Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: Naomy

Beta-reader(s): CHANLYR

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 5 capitoli

Pubblicato: 08-02-05

Ultimo aggiornamento: 25-04-07

 

Commenti: 18 reviews

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ActionDrame

 

Riassunto: Des tueurs aux manières les plus étranges sévissent dans le milieu. City Hunter arrivera-t-il à rester unis malgrès l'arrivée de ce nouveau groupe?

 

Disclaimer: Les personnages tirés de City Hunter présents dans "City Hunter: forever?" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.Les autres sont à moi.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: City Hunter : forever?

 

Capitolo 3 :: Premier Indice

Pubblicato: 21-02-05 - Ultimo aggiornamento: 21-02-05

Commenti: Bon ça y est j'iy arrive enfin, mon ordi a récidivé un certain nombre de fois alors j'arrivais pas à le poster ce chapitre!!! Le suspens monte... mais qui est ce tueur? Je pense répondre à quelques questions dans ce chapitre. Y a personne qui mi met des revews...T_T(merci aux rares qui le font), C'est important pour un auteur de savoir ce que les autres en pensent ! Bon bonne lecture et j'espère que ça vous plaira.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5


 

Les deux battants de la porte s’écartèrent doucement, laissant entrer un nouvel invité, ou plutôt une nouvelle invitée. Elle avait élégamment relevé ses longs cheveux noirs en un chignon retenu par deux baguettes, une mèche, plus rebelle que les autres, s’en était échappé et pendait librement le long de son visage. Ses yeux étaient d’un bleu limpide, étonnement clairs, et l’on pouvait y lire une détermination sans limite. Elle était vêtue d’une longue robe de satin noir aux reflets pourpres. Et si son décolleté était des plus raisonnables, son dos nu qu’elle arborait aurait fait rougir bien des femmes. La fente, qui partait du haut de la cuisse, laissait apparaître un galbe de jambe parfait. L’ensemble était rehaussé par deux fines bretelles qui se croisaient délicatement dans le dos. La robe bien que très simple au premier abord laissait entrevoir plus qu’elle ne les montrait les formes généreuses de la femme qui la portait, lui conférant un charme fou.  

 

La nouvelle venue dégageait une étrange aura de mystère autour d’elle, ce qui n’était pas pour déplaire à ces messieurs. En effet à peine était-elle entré dans la salle que plusieurs hommes l’accostèrent. Hélas, à leur plus grand désespoir, elle les renvoya tous, menaçant d’appeler la sécurité s’ils ne la laissaient pas tranquille.  

 

Une fois débarrassée des gêneurs, elle se dirigea rapidement vers la salle principale, ne prêtant aucunement attention à ce qui l’entourait. Lorsqu’elle y arriva, elle se figea quelques instant, scrutant la foule à la recherche de quelqu’un. Un léger sourire se dessina lentement sur son beau visage, elle avait trouvé ce qu’elle voulait. Que la fête commence !  

 

Fermant les yeux quelques instants, elle respira profondément, inscrit son plus beau sourire sur son visage et de sa démarche la plus sensuelle se dirigea lentement vers l’objet de sa convoitise.  

 

Progressant avec nonchalance le fond de la salle, elle heurta un homme, renversant par mégarde sa coupe de champagne sur lui. Celui-ci était grand et devait avoir environ la cinquantaine, il portait un costume beige très chic. Il était riche et il le montrait. Visiblement peu habitué à ce que l’on le néglige, il se retourna sur-le-champ, rouge de colère pour voir qui était l’impertinent qui avait osé le bousculer et le salir ainsi. Il se radoucit néanmoins immédiatement dès qu’il vit que le fameux impertinent n’était autre qu’une impertinente, qui plus est, toute à fait charmante.  

 

- Oh je suis vraiment navrée monsieur, veuillez m’excuser, balbutia la jeune femme.  

- Ne vous inquiétez pas voyons, ce n’est pas grave, la rassura-il immédiatement.  

 

Sans même s’en rendre compte il était déjà tombé dans le piège de ces grands yeux bleus, toute sa méfiance endormie par la candeur qui se dégageait de la jeune femme.  

 

- Mademoiselle ?  

- Tanaka, Haruka Tanaka. Répondit-elle de son plus beau sourire, elle s’attendait à avoir recours à un plan de drague intensif pour attirer l’attention de l’homme mais elle se rendit vite compte qu’elle n’en aurait aucunement besoin.  

- Et bien Mademoiselle Tanaka, calmez vous il n’y a pas de mal.  

- Mais votre smoking est tâché et …  

- Cela n’a pas d’importance, je le ferai nettoyer plus tard… Hum… Mademoiselle Tanaka ?  

- Appelez-moi Haruka, je vous en prie.  

- Bien Haruka, me feriez-vous l’honneur de vous joindre à moi pour la soirée ?  

- Avec plaisir, mais nous n’avons pas été présentés  

- Je suis impardonnable ! Je me présent Kenta Takahashi, mais appelez-moi Kenta.  

- Alors c’est vous qui organisez cette soirée, toutes mes félicitations elle est très réussie.  

- Merci, mais venez, je vais vous présenter à mes amis.  

- Je préfèrerais que nous allions nettoyer votre smoking avant cela. Le maître de maison ne peut pas se présenter devant ses invités ainsi.  

- Bien sûr vous avez entièrement raison, suivez moi j’ai dans une petite salle privée de quoi pallier ce genre d’imprévus.  

 

Elle le suivit donc vers une porte dérobée, sachant autant que Mr.Takahashi qu’ils n’y allaient aucunement pour nettoyer un smoking. Personne ne les revit plus tout comme personne ne les dérangea de la soirée. Et aucun ne remarqua non plus l’ombre qui se glissait furtivement dans le jardin par la fenêtre de la salle quelques minutes seulement après qu’ils y soient rentrés.  

 

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Elle courait comme une dératée, jamais elle ne serait à l’heure et elle ne pouvait se permettre d’être en retard. Tout en courant elle réalisa qu’il lui faudrait se trouver à l’avenir un moyen de transport rapide et pouvant se dissimuler facilement. Tout cela méritait réflexion, une réflexion qu’elle ne pouvait se permettre pour le moment ! Si seulement son local n’était pas si loin des docks, il lui serait plus facile d’être à l’heure. Ce serait plus facile aussi à la police de lui mettre la main dessus.  

 

Elle jeta un rapide coup d’œil à sa montre, elle était définitivement en retard. Elle devrait se passer de repérage pour cette fois-ci. Lorsqu’elle arriva en vue de son objectif, elle ralentit enfin l’allure et masquant sa présence elle se fondit silencieusement dans l’ombre des bâtiments…  

 

 

Il régnait sur les quais une agitation fébrile, on se dépêchait de décharger le nouvel arrivage. Le bateau venait tout droit du continent et sa cargaison avait une valeur de plusieurs millions de Dollars. De la rapidité du déchargement dépendait bien des choses, il fallait faire au plus vite pour éviter les rondes de la police. Et pour rajouter une pression supplémentaire aux hommes, les dirigeants importants de l’organisation étaient venus / s’étaient déplacés pour vérifier la qualité de la drogue livrée.  

 

La lumière s’éteignit soudain, plongeant le quai dans l’obscurité. Les hommes, qui avaient déjà les nerfs à fleur de peau, commencèrent à paniquer. Ils avaient tous entendu parler de ce tueur qui plongeait ses victimes dans le noir et à qui personne n’échappait. Maintenant dès lors qu’il y avait une panne de courant, tout le monde paniquait et croyait sa dernière heure arrivée. Mais les hommes avaient plus peur de leurs dirigeants que d’un hypothétique tueur et les chefs reprirent bientôt le contrôle de la situation. Ils envoyèrent rapidement des subalternes aller voir de quoi il retournait. Ils ne les revirent jamais.  

 

Laissant à la lumière de la lune le soin de lui montrer où étaient ses futures proies, une ombre abattait les hommes les uns après les autres dans le silence le plus total. Ils courraient de ci de là à la recherche d’une lampe torche, inconscients que leurs compagnons tombaient morts à leurs pieds. Très vite il n’en resta plus qu’un. Il avait réussit à trouver une torche et découvrait le macabre spectacle qui s’offrait à ses yeux. Il sortit une arme de sa veste et la tint braquée devant lui. Il se mit à tourner sur lui-même doucement, scrutant l’obscurité pour apercevoir l’auteur de ce massacre.  

 

Deux yeux rouges s’allumèrent alors dans l’obscurité. Lorsqu’il les vit le pauvre homme roula des yeux terrifiés avant de s’effondrer brusquement.  

 

Les yeux rouges le contemplèrent un instant avant de disparaître.  

 

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Kaori émergea lentement, réveillée par les rayons du soleil. Elle regarda péniblement  

son radio réveil et se rendit compte brusquement de ce qu’elle y lisait, il était 11h30 passé !!! Elle se leva rapidement et fonça droit dans la salle de bain pour y prendre une douche, celle-ci finirait de la réveiller.  

 

Lorsqu’elle descendit enfin dans la cuisine, quelle ne fut pas sa surprise d’y trouver Ryo en train de boire sagement son café ! Elle fut encore plus surprise de trouver à sa place sa tasse pleine et fumante. Elle leva un regard interrogateur vers son partenaire, elle n’était pas habituée à tant d’attentions de sa part. Elle pensait même le trouver encore au lit.  

 

- On a reçu un appel de Saeko, elle a du nouveau sur le tueur, dit-il rapidement d’un ton sec alors qu’il sortait. Dépêche toi on a rendez-vous sur les quais avec elle à midi pile.  

 

A cette nouvelle la jeune femme se tourna brusquement vers lui, ça faisait presque un mois que ce tueur agissait impunément, sans que personne ne sache rien de lui. Il n’y avait rien d’étonnant à ce qu’elle soit surprise d’apprendre qu’il avait enfin commis une bévue. Curieuse de voir de quoi il retournait, elle finit son petit-déjeuner en quatrième vitesse.  

 

A midi tapante une Austin mini rouge se garait sur les quais à côté d’une voiture de sport rouge. Contrairement à d’habitude d’autres voitures de polices stationnaient et l’endroit grouillait d’agents.  

 

Ils aperçurent rapidement Saeko dans la foule et s’approchèrent d’elle d’un pas rapide. Visiblement Ryo était mal à l’aise au milieu de tous les policiers présents et son visage en disait long sur ce qu’il dirait à Saeko lorsqu’elle serait assez proche pour l’entendre.  

 

- On a un témoin, dit-elle sans lui laisser le temps d’en placer une.  

 

Elle les entraîna alors vers une ambulance où se trouvait un homme qui ne cessait de hurler.  

 

- C’est un de mes hommes, il était chargé d’infiltrer un réseau de drogue. On l’a retrouvé inconscient mais indemne au milieu des cadavres. Il s’est réveillé il y a une heure à peine. Je vous attendais pour l’interroger, expliqua-t-elle brièvement puis elle se tourna vers le pauvre homme qui s’était tu à son approche, alors est-ce que vous l’avez vu ? Qu’est-ce qui c’est passé ?  

 

Elle fut alors interrompue par un de ses subalternes.  

 

- Lieutenant ! L’ambassadeur de Dalmatie (NdA : si, si ça existe comme pays !!!), Monsieur Takahashi, vient d’être retrouvé mort dans sa résidence. Nous avons envoyé des hommes là-bas et tout semble indiquer que ce soit l’œuvre de notre tueur.  

- Quoi !!! Bon je m’en occuperais plus tard, et qu’on ne me dérange plus pendant que mon interrogatoire, répliqua sèchement Saeko d’une humeur de chien. Elle fut à nouveau interrompue par des hurlements.  

 

Pendant qu’elle discutait avec cet autre agent, Ryo s’était approché de la taupe et lui posait diverses questions sur ce qu’il avait vu. Malheureusement l’agent semblait s’être plongé dans un profond mutisme et se contentait de le dévisager. Voyant les réserves de patience de Ryo s’épuiser, Kaori vint à la rescousse de son coéquipier. Elle se pencha vers l’homme et de sa voix la plus douce lui demanda de leur décrire ce qu’il avait vu. Il se mit alors à hurler, fou de terreur.  

 

- Un démon !!! C’est un démon !!! Je l’ai vu !!!  

 

Le trio échangea un regard désorienté, se demandant bien ce qui pouvait mettre dans cet état un policier aux nerfs pourtant réputés solides et sur quel fou ils étaient encore tombés.  

 

 

 


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