Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prose

 

Auteurs: Lexine , Chouchery

Beta-reader(s): Sarah

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 6 chapitres

Publiée: 31-08-04

Mise à jour: 30-10-04

 

Commentaires: 47 reviews

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HumourRomance

 

Résumé: Ryo et Kaori vont se découvrir mutuellement...

 

Disclaimer: Les personnages de "Entre potes" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Qu'est-ce qu'une fanfiction NC-17 ?

 

Un fanfiction NC-17 est interdite aux moins de 18 ans. La violence est autorisée, et les scènes d'amour peuvent être descriptives. Le contenu peut être considéré comme strictement réservé à un public adulte. La façon de percevoir ce genre de choses reste subjective, donc certains seront plus vite choqués que d'autres. Nous essayons de respecter certaines limites pour les fanfictions R, mais nous pouvons laisser ...

Pour en lire plus ...

 

 

   Fanfiction :: Entre potes.

 

Chapitre 6 :: chaud chaud le haricot (2/2)

Publiée: 30-10-04 - Mise à jour: 30-10-04

Commentaires: encore 1 chap voila bone lecture é merci pr vo review

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6


 

- Allez mon grand ! Assieds-toi !  

- Pourquoi ?  

- Parce que tu es trop grand et que je risque d’étaler la crème là où il n’en faut peut-être pas.  

- Pourquoi ? Il m’en faut partout !  

- Il t’en faut juste sur le torse et sur ton bras !  

- Pourquoi ?  

- J’ai bien vu que tu avais mal à ton bras tout à l’heure. Tiens ! Je vais commencer par lui, vu que monsieur ne veut pas s’asseoir pour l’instant.  

- Pourquoi ?  

- T’as fini avec tes pourquoi ? Tu m’énerves ! JE commence par ton bras un point c’est tout ! !  

- D’accord ! Vas-y !  

 

Kaori se mit sur le coté et étala de la crème sur l’épaule endolorie de son partenaire. Avant de terminer, elle ne put s’empêcher d’admirer le corps athlétique de Ryo et lui en fit la remarque.  

 

- C’est que t’as des muscles, dis donc ? ? ?  

- Qu’est-ce que tu crois ? Je m’entraîne tous les jours depuis que j’ai trois ans donc c’est un petit peu normal.  

- Je pensais que tu aurais plus de graisse que ça ? C’est vrai tu ne fais pas grand chose à part rester sur le canapé à mater les jolies filles de tes magazines et à bander. Ça fait pas beaucoup d’exercice tout ça !  

- Tu te trompes sur toute la ligne ma chère ! Courir les filles ça fait maigrir et ça donne de beaux muscles comme les miens ! Y’a aussi l’entraînement que je fais tous les matins, ou quand j’ai le temps !  

- C’est sûr que tu manques de temps ! ! !  

- Oui mademoiselle ! Je manque de temps, parfaitement.  

- A d’autre Ryo ! Allez assieds-toi que je t’étale la crème sur le torse.  

- Non veux pas m’asseoir !  

- Tu veux pas ?  

- Non ! ! Veux pas ! !  

- Ok.  

 

Kaori sortit une énorme massue et força son partenaire à s’asseoir sur la chaise derrière lui.  

 

- ASSIS !  

- Oui… oui… oui  

 

Kaori mit de la crème sur ses mains et la malaxa pour la réchauffer un peu. L’effet serait plus rapide.  

Ryo s’assied et là, ce fut encore pire que lorsqu’il se tenait debout. Il eut une vue plus que splendide sur les hanches et les cuisses de la jeune femme. Selon lui, elles ne demandaient qu’une chose : être enserrées par les mains de ce cher nettoyeur. Il devait se retenir, il ne devait pas craquer. Ce fut d’autant plus difficile lorsque Kaori se pencha en direction du buste de Ryo pour voir où elle devait étaler la crème. Celui-ci eut une vue panoramique sur le décolleté de sa partenaire.  

 

« Arrête Kaori ! J’en peux plus ! »  

 

Mais bien vite, l’esprit lubrique de Ryo prit le dessus et ses pensées devinrent de plus en plus explicite quant à ses désirs d’homme.  

 

« Elle a vraiment une poitrine digne de ce nom et des jambes, des hanches, des fesses à damner un saint. Tout est parfait, il n’y a vraiment rien à jeter ! Ça doit être le coup du siècle pour les hommes ! ! ! J’ai qu’à la faire reculer et je me la fais dans la baignoire ! ! ! »  

 

Il avait déjà rêvé qu’il faisait l’amour à la jeune femme, parfois dans des endroits assez cocasses d’ailleurs, mais jamais il n’avait eu de pensées aussi explicite, surtout en la présence de l’intéressée.  

C’est pour cela qu’à cette dernière pensée, Ryo ne put s’empêcher de se tambouriner le crâne à coup de poing. Il ne se reconnaissait plus.  

 

- Ça va pas ! ! ! ARRÊTES ! ! !  

- Ryo ? ? ? J’ai pas encore commencé ! ! !  

- Ah… euh… arrêtes quand même, je suis assez grand pour le faire ! Dit-il avec difficulté. Difficulté due à la douleur.  

- VRAIMENT ? Lui demanda sa partenaire, le menaçant d’une massue gigantesque.  

- NONNNNNNNN ! ! ! VAS-Y ! ! ! VAS-Y ! ! ! Je te laisse mon corps, fais-en ce que tu veux, mais pas la massue !  

- Je ne veux pas ton corps, imbécile. Je veux juste étaler de la crème sur ton bleu.  

- Ah…  

 

Sur ce, elle se mit en action.  

Elle commença par la poitrine. Elle sentit les muscles de son partenaire se contracté à chaque passage de sa main. Des frissons apparurent quelques instants plus tard. Il avait la chair de poule. C’était très impressionnant.  

Kaori descendit tout doucement vers les abdos de Ryo et là ce fut pire. Tout son être tremblait. Ryo était parcouru par des spasmes violents dus aux caresses que lui prodiguer chaque passage. Pour lui, c’était un vrai enfer. Et c’était loin d’être fini. Kaori, pensant que ces tremblements étaient dus à la fraîcheur de la crème, accentua la pression. Heureusement pour elle, elle s’arrêta avant que les dernières barrières de Ryo ne s’effondrent.  

 

La crème parfaitement pénétrée, Kaori laissa son partenaire, dont l’état n’avait fait qu’empirer. Son caleçon avait gonflé sous la force du désir. Pour ne pas le montrait à sa partenaire, Ryo avait mis ses mains sur cette « petite anomalie phallique » au niveau de son entrejambe.  

 

- Voilà ! C’est fait. Bon je te laisse te doucher et t’habiller. Je suis dans la cuisine si tu me cherches.  

- D’accord, articula péniblement notre étalon.  

 

Son désir devenait très pressant. Si elle ne sortait pas de suite, Ryo ne contrôlerais plus rien. Seules ses pulsions dicteraient sa conduite. En clair, il sauterait sur sa partenaire et lui ferait l’amour jusqu’à plus soif, ici, sur le sol de la salle de bain. Il savait qu’il n’en avait pas le droit mais il en mourrait d’envie. Hélas, aujourd’hui tout lui était défavorable.  

Kaori se baissa pour pouvoir ranger la crème et trouver quelque chose pour s’essuyer les mains. Une fois l'objet trouvé et l'action faite, elle se dirigea vers la porte mais fut retenue au niveau de son poignet.  

Ryo, n’en pouvant plus, s’était levé et retenait sa partenaire. Il la fit se retourner et la plaqua contre le mur de la salle de bain. Il captura ses lèvres sauvagement comme si cela allait le libérer de ce désir qui ne faisait qu’accroître en lui. Malheureusement, ce fut pire.  

Kaori n’osait plus bouger. Elle était prisonnière entre Ryo, le mur et les lèvres de celui-ci. Elle ne comprenait pas pourquoi son partenaire venait de lui sauter dessus.  

Elle se sentit soudain très mal quand elle sentit ses pieds décollés du sol. Ryo la portait maintenant et promenait ses mains un peu partout sur son corps. Tout y passa : ses cuisses, ses hanches, son ventre, ses fesses. Elle sentit tout d’un coup l’excitation de son partenaire devenir plus que palpable. Elle ne savait pas quoi face à cet homme, conduit seulement pas ses bas-instincts.  

Ryo ne se lassait pas de pouvoir enfin caresser la femme qui hantait ses nuits depuis si longtemps. Il en voulait encore plus, toujours plus. Ses lèvres quittèrent celles de sa partenaire, qui soit dit en passant, put enfin reprendre sa respiration et analyser la situation dans laquelle elle se trouvait.  

Ryo n’en avait pas encore fini avec la jeune femme. Il avait tellement envie d'elle qu'il n'allait pas s'arrêter en si bon chemin. Ses lèvres descendirent le long de son cou et vinrent se poser sur la poitrine de Kaori. Il l’embrassait sauvagement tellement il la voulait.  

Kaori ne savait plus quoi faire. Elle se décida enfin à bouger. Cela n’eut pas l’effet escompté. Au lieu de faire lâcher prise à son partenaire, elle accentua la pression du bassin de Ryo et put, encore plus, se rendre compte que son partenaire était en pleine forme. Elle pouvait sentir l’érection de celui-ci sur son ventre. Elle devait arrêter cela avant que son partenaire n’aille plus loin. Elle examina toutes les possibilités pour s’échapper ou au moins regagner la terre ferme.  

Pendant que Kaori cogitait, Ryo continuait sa descente et sa découverte.  

Il arriva au ventre de sa partenaire quand celle-ci trouva enfin une idée.  

 

- Ryo ?  

- Uhm ?  

- Tu sais ce que tu es en train de faire, j’espère ?  

- Oh oui, je le sais très bien. Et j’en ai envie depuis plus de huit ans alors…  

- Regardes-moi dans les yeux quand tu le dis, s’il te plaît !  

 

Ryo arrêta sa découverte des vertus de sa partenaire et remonta vers ses yeux.  

 

- Oui, je sais très ce que je f… Kaori ! ! ! Lâcha Ryo, se rendant compte de ce qu’il était en train de faire.  

 

Il reposa instantanément la jeune femme, qu’il retenait avec son bassin, ses mains trop occupées autre part. Il s’éloigna le plus vite et le plus loin possible de sa partenaire. Son désir l’avait aveuglé au point qu’il ne se rende même pas compte qu’il était à deux doigts de faire l’amour à sa partenaire sur le mur de la salle de bain. Ces gestes avaient été guidés non pas par lui mais par son instinct et son cœur. Son cerveau et sa conscience n’avaient plus rien contrôlé. Il s’en voulait énormément d’avoir cédé à ce que lui demandait « coucou » depuis le début. Il fallait qu’il s’excuse mais c’était plus facile à dire qu’à faire surtout que Kaori avait toujours la même tenue et était encore plus excitante maintenant qu’il avait goûté à cette peau, cette poitrine, ce ventre, ces cuisses, ces fesses…  

 

« STOP ! C’est déjà assez compliqué alors arrête de penser à ça même si elle est très… NON ! ! ! on arrête et on se calme »  

 

- Kaori, je tiens à m’excuser pour… euh… mon attitude.  

 

Celle-ci avait déjà quitté la pièce. Elle ne tenait pas à écouter les supplications de son partenaire. Celles-ci la feraient sûrement souffrir, encore et toujours.  

Ayant fermé les yeux, Ryo ne s’en aperçut que lorsqu’il les rouvrit. Il était déçu mais aussi très soulagé. Il pouvait enfin reprendre, petit à petit, contrôle de son corps.  

 

Pour se calmer, celui-ci mit « coucou », et sa libido trop débordante, sous une douche digne du Pôle Nord.  

 

« Coucou » calmé, il se dirigea vers la cuisine. Il ne tarda pas à remarquer que sa partenaire s’était habillée. Désormais, elle portait un débardeur bleu-ciel avec un pantacourt vichy bleu. Elle était encore très belle dans cette tenue mais, là, au moins, il pourrait mieux se contrôler.  

Kaori vira au rouge pétant quand elle entendit son partenaire pénétrer dans la pièce. Des images de la scène dans la salle e bain lui était revenu mais autre chose la tracassait.  

 

- Ryo ? Je peux te poser une question ?  

- Bien sûr mon ange…  

 

SBOUMMM  

 

- T’EN AS BIEN PROFITER TOUT A L’HEURE ? T’AURAIS PAS PU ME DIRE QUE J’ETAIS DANS CE GENRE DE LINGERIES DEVANT TOI ? COUCOU A APPRECIE ? JE COMPRENDS MIEUX MAINTENANT POURQUOI TU M’AS SAUTE DESSUS…  

- Aïe ! ! ! Ma tête ! ! !  

- ÇA T’APPRENDRA.  

- Arrête de crier !  

- NON ! ! !  

- KAORI !  

 

Kaori se tut immédiatement. Le ton qu’avait employé Ryo était froid et sans équivoque. Il lui avait fait peur. C’était bien la première fois qu’il lui parlait de cette manière.  

 

- ÇA Y EST ? ? ? T’es calmée ? ? ?  

- Euh… oui…  

- Bon ! Quand t’es-tu rendu compte que tu étais en sous-vêtements ?  

- En sortant de la salle de bain…  

 

En effet, Kaori avait remarqué sa tenue, plus que légère, à sa sortie de la salle de bain. Elle l’avait surtout découverte quand elle s’était posée des questions sur le pourquoi du soudain « intérêt » que lui portait son partenaire. A ce moment-là, elle avait eu envie d’aller étriper cet obsédé de Ryo pour ne rien lui avoir dit. Mais, entendant la douche coulée, elle s’était résignée et avait rangée sa massue. Elle était partit dans sa chambre en courant où elle s’était habillée en hâte. Elle ne voulait pas revivre la scène qui avait eu lieu quelques minutes plus tôt entre elle et son partenaire. Même si elle était ravie du comportement qu’avait eu Ryo, n’ayant pas l’habitude de le voir dans tous ses états, elle avait été un peu effrayée.  

Sur ces pensées, elle s’était dirigée vers la cuisine où elle avait préparé le petit-déjeuner.  

Ryo la sortit de ses réflexions.  

 

- En tout cas, je viens d’en conclure quelque chose que je ne supposais pas chez toi chère partenaire !  

- De quoi ? ? ?  

- Tu es vraiment une coquine qui a hâte de goûter au plaisir de la chair.  

- HEIN ! ? !  

- C’est vrai ! On n’achète pas ce genre de lingeries si on veut la cacher. C’est fait pour être montré.  

 

Devant les insinuations de son partenaire, une massue fit son apparition dans les mains de Kaori.  

 

- Kaori, reposes-ça ! C’est vrai, ce sont des sous-vêtements très affriolants ! Repose ta massue, s’il te plaît ! Je pense aussi que tu les as achetés pour qu’un homme te saute dessus. Mais vu que je suis le seul que tu connaisses, tu t’es rabattu sur moi. J’ai tort……  

 

SBOUMMM  

 

Ryo ne put empêcher le coup de massue de partir en direction de sa tête. Il avoua lui-même que cette fois, il l’avait bien mérité.  

 

- Aïeeee  

- Ça te remettra les idées en place, espèce de pervers !  

- Tu vas voir ! Vais te remettre quelque chose en place aussi, marmonna-t-il.  

- Tu disais ? Fit Kaori menaçante.  

- Rien du tout.  

 

Sur ce, ils s’installèrent et prirent leur petit-déjeuner.  

 

Celui-ci terminé, Kaori se leva et se posta devant Ryo, les mains sur les hanches. Elle le regarda les yeux dans les yeux. Ryo déglutit difficilement.  

 

- Ryo ?  

- Hum ?  

- Je peux te poser une question ?  

- Non ! ! ! S’empressa-t-il de répondre.  

- Pourquoi ?  

- La dernière fois que je t’ai dit oui, je me suis retrouvé sous une massue à inspecter de près le parquet de la cuisine alors c’est non ! ! !  

- S’il te plaît, supplia Kaori en s’agenouillant.  

- Même à genoux, je refuse, dit-il en se levant de la table.  

 

« Moi, j’accepterais bien autre chose. Vu sa position, pourquoi ne pas en profiter ? » Pensa Ryo en mode « coucou ».  

 

Il se martela le crâne violemment. Comment pouvait-il penser à ça alors que ce n’était ni le genre, ni volontaire de la part de la jeune femme.  

Il acquiesça, cependant, la requête de celle-ci.  

 

- Vas-y ! Je t’écoute ! Dit-il en relevant sa partenaire.  

- Merci ! alors, j’aimerais savoir… si… tu es d’accord pour…  

- Accouches ! J’ai pas toute la journée !  

- Entraînes-moi !  

- C’EST HORS DE QUESTION ! ! !  

- S’il te plaîtttttttttttttt ! ! !  

- C’est non. Je ne t’ai pas entraîner pendant sept ans, c’est pas pour commencer aujourd’hui !  

- J’irais voir Mick alors ! Vu que tu ne veux pas que je m’entraîne avec toi ou avec Miki !  

- HORS DE QUESTION ! T’ES FOLLE ! TU NE SAIS PAS CE QUI T’ATTEND AVEC MICK ! JE LE CONNAIS TROP BIEN…  

- Que va-t-il m’arriver avec lui ?  

- Il te demandera un prix à payer en contrepartie de son entraînement ! et par n’importe quel prix en plus…  

- Je suis prête à payer le prix fort. J’ai assez d’économie !  

- Je ne te parle pas de ce genre de monnaie Kaori !  

- De quoi tu parles alors ? Quelle sera sa monnaie d’échange ?  

- Ton corps !  

- HEIN ! ! ! Hurla Kaori rouge comme une tomate.  

- Je connais Mick par cœur ! On est comme jumeau pour ce genre de détails. Cet obsédé voudra, à coup sûr, une nuit avec toi !  

- Comment peux-tu savoir ça ?  

- Il est amoureux de toi. Ce se voit comme le nez au milieu de la figure. Même s’il a Kazue, cela ne l’empêchera pas du tout de le faire avec toi, puisque tu as été son premier véritable amour.  

- Comment en es-tu sûr ?  

- Je ferais pareil à sa place.  

 

Kaori rougit instantanément devant cette semi-déclaration. Cette phrase était emplie de sous-entendus. Elle pensa alors que Ryo voulait coucher avec elle, en échange de quoi il l’entraînerait.  

 

- J’accepte ! ! ! S’il faut faire ce sacrifice pour être entraîner, je le ferais.  

- T’acceptes quoi ?  

- De coucher avec toi pour que tu m’entraînes ! ! !  

 

Ryo tomba à la renverse face à cette parole, sortie tout droit de la bouche de sa partenaire.  

 

- Hein ! ! ! Mais, je ne t’ai jamais proposé ça, moi ! ! !  

- C’est ce que tu viens de dire pourtant !  

- Je parlais des pensées de Mick. Je l’ai connais car les miennes et les siennes sont jumelles. Mais je refuse que tu te donnes à moi pour un entraînement. Sur ce point-ci, je ne ressemble pas du tout à mon ancien partenaire, crois-moi !  

- Tu acceptes quand même ?  

- J’ai pas le choix, dit Ryo dans un souffle.  

- Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii  

 

Kaori, tellement heureuse, lui sauta dans les bras. Ryo la reposa quelques minutes plus tard.  

 

- Allez, Miss ! On y va !  

- Déjà ?  

- Ben oui ! C’est qu’il y a du boulot !  

- ENFOIRE  

 

Ils se coururent après et arrivèrent finalement devant la salle par laquelle ils allaient commencer : La fameuse salle de muscu.  

 

 

 


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