par toi-même !  

 

Les yeux de Ryo se dirigèrent vers l’endroit que le doigt de Kaori montrait. Il était stupéfait. En effet, celui avait un énorme bleu sur toute la poitrine et sur une partie de ses abdos.  

 

« Une plaie pour les filles ! ! ! »pensa-t-il.  

 

Ryo était à la limite de l’hystérie. Avec cela, il se ferait jeter par toutes les filles (encore plus que d’habitude, c possible ? lol).  

 

Il releva les yeux mais ceux-ci furent happés par la vue qui s’offrait à eux.  

Il détailla le corps de sa partenaire de haut en bas. Celle-ci semblait plus préoccupé par le bleu de son partenaire que par sa tenue plus que légère. Ryo en profita pour se rincer l’œil. il ne s’attendait plus à voir sa partenaire dans cette tenue, au moins une fois dans sa vie. Il avait rêvé d’elle ainsi des centaines voire des milliers de fois, et pour tout dire, il n’espérait plus la voir pareillement vêtue. Pour lui, cela restait un rêve qu’il faisait toutes les nuits ou presque. Mais aujourd’hui le rêve avait rejoint la réalité et ce spectacle était encore mieux.  

Dans cette tenue, Ryo trouvait sa partenaire plus qu’à son goût. Il n’était pas le seul d’ailleurs. il eut toutes les peines du monde à garder son mokkori à la niche pendant cette contemplation. Comble de tout, des images, plus qu’érotique, de lui et de la jeune femme lui traversèrent l’esprit. tout le monde avait décidé de l’achever. là, il ne pouvait pas nier que sa résistance était mise à rude épreuve. Si les images et cette vue continuait, notre pauvre étalon n’allait pas tenir longtemps.  

Après maintes et maintes tentatives pour essayer d’effacer ces images et de calmer ses ardeurs, Ryo dut bien admettre que c’était la jeune femme qui se trouvait en face de lui qui le faisait le plus craquer. Malgré le nombre de femmes qu’il avait connu, aucune n’arrivait à la cheville de son partenaire. Pour lui, en cet instant, Kaori était – comment dire ? – bandante à un point inimaginable. Sur l’échelle de Ryo, Kaori, à ce moment, valait bien un cent sur une échelle qui allait de un à vingt.  

Jamais Ryo n’avait été à ce point excité par cette simple vue. C’était très dur de se retenir pour notre cher étalon. En effet, Kaori se trouvait devant lui, en sous-vêtements. Pas n’importe lesquels en plus. Elle portait un ensemble soutien-gorge – string, en dentelle noire. Elle n’avait rien par-dessus, à part le regard insistant et empli de désir de Ryo.  

Celui-ci fut coupé dans sa contemplation par la voix de Kaori.  

 

- Ryo ?  

- …  

- Ryo ? ? ?  

- Hein ! ? !  

- Tu me suit ? ? ?  

- Où ?  

- Dans la salle de bain.  

- Pourquoi faire ?  

- Pour te mettre de la crème ! c’est logique, non ?  

- Euh… oui…  

- Allez viens !  

 

Kaori empoigna son partenaire et l’aida à se lever. Elle l’aida ensuite à marcher.  

Ryo n’en pouvait plus. La proximité de ce corps contre son torse nu, le rendait fou. Il devait y mettre fin.  

 

- Kaori ?  

- Oui !  

- Je peux marcher tout seul tu sais !  

- T’es sûr que ça va aller ?  

- Oui. J’en suis plus que sûr  

- D’accord. Je passe devant.  

- Ok.  

 

Kaori lâcha son partenaire, ouvrit la porte et passa devant lui, comme prévu.  

Ryo put enfin se relâcher. Il leva les yeux au plafond et respira un grand coup. Il avait du mal à marcher. Mais il se débrouillerait, du moins jusqu’au début des escaliers.  

Ryo suivait sa partenaire de très très près. Il avait été rejoint par « coucou ». Il l’avait enfin laissé sortir. Mais celui-ci était aussi sorti à cause du déhanché qu’offrait Kaori à la vue de son partenaire : un déhanché sensuel et sexy à souhait. Mais, ce déhanché s’arrêta d’un coup et Ryo dut freiner le plus vite possible avant de rentrer dans sa partenaire et qu'elle ne se rende compte de son état.  

 

Kaori venait de s’arrêter devant les marches de l’escalier. Son partenaire n’était pas en état pour grimper jusqu’à l’appartement par ce chemin. Elle décida d’en faire part à celui-ci.  

Ryo eut juste le temps de ranger « coucou » quand Kaori se retourna. Si elle le surprenait ainsi, il était cuit et ne pourrait plus clamer haut et fort que sa partenaire était la seule femme à ne pas le faire bander.  

 

- Tu n’es pas en état pour prendre les escaliers.  

- Mais si.  

- Moi je te dis que non  

- C’est toi qui vois.  

- On va prendre l’ascenseur.  

- NON PAS L’ASCENSEUR ! ! !  

- Qu’est-ce qui te prend ? Pourquoi tu veux pas monter avec ?  

- Il … il est hors service. Je dois faire venir le dépanneur…  

 

Ryo ne pouvait pas lui dire qu’il lui sauterait dessus s’ils prenaient l’ascenseur. Il ne lui ferait rien au début et puis il craquerait, lui sauterait dessus et lui ferait l’amour sauvagement. Ça, il ne pouvait pas se le permettre. Mais sa partenaire avait décidé de l’abattre.  

 

- Tu te fous de moi ? T’as fait venir le dépanneur y’a trois jours !  

- Ah ! ! !  

- Donc… ON prend l’ascenseur, COMPRIS ?  

- Oui maîtresse vénérée.  

- J’aime mieux ça.  

 

Ils montèrent dans l’ascenseur et, heureusement, le voyage ne fut pas long. Ils descendirent et se rendirent à la salle de bain.  

 

Ils arrivèrent enfin dans la salle de bain au grand soulagement de Ryo, qui n’en pouvait plus du tout. « Coucou » devenait de plus en plus insistant. Il allait s’oublier si ça continuait comme ça.  

 

Son calvaire était pourtant loin d’être terminé.  

 

 

 

 


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