Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Authors: tennad , TOKRA , 1grisou , bindy5

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 5 chapters

Published: 12-03-09

Last update: 06-04-09

 

Comments: 47 reviews

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HumourHumour

 

Summary: Quand Ryo et Mick organisent un week end pour tout le monde pas sûr que les autres membres de la bande l'apprécie autant qu'eux !

 

Disclaimer: Les personnages de "Sans chemise, sans pantalon et...... sans maillot" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Sans chemise, sans pantalon et...... sans maillot

 

Chapter 5 :: Rira bien qui rira le dernier (Tennad et Cristina)

Published: 06-04-09 - Last update: 06-04-09

Comments: Coucou!! J'ai rempilé pour un autre chapitre mais pas toute seule cette fois, d'après une idée originale de Cris, nous sommes heureuses de vous présenter le fruit d'une joyeuse collaboration! Espérons qu'il y en ai d'autres. Merci à tous ceux et celles qui nous soutiennent dans cette aventure! Bisous!!

 


Chapter: 1 2 3 4 5


 

Une fois les hommes installés tant bien que mal dans la voiture, Kaori prit la direction de la sortie de la ville. La circulation était fluide et en accélérant un peu, elle n’eut aucun mal à rattraper la jeep de Falcon. Le mercenaire ayant aussi le plan pour se rendre à destination, elle opta pour le suivre tranquillement. Avec Kazue, elles échangèrent leurs idées sur les différentes activités proposées sur le dépliant de l’hôtel.  

 

Elles pouvaient parler librement car à l’arrière leurs partenaires s’étaient assoupis suite à leur course inattendue. Ils ressemblaient à deux enfants bercés par le rythme de la voiture, sagement adossés l’un contre l’autre.  

 

Les deux nettoyeurs avaient d’un commun accord décidé de se reposer afin d’être au maximum de leurs capacités pour pouvoir profiter de ce week-end de folie qui les attendait.  

 

Au fur et à mesure du voyage, le paysage changeait : plus d’immeubles ou de maisons, même l’air semblait plus doux et l’odeur de la mer se faisait sentir.  

 

Les deux voitures prirent la sortie indiquant qu’ils approchaient de leur lieu de repos.  

 

Devant eux se dressait l’Eden Sauvage : un magnifique complexe hôtelier de haut standing qui se fondait dans le paysage, de devant on ne pouvait distinguer que la façade de l’établissement de loisirs et la forêt d’arbres qui la prolongeait.  

 

Kaori alla se garer auprès de la jeep sur le parking. Déjà ses amis s’étiraient et s’extasiaient sur la beauté des lieux. A peine le moteur éteint, Mick et Ryô se réveillèrent.  

 

- On est arrivé ? Lancèrent-ils d’une seule voix.  

 

- Oui, leur répondit Kazue.  

 

La bande se regroupa et commenca à décharger les valises :  

 

- Vous allez où tous les deux comme cela ? Demanda Falcon à Ryô et Mick qui déjà s’élançaient vers l’entrée, excités comme des puces.  

 

- On va chercher les réservations, répondit Ryô en reprenant un peu son sérieux.  

 

 

- Humpf, partez pas les mains vides.  

 

Joignant le geste à la parole, le mercenaire leur balança deux énormes valises dans les bras. Les nettoyeurs les réceptionèrent brusquement contre eux et rouspetèrent sur le manque de délicatesse de leur ami avant de s’éloigner vers l’accueil.  

 

Quand le reste du groupe les retrouva, les nettoyeurs étaient en grande discussion avec le réceptionniste de l’hôtel. Celui-ci semblait perdu face à la demande de ses nouveaux clients :  

 

- Je suis désolé Messieurs, mais il n’y a pas de réservations à vos noms dans cette catégorie. Etes-vous sûrs des dates ?  

 

- Puisqu’on vous dit que j’ai fait les réservations moi-même pour cinq chambres, ce week-end dans la catégorie spéciale, au nom de SAEBA !!!  

 

De toute évidence le nettoyeur perdait patience face à cet homme qui ne trouvait pas trace de leur réservation dans ses fichiers.  

 

- Un problème ? Demanda Kaori.  

 

- OUI ! Cet imbécile ne trouve pas mon nom dans son ordinateur, c’est bien la peine de réserver et de payer d’avance pour un accueil pareil ! Aboya Ryô.  

 

Chacune des personnes présentes observaient la scène avec la plus grande attention, personne ne se voyait faire demi-tour et rentrer à cause d’une erreur technique pour l’enregistrement des réservations, surtout Mick et Ryô qui ne pensaient pas un instant abandonner si près du but.  

 

Kaori prit son plus beau sourire et s’adressa au réceptionniste :  

 

- Vous pouvez réessayer s’il vous plaît, je suis sûre que nous sommes là quelque part dans ses données.  

 

- Très bien je vais revérifier.  

 

L’homme voulait faire de son mieux pour satisfaire sa charmante cliente et le regard compatissant qu’il lui lança n’échappa à aucunes des personnes présentes.  

Le réceptionniste énumérait les critères de la réservation en même temps qu’il cherchait dans l’ordinateur.  

 

- Oh, j’ai bien une réservation au nom de Saeba pour ce week-end mais pas pour le même registre. Veuillez m’excuser de ce malentendu, je vous donne vos clés immédiatement.  

 

- Vous voyez quand vous voulez. Je savais bien que je ne m’étais pas trompé. Annonça fièrement Ryô qui s’était rapproché de son jumeau blond.  

 

Ensemble ils guettèrent les mouvements de l’employé de l’hôtel qui tendait les différentes clés des chambres et décrivait les installations aux nouveaux clients.  

Une fois tout en ordre, il proposa de les accompagner à leur étage.  

 

- Attendez une minute, intervint Ryô. Il manque une petite chose, trois fois rien en fait.  

 

Ryô déglutit et trouva la force de continuer sous les yeux brillants de Mick, alors que les autres attendaient sans comprendre :  

 

- Heu, il nous manque le Pass d’accès. Vous avez la tête un peu ailleurs pour un réceptionniste.  

 

Ryô essayait de garder son sang-froid, car dés qu'ils auraient ce Saint Graal en leur possession alors plus rien ne les pourrait les arrêter Mick et lui. Ils seraient libres d’aller et venir comme bon leur semble et personne, pas même les autres ne pourraient les empêcher d'apprecier les bienfaits de Mère Nature sur les magnifiques créatures se cachant derrière ses portes.  

 

Le réceptionniste retourna à son ordinateur et annonça aux deux compères la fin de leur rêve :  

 

- Je suis navré Monsieur mais vous n’avez pas accès à cette partie du complexe.  

 

- Qu… quoi ? Vous devez encore vous trompez, c’est pas possible !  

 

Ryô et Mick se jetèrent sur l’appareil afin de vérifier ces propos insensés, sans prêter attention aux sourires qu’affichaient leurs amis.  

 

- J’ai bien eu une réservation pour le registre spéciale mais votre femme a appelé pour modifier ce point.  

 

Le réceptionniste avait l’habitude, généralement les hommes réservaient pour la partie naturiste du complexe mais aussi souvent leurs femmes changeaient la réservation pour une normale. C’était d’ailleurs pour ça que le complexe était séparé en deux parties bien distinctes et nécessitait un pass spécial, tout en proposant les mêmes services et activités sans que les différents clients n’aient à se mélanger pour éviter les débordements.  

 

Ryô et Mick n’en croyaient pas leurs oreilles, comment cela était-il possible ? Ils avaient pris grand soin de ne rien divulguer à personne, de tout faire dans le plus grand secret alors qui aurait eu vent de leur projet qui aurait osé changer leur plan ?  

D’un coup Ryô percuta : « votre femme », une seule personne était capable d’une telle sournoiserie, cachée sous un masque de naïveté et de gentillesse se trouvait en fait une manipulatrice née .  

 

En se tournant vers la coupable de son malheur, Ryô sentit une colère noire monter en lui :  

 

- Pourquoi ? Pourquoi tu me fais ça, te faire passer pour ma femme et ruiner notre week-end à tous ?  

 

Tous les regards se portèrent vers la frêle jeune femme dont le sourire s’élargissait.  

 

- La prochaine fois tu t’assureras que le compte est approvisionné. J’ai reçu un appel de notre ami le Banquier qui s’inquiétait d’une telle dépense, alors gentiment il m’a donnée les informations que Mick et toi avez omit de nous préciser. Crois-moi ma première réaction était plus radicale mais après en avoir parlé avec les intéressés, nous avons décidé de profiter nous aussi du paysage mais pas dans les circonstances prévues et en un coup de fil s’était régler !  

 

Au fur et à mesure de sa tirade, Kaori jubilait carelle se savait soutenue par ses amis face aux regards inquisiteurs des nettoyeurs. Ces derniers fulminaient d’une telle trahison, eux qui avaient mis tout leur cœur à la tâche, s’imaginant déjà au milieu des déesses au corps de rêve réclamant leur savoir-faire et leur doigté légendaires. Non, ils ne pouvaient pas accepter ce coup du destin.  

D’un seul homme, ils se ruèrent vers l’accueil et implorèrent le réceptionniste de les changer de registre quitte à payer plus.  

 

- Je suis navré Messieurs, mais c’est impossible, tout est complet pour cette partie de l’hôtel mais ne vous inquiétez pas vous aurez droit au même confort. Nous mettons un point d’honneur à satisfaire tous nos clients.  

 

- NOOOOOOOON !!!!  

 

Devant ce fait, les deux hommes durent se rendre à l’évidence : leurs rêves et espoirs venaient d’être réduis à néant en un claquement de doigts.  

Ils se regardèrent les larmes aux yeux, leurs visages se crispèrent et prirent un teint d’une pâleur inquiétante, ils en eurent le vertige, le hall de l’hôtel tournait autour d’eux avec en fond sonore les rires gras et moqueurs de leurs congénères.  

 

En effet ces derniers s’étaient faits moins discrets, appréciant à sa juste valeur ce retour des choses à leur avantage et savourant ce spectacle ridicule de deux enfants à qui l’on refusait un bonbon.  

 

« Clic », le tintement d’un appareil photo venaient de ramener les pleurnicheurs à la réalité, Miki voulait immortaliser ce moment pour son album souvenir.  

 

Sans plus de cérémonie, chacun reprit ses affaires et intima à l’employé de leur monter le chemin menant à leurs chambres.  

 

S’ils croyaient qu’ils allaient en rester là, c’était mal les connaître. Ryô et Mick se concertaient déjà sur la marche à suivre pour atteindre leur paradis sur terre. Mais là encore Kaori les devança :  

 

- N’y pensez même pas, de un vous ne pouvez pas accéder sans le Pass et de deux, au cas où vous ne le sauriez pas, cet établissement est pourvu d’un service de confort. Devant les airs d’incompréhension qu’ils affichaient, elle détailla : c’est un service de sécurité de haute qualité pour préserver l’intimité des personnes et repousser les opportuns pervers et détraqués comme vous !  

 

Et Falcon ajouta :  

 

- Vous ne pourrez pas y mettre les pieds, ni le reste d’ailleurs.  

 

A cette annonce, à nouveau Mick et Ryô perdirent pieds et sentirent leurs corps se liquéfier sur place pour finir en une immense flaque visqueuse sur le sol.  

 

« Clic », une nouvelle photo de Miki les acheva alors que Kaori portait le coup de grâce en s’abaissant à leur niveau :  

 

- La vengeance est un plat qui se mange froid, Ryô.  

 

Sans tenir compte des états d’âmes des deux pleurnicheurs, tous se rendirent dans leurs chambres respectives après s’être mis d’accord afin de se changer pour aller au plus vite profiter de la plage.  

 

Ils se retrouvèrent une demie heure plus tard, en tenue de plage : les femmes rivalisaient de couleurs avec des paréos plus ou moins longs et coordonnés à leurs maillots, rose pour Kazue, vert pour Miki, jaune et bleu pour Reika et Saeko, et le rouge tant redouté par Ryô pour Kaori. Ryô et Mick se jetèrent sur leurs proies, le visage déformé par l’excitation et la bave au vent mais ils furent stoppés dans leur élan par une poigne de fer qui les agrippa chacun par leur caleçon de bain les laissant a moitié les fesses à l’air.  

 

Falcon décida qu’il vallait mieux les tenir le temps d’arriver à la plage.  

 

Tout le long du parcours se hissait une haute palissade qui séparait les chemins menant aux plages : une plage accessible à tous et une plage privé pour les naturistes à peu près à un kilomètre de distance.  

 

Ils arrivèrent à la plage et trouvèrent un emplacement un peu isolé. Mick et Ryô continuaient de pleurer sur leur sort en se plaignant de toutes les femmes présentes, certes belles mais tellement habillées avec des maillots de bains de diverses formes et couleurs.  

 

Alors que Kazue, Miki et Kaori installaient leurs serviettes, les sœurs Nogami décidèrent elles d’aller visiter les environs et en particulier les hommes qu’elles avaient remarqués à leur passage et qui ne semblaient pas indifférents á leur charme car elles ne voulaient pas à subir les jérémiades des deux pervers en mal d’amour.  

 

Falcon lâcha ses prises qui s’effondrèrent lamentablement le nez dans le sable pour rejoindre sa moitié.  

Les trois jeunes femmes installées discutaient et riaient, Falcon les écoutait sans bouger gardant à l’œil les deux compères qui, il en était sûr, manigançaient quelque chose avec leur messe basse.  

 

- On va jamais pouvoir leur échapper, avec tête de poulpe qui nous surveille, rageait Ryô.  

 

- Bah, tu sais c’est pas si mal et puis on a une belle vue ici aussi, bavait Mick en lorgnant le décolleté de Kaori.  

 

- Hey mate ta femme au lieu de… ça.  

 

- Ha tu vois même toi t’en es perturbé, ricana le blondinet.  

 

- Oh ça va, je préfère de loin regarder Miki et Kazue. Mais là n’est pas le problème, il faut qu’on trouve un moyen d’être tranquille, tu oublies qu’on nous attend.  

 

- J’ai trouvé ! Triompha Mick.  

 

Il fit part de son idée à son acolyte et de suite ils mirent leur plan à exécution : ils allaient être tellement exécrables avec les filles qu’elles s’empresseraient de les éjecter à coups de massues et avec un peu de chance et la puissance du coup ils pourraient direct atterrir sur la plage privée, certes ce serait douloureux mais ils se feraient chouchouter de l’autre côté par des femmes plus douces et plus enclines à leurs charmes, le sacrifice en valait la chandelle.  

 

Alors ils y allaient de bon cœur avec « le soleil est trop chaud », « on est mal placé », « le sable gratte », « vous êtes pas sympas les filles, après tout le mal qu’on s’est donné », « on s’amuse pas », « on s’ennuie »…  

 

Et très vite cela agaça les jeunes femmes qui à plusieurs reprises jouèrent de la massue mais pas avec le résultat escompté : au lieu de faire un vol plané en direction de la plage aux mille et unes rondeurs, c’est comme ça qu’ils avaient baptisé leur objectif, Ryô et Mick se retrouvaient presqu’au centre de la terre à être encastré ainsi dans le sable.  

 

Malgre tout rien ne pouvait les arrêter car ils persistaient désespérément à vouloir gâcher ce moment.  

 

Kaori n’en pouvait plus, elle saturait.  

 

- C’est bon, ça suffit maintenant vos enfantillages ! J’en ai maaaaaaarre ! On est venu ici pour se détendre, ensemble et vous n’êtes pas foutu d’en profiter ! Tout ce qui vous intéresse c’est ce qu’il y a de l’autre côté de cette palissade alors arrêter vos simagrées car vous n’irez pas là-bas! Et tenez-vous à carreau sinon ça va chauffer, est-ce que je me suis bien faite comprendre ?!  

 

Oui, Ryô et Mick avaient bien compris où Kaori voulait en venir, il suffisait d’appuyer sur le bon bouton pour qu’elle explose et bingo pour eux qui auraient droit à un vol direct pour le paradis.  

 

Ryô savourait sa future victoire et se dressa fièrement devant Kaori :  

 

- Je te ferais remarquer que c’est de TA faute si on en est là ! Madame SA-E-BA ! C’est toi qui nous a gâchés notre week-end et qui nous empêches de profiter du paysage et de tout ce qu’il a à nous offrir !  

 

Mick s’était rapproché pour soutenir son partenaire et subir les foudres de la douce Kaori face à l’allusion de Ryô alors que Kazue, Miki et Falcon observaient cette scène qui avait un goût de déjà vu.  

 

- Très bien ! C’est ça que vous voulez ? Voir « le paysage » ?  

 

Les deux hommes acquiescèrent et se préparèrent physiquement à ce qui allait suivre, ils défièrent la jeune femme du regard.  

 

Kaori respira un grand coup, détendit ses bras derrière son dos et sans lâcher les hommes des yeux, ôta le haut de son maillot.  

 

A cet instant, le calme revint parmi le groupe où seul un bruit sourd se fit entendre, Falcon venait de s’effondrer à terre telle une masse laissant s’évacuer de la fumée par ses oreilles et un nuage de sable autour de lui ; Miki et Kazue restèrent surprises face à l’audace de leur amie et Ryô et Mick restaient interdits, la bouche ouverte et la mâchoire prête à s’en décrocher devant cette vision enchanteresse.  

 

Mick n’arrivait plus à détacher ses yeux de ce que lui offrait Kaori et son corps réagit au quart de tour, il fut pris de tremblements incontrôlables et son cœur n’irriguait plus correctement, un geyser de sang jaillit de son nez le propulsant en arrière où il se laissa tomber.  

 

Ryô n était pas en meilleur état, il vit son partenaire tombé au ralenti mais très vite il reporta son regard sur Kaori ou plutôt sur son buste.  

 

Il repensa au moment où il l'avait surprise essayant son maillot de bain mais là c'était différent car il voyait ses formes de beaucoup plus près et non de manière détournée : il avait devant lui deux merveilleuses collines fermes et pleines, parfaitement dessinées avec un grain de peau claire et délicat. Sa partenaire cachait bien son jeu et ses formes, il était comme hypnotisé par elle, il était au bord de l’apoplexie. Elle osait se monter ainsi à sa vue, à la vue de tous. Il était perdu.  

 

- Maintenant que votre curiosité est satisfaite, on va pouvoir se détendre alors moi je vais me baigner.  

 

Kaori avait tenté de parler d’une voix qui se voulait assurée, sans un regard pour ses compagnons de peur d’y lire de la peine ou des reproches et tenant toujours son haut de maillot dans la main elle se dirigea aussi dignement que possible vers la mer où elle voulait se cacher. 

 


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