Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prose

 

Auteur: flying-rabbit

Beta-reader(s): Lexine, Libellule

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 10 chapitres

Publiée: 29-12-04

Mise à jour: 07-11-06

 

Commentaires: 53 reviews

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General

 

Disclaimer: Les personnages de "City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une amnésie facheuse

 

Chapitre 4 :: chapitre 4

Publiée: 14-07-05 - Mise à jour: 14-07-05

Commentaires: hahaaaaaaaaaaa me voici de retour, apres moultes péripécie et harèlement de ma béta lexine, je sors un autre chapitre, si vous m'écriver tout plein de rewiew les autres seront un peu plus rapide ^^ bonne lecture

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

CHAPITRE 4 :  

 

Quelques instants plus tard – le temps de traverser la rue – Mick était chez le nettoyeur. Il ouvrit la porte de l’appartement et...  

–Ryo ! !  

 

Ce dernier était par terre, roulé en boule, et essayait de contenir la douleur.  

–Ryo ! Qu’est qu’il y a ?  

–Bon sang ! ! ! ! Fit-il difficilement, la respiration saccadée, c’est encore pire que...  

–Que quoi Ryo ?  

–…  

–Ryo, bon sang parle ! ! J’appelle le Doc.  

 

Il prit son téléphone portable.  

–Doc ? C’est Mick ! Ramenez-vous chez Ryo ! C’est urgent !  

 

Il raccrocha et se retourna. Son ami tremblait de tous ses membres. Que lui arrivait-il ? Il n’avait jamais vu de réaction aussi violente. Il se souvint soudain de sa propre douleur… à lui aussi ca lui était arrivé… comment était-ce possible ? Ryo n’aurait jamais fait ça de lui-même !  

–Ryo, pourquoi ? Souffla-t-il.  

 

Il ne put continuer le fil de ses pensées que le Doc entrait précipitamment avec son matériel, suivi d’une Kazue très professionnelle.  

–Mick, que s’est-il passé ? Cria-t-elle, inquiète.  

–Rien ! Je suis arrivé et il était déjà à terre…  

–Aucuns signes d’effractions ? Demanda le Doc en l’auscultant.  

–Nan ! ! Tout était normal ! ! Il m’a appelé pour que je vienne et, quand je suis arrivé, il était déjà dans cet état…  

–Mmmm, ça ressemble à…  

–Doc, le coupa-t-il, vous pensez qu’il a...Qu’il s’est…  

–Pour l’instant, difficile à dire ! C’est peu probable qu’il l’aie fait lui-même. Il n’est pas du genre à se laisser abattre de cette manière. Bon, on l’emmène à la clinique.  

–Comment ?  

–Kazue ?  

–…  

–Kazue ?  

 

Le Doc tourna la tête.  

–Mais où est-elle passée ?  

 

Une Kazue rouge et respirant bruyamment venait de remonter jusqu'à l’appartement avec le brancard.  

–C’est bon Doc, il faut se dépêcher…  

 

Les libellules dansaient autour des deux hommes. Tout en se grattant la tête le vieil homme dit :  

–Eh ben ! T’as été rapide ma belle ! J’ai même pas eu le temps de te formuler quoi que ce soit que t’étais déjà parti ! T’as apporté la solution saline ?  

–Bien sur ! Allez, il faut l’installer sur le brancard. Mick aide le Doc s’il te plaît.  

 

Les deux hommes eurent tôt fait d’installer Ryo, avec précaution, sur le brancard et de le descendre.  

Arrivé à la clinique, Ryo fut rapidement pris en charge pas les deux professionnels en médecine.  

Mick dut attendre dans la salle d’attente. Il put alors prévenir ses amis de la situation.  

Un peu plus tard, le groupe était pratiquement réuni. Il ne manquait plus qu’Umibozu et Saeko, partis, tous deux, à la pêche a l’information.  

 

Le groupe d’amis dut attendre plusieurs heures avant que Kazue ne vienne leur dire que Ryo avait été, enfin, stabilisé.  

–Alors, qu’est-ce qu’il a ?  

–Je crois qu’il vaudrait mieux attendre que le Doc ait fini. Il est en train de l’installer dans une des chambres. A propos, des nouvelles pour Kaori ? Je suis terriblement inquiète. Si Ryo se retrouve dans cet état car Kaori est parti. Comment va-t-il réagir en voyant les photos ?  

–...  

–Kazue, il les a déjà vues, répondit Miki.  

–Quoi ! ? ! Mais pourquoi vous ne m’avez rien dit ! ? ! je suis toujours la dernière au courant…  

–Hum ! Hum ! L’interrompit-on.  

–Ah, Doc ! Alors ? Demanda Reïka, impatiente.  

–Suivez-moi ! Allons dans la salle commune. Je vais tout vous expliquer en détails.  

 

tout en les conduisant à la pièce, le Doc continua :  

–Je suis assez inquiet sur son état de santé. il est stabilisé mais il peut nous refaire une crise à tout moment… surtout que je ne connais pas du tout la substance qu’il a ingurgitée…  

–Comment ça, la substance ?  

 

–Nous y voilà, installez-vous ?  

Le vieil homme passa une main sur son visage fatigué.  

–Bon alors, je ne vais pas y aller par 4 chemins. Ryo s’est drogué, ou il s’est fait droguer…  

–Drogué ? Mais bon sang, vous rendez-vous compte de ce que vous dites ?  

–Ryo ne ferait jamais ça, cria une voix tonitruante.  

–Il a raison, poursuivit une voix beaucoup plus douce, plus féminine.  

–Falcon, Saeko !  

 

–Je suis désolé mais je ne me l’explique pas. Il n’a aucune marque de piqûre, de violence. Rien qui montre que quelqu’un l’ait drogué de force. De plus, son état d’esprit depuis la disparition de Kaori est très négatif. Vous avez bien remarqué qu’il était au plus bas de sa forme. Même avec son masque, tout le monde le ressentait. Je ne vois que cette possibilité.  

 

–Vous disiez ne pas connaître la substance qu’il a pu prendre ?  

–Oui cela n’a rien de commun avec les drogues courantes ! ! J’ai fait une comparaison que je pensais ne pas avoir à faire, car même fou Ryo n’en aurait jamais pris.  

–La poussière d’ange, souffla Mick  

–Oui et non ! Ça en est. Et, en même temps, ça n’en est pas. C’est une drogue extrêmement puissante plus forte que la poussière d’ange… ça détruit l’organisme à un point incroyable. je pense qu’il ne savait pas ce qu’il prenait… je ne sais même pas s’il y a un antidote…  

–C’est une toute nouvelle drogue sur le marché Doc ! J’ai commencé une enquête dessus. Hélas, je ne sais pas encore grand-chose de tout ça. C’est une organisation nouvellement implanter au Japon mais qui vient d’Afrique. C’est la plus grosse organisation de drogue et d’autres méfaits en tout genre. Elle a déjà tout un réseau implanté aux Etats-Unis. Des hommes ont déjà été envoyés. Ils en sont tous revenus fous, car découvert et drogué. Avant de mourir, sous les feux de la police, ils ont fais beaucoup de victimes dont des agressions importantes. Ils ne craignent ni la douleur, ni la mort. Au départ, on pensait à la poussière d’ange mais, d’après les labos, ce n’est pas ca. Les chercheurs sont encore dessus.  

–Pour un début d’enquête, c’est pas mal, répondit Mick. Je vais essayer de me renseigner dans le milieu. Falcon ! Continue tes recherches sur Kaori. A propos, des nouvelles ?  

–Pas grand-chose. a part d’autres photos, elle est encore en ville  

–Quoi ? Et t’appelle ça pas grand-chose ? S’exclama Miki, Où l’a-t-on vu pour la dernière fois ? Elle secoua, avec violence l’homme imposant qu’était son mari. Hein ? Alors ?  

–Miki ! ! Saeko sépara les époux. Calmes-toi bon sang.  

 

Miki s’assit  

–Excuse-moi mon chéri  

 

Et ce qu’il ne fallait surtout pas dire, elle venait de le faire. Falcon, déjà perturbé par la violence dont avait fait preuve sa femme, se mit à rougir d’avantage que d’habitude et ne put, pendant de longues minutes, parler  

–Alors, s’impatienta Saeko  

–Je... heu...  

–Bon abrège  

–Bon, finit-il par se ressaisir, j’ai déjà entendu parler de ton organisation, comme tu n’as pas préciser le nom, je vais le dire : c’est une branche de l’union Toepe. En fait, pour vous éclairer d’avantage, le réseau de l’union a été récupéré par un autre homme après la mort de Kaibara, sur lequel je n’ai aucune information. Il n’avait jusqu'alors pas fais parler d’eux, maintenant ce n’est plus le cas… Bref, il a fait une liaison avec l’organisation Cherry et depuis, comme le disait Saeko, il mélange drogue, crime, attentats, trafic d’armes, de femmes, d’organes. , Etc. donc je préférerais continuer à chercher de ce coté la, pas que le sort de Kaori ne me préoccupe, loin de là, mais je pense récolter davantage d’information de ce coté-ci.  

-c’est entendu  

-au fait, Mick ! En même temps que tu seras sur les traces de Kaori, vérifie les indics de Ryo. J’ai comme l’impression qu’il y a une dépeuplade ! Et vérifie les rumeurs. Je te fais confiance de ce coté là. Saeko continue ton enquête, et met Kaori dans les personnes disparues. On prend un risque mais on n’a pas le choix. Pareil Reika, de ton coté, recherche dans ton propre réseau d’information mais ne néglige aucune prise Internet etc. compris ?  

-je ferai de mon mieux, mais sur Internet je ne te garantie rien, je fini d’analyser les indices récupérés dans l’appartement et je m’y mets  

-j’aimerais en faire plus pour Ryo et Kaori  

-tu fais déjà beaucoup Saeko, la coupa Kasue  

-mouiii, enfin bon je ferai tout pour vous venir en aide, donc au moindre pépin, je viendrai.  

 

-Saekoooo !!!! Hurla une voie bien familière  

-Ryoooooooo ???????!!!! Mais que fais-tu ici alors que tu devrais être dans ton lit ?  

-mais ma beauté je t’ai senti proche de moi alors je suis venu te rejoindre, cria-t-il, la bouche en cœur, en sautant sur la belle policière. Il faut que tu payes ta dette.  

 

Malgré qu’elle le sache malade la jeune femme n’eut aucun « remords » et il reçu le talon aiguille de la demoiselle dans le visage  

-j’avais oublié de vous dire, souffla le Doc dépité, cette drogue est très spéciale. Ça se passe par crise de plus en plus violente jusqu'à que celle-ci n’agisse plus ou qu’il meure sous la douleur, c’est rassurant.  

- tous les combien ?  

-je ne sais pas encore c’est pourquoi j’aimerai que tu restes toute la journée Ryo. Ryo ?  

 

Un énorme boum se fit entendre. Kazue venait d’assener, sur le malade, une massue spéciale « pervers des îles »  

-crétin !!!!! S’écria-t-elle, énervée, tu ne pourrai pas rester tranquille un moment ???!!!  

-Ryo !!!!!! Doc, Kazue, emmenez-le à son lit s’il vous plaît demanda Umibozu, je compte sur vous pour prendre soin de lui  

-ne t’inquiète pas, avec nous, il est entre de bonne main.  

-Bon maintenant que cet imbécile est parti, on peut reprendre. Miki, essaye de voir avec Eriko si elle n’est pas chez elle et demande-lui, sinon les noms et adresses des personnes susceptibles de pouvoir l’héberger où elle a pu se réfugié.  

-compte sur moi !  

-bon ben je crois que tout est dit, demain matin rendez-vous au café pour savoir si d’ici cette nuit vous trouvez des indices. Essayons de nous tenir au courant un maximum. On verra si on met Ryo dans le coup, ou pas, plus tard.  

 

 


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