Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: amarina

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 4 capitoli

Pubblicato: 02-09-06

Ultimo aggiornamento: 08-10-06

 

Commenti: 54 reviews

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General

 

Riassunto: Non pas de résumé, faut bien conserver un peu de mystère, non?

 

Disclaimer: Les personnages de "Désirs troubles" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Désirs troubles

 

Capitolo 4 :: Chapitre 4

Pubblicato: 08-10-06 - Ultimo aggiornamento: 08-10-06

Commenti: Salut tout le monde !! Voilà le dernier chapitre de ma mini fic, il est un peu long, mais je me voyais mal le couper en deux. Je me suis bien amusée à l’écrire et à lire vos réactions, certaines étaient surprenantes de perspicacités, d’autres plus interrogatives, mais toutes étaient très sympas. Un grand merci pour toutes vos reviews. L’heure de vérité a donc sonnée !!! Kaori rêvait-elle ou Ryo est-il revenu ? Et Mick dans tout ça ? Très bonne lecture, bon week-end, et n’oubliez pas de me laisser un dernier petit comm’ (mais pas trop de coup de massues quand même !! ^_^ lol !) Bizzzzzzzzzz

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

Il faisait nuit depuis longtemps quand Mick arriva devant l’immeuble où il était à peu près sûr de trouver sa fiancée.  

Mais il n’était pas particulièrement pressé de la revoir.  

 

En chemin, il n’avait pas résisté à la tentation d’écumer les nombreux bars que comptait le quartier de Shinjuku et de noyer son chagrin au fond d’un verre d’alcool. S’il l’avait pu, il aurait bu jusqu’à perdre totalement conscience, jusqu’à l’oubli. Il aurait voulu oublier son amour pour Kaori, oublier la douleur qui broyait son cœur à la perspective de la perdre, oublier enfin le sentiment de jalousie qui ne l’avait jamais quitté, même après toutes ces années, et qui le rongeait. Il devait pourtant garder l’esprit suffisamment clair pour affronter Kaori.  

 

Il y avait pourtant tellement cru, du moins au début. Bien que la disparition de Ryo ait laissé un grand vide dans leur petite communauté, Kaori avait peu à peu repris le dessus. Elle n’avait pas manqué de courage et s’était plongé dans le travail. Mick avait bien tenté de l’en dissuader, préférant la voir retrouver une vie normale. Mais avec cet entêtement qui la caractérisait et qui le charmait tant, elle s’était battue pour que l’agence CH puisse continuer de tourner. Finalement, il lui avait proposé son aide, ce qu’elle avait accepté. Puis ils avaient déménagés pour s’installer dans le centre ville.  

 

A force d’amour et de patience, il avait fini par conquérir le cœur de la belle Kaori, et un sentiment de plénitude et de joie l’avait submergé lorsqu’elle lui avait dit « oui ». Il l’avait alors embrassé avec passion. Et, bien qu’il désira la posséder, Mick avait accepté de respecter la pudeur et la vertu de sa fiancée jusqu’à la nuit de noce.  

Avec le temps, ils avaient réussi à se construire une nouvelle vie.  

 

Tout à son bonheur, il n’avait pas vu la femme qu’il aimait s’éloigner de lui. Ce qu’il avait pris pour de la timidité et de la réserve, n’avait été pour Kaori qu’un moyen de le repousser.  

Son amour pour elle l’avait rendu aveugle et insensible au point que Mick ne s’était pas aperçu que l’ombre de Ryo était venu s’immiscer entre eux. Ce qu’elle voulait c’était rester seule avec ses souvenirs.  

 

La fuite de Kaori, en lui brisant le cœur, lui avait rendu sa lucidité. Il reconnaissait maintenant son erreur et son échec. Un fantôme avait suffit pour réduire à néant tous ses projets d’avenir et ses rêves de bonheur à deux, et Mick n’était pas de taille à lutter contre les souvenirs.  

 

Adossé au mur d’en face, Mick fumait une cigarette tout en observant les fenêtres de l’immeuble qui ne reflétaient aucune lumière.  

Kaori était-elle restée dans cette obscurité toute l’après-midi ? Voudrait-elle seulement le voir ?  

Très franchement, Mick en doutait.  

 

Après avoir jeté sa cigarette, Mick se décida enfin à traverser la rue et à pousser la porte d’entrée de l’immeuble. Lentement, comme un condamné monte à l’échafaud, Mick gravit les escaliers qui menaient à l’appartement de City Hunter.  

 

Depuis quand n’y avait-il pas mit les pieds ?  

 

Il ne s’en souvenait plus. Le plus souvent, il évitait de penser à Ryo. Il connaissait trop bien l’emprise qu’exerçait encore sur Kaori son ancien coéquipier.  

 

Arrivé sur le pallier, Mick n’eut pas besoin de frapper car la porte était resté entrebâillée. La plus complète obscurité régnait dans l’appartement. Tout était calme et silencieux.  

 

Il chercha l’interrupteur et alluma. Rien n’avait changé depuis leur départ. Les meubles, les objets, tout était resté dans le même état que ce jour-là.  

 

« Kaori ? » Appela-t-il.  

 

Rapidement, Mick fit le tour du rez-de-chaussée, mais Kaori n’était ni dans le salon, ni dans la cuisine.  

Il regarda à nouveau la pièce autour de lui. Mick s’attendait à tout moment à voir Ryo sortir de la cuisine une tasse de café à la main ou descendre les escaliers en trainant les pieds.  

 

Elle n’avait jamais voulu se débarrasser des affaires de Ryo et avait refusé de se débarrasser de cet appartement où elle ne mettait pourtant plus les pieds.  

Mick avait tout accepté. Jamais il ne l’avait brusqué, ni obligé à vendre. Il avait respecté ses souvenirs. Patiemment, il avait attendu qu’elle s’habitue à la nouvelle situation.  

 

Le cœur lourd, il monta à l’étage. Sans hésitation, il se dirigea vers la chambre de Ryo. Kaori ne pouvait être que dans « sa » chambre. Pressant l’interrupteur du couloir, Mick fit pivoter la porte, déjà largement ouverte, et entra sans faire de bruit dans la pièce. Là, il découvrit Kaori allongée sur le lit.  

 

Elle dormait profondément et paraissait épuisée. Ses joues pâles portaient encore les traces humides de larmes. Sur sa poitrine, étroitement serré contre elle, Mick reconnu un des vieux t-shirt de Ryo.  

 

Mick poussa un soupir résigné et s’assit sur le bord du lit. Elle avait dû beaucoup remuer dans son sommeil, car les draps du lit étaient défaits et tout froissés. Un oreiller avait glissé et était tombé sur le sol. Près de lui gisaient ses bas de soies et ses chaussures. Elle avait dû les retirer pour dormir. De l’autre côté du lit, Mick vit que la lampe de chevet s’était renversée et l’ampoule s’était brisée en petits bouts de verre sur le sol.  

Kaori gémit dans son sommeil et bougea, emmêlant davantage encore ses cheveux.  

 

Qu’avait-elle bien pu faire pour se mettre dans un état pareil ? Sa robe était déchirée à de nombreux endroits et son corps portait des traces de griffures. En se penchant vers Kaori, Mick vit l’ombre d’un bleu sur son front. Elle avait dû tomber en sautant par la fenêtre et se blesser à la tête.  

 

Avec douceur, il caressa ses cheveux et toucha son bras pour tenter de la sortir de son sommeil.  

 

« Kaori ? Chérie, réveilles-toi, c’est moi, Mick. »  

 

Kaori mit un certain temps avant d’émerger du profond sommeil où elle était plongée. Les yeux clos, elle s’étira voluptueusement et un sourire radieux apparu sur son visage.  

Cela faisait longtemps que Mick ne l’avait pas vu sourire de cette manière.  

 

Toujours souriante, Kaori cligna des yeux et se redressa légèrement sur un coude, puis tendit sa main vers la silhouette qui se découpait à contre jour.  

 

« Tu es là mon amour. » Dit-elle d’une voix caressante et câline.  

 

« Tu m’attendais Kaori ? » Demanda Mick le cœur battant, à la fois ému et surpris d’être accueillit aussi chaleureusement par la jeune femme, avant d’étreindre amoureusement la main offerte et de la porter à ses lèvres.  

 

Mais la main qui avait été si tendrement abandonnée, lui fut brusquement arrachée dans un cri d’effroi. Bondissant hors du lit, Kaori vit enfin le visage de celui qui venait de parler. La lumière du couloir avait dissimulé les traits de Mick, et Kaori ne l’avait pas reconnu immédiatement. A présent, elle le dévisageait en silence.  

Stupéfait par la brutale réaction de Kaori, Mick s’était levé et, un faible sourire accroché aux lèvres, essayait de faire un pas vers la jeune femme qui se tenait immobile de l’autre côté de la chambre.  

 

« Qu’est-ce que tu as ma chérie ? »  

 

Ces mots semblèrent provoquer un électrochoc sur Kaori qui sortie de son mutisme. Furieuse, elle se jeta sur Mick et commença à le frapper.  

 

« Qu’est-ce que tu fais ici ? Et où est Ryo ? » Criait-elle.  

 

« Ryo ? » Répéta Mick sans comprendre, tout en cherchant à éviter les coups et les gifles que Kaori lui assenait. « Mais de quoi parles-tu ? » demanda-t-il enfin.  

 

Aussi rapidement qu’elle s’était jetée sur lui, Kaori le repoussa loin d’elle.  

 

Essoufflé, Mick observait Kaori du coin de l’œil. Elle se tenait sur la défensive, droite et fière dans sa robe de dentelle blanche, les cheveux retombant en longues mèches sur ses épaules. La lutte avait coloré ses joues, tandis que sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration. La semi obscurité la rendait mystérieuse, ajoutant une arme de plus à sa séduction naturelle. Il la trouva belle.  

Même au comble de la fureur, Kaori continuait à exercer une troublante fascination sur lui.  

 

De son côté, Kaori ne semblait plus lui prêter la moindre attention, et cherchait à comprendre ce qui avait pu se passer. En vain.  

 

Avait-elle réellement vu Ryo ou avait-elle rêvé ? Non, impossible, elle pouvait encore sentir la douceur de ses caresses, le goût de ses baisers, l’odeur de sa peau.  

Ils avaient fait l’amour, elle en était sûre. Elle entendait encore le murmure de la voix de Ryo lui chuchoter des mots doux à l’oreille, elle frissonnait encore en pensant au souffle tiède de Ryo qui lui avait effleuré le cou.  

 

Cela avait été si fort, si intense. Aucun rêve ne pouvait ressembler à ça.  

 

Tout se mélangeait dans son esprit et sa mémoire se dérobait. Seules les sensations et les émotions qu’elle avait ressentie persistaient.  

Où était Ryo ? Pourquoi n’était-il pas resté près d’elle ? Pourquoi l’avait-il laissé seule ?  

 

Kaori était bouleversée et les questions se bousculaient dans sa tête sans qu’elle puisse y répondre.  

 

Son regard tomba enfin sur Mick. C’était lui le responsable. Lui qui avait fait disparaître Ryo. Il fallait absolument qu’il parte, qu’il quitte cette chambre qu’il profanait par sa présence.  

 

« Va-t’en, Mick. » Lui ordonna Kaori d’une voix dure.  

 

Frappé par la détermination de son expression, Mick demeura silencieux un moment.  

Ainsi, elle le congédiait, elle le chassait de sa vie. Elle le regardait sans douceur ni tendresse. C’est ça qui fit le plus mal à Mick. Il ne pouvait pas supporter cette froideur.  

 

Une violente colère monta en lui. Non, il n’allait pas se laisser si facilement repousser.  

 

« Pourquoi ? Ma présence te gêne pour revivre tous tes précieux souvenirs ? » Lâcha Mick d’une voix ironique, un sourire amer sur les lèvres.  

 

Il franchit d’un pas résolu les quelques mètres qui le séparait de Kaori, qui ne bougea pas, et lui attrapa les poignets d’un geste brusque. Triomphant, il referma avec force ses mains et plaqua le corps de Kaori contre le sien.  

 

« Et si on s’en fabriquait des nouveaux, hein ma belle ? » Dit-il en poussant violemment Kaori contre un mur.  

 

Un désir trouble s’était emparé de lui. Il sentait le parfum de Kaori et la chaleur de son corps contre lui. Il pouvait suivre les lignes harmonieuses de sa gorge et de ses épaules, la courbe délicate de son cou et de ses lèvres. Mick chercha les yeux de Kaori, mais la jeune femme lui tournait délibérément la tête. Refusant de croiser son regard, elle se tenait froide et lointaine, étrangère à tout ce qui n’était pas Ryo.  

Mick se sentit exclu, rejeté. Il n’existait pas pour elle. Pire, sa présence lui était insupportable. Toutes les pensées de Kaori allaient vers Ryo, ses rêves, ses désirs n’appartenaient qu’à cet homme. C’était lui, et lui seul, qu’elle aimait.  

 

Cette attitude lui fit l’effet d’une gifle. De rage, il lui saisi le menton et l’obligea à tourner son visage vers lui.  

 

« Au diable ton Ryo, ce soir tu es à moi ! » Gronda-t-il, avant d’écraser sa bouche sur celle de Kaori.  

 

Kaori n’avait pas réagit lorsque Mick l’avait brutalement empoignée. Elle s’en fichait. Il aurait pu la frapper ou même la tuer, elle ne se serait pas défendu. Mais le contact des lèvres de Mick sur les siennes lui répugnait. Il allait effacer l’empreinte que les lèvres de Ryo avaient laissée sur sa bouche, il allait souiller tous ses merveilleux moments qu’elle venait de passer avec lui.  

Kaori tenta de se libérer de l’étreinte que Mick lui imposait, mais il était fort et il refusait de la lâcher.  

 

« Laisse-moi Mick ! Arrête ! » Protestait Kaori en essayant de le repousser.  

 

Rendu fou par la colère et son désir, Mick ne l’écoutait pas. Il l’écrasait de tout son poids, cherchant à la maintenir contre le mur, tandis qu’une de ses mains soulevait sa robe, déchirant les dentelles, atteignait la culotte.  

Affolée, Kaori se débattit de plus belle et lui lança un violent coup de pied dans le tibia. Mick perdit l’équilibre et tomba par terre. Kaori tenta d’en profiter pour s’échapper, mais il fut plus rapide qu’elle. D’un bond il fut à nouveau sur elle et ils basculèrent sur le sol. Une lutte s’engagea entre eux. Mick tentait tant bien que mal de lui attraper les mains pour la maintenir contre lui et l’empêcher de bouger.  

 

Soudain, Kaori cessa de lutter. Croyant sa victoire certaine, Mick s’apprêtait à reprendre ses caresses, et relevant la tête, il allait l’embrasser, quand son regard croisa celui de Kaori. Brusquement, il la lâcha et recula.  

Kaori se releva à son tour et une expression de profond mépris s’afficha sur son visage.  

 

Mick prit alors conscience de son geste. Il avait embrassé Kaori de force. Il l’avait presque violée.  

 

« Pardonne-moi Kaori. » Souffla Mick d’une voix rauque, incapable de regarder Kaori en face.  

 

« Va-t’en. Sors d’ici, je ne veux plus jamais te revoir. » Ordonna-t-elle à nouveau.  

 

Tout était fini, Kaori ne pourrait jamais lui pardonner. Mick se dirigea lentement vers la porte. Au moment où il passa près d’elle, il tourna vers Kaori un regard suppliant et d’une voix tremblante, il ne pu s’empêcher de lui déclarer une dernière fois son amour.  

 

« Je t’aime Kaori. Je t’aime tellement. »  

 

Mais Kaori se détourna , refusant d’écouter cette déchirante plainte amoureuse, et appliqua ses mains sur ses oreilles.  

 

« Tais-toi !» Cria-t-elle.  

 

Il était si près d’elle maintenant qu’il lui attrapa à nouveau les bras, l’obligeant à lui faire face, et la secoua de toutes ses forces.  

 

«Tu souffres, hein ? Et tu l’aimes, c’est ça ? Et moi, tu penses à moi, à ma souffrance, à mon amour pour toi ? » Lui demandait Mick d’une voix douloureuse.  

 

Comprenait-elle combien elle comptait pour lui ? Savait-elle à quel point il l’aimait ? Qu’il aurait donné sa vie pour la voir heureuse ?  

Mais il ne pouvait rien faire. La seule chose que Kaori voulait, il ne pouvait pas la lui donner. Ryo était mort et Mick n’avait pas le pouvoir de le ramener à la vie.  

 

Doucement, Kaori leva une main vers le visage de Mick et lui effleura la joue. Il y avait tant d’amour au fond de ses yeux. Elle ne l’aimait pas, mais elle pouvait comprendre sa souffrance. C’était la même que la sienne, une souffrance causée par la perte irrémédiable de l’être aimé.  

 

« Laisse-moi partir Mick. »  

 

Ils échangèrent un long regard. Puis, les larmes aux yeux, Mick su ce qu’il devait faire.  

 

Il lâcha les bras de Kaori et posant ses mains autour de son cou, commença à serrer de plus en plus fort.  

 

Le corps de Kaori se fit plus lourd au fur et à mesure que la vie la quittait. Bientôt, elle glissa sur le sol dans un doux murmure de soie froissée, entraînant Mick dans sa chute.  

 

Et tout fut fini.  

 

A genoux, Mick recueillit le corps inerte de Kaori et le serra contre lui. A travers ses larmes, il embrassait son front pâle, caressait ses cheveux. Il était trop choqué pour comprendre toute l’horreur funeste de ce geste irréparable.  

Le cœur meurtri, l’esprit à la dérive, il balbutiait ses derniers mots d’amour.  

 

C’est dans cette position que Miki et Umi les découvrirent.  

 

Le regard perdu, la voix brisée par le chagrin, Mick tenta de leur expliquer que c’était ce qu’elle avait voulu. Elle le lui avait demandé. Au fond des yeux de Kaori, il avait cru lire son refus de vivre dans un monde où ne vivait plus le seul amour de sa vie. Elle avait préféré mourir pour rejoindre Ryo.  

 

Ou peut être que sa colère l’avait aveuglé et qu’il avait simplement tué celle qui avait repoussé son amour.  

 

Il ne savait plus.  

 

Sans bruit, avec d’infinies précautions, Miki avait simplement fermé les yeux de son amie morte, avant de s’effondrer dans les bras de son mari.  

 

« Mon Dieu, si seulement j’avais vu son désespoir, si seulement… » Murmura-t-elle en larmes, incapable de continuer.  

 

Umi caressa tendrement les cheveux de sa femme, cherchant à soulager sa peine.  

 

« Maintenant, ils sont enfin ensemble et ils vont avoir toute l’éternité pour s’aimer. » Murmura le géant en refermant plus étroitement ses bras autour des épaules de sa femme.  

 

 

 

NDA: J’espère que vous ne m’en voulez pas trop pour cette fin tragique, je sais que beaucoup aurait préféré une fin plus joyeuse, mais c’était l’image de Mick tuant Kaori qui est à l’origine de toute cette histoire. D’un autre côté je crois pas être plus cruelle que Hôjô qui fait mourir Kaori dans AH, sauf que cette fois-ci c’est Ryo qui revient hanter sa bien-aimée.  

 

 


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