Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: TOKRA

Beta-reader(s): Nodino

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 4 capitoli

Pubblicato: 25-12-10

Ultimo aggiornamento: 08-04-11

 

Commenti: 20 reviews

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Romance

 

Riassunto: Un noel chez City Hunter ( suite de lovely valentine)

 

Disclaimer: Les personnages de "Lovely Christmas" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Lovely Christmas

 

Capitolo 2 :: A la recherche des garçons...

Pubblicato: 14-01-11 - Ultimo aggiornamento: 28-01-11

Commenti: Coucou !!! Pas de far ouest cette semaine... Béta Yael me corrigeant une autre fic... Merci à city pour ses corrections ! Merci pour vos reviews et bonne lecture à tous !

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

Ryo et Kaori se rendirent immédiatement dans la cour, mais il n’y avait aucune trace des deux garçons... Ils se dirigèrent alors vers les dépendances, sans plus de succès. Ils n'étaient nulle part... Kaori repensa alors à la scène avec Eriko, et, se remémorant la détermination qu'elle avait lue dans leurs regards, elle eut la certitude qu'ils avaient fugué. Elle se précipita en courant jusqu'à l'entrée de l'orphelinat et regarda de tous côtés, mais il faisait trop sombre pour voir au loin. Elle entendit alors un vrombissement derrière elle et reconnut immédiatement le bruit du moteur de la mini.  

 

Arrivé à sa hauteur, Ryo ouvrit la portière et lui cria :  

 

- Allez monte ! Ils ne sont sûrement pas loin !  

 

Kaori s’empressa de monter dans le véhicule, et c’est sur les chapeaux de roues qu’ils s’éloignèrent de la bâtisse.  

 

Ils n’eurent pas à aller bien loin, car à peine avaient-ils roulé 200 mètres qu'ils aperçurent au loin un groupe formé de trois personnes, dont deux étaient visiblement des enfants. Ryo reconnut tout de suite les deux garçons et il freina brusquement.  

 

Le véhicule à peine stoppé, Kaori se précipita en direction de Yuki et Arima et les prit dans ses bras, soulagée. Ces derniers, surpris de la réaction de la jeune femme, restèrent sans bouger.  

 

- Mais pourquoi êtes-vous partis comme ça ? leur demanda Kaori, vous savez que vous avez fait de la peine à Eriko ?  

 

Mais, alors qu'elle finissait sa phrase, les jeunes garçons la repoussèrent brusquement si fort qu’elle se retrouva sur les fesses.  

 

- Menteuse ! s’emporta Arima. Elle est bien contente d’être débarrassée de nous ! Et puis…  

 

Mais il ne put terminer sa phrase, car Ryo l’avait empoigné, ainsi que Yuki, et les avait tirés en arrière.  

 

- Bon, il faut qu’on parle tous les trois. D’hommes à hommes ! Kaori… Je te laisse ramener la voiture…  

 

Avant que Kaori n’ait pu dire quoi que ce soit, Ryo s’était éloigné d’elle et avait pris la direction de l’orphelinat, entrainant les garçons avec lui. Ils se débattaient, espérant prendre la poudre d’escampette mais, face à Ryo, ils ne faisaient pas le poids. Finalement, comprenant qu’ils ne parviendraient à rien, ils se résignèrent et avancèrent alors docilement.  

 

Kaori se releva et épousseta ses vêtements. Ils n'y avaient pas été de main morte, se dit-elle, cela allait être difficile de leur faire comprendre qu'ils s'étaient trompés sur le compte d'Eriko.  

 

- Ma petite dame… vot’ mari a l’air d’être un très bon père… J’espère qu’il va bien disputer vos p’tits gars… Une bonne correction ! Rien de tel pour leur remettre les idées en place ! Parce que si je les avais pas trouvés… Dieu seul sait où ils auraient bien pu aller… Enfin, la prochaine fois, tachez de mieux les surveiller… Par les temps qui courent, on sait jamais sur qui on peut tomber…  

 

Kaori se retint d'assommer l'homme qui venait de s'adresser à elle avec la plus grande de toutes ses massues. Elle était tellement heureuse d’avoir retrouvé les garçons qu'elle n’avait pas prêté attention à la personne qui se trouvait avec eux. Mais, maintenant qu’elle avait retrouvé ses esprits, elle regarda attentivement l’homme qui lui faisait face.  

 

Grand, âgé, au regard avenant, il avait l'air d'être un sans-abri. Kaori se dit que c’était une chance que les garçons soient tombés sur un homme tel que lui car, effectivement, ils auraient pu tomber sur des personnes mal intentionnées. Mais la façon dont il se mêlait de vouloir les punir l’agaçait au plus au point. Pourtant, elle prit sur elle, car elle était bien consciente que c'était lui qui les avait empêchés de s'enfoncer plus avant dans la ville. Elle lui répondit donc avec calme :  

 

- Merci de votre aide monsieur…  

 

Elle le regarda ensuite pour lui montrer sa détermination, avant de dire :  

 

- Mais sachez que mon mari et moi n’avons jamais levé la main sur un enfant, et que ce n’est pas demain que ça arrivera !  

 

Et pour bien lui faire comprendre qu’elle ne plaisantait pas, elle s’approcha de lui avant de poursuivre :  

 

- Et si une seule personne s’avisait de frapper un enfant devant moi, je me ferais une joie de lui filer une correction ! Personne n’a le droit de lever la main sur un enfant ! Personne !  

 

Sans remarquer le sourire du vieil homme, Kaori lui tourna le dos et grimpa dans la Mini. Encore énervée, elle claqua fortement la porte de la voiture et mit le contact. Alors qu'elle appuyait sur l'accélérateur, elle eut la drôle d'impression d'entendre, au milieu des rugissements du moteur, comme un bruit métallique, très léger et aérien, un peu comme une sorte de grelot... Inquiète quant à la santé du moteur, elle enclencha la marche arrière au lieu de la marche avant et recula un peu brusquement... Regardant dans le rétroviseur, elle aperçut les yeux bleus du vieillard qui lui souriaient, alors qu'elle avait manqué de peu de le renverser. Rouge de confusion, elle s'excusa platement auprès de lui et remit la marche avant pour repartir. Elle reprit le chemin de l’orphelinat, en conduisant bien plus doucement cette fois, et croisa sur le chemin les trois personnes qu’elle salua d'un petit signe de la main.  

 

Arrivée devant le bâtiment, elle se gara précautionneusement dans la cour : Ryo ne lui pardonnerait pas si elle avait le malheur d’abimer son véhicule. Une fois qu’elle eut refermé délicatement la portière, elle se dirigea vers le perron qui menait à la salle, afin de rassurer son amie. Elle allait pouvoir lui dire qu'ils étaient en chemin avec Ryo... Ryo qui se comportait presque comme un père pour eux... « Vot'mari a l'air d'être un très bon père ». Le pied sur la première marche, elle marqua une pause lorsque cette phrase, prononcée par le vieillard, lui traversa l'esprit. Elle posa une main sur son ventre. Elle savait qu’elle ne pourrait plus reporter encore bien longtemps l’annonce de la nouvelle… Elle appréhendait sa réaction, car ils n’avaient jamais abordé ce sujet… Allait-il accepter ce bébé dans son univers si sombre ou allait-il lui expliquer que ce n'était pas raisonnable ? Elle frissonna à la pensée de la discussion qu'ils auraient bientôt puis, réalisant que ce n’était pas le plus urgent pour le moment, elle pressa le pas pour retourner auprès d'Eriko et la rassurer.  

 

 

 

Pendant ce temps, les enfants et Ryo avaient presque atteint la grille de l’orphelinat. Ce dernier, pensant que les petits ne chercheraient plus à prendre le large, avait doucement relâché sa poigne, et effectivement, les garçons le suivaient docilement. Alors qu'ils avançaient sur le bord de la route, un véhicule passa à proximité puis, soudain, klaxonna. Ryo se retourna et vit que le conducteur, arrêté non loin de lui, était une ravissante demoiselle.  

 

La jeune femme ouvrit la fenêtre et le héla :  

 

- Salut beau brun… ça te dirait de prendre un verre avec moi ?  

 

- Non merci ça ira !  

 

- Ben tu ne vas quand même pas passer le réveillon de Noël tout seul quand même ! Ça ne se fait pas !  

 

- Mais je ne suis pas tout seul ! Pas vrai les garçons ?  

 

Ryo se retourna et constata alors la disparition des enfants. Il jura, avant de se lancer à leur poursuite, sans plus prêter attention à la jeune femme qui, vexée, s’éloigna dans un rugissement de moteur.  

 

Heureusement, les garçons n'étaient pas très loin, mais quand Ryo les retrouva, il préféra rester en retrait, de peur de les faire fuir de nouveau. Caché dans l'ombre, il les suivit donc en se demandant comment leur faire comprendre que leur place était auprès d'Eriko et de Shimei. Pendant ce temps, Arima et Yuki avançaient dans la ville, s’amusant à renverser quelques poubelles et à faire peur aux chats. Soudain, Ryo aperçut dans une petite ruelle un homme qui avait l'air de se faire agresser par un groupe d’individus. Même de loin, il le reconnut immédiatement. A croire qu’il allait passer sa vie à le croiser celui-là !! Le temps avait passé et pourtant l’individu faisait toujours preuve d’aussi peu de courage.  

 

- Puisque que je vous dis que je n’ai pas d’argent sur moi !!! se lamentait Yûgo, ce qui faisait rire ses agresseurs.  

 

Ryo cherchait une manière discrète de le sortir de ce guêpier quand Arima et Yuki, qui avaient aussi aperçu la scène, se précipitèrent en direction du groupe.  

 

- Lâchez-le ! cria Yuki.  

 

- Pffff voyez vous ça ! Allez ouste les gamins ! C’est pas de votre âge tout ça ! Rentrez chez vous retrouver vos parents et laissez les grands s’amuser entre eux !  

 

- Ben vu l’état de son pantalon, Yûgo a pas l’air de s’amuser ! répondit Arima en lorgnant en direction du pantalon souillé de l'ancien bénévole.  

 

- Hummm mais vous vous connaissez ! C’est bien plus amusant tout ça… Peut-être que si on touche aux mômes tu nous donneras tout ton pognon, mon gars !  

 

Ryo qui, jusqu’à présent, était resté en retrait, décida d’intervenir. Il prit une canette abandonnée sur le sol et la lança sur la tête du leader.  

 

- Qui a osé faire ça ???? grogna l’homme en portant la main à son crâne.  

 

Pour toute réponse, Ryo, toujours en retrait, continua d'envoyer tous les projectiles qu’il trouvait à portée de main, bientôt aidé par les deux garnements qui s'avérèrent être d'excellents lanceurs. Les délinquants ne demandèrent pas leur reste et partirent en courant, abandonnant leur victime qui se laissa glisser au sol en tremblant comme une feuille.  

 

 

Pourtant, quand ses jeunes sauveurs s’approchèrent de lui, il se figea et reprit rapidement ses esprits en réalisant qu’il s’agissait de deux enfants.  

 

- ça va monsieur ? demanda sérieusement Yuki.  

 

- Pfff, pourquoi ça irait pas ? maugréa-t-il, j’aurais très bien pu m’en sortir sans vous, espèce de garnements !  

 

- Ben alors Yuginou… c’est pas gentil de mentir comme ça à des enfants ! dit alors une voix dans l’ombre.  

 

Quittant la zone de pénombre, Ryo apparut dans la lumière de la ruelle. Le regard de Yugo se remplit alors d’effroi en reconnaissant les personnes qui lui faisaient face. Mais pourquoi n’était-il pas resté tranquillement chez lui ce soir, au lieu de chercher une nouvelle conquête dans les rues bondées ? Il avait été sauvagement agressé, s'était fait sur lui tellement il avait eu peur et voilà qu'il avait maintenant devant lui le pire de ses cauchemars ! Depuis qu'il l'avait rencontré, il ne lui arrivait que des ennuis ! La dernière fois qu'il avait croisé son chemin, il s'était fait coincer par un travesti nommé Erika et il lui avait fallu des semaines pour s'en dépêtrer. Alors, hors de question qu'il reste dans ce quartier si ce Ryo Saeba était là !!  

 

Sans même prendre le temps de remercier ses sauveurs, il s’enfuit donc en courant à travers la ville, espérant rejoindre rapidement son appartement afin de s’y calfeutrer.  

 

Délaissant le froussard qui prenait la poudre d’escampette, Ryo regarda un instant les garçons, hésitant entre les gronder pour leurs bêtises ou les féliciter pour leur courage.  

 

- Bon, je crois qu’il faut qu’on parle nous trois…  

 

- On n’a pas envie de parler… bougonna Arima. Ça n’y changera rien ! Eriko ne veut plus de nous ! Il n’y a rien à ajouter ! Et si elle ne veut plus de nous, eh ben nous, on s’en fiche. Après tout, on n’a plus besoin de parents ! Tu as bien vu comment on s’est débrouillés tous les deux ! Voilà, on n'a qu’à devenir des héros ! C’est chouette ça, comme vie !  

 

 

Ryo posa ses mains sur les épaules des enfants et leur dit :  

 

- Oui, vous vous êtes débrouillés comme des chefs, c’est vrai. Et vouloir être un héros c'est bien, mais les plus grands des héros sont ceux qui interviennent au quotidien, pour soutenir ceux qu'ils aiment… Et si, comme je le crois, vous aimez vraiment Eriko, vous pourriez la soutenir, en la laissant vous montrer combien elle vous aime elle aussi et l’aider en veillant aussi sur ce bébé. Vous seriez ainsi des héros, jour après jour….  

 

 

- Ah ouais ! Pas bête ça ! concéda Arima. Mais bon, comme elle a changé d’avis pour l’adoption, la question ne se pose même pas ! constata-t-il ensuite en baissant piteusement la tête.  

 

- Vous l’avez entendue dire ça ? Parce que moi non ! Alors… rentrons, et vous pourrez lui demander si elle a réellement changé d’avis, ce dont personnellement je doute…  

 

- Et si jamais j’avais raison hein ??? s’inquiéta Yuki, dont la lèvre tremblotante trahissait l’inquiétude.  

 

- Bien, dans ce cas faisons un pacte !  

 

Les enfants écoutèrent religieusement ce que Ryo avait à leur proposer et, finalement, scellèrent leur pacte d'une solide poignée de main. N’ayant plus aucune raison de rester dans cette ruelle sordide, ils retournèrent ensuite tranquillement à l’orphelinat.  

 

 

 

Arrivés dans la cour, les enfants marquèrent un arrêt. Ryo comprit très bien leurs réticences et leur dit :  

 

- Vous êtes des héros ! Alors… Allez-y foncez ! Vous n’avez rien à perdre dans cette histoire !  

 

- Tu tiendras ta promesse si Eriko ne veut plus de nous ?  

 

- Je tiens toujours mes promesses ! Alors maintenant vous allez me faire le plaisir d’aller voir Eriko et de vous excuser pour les affreuses choses que vous lui avez dites !  

 

Les deux garçons se regardèrent sans dire un mot, puis se dirigèrent en courant vers le bâtiment principal de l’orphelinat, sous le regard bienveillant de Ryo.  

 

- Il avait vraiment raison, ce vieux monsieur... Tu sais que tu ferais un bon père ? dit une voix que le nettoyeur identifia aussitôt.  

 

Il n’était pas vraiment étonné qu’elle ait, une fois de plus, réussi à lui cacher sa présence. Elle était la seule à réussir cet exploit !  

 

- Et toi une très bonne mère Kaori ! répondit-il en se tournant dans sa direction.  

 

- Tu le penses vraiment ? demanda-t-elle presque timidement.  

 

Ryo s’approcha de sa femme et la prit dans ses bras avant de lui répondre :  

 

- Comment peux-tu en douter ? Tu as un don avec les enfants... et pas uniquement avec eux d'ailleurs !  

 

Pendant qu'il parlait, les mains de Ryo effleuraient le corps de Kaori, s'attardant avec délicatesse sur ses épaules, son dos, son ventre. Kaori eut alors comme un léger mouvement de recul, mais Ryo ne sembla pas s'en apercevoir et il poursuivit :  

 

- Tu es la bonté même… Et j’ai... une chance incroyable de t’avoir dans ma vie… Sans toi... je crois qu'aujourd'hui encore... je ne croirais en rien...  

 

Kaori regarda Ryo, sentant dans son regard qu’il cherchait ses mots. Sachant très bien combien il lui était difficile de se livrer, elle lui lança un regard à la fois tendre et encourageant, et il reprit :  

 

- Le monde me semble moins sombre à tes cotés… Et je sais que pour moi tu serais prête... à tous les sacrifices…  

 

La lueur dans le regard de son partenaire l’interloqua. C’était comme s'il tentait de lui dire quelque chose, mais elle ne voyait vraiment pas de quoi il pouvait s'agir. Ryo poussa un soupir, cela lui demandait un gros effort, car, malgré le temps qui passait, il peinait toujours autant à dire les choses clairement. Mais, aujourd'hui, il voulait vraiment essayer de faire passer son message, alors il continua :  

 

- Mais que tu aies décidé de rester à mes côtés est le seul sacrifice que j’accepterai de toi… Est-ce que tu comprends ?  

 

Kaori effleura doucement la joue de son mari et lui répondit :  

 

- Rester à tes côtés n’a jamais été pour moi un sacrifice Ryo…  

 

Ryo ne put résister au regard empli d’amour de sa moitié et, pour lui montrer à quel point il était heureux de l’avoir à ses cotés, il l’embrassa tendrement. Avait-elle compris ce qu'il avait voulu lui dire ? Rien n'était moins sûr, mais il savait qu'ils seraient amenés à en reparler plus tard.  

 

C'est enlacés qu'ils entrèrent dans le bâtiment principal. La scène qu’ils virent en arrivant dans la pièce leur réchauffa le cœur. Les deux garçons étaient autour d’Eriko, d'Ayumi et de Shimei, et leurs regards rayonnants ne laissaient aucun doute sur le fait qu’ils se soient réconciliés.  

 

Ryo, qui se tenait derrière Kaori, la serra contre lui. Elle frissonna d'émotion en sentant la chaleur des mains qui étaient doucement venues se poser sur son ventre et la force qui émanait du torse contre son dos.  

 

- Tout est bien qui finit bien ! lui murmura-t-il à l’oreille.  

 

- Oui, ils forment une magnifique famille…  

 

- Notre famille aussi est magnifique Sugar… répondit Ryo en l’embrassant délicatement dans le cou.  

 

Remarquant leur présence, les garçons se précipitèrent vers eux et s’exclamèrent :  

 

-Ryo ! Viens avec nous ! On a une super idée !  

 

Le nettoyeur regarda Kaori. Il est vrai qu’il adorait être avec les enfants mais il n’avait pas vraiment envie de la laisser ce soir…  

 

Mais la jeune femme le regarda tendrement et lui dit :  

 

- Allez va ! Je sais que tu en meurs d’envie… Je vais en profiter pour discuter un peu avec Eriko.  

 

Kaori regarda son homme s’éloigner avec les deux garçons, une lueur de tendresse dans son regard, puis elle alla rejoindre son amie, non sans penser au fait qu’elle n’avait aucun doute sur le fait que Ryo serait un très bon père…  

 

 

 

 

 

 

 


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